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TRENTE-DEUXIÈME ANNÉE — N" 9557
Le juge Pascal
va être inculpé
de violation
Ck! secret
38 pages
— MARDI 14 OCTOBRE 1975
LISE PAGE St
Fondateur ; Hubert Beuve-Méry
Directeur : Jacques’ Fauvet
WO F
JUcfirle, 1 DA; Hene, Ijn tir. ; msh, _ i qa.au
JUIpmgH, 1 DH ; Autriche, «set L; IW.
11 fr. ; ÇMMla, 80 c. cts; Duesark, 2.73 kr. ;
Espagne, 22 pn. ; Snade-Brctiin, isp-i w»
18 flr^ lin, 45 riks Italie, 250 L; UblUSH
LmeaiMffg, 11 fr.; HWftfB. 2,75 WWW,
Ota fl.-, Partant. 11 ose.; Snèdt, 2 fer MRS,
1 ff.; D.S.JL, 65 cts; YBapslote, 7B B. tifb
ram «a aoowMnum* m» ZZ
- V KUE DES ITALIENS
75427 PARIS - CEDES » -
C XJ. 4207-23 Paris
XSex F*sis a? toosrs
TéL s 770-91-29
ouf é re n ce No rd-Su d
principales . difficultés paraissent
"ondamnés
. -Jondamnéa à réussir.» C’est
me Fou dtt nu peu partout
4jk déléga t ions qui ont
- - ■riencé, ce Iimdi, avenue
‘ une nouvelle, «réunion
aratoire» au dialogue . Nord-
. r On disait h. mémo chose en
*. -.'-avant la première rencontre
•• ~ >fx# ajoutant qu'anemt d’en-
sx n’irait Jusqu’à prendre la
* nsabffité d’un échec. Cette
: r . on s'est pourtant terminée
m fiasco.
fonrd*hni, dit-on de nouveau,
,(r S: ru. tecès est en guetoue' sorte
“■ Mli La principale raison èvo-
j r est qn*un second échec
isit cette fois mortel pour ridée
o du «dialogue», à laquelle
■ eux camps — pays indus-
sés et pays, .en voie de diéve-
- : ment — paraissent tenir.
• . e une garantie suffisante?
-‘■tes, la «réunion prépara-
• est cette fois soignenae-
préparée. Sur les questions
mcEdnre, les Dix sont en
■ dpe déjà d'accord et n’auront
• ' - |tfi entériner coDective-
- iheqo’fls ont admis Jndtvi-
Ùândi M cours des précé-
s_ÇQHtecte diplomatiques. Ce
Nttni'iltt Considérablement
fljë. -ggr . révolution de la
dm «att-TJnls, qui, au
m «tr,W püta- formel, se sont
preebér ie* -thèses: soutenues
le fier*4ôwidB. Sur le fond,
n'est rétK ;nuds “ n’est
l . :’i la xfamkn- dp Tàvenue
■ déttfrfM^è-ce propos;
. liera Alt. d m rntnrft confé-
: . wJnlstériene qfc’ëae est
i . te de mettre sur pied.
s4-fl tdtemeni
- -{L depuis avril qu’on dia-
"îâitre pays riches et pays
tsïrâfene aujourd'hui parai-
êtes difficile qu’a y a six
-JN& quel miracle les esprits
( |-fceeuïs auraient-ils été
» flpiÈstt . convertis ? Du
H*' économique, une
“tShnsê. a, changé : la reprise
"activité industrielle et
t -rpm late du monde occidental
" (moins Incertaine, , mais
de dégénérer rapidé-
”i inflation encore phu
■celle dn « Cycle »
précédait. *
cadre de chaque nation
début des périodes de
"tee » que les salarié se
*ent en position de foree
utéger leur pouvoir d’achat,
ché du travail se tendant
reau ; à ce moment, . les
oemenl* parient des vertus
(Ofitique des revenus, et les
i se montrant mieux dfc-
à. l’accepter . Un phéno-
analogue h’est-H pus en
le se produire sur le plan
Atonal?. La nouvelle omis-,
va provoquer une flambée
x des matières premières,
olente encore que celle des
1972-1973.
m international est toute-
» complexe que celui des
i l’intérieur des frontières
des. Les pays riches sont
V eux aussi, producteurs
lères premières. Les Etato-
rar exemple, occupent une
l dominante sur les mar-
' nÜaDen ; ils tiennent ainsi
mttiwii le sert de pha-
foatfons affamées. Aecepte-
dç, mettre cette puissance
ide là communauté in-
? Demanderont-Ils,
'trépans*, aux outres paya
«fs de « rentes » dans
. r domaines d’en *üre au-
' >9n pense, ici, évidemment,
ys pétroliers, mais ils ne
.is les seuls & disposer de
fmtages grâce à la nature
tùstolre-
une socialisation inter-
[je de la rente, de tontes
qull faudrait aboutir.
Rogne qui commence per»
1 d’acheminer i’hnma-
unë telle révolution ?
Lisez
Monde
plomatique
surmontées.
La -deuxième phase de la
réunion préparatoire de la
conférence Nord-Sud Test ow-
vérte . lundi matin 13 octobre
avenue Kléber, à Paris. Y
participent les ' hauts, jonc-
tUrrmatres de dix pays oit
groupes de pays : .les Etats-
Unis, Te Japon et la CJBJS.
pour le monde industrialisé ;
quatre producteurs de pitrtOe
— Venezuela. Iran. Algérie.
Arabie Saoudite — e£ trois
non producteurs — Brésil.
Inde, Zaïre 1 — pour les pays
en voie de dêo&ap -*• "
En. aura dernier, les pays
en .. voie de développement
entendaient. Ver les problèmes
- des matières premières et du
dévMoppemènt à ceux de
Tènergie, et V. de Gutrin-
' gaud '(France), qui assure la
présidence « technique », s'est
félicité dam son allocution
Couverture de la
évolution des esprits
nue récemment.
Alan que les Etats-Unis ne
voulaient traiter que de Véner-
gie, maintenant les dix parti-
cipants semblent d’accord sur
la procédure.
Quant à Y épineuse question de
la représentation de Londres,
on ^interroge sûr le sens à
donner à la présence dans la
délégation" de la C&JZ. de
deux hauts loncttonruOres
br it a nn iques.
A son arrivée avenue Kléber,
M. D a v igno n, président de
VAS K. (Agence internationale
de l'énergie ), qui représente
VOXLDJB. avec le statut d'ob-
servateur, a dédoré aux jour-
nalistes présents que, en ce qui
le concerne, Ü était très opti-
miste sur le - résultat de Ta
r é u nio n préparatoire ? «Cette
■ réunion: a-t-il âttrive devrait
- pas durer -plus de trois Jours. - '
‘ fer ‘ effet, 4L; - n’y* <a -pas de
divergences entre Us
pants, qui se sont i .
d’accord sur le document
appelé consensus. - »
Les organisateur» do la céankxi
préparatoire devraient sa féflcRer du
coup de tête do ML Callaghan. Sans
le « suspense » que . la Grande-
Bretagne fait peser depuis une
semaine, tout lie serait-il pas. déjà
Joué, puisqu'on nous assura que les
dix délégations sont déjà parvenues
à un consensus? Qui .albis s'inté-
resserait aux discussions de revenue
Kléber ?
Ou cflté français^ H est vrai, on
ne montre pas envers la dernière
ruade du vieux non britannique
beaucoup plus d'humour que n'en
témoignaient n o e partenaires en
février 1873 envers M. Job art, cou-
pable de Jouer cavalier eeul face A
la proposition américaine de confé-
rence énergétique. Les argumenta
sont les mêmes : l'obstination hier
de Parle, aujourd'hui de Londres, va
faire éclater la CJüLE
PHILIPPE SIMON NOT.
(Lire la suite page 35 J.
GISCARD D'EST AING A MOSCOU
Des divergences subsistent sur les prolongements
de la conférence d'Helsinki
M. Giscard c£Esta2n0 est atlondu à Moscou
mardi 14 octobre à 15 heures- locales (13 hemres
à Parie) pour une -visite officielle qui durera
jusqu'en 18. Dans use déclaration remise à
-la ■ Pravda ». Ü rappelle - que «-lu coopération
franco-soviétique est un élément fondamental de
la politique extérieure français* ». « L'histoire des
relations fn nrfr-f yUMm y f, démontre
qne de -lais contacta < au sommet» jouent un rfile
dé tecm inanl 1» développe ment d p notre
coopération. » - De -son côté, le bureau politique
■ d u parti "* T, p 1 * t p fwwipii f e publié un comunu-
Moscou. — A vingt-quatre heu-
res de l’arrivée de M. Giscard
(TKstaing à Moscou, Français et
Soviétiques ignorent encore exac-
tement quête textes politiques
signeront jkL Brejnev et le prési-
dent de la. République. Les négo-
ciations, qui durent depuis
plusieurs jours au ministère so-
viétique des affaires étrangères,
sa poursuivent encore . ce lundi
13 octobre sous 1a direction, du
côté français, de ML Andr«mi le
directeur d’Europe au Quai
d’Orsay. Qn aurait tort d’en
conclure que les relations franco-
soviétiques traversent une passe
délicate : H se trouve simplement
que, étant déjà bonnes, 11 est dif-
ficile de les rendre meilleures,
chaque partie cherchant hfnn
aiqaâ galon laquai £1 ne saurait an aucun eau
m considérer la comdstene» pacifique comme le
maintien dn «statn quo* social et politique» ni
■ abandonner cru même affaiblir h lutte pour
substituer le plus tût possible an pouvoir actuel
de la grande bourgeoisie un g ou vernement d'union
démocratique' »,
A Moscou, les experte ont quelque peina à
mettre au point le -document politique qui devrait
être signé pendant la visite, las deux gouverne-
ments s'appréciant pas de la même manière les
suites à donner à la conférence d'Helsinki.
De notre correspondant
entendu à tes hTflfehlr rfnnc la
sens de p*** désirs.
M. Giscard (TEstalng est le pre-
mier chef d'Etat occidental à se
rendre à Moscou depuis le a som-
met » d Helsinki. Les relations
franco-soviétiques ayant souvent
été qualifiées d’exemplaires, 11 est
normal qu'on songe, d’un côté
comme de l’autre, à en amtilorer
encore la qualité. Malheureuse-
ment, les négociateurs n'ont dels
les mêmes
L’idéal pour les dirigeants so-
viétiques serait, bien sûr, que la
France ' acceptât de signer un
traité d’amitié en bonne et due
forme. L'idée n’est pas nouvelle.
Elle fut naguère présentée à
Georges Pompidou, qui l'écarta
poliment; elle l’a été de nouveau
à M. Giscard dEstalng, mais sans
grande conviction, dit-on du côté
français. On se contenterait donc
à Moscou d’une déclaration de
principe, «Ton pacte ou (Ton pro-
tocole par lequel tes deux parties,
après référence explicite à Hel-
sinki, s'engageraient à coordon-
ner encore plus leur action,
notamment en ce qui fo n of 7 ™
la sécurité en Europe. Les Sovié-
tiques désirer aient a ussi que la
France accepte de réviser cer-
taines de ses vues en matière de
sécurité militaire et de désarme-
ment. .
JACQUES AMALRIC.
(Lire la suite page 4j
LU.R.S.S. J5E LA MATURITÉ
/. - Un soir à Samarcande
par ANDRÉ FONTAINE
Samarcande. — Magie . <Tnn
nom- chargé de- tous tes parfums
d ed ïtüze et Une Nuits, i&intain
écho des' chevauchées de Gengte
Khan «t de Tamerian. mystère
<Pun Orient antre, 1 musulman
sans être Proche, rouge sans
retro u ver, un soir, à Samar-
cande-?
Lénine ayant écrit que les che-
minées d’usine nanties minarets
dn socialisme, tri pays socialiste
de notre oonnalsamce avadt entre-
pris sans trop te’cttre, aux beaux
Jours de Staline, d’épotater ses
minarets pour tes. rendre dignes
de figurer dans les édifiants
Chromos alors de rigueur: En Asie
centrale, soviétique, on n’est
Jamais tombé dans cette aber-
ration : toutes les pierres de
CINQUANTE CAMBODGIENS
EN EXH. A PEKIN
DECIDENT
DE NE PAS REGAGNER
LEUR PAYS
(Libre page ZJ
Samarcande 7 «t de Boukhara
chantent 'la grandeur et la poésie
de rislam- - Des trésors d’argent,
de goût et de patience ont été
engloutis pouf rendre aux meder-
sas, aux mausolées, aux mosquées,
aux dômes d’émeraude leur splen-
deur 'passée.
Au fronton dtene medersa, tme
mosaïque aux couleurs vives
attire l'attentlah. : .elle figure des
fauves, alors que le Coran pros-
crit 2a représentation (Tétras
vivants. II laid y voir la marque
de 1 Indépendance ff esprit -drun
émir , ouzbek du dlx-septltene tiè-
de, digne continuateur cTÜlugh
Beg, ce füs de Tamerian, memar-
que ôûveft : aux sciences . dont
Laplace a pu dire qu’il avait été
< le plus grand observateur de
rhtstoie de Vadtronomis a
Les adeptes dn matérifllteme
scientifique qui gouvernent
aujourd’hui rOusbéMstan tirent
grande fierté de ces ascendantB
' être elle n’est plus spectaculaire
que dans cette région vouée, 11
y à cinquante ans encœe^AU
sous-déveteppement,. oxxx épidé-
mies, à l'analphabétisme. -
Un tour an marché de Samar-
cande;' qui croulé sôus rabon-
dance (tes fruits de . toutes
couleurs, ou dans l’un de ces
kolkhoses qui irait de rousbê-
klstan. h lui seul, grâce à la
mécanisation, le second produc-
teur de coton du monde, après
les Etats-Unis, en convainc le
visiteur, tout autant que les sta-
tistiques dont an le régale
fifre ta suite page Sj
L'élection
de h Vienne
et le
«rééquilibrage >
M. Michel Poniatowski
ayant affirmé, Jeudi 9 octobre,
que les républicains Indépen-
dants constituent le « premier
parti de la majorité et ayant
clairement exprimé (espoir
que les prochaines élections
législatives permettent un
« équilibrage nouveau » de
cette majorité, la riposte est
venue dés le week-end sui-
vant Devant re comité centra/
de rUJOJL, MM. Bord. Debré,
Sanguinetti et Chirac ont
proclamé à qui mieux mieux,
samedi et dimanche, que leur
parti est et demeure « le plus
Important et le mieux organisé
de la majorité ».
La fameuse -émulation- que le
ministre d’Etat avait Jugée - nor-
male- A maintes reprises, et notam-
ment en lévrier 1975, continue donc
d'aller bon train. On a cependant
quelques raisons de douter qu'elle
profite vraiment à la majorité consi-
dérée dans son ensemble, et U ne
semble pas que celle-ci puisse se
targuer de la - sérénité des torts -
dont M. Chirac crédite la formation
gaulliste.
L’élection législative partielle qui
s’est déroulée dimanche 12 octobre
dans la seconde circonscription de
la Vienne (Châtellerault-Loudun)
constitue, en effet, un avertissement
pour M. Giscard (TEstalng et ceux
qui le soutiennent. M. Abetln. mi-
nistre de la coopération, a, certes,
failli retrouver et m siège dès le pre-
mier tour. 'mats, il 'est bien -foin de
faire le plein des voix de la majorité,
ne recueillant que 49,41 */■' des suf-
frages exprimés, aiore que lui-même
et son adversaire U.D.R. an avalent
totalisé 61,18 V». le 4 mars 1973. La
progression considérable dn absten-
tions. et • l’accession aux urnes de
nombreux électeurs nouveaux Incitent
à beaucoup de prudence dans l'ap-
préciation des transferts de voix,
mais la déperdition est assez nette
pour que l'on puisse avancer uns
conclusion.
R. B.
(lire la suite page U J
PRIX NOBEL
DE LA PAIX 1975
ANDREl D.
SAKHAROV
La liberté
intellectuelle
en URSS et
la coexistence
idées/gallimard j
voués au culte des lumières, à
une époque où la Russie propre-
ment dite s’enchantait, au fond
de ses ténè b res, (Traie autre
lumière, otite dont la fol chré-
tien» faisait resplendir ses
Icônes. Mais 11 va de aol qu'ils
s'enorgueillissent plus encore de
rceuvre accomplie députe la révo-
lution CfOctobre. Nulle part peut-
AU JOUR LE JOUR
LA BOITE
Le dernier exploit du jeune
Jean-Pierre va évidemment
apporter de Veau au moulin
des partisans dune justice
exemplaire. ,
Même ri Von récuse la vin-
dicte pubUgue, ü faut bien
reconnaître que Von doit
faire quelque chose des aso-
ciaux irrécupérables. Et cela,
même si ce n'est pas leur
faute Mds sont asoci a ux,
même si cfest la société qui
est incapable de les récupérer.
La scAuMan. comme le di-
sait récemment un magistrat,
■est de les enfermer dam une
boite. Mieux vaut évidem-
ment que la boite soit une
cédule plutôt qu'un cercueü.
Céda dit, on notera que les
complicès de Jean-Pierre sont
d’anciens compagnons de dé-
tention. Et tout le monde
sera d’accord pour penser
qu’il est absurde d'enfermer
les délinquants, en fait de
botte, dans taie couveuse à
criminels.
ROBERT ESCARPIT.
LÉS SOUVENIRS DE M. OTAB AN-DELMAS
£’ « andewt» et Aea Limite»
A maintes reprises, au cours de
son septennat tragiquement écourté,
Georges .. Pompidou avait évoqué
devant ses hôtes une matinée qui
l'avait fortement marqué, celle du
29 mal 1968, Avant de dtoparSftre
pendant plusieurs heures ft destination 1
de Colombêy-les-Deux-Egrîeea, vie
Bedan-Baden, Charles de Gaulle
avait eu, ce Jour-là, avec son premier
ministre une lapidaire conversation
téléphonique dont la tendre conclu-
sloi. — - je vous ombrasse - — avait
vivement surpris le destinataire. Dans
r Ardeur (1), premier livre de
M. Jacques Chaban-Oelmas, cet épi-
sode de la V* République, qui n’est
point essentiel, mais n’esl pas négli-
geable, est relaté de façon bien dif-
férente : - Georges Pompidou nous
révéla qu'ayant demandé un entretien
au général de Qaulte sur ce sujet
[l’opportunité de dissoudre l’Assem-
blée nationale] 0 avait eu beaucoup
de peine A r obtenir, et, reçu briève- ■
ment, n'étalt parvenu A aucune
conclusion. Il ajouta que, eu moment
où II prenait congé, le général lui
avait dormi f accolade en disant :
- Je vous aime bien. » Cette attitude
Insolite Bvïüt Intrigué et troublé
Georges Pompidou. -
Compte tenu du très grand dé-
sordre où les - événements - de mai
1868 avalent plongé les esprits — et
pas seulement au sain de la majorité
— ou ne saurait faire grief à
M. Cha ban-Delmas d’avoir, sur ce
point, une mémoire infidèle. Ce qui
gflne. plue généralement, à tira ses
souvenirs, c’est que cette mémoire
soit i la fols Insuffisamment et exces-
sivement sélective. C’est aussi qu'il
ae soit limité à un seul livre pour
y condenser péle-méle ses souvenirs
de résistant, de parlementaire, de
maire de Bordeaux, de premier mi-
nistre et . de candidat malheureux à
fl) L'Ardeur, par Jacques Cùaban-
Polmao. Bdlttoite Stock, Farts, 433 p*
4S 7.
la présidence de la République. Dans
la mesure où II est toujours difficile
de se raconter sol-môme, sans rien
omettre, peut être chacune de cas
expériences eût-elle mérité un vo-
lume. A partir .du moment où le
risque était assumé de ne consacrer
qu’un seul ouvrage à trente années
de vie publique, riches et diverses,
on ne pouvait tout exiger de l’auteur.
Or attendait cependant de lui un peu
plus d’inédit
Nous contant sa * longue histoire
d’amour avec la France » et se mon-
trant décidé ft demeurer * cet homme
en mission qui ne se retire pas du
leu de la France -, l’auteur de
r Ardeur nous émeut, assurément,
dans plus d’un chapitre de son livre,
mais il nous laissa trop souvent
l’Impression qu’il ne s’explique pas
vraiment ft fond et se présente sous
des traits trop flatteurs. Lorsque, par
exemple, !] évoque les onze années
qu’il passa au - perchoir - du Palais-
Bourbon, Il ne manque Jamais de
se décrire comme un ardent défen-
seur du Parlement II semble
oublier, en revanche, que lorsque,
le 17 mars I960, de Gaulle avait
refusé la convocation de r Assem-
blée nationale en session extraordi-
naire (alors que l’article- 29 de le
Constitution l’y contraignait), le
président de l’Assemblée national a
n’avalt rien trouvé ft redire au
« non » du fondateur de la IP Répu-
blique ni A [Interprétation très fibre
des textes sur laquai l s U avait fondé
sa tin de non-racevolr. On s’éton-
nera aussi que notre auteur sa dé-
tende d’avoir Inventé la théorie du
- domaine réservé » du chef de
l’Etat — « // est, écrit-il, des mythes
qu'il faut tuer plusieurs fols.* —
alors qu'il avait bel et bien défendu
cette thèse devant les premières et
très houleuses assises de. l’UJLR.,
en novembre 1859.
RAYMOND BARRJLLON.
(Lire la suite page MJ
Page 2 — LE MONDE — 14 octobre 1975
ASIE
Cambodge
Laos
déçus par ue nouveau régime dh PHNOM-PENH Les fête s du trentième anniversaire de l f indépendant •
Quelque cinquante Khmers vivant à Pékin ont consacré la prise du pouvoir par les révolutionnais
ont refusé de rentrer dans leur pays
Quelque cinquante Cambodgiens
qui, depuis uns, faisaient par-
tie de la suite du prince Slhanouk,
à Pékin, ont refusé de regagner
leur pays, rapporte l’AJFJ?. Us
ont quitté Pékin pour la France,
où Us ont reçu un permis de rési-
dence permanente. Parmi eux
figurent le major Buor HuoI,
ancien commissaire principal &
Fhnom-Fenh, et ancien aide de
camp du chef de l’Etat, le colonel
Oum Mannorine, beau-frère du
prince et »nrf«n ministre de la
sécurité, et la belle-fille du prince,
la princesse Turaneath.
tation et n'ont pu se déplacer que
dans les environs immédiats du
palais royal, toujours en compa-
gnie d*un « guide ».
Tous les magasins sont fermés,
le nombre des bonzes & forte-
ment diminué dans les pagodes de
la capitale^ celles qui restent
ouvertes n’en comptant chacune
que cinq ou six contre parfois
trois cents auparavant.
Des usines dirigées
par des techniciens chinois
Se réclamant du programme du
Front national uni du Cambodge,
ces personnalités écrivent, dans
un document remis à l'A.FP-,
qu'elles ne sont pas opposées au
gouvernement, maïs veulent
a voir son -programme politique
demeurer pour toujours la- base
essentielle de notre politique, pour
la reconstruction nationale ». Elles
estiment que « la situation actuelle
au Cambodge n'est absolument
pas conforme n & la ligne du pro-
gramme qui garantit les libertés
démocratiques. Plusieurs collabo-
rateurs du prince Slhanouk
avaient accompagné en septem-
bre le chef de l’Etat à Fhnom-
Fenh, mais ils sont tous revenus
en Chine ensuite, à l’exception du
premier ministre, M. penn Nouth.
n convient de signaler que les
Cambodgiens faisant partie de
l’aile révolutionnaire du Front
uni et qui se trouvaient à Pékin
sont rentrés au Cambodge, ou le
représentent & l’extérieur (àl’ONU
en particulier). Le prince Slh&-
nouk a, de son côté, choisi de se
placer au service du nouveau
régime. Les membres de sa suite
qui ont choisi l’exil en France ne
pouvaient, & l’évidence, s’adapter
aux dures conditions du Cam-
bodge révolutionnaire ; le passé
de certains d'entre eux est fort
lourd, plusieurs de ces personna-
lités ayant eu, avant 1970, la haute
m H-in sur les circuits de la cor-
ruption.
Tous les habitants
auraient changé de nom
Certains Cambodgiens qui .ont
récemment accompagné le prince
Slhanouk & Fhnom-Fenh ont,
d’autre part, apporté quelques
précisions sur les événements
intervenus en avril dans la capi-
tale et sur la situation actuelle
Hans le roya ume ;
Us ont Indiqué à l'AJF-P. que le
général Lan Non, frère du maré-
chal Lan Nol a été lynché par te
foule, tandis que MM. long Boret,
premier minis tre, et Siris
Natak, ministre de te défense —
ce dernier un moment réfugié a
l'ambassade de France — étalent
passés par les armes en meme
temps que plusieurs généraux et
officiers supérieurs.
Ces de la situation à
Phnom-Penh ont aussi rapporté
que tous les Cambodgiens, à
l'exception des hauts dirigeants,
ont dû. abandonner leur identité
pour adopter un nouveau nom
choisi par les autorités. Cette
mesure a même frappé l’un des i
lis du prince Slhanouk, le prince
Slhamoni, qui a perdu Bon nom
et s’est vu attribuer celui de
Camarade Pom.
Cette décision serait principale-
ment destinée à empêcher les
opposants au régime d’établir des
contacts entre eux. Un mem bre
de l'entourage du prince, qui se
trouvait encore récemment &
Pékin et a quitté la Chine pour
Paris, a commenté ainsi ses réti-
cences a retourner dans son pays :
€ Pourquoi rentrer au Cambodge ?
Je ne pourrai jamais retrouver
mes douze enfants qui ne portent
même plus mon nom. »
Une autre mesure de sécurité
consiste à implanter dans les
zones frontalières des partisans
inconditionnels du nouveau
régime, les éléments aux positions
e douteuses a, peu sûrs Idéologi-
quement, devant s'établir dans tes
réglons centrales.
Les Cambodgiens rentrés de
Phnom-Penh a la fin de sep-
tembre ont déclaré ne pas avoir
tembre ont déclaré ne pas avoir
reconnu leur capitale qu’ils ont
qualifiée de « vüle morte ». Sa
population actuelle, estiment-ils,
atteint tout au plus cinquante
mine personnes. Elle est composée
de membres des forces armées,
dont chacun, ont-ils noté, doit
arborer un Insigne spécial pour
pouvoir circuler.
Les membres de l'entourage de
Norodom. Slhanouk ont été sou-
mis, eux aussi, & cette réglemep-
• Le prince Sthanouk a re-
gagné Pékin dimanche 12 octobre
a la suite de son voyage à New-
York et à Farts. H se rend mardi
à Pyongyang. I
• Motion de réfugiés khmers. ■
— Le général Sosthène Fernandez,
ancien ministre de la défense du
régime a républicain » au Cam-
bodge, réfugié à Paris, a diffusé
le texte d’une motion adoptée par
un groupe de réfugiés khzners à
Bangkok, qui accusent les Khmers
rouges de « génocide » à l’encon-
tre des partisans du maréchal
Lan Nol et du chef de rextrâme
droite, M. Son Ngoc Thành, et de
partisans du prince Sthanouk.
Certaines usines qu’lis ont visi-
tées dans les alentours de Phnom-
Penh fonctionnaient grâce au
concours de soldats cambodgiens
et d Ingénieurs chinois. Les
témoins ont signalé l'existence de
certaines rreinpa entièrement mon-
tées par la Chine et dirigées par
des techniciens chinois.
de chaque personne sont déli-
vrés par ces comités.
' Au cours de son voyage, le
prince Slhanouk a visité des ri-
zières à wp* dfaatoft de kilomètres
de la capitale et une usine de
tissage située & même distance. ;
Il a fait une brève croisière sur ,
le Mékong, au cours de laquelle
lui ont été montrés les dégâts
causés par la guerre. Le prince
n'a pas pu se rendre, nomma a
en avait l'Intention, au temple
tTAngkor-Vat, dans le Nord du
pays, pour y déposer tes cendres
de sa mère, te reine Sisowath
Kossamafc. décédée & Pékin en
avrlL
Vlentiane. — Depuis Je 12 octo-
bre, un nouveau drapeau — trois
bandes horizontales, rouge, bleu,
rouge, avec au centre un rond
blanc — flatte sur le Laos. Il fut
pendant longtemps l'emblème du
Front patriotique (le Pathet Lao).
L'ancien drapeau rouge frappé
de l'erawa n blanc — éléphant
tricéphale surmonté d’un parasol
bouddhiste & sept étages — a pra-
De notre envoyé spéciol
quartiers. Mais plus importants
ont été tes séminaires préparant
les Laotiens aux changements
politiques qui seront accélérés au
cours des derniers jours : annonce
de nouvelles élections pour avril
tiquement disparu de te capitale.
Dimanche, lors des fêtes organi-
sées & l'occasion du trentième an-
niversaire de lin dépendance, 11
flottait seulement sur la tribune
officielle. « Pour faire plaisir au
roi ; Vautre, c'est le drapeau du
peuple ». dit 1e président de l’As-
sociation des enseignants.
Le principal événement a été
le dénié 'organisé sur l’immense
esplanade du - That-Luang. Com-
mencé le matin à 6 h. 30, alors
que 1a pluie cessait & peine de
tomber, il a réuni plus de cent
mille personnes pataugeant dans
1a boue rougeâtre, chantant, bran-
dissant le poing, criant des slo-
gans. Des chars décorés
représentaient les différentes ad-
ministrations. L’atmosphère était
calme, sérieuse, toute différente
de celle de la soirée : une foule
encore plus nombreuse est alors
venue assister au feu d'artifice
offert par les Chinois et à de
nombreux speotacles.
Cette fête avait été répétée
pendant longtemps dans toutes
les administrations, dans tous les
1976, qui seraient suivies d’une
révision de te Constitution,
Us ont aussi rapporté que la
population est organisée m « co-
mités » dont les dirigeante sont
nommés par tes autorités. Ces
comités sont responsables de la
distribution de la nourriture, qui,
en l'absence de mHgtudnw et de
toute circulation monétaire, est
attribuée aux habitants en fonc-
tion de leurs a mérites ».
Des laissez-passer requis pour
le déplacement & travers le pays
[En Afrique noire, plusieurs gon- |
reniements ont contraint 2e* habi-
tent» & abandonner lents prénom»
Chrétien», et, dans «■***»<"« cas, lent»
noms patronymiques, lorsqu’il»
étalent d’odglna étrangère. C’est
pour lutter contre r aliénation cultu-
relle, et an nom du ret our ««
s o urce» de l’africanlté, qne le gou-
vernement dn général Mobutu Sexe
Seko (anciennement Josepb-Déslré
Mobutu}, an Zaïre, dn défont pré-
sident Ngarte (Kt-François) Tombal-
baye dn Tchad, et dn général
Gnasslngbe (ez-Etienne) Byadema
dn Togo ont demandé & leur»
compatriotes d'imiter leur exemple,
en cbd «lasant des prénom» e au-
thentiquement » africains.]
révision de te Constitution,
suppression de te police mixte,
qui devient « police de protection
de te préfecture de Vlentiane »,
changement de drapeau, tandis
que l’expression « royaume du
Laos ». est de pllus en plus sou-
Phomvihane ont pris la pana
dernier a rappelé les t-
années de lutte du peuple là
sous 1a direction du meuve
révolutionnaire issu du parti
munis te Indochinois. lia h
sur 1 a solidarité des trois pe
Indochinois et estimé que la
toirc du peuple laotien est
te victoire du Vietnam e
Cambodge, ainsi que celle
socialistes des cinq contins
du monde épris de paix,
remercié l’Union soviétique
Chine, avant de lanoer an
k Washington : « Nous aum
bonnes relations avec Je SK
nement américain s'ü re.
notre indépendance et notre
grité territoriale et s’ü
d'aider les réactionnaires a
filtrer chez nous et à se
de nos affaires intérieures ».
déclaré.
Toute autre a été l’attitw
dirigeante laotiens à l'égard
Thaïlande voisine. A viee
dans son discours pronon b
vant le corps diplôme
M. Meune Somvichith. pré
du comité d'insurrection
prisé du pouvoir de la préf
et de te province de Vier
partent aussi au nom du c
révolutionnaire, a déclaré '
qu’à présent. Je poucera-
thaïlandais n'a rien cbangt
sa politique. Il continue i
tenir et aider les réaction
laotiens par tous les n
créant et provoquant des
blés et l'insécurité à la fro.
exerçant des pressions éco
vent remplacée
Enfin, tout au
le mot Laos,
des discours
des communiqués, le caractère
révolutionnaire du peuple laotien
et de son principal responsable,
M. Kaisone Phomvihane, ont été
soulignés.
Vives attaques
contre la politique thaïlandaise
A Vlengsay. prés de Sam-Neua
— la « capitale » du Pathet -Lao,
— où se déroulaient les principa-
les cérémonies, en présence des
dirigeants révolutionnaires et de
délégations de pays frères, on
notait la présence du vice-
premier ministre cambodgien.
M. Ieng Sarv, premier dirigeant
cambodgien a se rendre àu Laos
depuis 1a victoire. Le prince Sou-
phanouvong et M. Kaissone
eues et commerciales (-). C
des actes de complicité avet
périalisme américain
avons le droit sacré de not
tendre pleinement. »
L'ambassadeur thnTtftriHat
avait reçu son Invitation la
seulement, n’avait pas
content. Mois une délcgatli
cialiste est venue de Bang
l’occasion des fêtes. Un c
membres, député du Front
Ciste uni qui s’est batte
côtés des Laotiens conta
Fronçais avant de vivre a
en Indochine et en Chine,
a affirmé que la rfivolutior
tienne avait un certain t
sur l’autre rive dn Mékong,
population écoute, selon lui
sympathie Radio- Vlentiane.
La révolution graduelle e
ciflque qui se déroule au 1
atteint, le 12 octobre, un tou
décisif. Cette date est imper
car elle commémore l'ind
dance proclamée en 1945 con
Fïançaïs par les Laotiens t
1 indépendance octroyée par
le 19 juillet 1949, qui étali
Qu’à présent commémoré
i ancien régime. La prise
voir par tes révolutionnai!* 1 ■ ■ ■■
désormais consommée «
bain de sang ». a tenu à pi
M. Kaisone Phomvihane — i
la bannière du parti révolrtfta Cft *-mï
naire , « qui a eu une ligne bi i L' ; j
que clairvoyante et fusU, «
est toujours fidèle à luf-mê», «
fidèle aux intérêts du potpl, vSQTPl P Pt
PATRICE DE BE
ivrmf
“ ■ t ir± « 1
Ï f* r î 1 1
ili -lill
Corée du Siif
Huit mois, c'est une carrière courte pour
une voiture. I^pemièresdéfeillances sont encore loin.
Mais si nous attendions la première
d éfa i ll a n ce pour mettre nos voitures à la retraite,
nous prendrions un risque considérable : celui
qu'elle se produise avec vous.
Cardans c^cas, vous nous en voudrez
beaucoup et vous irez chez notre. concurrent à la
première occasion. ....
En disant beaucoup de mal.de nous
entre temps.
Au contraire, en refusant de vous fournir
autre chose qu’une belle voiture impeccable
et en pleine jeu ne sse, nous sommes sûrs de notre
petit effet : vous aurez un pincement de regret
en venant nous la rendre: • .
Et la prochaine fois, c’est chez nous
que votis retiendrez.
Finalement nous sommes des gens très intéressés.
Avis loue des Simca-Ghryskr et d’autres
grandes marques. _ *
Avis.
Profitez de nous.
■ LE SORT DIT POÎIE ■
KIM Cfll HA INSPIRÉ
DE GRANDES INQUIÉTlfl
. ^Inquiétude grandit au
du sort réservé par le régis
Séoul au grand poète snd-o
Kim Chi Ha. L’écrivain 'é
Uqu* qui est né en TMV*
été arrêté en 1964 pan?--. .
dirigé une manifestation: 4 m
di an te» Nouvelle incarcératio -
. W70, puis en 1972. En JuiHl»
Kim Chi Ha est condamné à -
(U avait été torturé pour .
dén oncé dans un poème te*ti
ture du président Park> ; la i
sera commuée en prison & y
bénéficie d’une gr&ca en ».
1975, est une fols encore es
sonné en mars pour six ,!
Théoriquement du moins,- <s '
se trouve toujours en prison
La commission française 3à
et Faix (71, rue Notre-Dame'
Champs, Paris -6») lance ufl
a alarme et publie mm I'
adressée par gim Chi Ha à T
«dation nationale des pn
pour la justice, dont font P'
quelque trois cents prêtres,
six cent trente-neuf quft .cat
le clergé sud-coréen.
I* poète écrit’ : « Je sut*
secret, enfermé dhns un on
obscur {—). Non, je ne «ri»;
un communiste. Mon omm
à V oppression et à l’oxfioitat
mes espoirs dans te révoUitâT,
sont nullement dus au fait
je serais «n communiste. Us t
dus au fait que je strie vn cat
Uque radical (-). vous, prit
vous portes une grande respot
büüé. Naturellement, ctest su
une piste pleine de dangers,
de vouloir travailler à la roa
ration de la démocratie dt-
bien-être matériel du
Le seul moyen de constnarej
nation tarie, c'est ffobager: ,
régime à reconnaître setrf *& |
sabmtés dans le désastre jW
ü conduit fi* pays et de Ptwdr
à s’en aller. »
LE JAPON A OUVERT ®
AMBASSADE À SAN. 1 .
samedi 11 octobre. . 1 *^
jour. Hanoï et Tokyo ont sj..
un accord sur HoctMl J*
aide d’enviitm H mllUoB*’
francs du Japon ***
y
s'
*
LE MONDE .— 14 octobre 1975 — Page 3
EUROPE
d e
p0 ' '« 2S
■ tv 0/w:
Espagne
procédure « expéditive > ne sera pas appliquée
aux terroristes actuellement détenus
• Portugal
Les < commissions » populaires rassemblent désormais
r essentiel de l'opposition d’extrême gauche
- Irld tASJP n — Au-
■■■ es militants de J 'ETA on du
‘ détenus actuellement dans
. .. iaons espagnoles ne sera
; Suivant la procédure sttma-
(expéditive), apprenait-
: , samedi il octobre a Madrid
turce officielle. Cette procé»
:■ ne sera pas appliquée no-
ect pour le Basque Pedro
■to Ferez Beotegui, arrêté &
* loue, et pour José Ignacio
Arregui, arreté A Madrid.
- <nt, l'un et l’autre, accusés
yr participé à l'attentat qui,
y rerabre 1978, a coûté la vie A
'/si Luis Carrero Blknctx. Us
passeront en Jugement selon la
procédure ordinaire tribunaux
TTHIIfarfr-^
- i*a procédure « expéditive », in-
«fiqnc-fr-on de même source, pour-
lalt ètre rétamé, par contre, en
cas de nouvelles ar re s t ati ons : si
la ponce parvenait A retrouver les
auteurs des assassinats ou atten-
tats qui, depuis le. 27 septembre.
Ont COÛté la Vie A rfnn pnUrj pr ^ a
B arcelone et A Madrid, et A trois
gardes clvüs A Ouata. au Pays
basque.
D’autre twt*. onze m tiBlii ea de
l’ETA, arrêter comme Ferez Beo-
tegui et MugLca Anegui, les 17 et
18 septembre, ont été la fegé s t*r\
liberté provisoire en
d'être traduits devant dfis jtrridto-
tiora civiles, ce qui. selon les mi-
lieu x Ju diciaires madrOénes,
■confirme un. soud de modération
de la part des autorités espa-
gnoles.
L/Espagne a, ' par auteurs, '
célébré;, le dimanrihe 13 octobre,
l’anniversaire de l'entrée en
guerre en 1942, aux côtés des
forces de . l’Axe sur le . front de
Russie, de la division Ami. La
presse a rappelé l’événement,
mais aucune cérémonie -officielle
n'a eu lieu.
Maison Blanche redoute une intervention du Congrès
dans les relations américano-espagnoles
Vàiington. — Les événements
‘ ■■ ■ igné sont euivîs de très prés
■ -Jas milieux proches du dépar-
i d’Etat, qui craignent malnte-
' [jue « le cycle de violence »,
-.-■r express ton du président Ford,
-lissa par remettre en question
■ • jvel accord- quinquennal négocié
- '-'le gouvernement de Madrid au
des bases.
- .fait, avec quelque retard, Topt-
-. commence A réagir aux Avé»
iis d’Espagne, comme en témoi-
''-i nombre grandissant de lettres
cteura aux Journaux, les uns
.j’ iblBS, les autres — apparem-
. . une majorité — défavorables au
'ilsme- De même au Capitole,
; urs parlementaires ont . pris po-
, comme ie sénateur Stevenson,
jnseillent à M. Kissinger de
fldia la négociation de raccord
m de ne pas compromettre la
Mité de s’entendra ultérieure-
. avec fa gouvernement qui suo-
• n à fa - dictature actuelle ».
ur ie département d’Etat cepen-
, Tudllsabon dès bases espa-
èsr conridéréee comme indispen-
jw ni systàme de défense occi-
tal, conserva la' priorité, et ce
nt de vue, dH-on, est partagé par
autres dirigeants de - l’alliance.
Iles que «oient leurs réactions
. mouvements et aux pressions de
optofons publlquat respectives.
De notre correspondant
Mais les milieux officiels s'inquiètent
des réactions du Congrès si la situa-
tion Intérieure s'aggravait brutale-
ment Jusqu'à présent, en effet, le
contrôla du Congrès ne s'est pas
exercé sur -les relations américano-
espagnoles. Le premier accord de
.1953 sur les bases ainsi que celui
de 1870 ne lui ont pas été soumis
pour. ratHIcaGon par ta Maison Blan-
che. qui .a.. toujours fait valoir qu’il
s'agissait d' « executive egreemanta »
(conventions Intergouvemementales),
échappant & la compétence du légis-
laüT. Mais, déjà à cette époque, cer-
tains membres du Congrès estimaient
que r arrangement sur les relations
de défense entre les deux gouver-
nements était assez Important pour
être assimilé à un traité et, comme
tel, exiger l'approbation du Congrès.
Dans ce oon texte, on craint que
1e congrès démocrate, enclin A
réaffirmer soc rôle et ees respon-
sabilités concernant les grandes
options de la politique étrangère, A
demander que le nouvel accord
quinquennal lui soit déféré- sous uns
forme . ou sous une autre Pour pré^
venir l'initiative du Capitole, le
gouvernement envisagerait dé pré-
senter au Congrès l'accord -sous
forme d'une résolution conjointe,
dont l'adoption, à ce Stade, ne
sembla pas- foire de. douta/ D
affirme toujours que les dispositions
de raccord n 'Impliquent aucune obli-
gation des Etats-Unis de défendre
l'Espagne, co n trairement à ce que
soutiennent les critiques du régime
franquiste et le gouvernement de
Madrid lui-même. D’autre part. D
déplairait au gouvernement de Wash-
ington d'avoir & faire état publique-
ment d'étroites relations ds coopé-
ration avec r Espagne et . A - affi-
cher» ainsi son appui A un régime
décalé par la majorité de ees parte-
naires européens.
HENRI PIERRE.
• Le torero Manuel Sentiez
s El Cordâtes » a été blessé aux
jambes par une vachette le diman-
che 12 octobre, n s'entraînait en
prévision dîme corrida qu’il vou-
lait offrir Jeudi prochain, . dans
les arènes ds Madrid, an bénéfice I
des familles des policiers tués
récemment par ■ Mtrtmîntei
anti-franquistes. Ses médecins loi
ont ordonné de garder le lit pen-
dant un mois. — (A.F.P-)
• L’Association des rescapés de
Buchenwald-Dom, réunie en
congrès Tm.ttnwa.1 à Dijon, a .voté
une motion .de « solidarité au
peuple espagnol », dans laquelle
elle demande ait président de la
République, et an gouvernement
« -dé rompre toutes relations avec
VBspagne de Franco ». ’
Ligue arabe se réunifiât le 15 octobre aa Caire
pour examiner la situation aa Liban
-ttafze par» (la Ma uritani e, la Tanin». Qatar
ïgypfta) avalant accepté, lundi 13 octobre. !*
nfion koweïti e n n e de convoquer usa session
de la Ligne arabe au niveau des
des affairai étrangères pour examiner
. r n»Han au T.üi»n. La réunion* pour laquelle
■ ‘ jnth i donné son acc or d, doit avoir lieu mor-
au Caire.
S ‘ ' Beyrouth, le quotidien «AI Chark » (jwo-
. -, -fl a que ML Arafat assisterait ce
J «de fagon exceptionnelle» à la sixième
.réunion du « comité na ti o n al poux le., dialogue»
st lm remettrait un m é m ora ndum exposant
« objectivement le point de vue de TOiLP. sur
les relations llbano- p al esti n ie nne* de façon à éHr
wh'im 1 dans ravenïr .toute tentative d'exploi-
tation
Dans une interview au magasin» a méri c ai n
■ Newsweek». M. Tgal AUon. ministre israélien
des affaires étrangères, a déclaré que son pays
n’excluait pas une intervention, militaire sa Liban
en cas d/Suvasiou de ce pays par la Syrie.
routh. — Uhanimes A soûs-
&u cessez-le-feu. les Uba-
» montrent sceptiques quant
lances réelles dîme narma-
n qui leur permettrait de
*r après la demi ère flam-
; violences.
- accalmie est certes stena-
xüs samedi après midi dand
es points chauds, A Bey-
comme A Tripoli. Mais ân-
es problèmes soulevés par
•lncipaux antagonistes n’a
glé. le fait que les Syriens
accepté de parrainer une
ton « sauve-ifut-peut a de
x civile ne semble pas de-
ufflre pour convaincre les
i concernées de renoncer A
amhat.
Tait remarquer A ce propos
tm. RachM Kit ramé, chef
tvemement libanais, et Yas-
râfat ne pouvaient pas, A
uls, répondre du comporte-
de tous les combattants.
; Us l'ont fait Jeudi dernier
arm-t Quand le leader de aans et
*, ajoute- t-on. prend sur que les
> garantir l'application du Kansso,
-Ie-feu rio-Tia le camp pro- parti B
te, H. cautionne, en fait, la
des adversaires de la gau-
lai ont constamment sou-
lue le conflit oppœc, en.
es T.ihanRis aux Pal csta-
et porte plus particulière-
sur le droit de l'Etat de
rer son autorité sur tout le
ire libanais. Cette analyse
stée par lé Front des forces
Son chef, M. Katmai
lafet, a toujours insisté sur
ictère proprement libanais
ufcte tpn, selon lui, met aux
la classe politique au pou-
ratesiue par les troupœ de
les Kataëb (phalangistes)
partisans du changement
ai tés par la gauche,
ébat fondamental est coin*-
par les riTcggngions A lin-
de la résistance et par
i des adversaires du presj-
e I'OJjJP., regroupés dans le
arabe du refus, et qui se
lllés à certaines formations
jes de gauche,
divisions expliquent aussi
De notre correspondant
les discussions concernant une
éventuelle participation de l'OJLP.
A la conférence de la lègue arabe,
qui doit se tenir, en principe, au
Caire mercredi 15 octobre. Selon
r agence d’information palesti-
nienne Wafa, l'organisation dé
M. Arafat n’a pas encore arrêté
sa position A ce sujet. M. Kamal
Joumblatt, de son coté, s’est Inter-
rogé, dons une déclaration A la
presse, -sur l'opportunité dîme
participation palesti n i e n n e A un
débat de la Ligue arabe, cà moins
que celui-ci ne porte exclusive-
ment sur la crise intérieure liba-
naise et qtfü n'aborde surtout pas
les relations Ubano - patesttrciBn-,
nés », comme le souhaitent les
KataSb. C’est aussi Pqphnou. I du
mufti de J& République, le cheikh
TTajamn Kbaled, qui a soutenu
dans 6on prêche, a l’occasion de
la fête du Htr, que « fa* ValesU-
mens ne sont pas partie prenante
dans ce conflit, qui ne concerne
que les Libanais ». M. Assem
KansBO. secrétaire géné rai du
parti Base libanais (pro-syrien),
estime, quant A lui, que .«personne
ne doit s’immiscer dans les affai-
res intérieures libanaises et dans
tes relations Ubano-palesOnietmes,
à l’exception des Syriens dont
les intérêts et la sécurité sont
indissolublement liés à ceux des
Libanais, et inversement». . .
Beyrouth offre aux quelques
automobilistes qui osent s’y aven-
turer le spectacle de la plus
grande désolation. Le centre
comm ercial est A mc^tié Incendié:
Tjr forces de sécurité intérieures
— gendarmerie et .police — ten-
tent de démanteler les barricades
« échang eant * la démolition d’un
barrage -de sacs de sable « musul-
man » contre celle d'un autre
riarw ie quartier chrétien voisin.
Elles n’utilisent leurs bulldozers
qu’après l’accord des combattants
de chaque bord. Dimanche, il leur
a fallu parlementer pendant trois
heures pour c convaincre » les
responsables de l'un et l’antro
«w»p* Rumedi la .léconcDJatian
populaire darut le secteur de
Chlah ATn si Remmaneh avait
été nar r assassinat dlm
chef mülclea totaëb, M. Mazranl,
membre de la délégation chré-
tienne. qui venait de fraterniser
avec un groupe de c ombattants
musulmans. Le parti de M Ge-
mayel avait réagi aussitôt en
kidnappant wia rilwainw d’otages,
et avait refusé dé les libérer tant
que l’assassin du TF lfl<fft ‘ l>n phalan-
giste ne sa serait pas livré A la
Justice. ’ Si 'de fais Incidents
devaient *se répéter, on se
demande si les dirigeants politi-
ques dan* les deux camps
seraient encore capables de maî-
triser leurs partisans.
ÉDOUARD SAAB.
Alors que manifestations d'extrême gauche et
cfmtze-xuazdfestations se multiplient A travers le
pays, le gouvarn e msnt portugais parait de plus
eu plus incapable de rétablir r « ordre » et la
« discipline », que souhaite r amiral Plnbeizo de
Awvedo dans un» interview & « Time s. Dans une
communication au pays, le premier ministre de-
vait annoncer ce lundi soir des « mesures impor-
tantes ». B pourrai! no tammen t prqÿoaer que lé
président Costa G cm es abandonne la cBxection
des forces armées au profit du général Manuel
Franco Charnu, commandant de la réffîon mili-
taire de Coünbra, et qui a la réputation d'être un
« homme d'ordre » favorable aux « modérés ». La
nomination d'un chef d'état-major énergique a
d'ailleurs été réclamée une nouvelle fodi diman-
che par M. Sa Cameiro. dirigeant du parti popu-
laire démocratique.
- Sortant pour sa part du silence qaH avait
observé depuis sa démission, le général Gonçal-
Tu, ancien premier ministre, a déclaré au journal
belge « Hebdo 75 ■ z « SU n'y a pas un combat
décidé ds là pari des ouvriers, mus évoluerons
vers. la droite et peut-être le f ascisme . Peur nous
il n'y a pas 'd'alternative. Ou noue a v ançons tbxs
le socialisme ou c'est la fascisme. » A Porto, où
te calme est r uvenu après les violente incidente
du 10 octobre, les militaires d'extrême gauche
occupent to uj o u r s , depuis une semaine mainte-
nant, les b&timents du RASP (régime ni
d'artillerie lourde).
Lisbonne. — lies
se succèdent désonnais A un
rythme Jamais connu. Samedi
11 octobre, des milliers de mani-
festants ont exigé la fin des
« épurations à gauche », la réin-
tégration des « officiers progres-
sistes » an sein du Conseil de la
révolution et l'expulsion hors des
casernes des c mmabes réaction-
naires ». Cela s’est passé A Tor-
res-Vedras, vüJe agricole située A
40 Küomètres au nord de Lis-
bonne, mais aussi A Covanie-
Ptodade et A B&rrelro, importants
rp n i i -pM industriels de la banlieue
« rouge » de la capitale.
Dans tons les cas, ces manifes-
tations s unitaires » ont été
convoquées par les « organe* du
pouvoir populaire » r les commis-
si ans Ce quartiers et les co mm ia-
i siens de travaDlems. Prévues
dans le e docsment-guMe de Val-
Uance parple-MJ'JL », approuvées
au cours- de rassemblée du MJPVA,
le B JufDêt 1975, ces structures ont
connu un succès considérable.
Elles sont devenues des lieux de
rencontre pour un grand nombre
de militants de gauche, ' après le
nçpli amorcé par certains partis
— notamment le parti commu-
niste — pgndanfr l'offensive « mo-
dérée » du mois d’août
Actuellement les commissions
de quar tier s et les wimniinriiww de
travailleurs rassemblent l’essentiel
dîme opposition qui ne- veut pas
s’enfermer derrière des étiquettes
partisanes trop restrictives. Cette
stratégie est .visitée dans lé mani-
festation contre le sixième gou-
vernement présidé par JL’amlrai
Pinheiro de Azevedo.s Id, fl n’y a
pas de partis », entend-on très
souvent Des drapeaux 'rouges,
sans aucun sigie, sont tenus par
De notre correspondant
las « ouvriers, paysans, soldats et
marins », nouvelle définition
dîme « avant-garde » élargie.
Ce sont ég a lem e nt les c com-
missions » qui appellent A une
manifestation ce lundi 13 octobre
devant la mairie .de T4«hnwnft
Objectif énoncé par les organisa-
teurs : une plus large participa-
tion populaire dans les décisions
winwlriplf s. Mêla lft réactiOQ ÜB
s’est pas faite attendre. « On
s’apprête à livrer la mairie au
peuple », a proclamé, A CoXmbm,
M. Sa Carnelro dans un meeting
Et teïSr^^'gfai^Sduf^pS
a ajouté : « L’invasion de la mai-
rie qui se prépare est le premier
pas vers la reddition de Lisbonne
au prétendu pouvoir populaire,
qui est en fait dominé par les
communistes. »
Revenu à La tête de son parti
après quelques mois de maladie,
M. Cameiro est devenu rapide-
ment un des « leaders » politiques
les plus controversés. Dans une
conférence de presse II s’est dé-
claré favorable a la déclaration de
l’état - d’exception. Reçu par le
président de la République, il a
proposé la nomination immédiate
d'un chef d’état-major général
des farces armées, poste occupé
par le général Costa Gomes. Selon
lui, c’est la seule manière de ré-
tablir là* rtted|afwft au sein dés
forces armées.
En moins dîme semaine, le diri-
geant centriste a entre p ris une
véritable croisade anticommu-
niste, qui Ta amené A Porto, A
Lisbonne et finalement A CoSm-
bra. id, il dénonce les organes
d’information, responsables de .
« saper le moral de Ta nation »,
dans le but d’ c a t t aq u e r le sixième
go uv e rn ement, donner VAngola au
» P t » (Mouvement populaire de
libération de l’Angola), p et mettre
aux communistes d obtenir par la
violence ce qiVüs niant pu obtenir
par les élections et rendre possi-
ble le retour au pouvoir de Vasco
Gonçalves et de toute sa clique ».
Pour empêcher les manifestations
devant la mairie de Lisbonne. U
demande l’intervention des com-
mandants des réglons militolT»*
Ce ton « belliciste » ne pouvait
pas passer inaperçu. A plusieurs
reprises pendant la nuit de diman-
che A lundi, Radio-Club transmet
des extraits du discours de Colm-
bra, suivis dlm commentaire iro-
nique : « Sa Cameiro. Charais et
Pires Veloso (1) marchent sur
Lisbonne, étendards déployé*, pour
écraser Za comm un e. »
Une autre manifestation devait
se dérouler, ce lundi, A moins de
20 kilomètres de t asbonn e lm
moradores de Oeiras protestent
contre la mesure d’éloignement
qui risque de frapper le comman-
dant c progressiste » de la caserne
située dans cette ville de la ban-
lieue.
JOSÉ REBELO.
(1) On deux derniers ecmt les
” w "TUiTirtantn des réglons militaires
respectivement du centre et du nord
du pays.
PROCHE-ORIENT
WASHINGTON AURAIT DEMANDÉ A ISRAËL DE LUI SOUMETTRE
UN PROJET D'ACCORD INIÉRIMAIRE AVEC LA SYRIE
Le gouvernement américain
aurait demandé A Israël de lui
soumettre, d’ici . A novembre, un
projet détaillé ■ d’accord intéri-
maire avec la Syrie, a rapporté,
dimanche 12 octobre, de corres-
pondant politique A Jérusalem
du Journal Haaretz. L’administra-
tion américaine Insisterait sur
ruzgsnce d’un tel projet, afin de
prévenir l’éventuel refus par le
président Assad du renouvelle-
ment du mandat de la farce des
Nations sur le Golan, qui
expire 1 b B0 novembre.
Toujours selon Haaretz, ce pro-
jet pourrait servir de base & une
négociation, no tammen t sur le
retrait qu’envisagent les israéliens
dans le Golan, et sur les demandes
de l’Etat Juif en contrepartie.
De son côté, M. Rabin a affirmé
dlmapc.be soir, au cours d’une
r Ar m irm A- JÊTUSSlem, que la
Syrie, l’OJLP. et « peut-être aussi
VUJLSJ5.» essayeront de saboter
l’accord Intérimaire Israélo-égyp-
tien.
D’autre part, selon TA-FJ?., les
plus Impartants notables chré-
tiens de Jérusalem-Est, de Beth-
léem, de Beït-Djala et de Beït-
Salur, localités ds jordaniennes r
-situées au sud de Jérusalem,
étudient la possibilité de deman-
La psychanalyse
peut-elle enrichir la
connaissance
historique?
SAUL
FRIEDLANDER
HISTOIRE
ET PSYCHANALYSE
?rs H r>:or ■c.iue
der la création dlm e canton
chrétien » en Cisjordanie. Cette
r ég i on, d’une siiperficiB de quel-
ques centaines de kilomètres car- 1
rés, est peuplée de quatre-vingt |
mille' chr ét iens. Ce. projet est la
conséquence directe de la situation
au Liban, les notables craignant
pour la sécurité des chrétiens en
cas de rétrocession de la Cisjor-
danie A la Jordanie; — * (ASJP^
uæi„ AJ>, Reuter.)
• L’association En marche vers i
l’harmonie lance un appel aux
chrétiens. Juifs et musulmans du
monde entier. « Les appela à la
guerre sainte, d’où qu’Os vien-
nent, doivent être à jamais ban-
nis. Les principes de non-violence
sont inscrits dans les doctrines
fondamentales de chacune des
réligtcm », dit M. Guis, fondateur
de cette association, et le rôle du
chef religieux, prêtre, pasteur,
Tirm.n , est d’enseigner le principe
de toute religion : « Tu ne tueras
point. »
★ Association En murcJui vers
TUumoale, KL, passage Jonfiroy,
75009 Palis, ta. : 824-S6-73. '
Dans une infemew à «Time»
« NOUS DEVONS TENIR
UN MOIS DE PLUS »
déclare
Tamiral Pinheîro de Azevedo
New-York Reuter). — « Le
rétablissement de la discipline
müttatre est d'unie importance
fondamentale pour le, Portugal,
rü ■ veut avoir une . Quelconque
autorité et un gouv e r n e m e nt »,
a déclaré ie président du conseil
portugais, 1’amiral José Pinheîro
de Azevedo, dwrw nne int erview
accordée à l’hebdomadaire amé-
ricain Time.
Dans cette déclaration faite la
semat ne dernière A Lisbonne, le
président du conseil portugais
affirme notamment quH est
encore trop tôt pour prédire com-
bien de temps son gouvernement
durera, bien que, selon lui. 11 soit
engagé dans la bonne direction.
- « Si nous attendons plus d’une
semaine, la discipline müttatre
peut S’effondrer tout à coup,
ajoute- t-i! Si notre armée
s’effondre, nous tramons pha
d’armée, et ensuite nous n’aurons
pha de force, et après ü n’y
aura plus d’autorité rd de gou-
vernement.»
L’amiral Azevedo affirme ne
pas être sûr que les dirigeants
communistes soutiennent ferme-
ment son gouvernement, en dépit
des nombreuses conversations qu’il
a eues avec eux. H ajoute : « Si
je peux gouverner mon pays un
mois de plus dans ces conditions,
je sms pratiquement certain que
les relations entre nous et les
Etats-Unis, ainsi que PEurope,
s’amélioreront Mais nous devons
tenir un mois de plus. »
A TRAVERS LE MORDE
Chili
240 D.ji';o? 35 f
i WASHINGTON ET LE RES-
PECT DES DROITS DE
L’HOMME. — Les Etats-Unis
ont fait savoir au gouverne-
ment cfrfUen, affirme le New
York Times dans son numéro
dn 13 octobre, qu'ils n'assiste-
raient pas A une éventuelle
assembles général de i*rvn a
A Santiago dnrChüi si la Junte
refusait de coopérer A une
enquête Internationale sur le
' respect des droits de l’homme
an Chili. — (AJ? JP J .
Kenya
* _ .
.LIBERATION DE L’EX-
MDUISTBB DE L’INFORMA-
TION. M. Richard Achleng
Onefco, ancien, secrétaire du
président Jomo.- Keoyatta et
ministre de l’information, lors
de l’accession & l'indépendance
du Kenya, a été libéré après
six années de détention.
Mozambique
DETENTION ABUSIVE î —
Un journaliste sud-africain
résidant à Lonrenco-Maraues
depuis 1974, M. Christian Van
Der Merwe, est détenu depuis
quarante-quatre jours dans la
capitale du Mozambique bmm
qu’aucune action Judiciaire ait
été engagée contre lui. révèle
le dimanche a octobre le Sun-
day Times de Johannesburg.
Rhodésie
QUI EST RESPONSABLE DE
L'ECHEC DES NEGOCIA-
TIONS ? M. lan Smith, pre-
mier ministre rhodésie n. a for-
mellement accusé, dans une
interview accordée A une chaîne
privée de télévision britanni-
que, M. Vorster. premier mi-
nistre.su d- africain, d'être
responsable de l’échec des né-
gociations engagées aux chutes
Victoria, en août dernier, pour
régler l’avenir canstitntiannel
de la Rtaxiésie.
Selon M. Smith, un accord
était en vue entre le gouver-
nement de Sallsbury et l'évê-
que Mnzorewa, leader du
Conseil national africain
(AN.C.), lorsque l^nburentlon
de M. Vorster a tout remis en
cause. De son côté, M. Vorster
a réagi, dès dimanche, en dé-
clarant QU’A avait du mal A
croire que son homologue rbo-
désien puisse lancer de teJTes
accusations contre IuL —
AJ>J
f
Page 4 — L£ MONDE — 14 octobre 1975 • • •
EUROPE
Turquie
AUX ÉLECTIONS SÉNATORIALES
Le parti de VL Ecevit
marque une progression spectaculaire
Lh élection» pour le xenoirrallain«at d'tm tiers du sièges de
' sénateur*, qtri n «xnl déroulées dimanche 12 octobre en Turquie,
sont nnn victoire pour le Parti républicain du peuple CPJLP.), le
grand parti d'opposition. Des heurts violents se sont encore produits
dimanche, & Ankara, à la sortie d'une ré unie» par le chef du
PJLP. Du groupes de snentiestants se sont heurtés à la police qui
a tiré. On compte un mort et trente-deux blessés, dont douze parmi
lu forces de l'ordre.
De notre correspondant
AVANT LE VOYAGE DE M. filsrARD D'EST A ING EN_U.R.S
Le P.C.F. souligne qu’il défini
sa politique en toute mdépendan
DES DIVERGENCES SUBSISTENT
Ankara. — Ea la
publication des résultats défini-
tifs, le Parti républicain du
peuple parait sortir vainqueur
des élections sénatoriales partiel-
les du dimanche 12 octobre. 11 a
été nettement soate n n par Télec-
torat des grands centres urbains :
T<ifa»whHT t Ankara, et Adaxta. Le
parti de M. Ecevit, non se u l em en t
améliore sa moyenne
(entre 40 et 45 %) contre 3%3 %
aux élections législatives d’octobre
1973, et II verra passer de 7 &
75 au nw<nii le no mb re de
sièges sénatoriaux quH détenait
Selon le Journal Tereuman, sur
54 sièges sénatoriaux à pourvoir,
le Parti de la justice obtiendrait
27 sièges, le Parti républicain 25,
et le Parti du salut national 2,
Les antres Journaux sont, eux,
moins catégoriques. Ds estiment
que les deux formations sont &
Belgique
M. HENRI SJMONET, vlce-
ident de la communauté
européenne, aban-
donnera ses fonctions au
Marché c ommun en février
1976 pour redevenir bourg-
mestre <T An derlecht, n*i« des
principales c omngn es de l'ag-
glomération bruxelloise. H
fera aussi sa rentrée h la
Chambr e des représentants. —
(CorrespJ
égalité, 25 sièges & chacnnp, et
1 au Parti du salut national. Le
dépouillement n’est pas achevé
dans trois circonscriptions.
I Parti de la justice de
M. Demirel, qui avait 33 séna-
teurs sortants, a limité les
dégâts. Les petits partis de
droite saut les grands perdants.
c C’est le 1 retour au bipar-
tisme », notent les observateurs,
pour lesquels la consultation
révèle avant tout un besoin de
stabilité.
D'autre paît, la forte poussée
du Parti républicain ne s’est pas
tellement traduite dans la distri-
bution des stèras sénatoriaux,
puisque dans la majorité des
départements où les deux prota-
gonistes étalent en lice U n’y avait
que 2 sièges sénatoriaux à
pourvoir. Ainsi le système pro-
portionnel en vigueur devait logi-
quement favoriser aussi le deu-
xième grand parti.
Le chef du Parti, républicain.
M. Ecevit, a déclaré dimimn>tt>
soir aux journalistes que c le paye
a démontré qu’il souhaitait voir
le parti républicain an pouvoir ».
Dans son entourage, an remarque
que le FAP. rymfrh’iqft sa p er cée
électorale, ce qui prouve que le
résultat des élections législatives
de 1973 n’était pas « accidentel ».
« Notre avance ne peut plus être
imputée à V éparpmêment des voix
de la droite : if. Demirei en a
retrouvé, or nous menons tou-
jours », a f fir me- t-on.
ARTUN UNSAL.
Tchad
Les premiers éléments français repliés
arrivent à Hyères
L’évacuation des forces françai-
ses an Tchad a commencé diman-
che 12 octobre. Les premières
unités de l’« escale française
t f Afrique centrale » basées a
ND j amena et leurs fairrfflRs arri-
vent ce lundi à la base de Hyères,
d'où elles seront acheminées 'vers
la caserne Qrigoan de Toulon.
L’évacuation devrait, conformé-
ment aux exigences tchadiennes,
être achevée Du octobre.
La radio tchadienne a poursuivi
pendant le week-end ses attaques
contre la France, accusée de s’etre
livrée à une «manoeuvre» en
demandant à la Croix- Bouge
internationale d’intervenir. Celle-
ci a été officiellement informée
samedi soir du refus de NDJa-
mena d'accepter cette proposition.
M. Julien Maraby, porte-
parole du Mouvement démocra-
tique de rénovation tchadienne
(11D2.T.), nous* a fait parvenir
les précisions suivantes & pro-
S a de l'affaire Claustre : « Le
JDJ5LT. respecte le choix de la
lutte armée fait par les patriotes
tcltadiens _ L’affaire Claustre n’en
est pas moins utilisée actuelle-
ment pour camoufler le mécon-
tentement populaire à Tégard de
la politique du gouvernement mOir
taire tehadien. »
Un article de « l'Express »
L’hebdomadaire fSzoras. dama
son édition datée du lundi 13 octo-
bre. publie un article
l’affaire Claustre et un
selon lequel 44% des personnes
interrogées « désapprouvent la
manière dont le gouvernement
f ranç ais a mené son action ». 51 %
estiment que la France une doit
pas céder au chantages. L’hebdo-
madaire publie la leste du maté-
riel livré par Paris aux rebelles,
ainsi que rtw armes qu'ils
ont en vain demandé. H fait état,
d’autre mit, d'un certain nombre
de s révélations s.
Ainsi, le gouvernement
se serait opposé aux lnitl
privées visant à faire livrer des
armes à M. Hlssène Habré. Fin
août, le photographe de l’agence
Gamma, Raymond Deparùon,
mandaté par Pierre Claustre,
détenu par le chef rebelle, n’au-
rait pu obtenir une entrevue avec
U. Giscard d’Estalug. Le 26 sep-
tembre, « les amis de Pierre
Claustre» et son frère, pharma-
cien & Libourne, qui avaient
affrété un DC-3, auraient « trouvé
un cordon de CJRJ3. autour de
l’appareil» prêt & décoller de l'aé-
roport de Toulouse.
L’Express décrit également en
détail la manière dont M. Pierre
Claustre aurait été abusé, en juin,
par deux «marchands d’armes »
de Bordeaux dont l’hebdomadaire
donne les noms.
(State de la première page)
Les Soviétiques ne se font
nas ceoendant beaucoup dTHu-
sians & ce sujet, et se contente-
. raient sans doute (Tune appro-
bation officielle de la proposition
soviétique in Téunion
d’une conférence mondiale sur le
désarmem ent.
La jvydMmr frfmgntw est quel-
que peu différente. Soit, dit-on en
substance à Paris, tirons les
conclusions d'Helsinki, mais
thuns-les toutes et n'oubBans pas
d’étudier les questions qui relè-
vent de la « troisième corbeille »,
c’est-à-dire le libre-échange des
idées et des hommes. C'est là où
le bât blesse les Soviétiques. H
est eTHyif ft 1i» jin grih?A de riir i» Jus—
qu'où Ils accepteront d’aller dans
ce domaine.
Ces problèmes, en tout cas, ont
le dnn de les 1 » Hiyr considérable-
ment. VBe crispés. Os pratiquent
une stratégie offensive. C’est ainsi
que la France est accusée, dans
les concertations «pmf - nffiMsiTgg ,
de n’avoir pas rempli le premier
des engagements contractés à
™*inH £ savoir la publication
intégrale du texte des accords
dans la presse. Vient en général
use attaque es règle centre la
presse française^ alors accusée
rinnn Je moTTIorrr des d’être
« négative » et, dans le pire, de
sombrer dans 1*« antisoviétisme ».
Enfin, le troisième volet du trip-
tyque co mp o rte un rappel des
déclarations antte am mura n tes et
antisoviétiques de M. Ponia-
towski.
Ces préoccupations se retrou-
vent en fiii grw.no rimn les articles
publiés avant la visite de M. Gis-
card d’Estaing. Es volume. Us
saDDartent parfaitement la com-
paraison avec ceux qui avaient
précédé les- autres sommet»
franco-soviétiques. Le ton,
cependant, est beaucoup plus
réservé. L’amitié et la coopéra-
tion franco-soviétiques sont cer-
tes célébrées comme un •Htnoi,
mais mention est faite mainte-
nant des voix discordantes qui
s’élèvent en France, « des appels
criards », qui s'élèveraient main-
tenant c pour imposer à rUnion
soviétique une sorte d’examen de
passage ». Cette dernière expres-
sion est d’un diplomate soviéti-
que, spécialiste des affaires fran-
çaises, M. Vladimir Kellne, qui a
consacré un long article à la
visite de M. Giscard dTSStalng
rfpng je .dernier numéro de la
IÀteratoumaya Qazeta. La nos-
talgie avec laquelle M. ' Keline
évoque le souvenir du général de
Gaulle est tout & fait agnlfica-
a Hache toujours une grande im-
portance à la consolidation et au
développement des relations
franco-soviétiques ». Le même
ar t i cle comporte une
citation- dû sénateur c ommuniste
M. Georges Cognlot, qui s’en
prend & s notre presse bourgeoise,
qui vta mime pas publié le docu-
ment àTHelstnkt, Ta caché à ses
lecteurs et qui, maintenant, sème
le pessimisme et le scepticisme
quant aux principes enregistrés
à Helsinki ».
Des liens privilégiés
H y & eu, de la part de la
Pravda, une entorse évidente à
la pratique soviétique qui consiste
A ne pas confondre les relations
d’Etat à Etat, celles de peuple
à peuple et celles de parti commu-
niste à parti communiste. Cer-
tains officiels soviétiques ne nient
pas, cm privé, la réalité de cette
entorse. r&BoeHexït cnit ce
sont les Français qui ont les
premiers violé r « obligation de
réserves . On se souvient encore,
Id, Hpw rifelaiwMmw BnHwiirmn .
nistes qu'avait faites M. Chirac,
lors de sa visite officielle en
Union soviétique an mois de mua
dernier—
Ces Ombres et ces r feHwinatlnnii
ne signifient pas, répétons-le, que
les relations franco-soviétiques
traversent une crise. la France
et l’Union soviétique ont toujours
intérêt à- préserver ces liens pri-
vilégiés forgés depuis une dizaine
d’années. Mnis les formules incan-
tatoires n’ont pas de pouvoir
magique. C’est peut-être ce dont
on va se rendre compte au cours
des Jours prochains & Moscou.
JACQUES AMALR1C.
Le bureau politique du P-C-F-
a le 10 octobre une décla-
SaoT- publiée lundi 13 par
VHitmanité — à propos du voyage
de M- Giscard d'Bstalng en Union
SK ï- §S£^
livré à « «ne grossière provoca-
tion » en annonçant publique-
ment son intention de demander
à M. Brejnev de faire pression
sur les communistes français pour
quUs modifient leur politique. Le
premier ministre, ajoute le P.C*
« avait ensuite confirmé avoir
effectué cette démarche sans Que
ses propos soient l’objet (Toucans
réprobation publique du côté so-
viétique » (1). Pour le bureau
politique, « cette manœuvre de
politique intérieure réalisée à
partir (Tune capitale étrangère
■sOustre la volonté des dirigeants
français d’utiliser la détente et
la coexistence pacifique pour ten-
ter de consolider le pouvoir du
grand capital dans notre pays a
Le P.C. tient & préciser sa
position sur la coexistence paci-
fique : « Le parti communiste
français ne saurait en aucun cas
considérer la coexistence pacifique
comme le maintien du statu quo
social et politique. Il ne saurait
en aucun cas abandonner ou
même affaiblir sa lutte pour
substituer le plus tôt possible au
pouvoir actuel de la grande bour-
geoisie un gouvernement d’union
démocratique, mettant en œuvre
la poli tique nouvelle définie par
le programme commun de la
gauche. »
t j* parti communiste conclut r
« La lutte contre le pouvoir de
Giscard d’Estaing est d’autant
plus né ces saire que le»
dominants de sa poUUque
Heure sont : Ttntégraüo s d
en plus poussé: de notre
dans le bloc politique et vd
ouest-européen et atbmttqu
miné par les Etats-Unis,
Obstine du désarmement, b
pérofion étroite avec tout <
le monde compte encore de
mes fascistes et rodâtes. »
Le P.C. conclut : « Les
ils des grands pays c
y compris 2e pouvot
cardien. prétendent ouvert
s'arroger te droit Watt
directement dans les affab
peuples, de leur dicter leur
politique. Ils exercent des
stims inadmissibles, coau
montre leur attitude cas
Portugal. Le parti cornu
français s'élève avec force
de telles prétentions, n
lui-même sa politique ea
indépend ance, s
(1) AU COU» dfl K» 707
U.RA.3.. M. Chine avait a
aux Journaliste* qui rie
gnaieat qu‘ 11 avait l'Intention
quer avec U. Brejnev la « .
diction » existant entra l’Scoi
par les communiât»» sur la q
d’une défense indépendante
orrenalve en vue de « saper la
de cette défense », notamnu
leur action au sain de I
M. Marchais avait répliqué :
manque à la foli d» dignttl
sérieux ». M. Chine avait
ofClcieUemeat démenti avals %
l'Intention qu’on lui prêtait
après son entretien svee M.Î
tout en refusant d’en oen
publiquement le contenu, 1
confirmé, par la même *
« confidences » aux Jour!
avoir abordé la question
versée (« le Monde » daté S
des 23 et 28 mars).
tive de l'état d'esprit qui régne
parmi le» dirigeants soviétiques.
Mention éiogieose du P.CF.
De même, alors qu’il était
d'usage par les commentateurs
soviétiques d’oublier, & l’appro-
che des «sommets», Inexistence
du P.GF., tous les articles publiés
ces Jonre-ci comportent au moins
use mention étegleuse de ses
activités e t parf ois même un
rappel du programme commun.
Prenons l'exemple de la Pravda
du 10 octobre dernier. Da-n^ un
long article, destiné théorique-
ment à célébrer les relations
franco-soviétiques, Il est annoncé
que « la lutte de classes s’mten-
sifie en Fronces, où «des grives
et des manifestaions ont Heu tous
les jourss. Hommage est ensuite
rendu au parti communiste. « qui
a toujours défendu Vidée de
l'amitié du peuple français et du
peuple soviétique qui a attaché et
L’augmentation du déficit commercial à l’égc
de la France préoccupe les dirigeants soriétigi
La visite de M. Giscard dTslaing à Moscou
devrait erm-nmr lies à use mise an point das rela-
tions économiques franco-soviétiques. Deux
accords-cadres de coopération an contenu rela-
tivement vague doivent être signés, l'nn portant
sur l'énergie, l'autre sur la construction aéronau-
tique et l'aviation civile. LTJJL&S. souhs
è ce sujet que soit envisagée la concept!
commun d'un avion civil de l’avenir, ce «
parait guère susciter J W1 iw»iImim du
responsables français.'
■ Le t*mp* d a s proclamations
triomphales parait; en tout cas,
révolu. Le montant global des
-commandes soviétiques à la
France aurait dû, selon les offi-
ciels français lors du voyage, à la
fin. de mars, en UJRJ5JS. de
M. Chirac, a t t eindr e 13 milliards
de francs. Or, pour les neuf pre-
miers mois de cette année, le
chiffre n’est que de 1,8 mlWatfl
de franr-w.
Certes, rien n’est enedro joué.
H reste encore trois mois pour
améliorer ce résultat, d’affienrs
non négligeable, et on sait que les
visites officielles donnent en gé-
néral naissance & des contrats
arrivés à maturité. Après une pé-
riode de ralentissement très net
au cours du premier s emestre de
1975 des affaires conclues n'ont
représenté qu’environ 65 millions
de' francs) deux contrats
tanta ont
Spelchim a conclu, le 10 octobre
à Moscou, un accord de 280 mil-
lions pour la construction, d'ici
cinq ans, d’une usine d’alcools
gras & Oufa dans l’OuraL Par
ailleurs, la firme Entrepose de-
vrait s igner, oette un
contrat d'environ 1 milliard de
francs pour la fourniture de tubes
et des équipements annexes des-
tinés à la conduite d'ammoniac
qui. sur plus de 2000 kilomè-
tres» doit relier Togliatti et
Odessa. E nfin , deux autres af-
faires semblent arrivées & terme :
l’une concerne la CJJ. pour la
réalisation d’une usine de cir-
cuits Imprimés (350 à 400 mil-
lions), l’autre Intéresse Vallon-
née pour la livraison de tubes
(400 a 500 mimons). En revan-
che, la- construction
à ’ Moscou
d’un hôtel de luxe (700 mfiHp pw ,
> deux contrats Impor- ^ S*. tijrayl-
été signés, run en JuS- 80
Kshnlp, pour la désuLfn- beurt^alt àdes dlfflôiltés liées
le*, par Techulp, pour la désulfu-
ration du gas d^Orenbourg «e
(960 millions de francs), l’autre
en septembre par Creusot-Loire,
pour le séchage du gaz (560 mil-
lions).
Avant Taxrlvée de M. Giscard
d’Etaing, la. société française
«Nous aurions aimé que les partis communistes
européens examinent ensemble la crise
des pays capitalistes», dédare m. tuai»
L’Humanité publie. lundi 13 octo-
bre, une interview' de M.. Jean
Kanapa, qui dirigeait, à Berlin, la
délégation française à la réunion
préparatoire à uns conférence des
40.000 exemplaires en 15 jours.
NOUS SOMMES VOS FILS
Michaël et Robert partent-
a Avec plus rte cent lettres inédites dû Julius
etEtheL
1 voL 43^F
Morton SOBELL
ON CONDAMNE BIEN LES INNOCENTS
lettre préface de Robert Merie.
18 ans de prison pour avoir été l’ami dé Julius
etEthel.
1 VOl. 39.-F
L’AFFAIRE ROSENBERG
Editions Sociales/ Editeurs Français Réunis
Editions Hier et Demain
EN VENTE TOUTES LIBRAIRIES
et kiosques <fo gares
partis communistes - européens.
M. Kanâpa estime que 1a conférence
devrait pouvoir «a tenir •dons un
délai très rapproché». Il rapparia
que- le contenu de la conférence
eara limité aux problèmes de la
paix et de la coopération. II ajoute :
* Pour ce qui est. an tout csa, de
notre parti, nous ne saurions accep-
ter de laisser entendra que notre
lotte es réduit désormals k faction
en faveur de le - coexistenca paef-
fique, en faveur de la misa an
ouvre des décisions ’ dVfeisInld.
» La- coexistence pacIBque ne
saurait Impliquer le maintien du
statu quo socal et politique, c'est-
à-dire très concràtemeqt le maintien
du régime du grand capital dans
cette partie du monde, avec la crise
où II Jette toute Ta société, avec sa
politique antisociale et antidémocra-
tique. C’est pourquoi [ nous aurions
aimé que nos partis procèdent aussi
ensemble è une analyse sérieuse et
approfondie de /a situation ■ en
Europe, de la crise grave ■ qui
affecte les pays capitalistes, des
hâtas des travailleurs pour Ja démo-
cratie et fa socialisme , das possi-
bilités de large union 'des forces
démocratiques. Car nous mutons la
paix, mais noua voulons aussi le
socialisme, avec les caractères spé-
cifiques qu’il revêtira chez nous.»
« Les choses étant - ce . qtf atlas
sont, dit encore M. Kanapa, voua
prenons naturellement acta du désir
de nombreux autres partie quo le
document préparatoire de la confé-
rence ee limite plutôt, aux objectifs
que fai évoqués. •
contrat en litige, on aboutirait
ainsi, si tout marche bien, à un
montant de commandes, depuis le
début de 1975, de quelque 4 mil-
liards de francs, à comparer aux
6A milliards de 1974, aux 2 mn -
lurtis de 1973 et aux '2^ milliards
de 1972.
Ctest loin d’être négligeable.
Ces prévisions Inquiètent d’ail-
leurs ■ les Soviétiques, dan s te
mesure où l’exécution de ces
oontiala d'éq uip e men ts et d'en-
sembles industriels creuse leur
déficit commer cial. & l’égard de
PaxfctFour les huit premiers mois
ae cette année, les exportations
«uncalæs ont atteint environ
3 mUüaiüs de francs, en progres-
aton de 68 % par rapports lâ
nMbne_ période dei974, et les Im-
portations 2 milliards, en ha n« »
se-ufement de 12 %. Le déficit
s’élève A environ 1 ' milliard et,
PS 01 l’année, atteindrait
L5 milliard ; il avait atteint 340
militons, en 1974 et 620 miiUftrwi
en 1973.
aurait pour effet de rédu
façon substantielle — de ;
dit-on à Paris — le défi
l*P AS ,a. U ne faut pas ne
oublier qu'à la suite des o
signés récemment par 0
France les livraisons d
soviétique s’élèverait en
4 min lards de mètres eut
an (2Æ mi l itan te de 1976 .
plus 1,5 m i lliar d ensuite).
Une autre façon de zésa
déficit soviétique serait de
ter une partie de la prod
d'usines construites en O
pa r la F ranc». Ce système
< compensation » — tant
deme du troc — forïcüonn
pour certains produits cœr
cellulose, le styrène et le.--
tyrène. Les Soviétiques sot
demandeurs, et l'affaire e
centre des délicates négod
menées actuellement eut
société Pechlney- U^ne-
nn»ti gÿ Moscou pour la
traction du complexe géant
mine et d'aluminium d’une ^
d’environ 12. milliards ét i
Au départ, les
posaient le rachat par
lingots d'aluminium brut,
montant aurait correspanebL
annuités de reznbouxsemen y 1 31
crédits consentis par 7 la-^^ «».*
pour la conttruction de
L’opération serait en effet
cée par 1 les banques frai . .
raison de 85 à 90 %, à W\.
crédits accordés au taux de
7,5 % sur huit ans et-.dem
fait, 11 serait impossible date
sur le marché français la ou
d’aluminium «.inid cachetée..
Dans ce genre d*opératioç
correspond au caractère pu
de l’économie soviétique, U
trouve l’Intérêt d’obtenir
garantie d’écoulement dtel
le réseau «wiTriA»T»j% i des fl
françaises et d’éoononjiss
devises. Four la France, les »
tages sont moins évident
court tjwmw. q s’agit bleu (fi
cher des contrats rians ns
où les c o nc urre nts ocddec
sont coriaces et ont déjà u
le s^tème de la compriMStic
est clair que la ccsielusiar
contrats Impartants permet •
de faire tourner les
d’éviter une aggravation an
mage. Toutetfols à long
tels engagements peuvent e
L’objectif du doublement des
Jktone» û^co-sottêtiqttes pen-
P&iode quinquennale
1970-1971 a bien — en partie du
dépassé ; 2,5 milliards
«i 1970, b mil liar d s l’an dernier.
ju est maintenant question de L r
tripler les échanges' entre 1975 et ,snr Ie marché national, s
1979 — les exportations de Parte rachat de quantités trop »n
^Moscou n-cuit toutefois re-
en 1974 que 1,4 % du
total des vente» françaises, et
tes importations de produits so-
% "diT* total d£
S&fa pour atteindre cet
a laudratt rééquilibrer
ies raatioms commerciales entre
ies ceux pays. •
de t
^aït r «Mer dans une augmen-
.{?PortatlonB fran-
pétnne. Après avoir
atteint 3Æ m OUo n a de tonnes en
ceHesrd sont tômhfes. en
tentes est garanti.
H est,
nlr des formules plus
rachat n’étant pas t--r ..
effectué sur les xsodxou
l'objet du contrat, comme «J
fait avec d’autres pays,
par eranple la Bulgarie o*
d’ammoniac contre chano»
valeurs). Mais, fauta de 8“
fou, les cçératlons dû «J
peuvent, si elles se muWPg • -
être dangereuses, les iflrtn? \
se liant en quelque. \
mains, n s'agit donc de
ner un seuil, le rachat
8004 -tombées, «* u« m
raison au niveau des prix sovié- représenter entre 80 % et
e^^uS 0000 tonnes en 1974, du montant du contrat.
V mmï™ 1 _ rein oiïter à environ les Soviétiques voudraient
tonnes en' 1975. des accords Hés, W
J5J 8 * 11 serait question — et do racheter les produites^*?
mbnSÎÎ ^toWent do la Ré- les Français souhaiteraient te^
SfSSi 68 Panait abou- en œuvre d’une formule b»
tonnes, ce qui
MICHEL BOTE* *
r
/
t
s’-
il
y
LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 5
EUROPE
"'""U,. S
L'U.R.S.S. DE LA MATURITÉ
«id,
de 2a première pagej
:oîrîmercialjj
dirigeants '
:,'n. n moins significative est la
' J v îstmction de Tachkent» capl-
d e la république. durement
. ■‘ ■ 'jvée en 1964 par un tremble-
■. de terre qui ne fît, paraît-il,
: . ^‘ > .. 2 neiQU£s dizaines dé victimes
‘•V détruisit des milliers CTha-
‘ r- >1 qzu> Prise en main par l’Etat
v ':tiqne, avec la détermination
.. sait affecter aux projets
C'italres, elle a été menée tam-
’ ,V. battant dans un esprit de
; nationale.
te ses avenues plus larges que
' >• ■'.} de" New-York, avec ses bâti-
es publics dont le sage moder-
8 -s’accommode & l’occasion de
- mtelle de béton des écrans -
*■ -tionnels . — les panfaras —
■ :'nés à protéger les façades de
. . ÿ-isante chaleur, sans guère de
"’-ü de l'esthétique- stalinienne
-. J:/ ; je pompeux ennui accable
7 de nobles cités, avec une pro-
h de v e rd ur e qui justifie, au
de la steppe, une consom-
. . 7 ."" pn d’eau atteignant 500 litres
. ; habitant et par jour, Tach-
: a vraiment belle allure dans
-J; amble, même si l’allocation
• ^agemfmt — 0 mètres carrés
' 'Vpersonne — y est particuliè-
7 1 -nt sévère, si la circulation
. .‘.-mobile est encore dans ren-
. », et si les restaurants, en
de celui d’un palace déjà
U par les touristes» parais-
en nombre outrageusement ■
é. La propreté des rues, quie
pourrait itd envier, leur
- rité, la disparition à peu près
: jjète des .gourbis traditlon-
l’absence de mendicité, sont
xaits trop exceptionnels dans
* i partie du monde pour qu’on
ss relève pas. Mais il en est
qui ne sont pas moins
jriants pour la eompxëben-
Os lTTJtaS. d'hier, tfau-
[tod et de demain. .
y a ifabord la distance.
' ' iojomÆbai, il faut encore trois
~'’rs de train pour aller de la
’ soviétique à celle- de
uzbebdstan. Le bon vieux Byou-
■ r 'me 18 , à trabopropulseuis, qui
te l’un des appareils les plus
Usés, met fadlmant cinq heu-
pour joindre les deux villes,
.iais-si, vue- de Paris, l’Asie
J/a Je est un peu au bout du
. jde, éüe est presque dans la
— .eue de Moscou au regard de
-^tance plus de deux fois supé-
'B qui la sépare des rives tant
- - rques que pacifiques de la
■ rie. B y a trois géants sur
terre, c’est une affaire en-
;ia ; mais le Gulliver sovlétl-
'estpius grand que ses ri-
' américain et chinois, réunis,
•".les territoires ont une super-
. vqirine. Ce n’est plus un
pays, c'est un mcmda. Ce qtfeUe
y gagne en sécurité, puisque l’es-
pace en est, à notre époque ato-
mique phÉ qu’à toute, antre; un
constituant fn fuiMnw^i, iTJnlon
soviétique- doit le payer en équi-
pements : la fréquence du pas-
sage des trains,, les théories ûè
poids lourds qm encombrent des
routes aux gabarits encore Insuf-
fisants, l'amoncellement des
avions de toutes tailles sur le
moindre aéroport» en disent long
sur ce que représente le problème
des eomrriTir rt^nWfiTHi rtarm cepajS.
qui doit en outre braver, à plus
de 100 degrés centigrades de dif-
férence; tous les extrêmes de la
météorologie.
Les dimensions topographiques
ne sont pas seules à faire -de
1TULSJ3. un monde en soi : il
y a l'extrême diversité des popu-
lations, dont on prend déjà va-
guement conscience à Moscou en
regardant la queue interminable ■
.qui se presse depuis des décennies
pour défiler devant le mausolée
de Lénine, aujourd'hui vidé de la
dépouille de son successeur.
A part les Noirs, toutes les races
se croisent dans les rues de
Tachkent :.ces hommes aux faces
rectangulaires surmontées d'une
petite .calotte noire et blanche à
quatre . pans, ces . femmes . aux
longs cheveux noirs tressés et aux
robes de sole à ramages, ce sont
des Ouzbèks, en principe les maî-
tres des lieux. Mais au milieu
d’eux, combien d’antres Turcs ou
Iraniens de diverses souches,
gmafths, ura-ghi*, Turkmènes,
combien de blondes chevelures
Jfenues d'Europe, de visages basa-
nés qui attestent la présence du
sang arabe, arménien ou sépha-
rade, de faces , rondes aux yeux
bridés, léguées, par les envahis-
seurs tartares ou mongols de
jadis, ou apportées plus récem-
ment par les Coréens, réfugiés en
grand nombre en ces heux. y
apportent leur discipline et leur
ardeur su travail, après Poccupar-
tton pas le ' Japon de la mère
patrie. - ■
Kxsn.de Salomon ; les
devaient «ind, en venant faire
leurs dévotions, fouler 'ffu * pieds,
sous le regard triste de la mère
de Dieu, les symboles sacrés d»
deux races réputées mécréantes.
Aujourd’hui, HJIU3Æ. reconnaît
officiellement F existence de plus
de cent nationalités, minorités
dont les ressortissants, compte •
tain de la différent»* des taux
de n a ta lit é, seront bientôt plus
nombreux que les Busses. Les
plus, importantes disposent en
propre (Tune assise territoriale :
république fédérée, république,
région ou territoire antamomes.
Les Juifs, au nombre de deux
militons environ, sont seuls à faire
exception : s’ils constituait mut
la situation prévalant bu lende-
main de la révolution.
D'où la fascination que conti-
nue d’exercer Israël sur «ne partie
au moins du judaïsme soviétique
et les réactions souvent brutales
et toujours embarrassées que la
survivance de là question juive
entraîne «»- hTO rfpg rtir< géants peu
habitués aux attitudes de refus
global. Encore faub-11 constater
que, du fait surtout des pressions
de l'e xtéri e ur , mais «mai parce
quHs sont, beaucoup plus que
d’autres, considérés comme un
coups étranger, des de
miniers de Juifs imt -pu quitter
1TT-R-S-S- au coure de ces der-
nières armées. On ne peut en dire
autant d’aucun autre peuple so-
viétique.
des Jeunes Turcs, avait cm
pouvoir susciter, après l'écroule-
ment de l'empire ottoman, m *
Turquie de rechange, «pantou-
ranlenne*. Ces temps-là sont ou-
bliés. SI les puissances
avaient su faire à temps aux
représentants des populations
vivant sous leur protection la
place que Moscou leur a accordée
dans les institutions fédérales et
fédérées, bien des drames n’au-
raient-üs pas été évités ? Noos
entendons encore, pour notre part,
M. Sergnei Vlnogradov, alors am-
bassadeur dTTJt -S-S. à Paris, nous
dire,' en 1956. dans l’avion qui
nous ramenait d’Erevan : * Vous
avez vu ce que nous avons fait
en Arménie ? Pourquoi n’en faites-
R.SJPA. : République socialiste fédérative des soviets. — RAS. : République socialiste soviétique.
Les nationalités
- C’est dire qu’au problème des
distances s’ajoute celui des natio-
nalités. On «ait comment ravalent
résolu les tsars. Malgré les efforts
-de qudques-tms d'entre eux, l'em-
pire ne justifiait que trop le sur-
nom que Lénine lui avait donné
de «prison des peuples». On en
volt un dur souvenir dans l’anti-
que cathédrale Sainte-Sophie de
Kiev. Le sol de la nef est formé
de lourdes dalles de fonte ornées
les unes du croissant et de l'étoile
des musulmans, les autres du
nationalité, iTwriti» ramm« ton*
sur loir passeport. Os n’ont d’au-
tre territoire à eux que la modeste
région du Birobidjan,
près de la frontière mandchoue,
et leur vie culturelle propre est
réduite- à presque rien. L’expé-
rience tentée dans ces lointains
parages, à l’époque stalinienne,
n’est pas de celles dont les Sovié-
tiques tirent le plus de gloire :
quinze Tnfflw Juifs seulement y
vivent à présent. SI l’on rencontre
dans rtJ-RjSJS. d'aujourd'hui- des
juifb qui occupent des postes émi-
nents dan* le monde intellectuel,
artistique, frynflrniq n* et même
politique, il ne viendrait à l’Idée
de personne de prétendre que le
Birobidjan apporte une réponse, à
ceux de leurs coreligionnaires qui
refusent FassimUation et ce qui
à toutes les allures d’un numerus
clauses, sortent en contraste avec
FIRST IN THE WORLD
ROTH MANS
INTERNATIONAL
Au filtre exclusif damasquiné d'or
Une Rothman» Inte rna tiona! vous fait,
savourtflertabacsleaptos parfaits que
l'homme pui*» connaître. Cet» presirgfiwM . .
. *lDairyleflgth‘VaufBimasiuflIfdamasqriRéde^
refafe d'or, a cet» exquise richesse, ce subtil velouté que
seule uns très grande tigrotteesten mewredevrosoffrir.
ROTHMANS OF F A IiIi M Alili-
BEENDERS OF FINE CIGARETTES THROUGH SIX BEIGNS'
Les Juifs ne constituent pas la
seule nationalité qui fait pro-
blème ; la presse dénonce; de
temps à autre, les « natio naliste»
bourgeois» d”Ukraine ou des ré-
publiques baltes, nostalgiques de
l’époque de l'indépendance totale.
Si, en effet, la Constitution re-
connaît théoriquement aux répu-
bliques fédérées le droit de séces-
sion, le pouvoir soviétique; depuis
un demi-siècle; n'a Jamais laissé
quiconque l’exercer ni même le
revendiquer. La Géorgie, entre
antres, en a fait F expérience- Sta-
line n’a pas hésité pendant la
guerre à faire déporter des popu-
lations entières parce qu’il doutait
de leur loyalisme. Et fi y a eu,
beaucoup plus récemment, la
Tchécoslovaquie, qui pourtant ne
fait pas partie da TOJcLSJS. Grâce
à quoi celle-ci est le seul pays au
monde qui a su, à l'époque de la
décolonisation générale; conserver
des possessions acquises à l'épo-
que coloniale selon les wWIvkIwi
et en vue des objectifs les plus
c l a s si ques de l’impérialisme
Elle a bien dû faire face, jadis,
à des soulèvements, tant en
Tra n s c a uc asi e qu’en Asie centrale,
où Enver Pacha, l'ancien leader
vous pas autant en Algérie? s II
était déjà certainement trop tard.
En Ouzbékistan, les Ouzbèks
eux - mêmes, q u i représentent
65 % de la population, détiennent
85 % des postes au gouvernement
et 75 % au Soviet de la Républi-
que. Le chef du gouvernement et
le premier secrétaire du parti
sont des autochtones, flanqués, il
est vrai, d’adjoints en provenance
de Moscou. Imagine-t-on une
Algérie française où les Arabes
auraient occupé une telle propor-
tion de sièges gouvernementaux ?
ffn Ouzbékistan, comme tou-
tes les républiques fédérées, 11
existe deux catégories d’écoles :
celles, les plus nombreuses, où
l’enseignement est donné dans la
langue nationale; et celles où fl
est rirmn^ en russe. Dans les tf«iz
catégories, renseignement de l’au-
tre langue est obligatoire, c’est-à-
dire que tous les petits Russes
qui vivent à Tachkent ou à
Samarcande ddlvent apprendre un
minimum d’Ouzbèk en même
temps que les petits Ouzbèks
apprennent le russe. Ima-
gine-t-on une Algérie française
non seulement totalement scola-
risée, mais où les enfants des
« pieds-noirs » auraient tous
appris l'arabe ?
Est-ce assez pour prévenir tous
les heurts entre les innombrables
« nationalités » qui cohabitent en
Asie centrale ? N’en avoir
constaté aucun au cours d'un
séjour de quelques jours, avoir été
l’hôte du mufti d'Asie centrale,
visiblement satisfait des égards
dont Q est entouré, avoir eu
affaire à un médecin (une dame)
ouzbek. dont les assistants, un
Russe et une Mongole, paraissaient
accepter de bonne grâce l'autorité,
ne permet certainement pas de
porter un témoignage valable. Ce
qui parait assez évident, c’est que
ces divers groupes ethniques se
m é l ang ent peu. ai dehors du tra-
vail professionnel et politique, et
qu'ils sont attachés à leurs cou-
tumes propres. Les Ouzbèks ne se
marient pas miw» les Coréens
ni les Russes comme les Tadjlks.
L’islam conserve une vitalité que
souligne l’affluence, le vendredi,
dans les mosquées.
H est difficile de croire que les
choses se passeraient aussi cal-
mement si le régime politique
n’était pas fondé sur la préémi-
nence d’un parti unique, bien
déterminé à ne pas laisser se
développer le moindre facteur de
désordre. « Un grand empire,
disait Montesquieu, suppose une
autorité despotique. » A l’heure
où. du Liban aux grandes villes
américaines; les hommes de races
ou de religions différentes parais-
sent avoir tant de peine à vivre en
paix, à quel degré de balkanisa-
tion l’Asie centrale ne serait-elle
pas parvenue, de quelles luttes ne
serait-elle pas l’enjeu si la paix
n’y était assurée par l’hégémonie
d’un pouvoir indiscuté?
ANDRÉ FONTAINE.
Prochain article :
LE DROIT CHEMIN
CORRESPONDANCE
U.R.S.S. et Rassie
M. wtrsta, président de^V Asso-
ciation académique ukrainienne
à Paris, nous écrit :
Nous venons de constater
qu’une fois de plus cm do nn e le
nom de ■ Russie » à l’Union
soviétique (voir l'article dans
le Monde Ou mercredi 8 octobre
Intitulé « France-Russie ». par
M. Michel Debré).
H s’agit d’un a.rnwF i Tr rr'i Rmp
évident car o fficiellemen t la
Russie tsariste est devenue depuis
1922 « Union des Républiques
socialistes soviétiques ».
Il existe une République
(RBJFAR.). au meme titre que
ilw - • Rénublinu es nkra.tnIftnTi* .
biélorosse, géorgienne, etc.
★ 1. rue Albert-Csmu*. Bourg-la-
Rclne.
• M. Francis Palmero, séna-
teur des Alpes-Maritimes (Union
centriste), rient d’adresser une
lettre à M. Giscard «TEstalng,
rtanc laquelle il l’invite à renou-
veler auprès des autorités soviéti-
ques la demande de rembourse-
ment de l' em prunt russe formulée
déjà par plusieurs gouv ernem e nt s
français. M. Palmero souligne que
c rtJJLSJS. n’est plus insolva-
ble » e& que « si elle refusait de
régler en or ses dettes contrac-
téês entre 1863 et 1914, qui s’élè-
vent maintenant à quelque
30 milliards de francs, sans comp-
ter les intérêts, die pourrait faci-
lement Z xorer d la France les
de pétrole correspon-
des ».
L’Association des porteurs de
titres russes, f carte d'un c engage-
ment ferme et résolu » de
U. Giscard d’Estalng de ne pas
laisser fermer ce dossier, avait ap-
pelé à voter pour lui à l’élection
présidentielle Ge Monde du
Il mal 1974).
jj Je désire m’abonner à "FAIRE" et recevoir les 12 prochains numéros ]
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J.
Page 6 — LE MONDE — 14 octobre 1975
DIPLOMATIE
W$-
'kwï-'w?
LE < QUAI » DAIMS LES
fana les précédente articles.
Maurice Delarue a exposé ce
qu'est l'administrât! on des
affaires étrangères et les condi-
tions matérielles et profession-
nelles de* diplomates- (« Le
Monde » des 10. II et 12-13 oc-
tobre.) Ce deiqler article est
consacré au malaise du Quai
d'Orsay et aux réformes actuel-
lement projetées.
* Je crains fart un effondre-
ment du moral » dit l’an dernier
M. Marette en présentant & l’As-
semblée nationale le rapport de
la commission des finances sur
le budget des affaires étrangères.
Ce n’était pas de l’alarmisme gra-
tuit Certes, la crise du Quai
d’Orsay ne se traduira pas par
des mouvements de »"«««». Le
personnel des affaires étrangères
a trop peu de contacts avec le
public, il est trop peu nombreux,
trop dispersé, de conditions trop
diverses et surtout trop attaché
A la discrétion professionnelle pour
que son mécontentement se tra-
duise en manifestations violentes.
Main la mauvaise humeur est
de plus en plus apparente et le
syndicalisme diplomatique renaît
de ses cendres ; des tracts appe-
lant à la «lutta contre l'arbi-
traire» se mêlent aux onctueuses
circulaires maison.
Après la guerre, les diplomates,
adhéraient en masse à la C.G.T.
Cette belle unanimité vola en
éclats avec la guerre froide et la
scission du syndicalisme français.
Rester à la C.G.T. devint un choix
peu compatible avec la politique
étrangère du gouvernement.
Pourtant, des fonctionnaires du
cadre A lui restèrent fidèles jus-
IV. — Feu vert pour les réformes
que vers 7es années 60 : M. Gil-
bert de Chambrun, ancien député
progressiste, dirigea la section
C.G.T. jusqu’à ce que. devenu
ministre plénipotentiaire hors
classe et directeur des conven-
tions administratives et affaires
consulaires. U atteigne l’âge de la
retraite, l'an dernier.
L’activité de la C.G.T. était
cependant devenue symbolique, et
le syndicalisme diplomatique
s'était réfugié dans les se cMgro»
plus sages de F.O, de la C. F.T.C.
Mais depuis 1973. la C.G.T. re-
prend du poil de la béte. Elle a
lancé une campagne de recrute-
ment et revendique actuellement
150 adhérents appartenant sur-
tout au petit personnel. Bien
qu’un titulaire du cadre A en soit,
un militant actif, la C.G.T. a une
coloration politique trop marquée
pour qu’elle puisse s’étendre dans
le personnel diplomatique pro-
prement dit.
R n’en va pas de même de la
section C-RD.T-. qui, créée en
1974, a fait une percée rapide à
tous les échelons et dans toutes
les catégories, raflant d’emblée à
l'élection de la commission pari-
taire des conseillées et secrétaires
des affaires étrangères. le 24 avril
dernier, 39 % des voix et la moi-
tié des sièges. Ce résultat, obtenu
en quelques mois par une organi-
sation frondeuse, qui ne recule pas
devant l’action commune avec la
C.G.T. en faveur du petit person-
nel, a fait passer sur la vieille
maison si convenable le délicieux
frisson de la subversion.
par MAURICE DELARUE
U «mal do Quai
Le « mal du Quai » a des ori-
gines multiples et d’abord, comme
toujours, financières. On a déjà
évoqué la peau de chagrin du
budget des affaires étrangères,
dont la revalorisation en 1975 a
été de cinq points inférieure à
celle du budget de l'Etat. Certains
postes budgétaires importants
(rémunérations du personnel,
contributions obligatoires aux or-
ganisations internationales) étant
automatiquement revalorisés, les
autres supportent tout le poids
des prnnrrmiPR De 1974 & 1975,
les autorisations de programme
ont été réduites de moitié. Un
Twiiiinn de francs seulement ont été
consacrés cette année à l’entretien
des immeubles de l'administra-
tion centrale. Le budget du ser-
vice de presse n'a été majoré que
de 5 %. Le petit personnel étran-
ger sans défense a été sacrifié aux
tribulations des changes. Les
contributions dites bénévoles aux
organisations internationales ont
été « gelées » en dollars incons-
tants, ce qui se traduit par une
réduction réelle de l’influence de
la France, etc.
Les restrictions budgétaires
atteignent bien entendu le moral
des troupes. Sans doute la désaf-
fection des énarques pour la di-
plomatie est-elle apparemment
enrayée. Une offensive de séduc-
tion du c Quai s. pr omet t ant de
bons postes aux jeunes recrue, a
fait remonter les rangs des élèves
qui le choisissent à la sortie de
l’école. Us s'échelonnent, cette
année, du 14* au 36- rang, alors
qu’ils allaient du 40* au 88' en
1972. Plus significatif est aujour-
d’hui le peu d’intérêt des Jeunes
diplomates pour les postes à l'ex-
térieur.
L’invitation au voyage est
devenue trop banale pour com-
penser les tracas et les risques
de la vie à l'étranger. Or les
avantages fin a n ciers des «pos-
tes a ont subi des coupes
sombres. L'imposition partielle
de l’Indemnité de résidence et
sa rédaction radicale pendant
les congés s’ajoutent à l'insécu-
rité monétaire. Dans de nombreux
cas, selon des spécialistes impar-
tiaux, les agents du Quai d’Orsay
à l'étranger sont aujourd'hui pu-
rement et simplement pénalisés
par rapport à leurs collègues mé-
tropolitains. Ils le sont aussi vis-
à-vis de leurs collègues d'autres
origines ministérielles qui sont
mieux rémunérés (conseillers
commerciaux) ou qui bénéficient
d’autres avantages (logement de
fonction et indexation automati-
que des rétributions sur le coût de
la vie dans le pays de résidence
pour les agents du ministère de
la coopération).
Enfin, l'évolution familiale ne
favorise pas les expatriations. Les
femmes veulent de plus en plus
travailler, et les épouses des Jeu-
nes diplo mat es ayant, elles aussi,
très souvent, des diplômes, cher-
chent à employer leurs capacités.
C'est d’autant plus difficile à
l'étranger que le « Quai » consi-
dère traditionnellement les épou-
ses comme des auxiliaires gra-
tuites de leurs maris, vouées à les
seconder dans les tâches fasti-
dieuses de représentation.
Le « mal du Quai » est enfin
fonctionnel. Le ministère n’est
plus adapté à sa tâche, ni à
l’évolution du monde, ni à celle
du système politique français.
L'engorgement des cadres au
sommet de la pyramide adminis-
trative n'engendre pas seulement
le m ^pfa'w I-, main le
vieillissement et la sclérose.
Un mouvement diplomatique en
cours doit abaisser de quelques
années l’âge moyen des ambassa-
deurs, qui approche aujourd’hui
de la soixantaine. Il est décidé —
bien que ce ne puisse être codifié
— que. sauf exception, les ambas-
sadeurs ne pourront rester pins
de quatre ans au même poste. De
« jeunes loups » se demandent
d’atlleuzs s'il est indispensable de
les recruter seulement parmi les
ministres plénipotentiaires ou,
exceptionnellement, les conseillers
de première h ma» Après un mini-
mum d’une dizaine d’années d’ex-
périence. ne pourrait-on (tonner
leurs rhànpflg à des fonctionnaires
plus jeunes ? Ne devrait-on pas
aussi Inciter les diplomates à
moins se complaire dans ia poli-
tique « pure » et à se trotter aux
réalités en valorisant les postes
techniques?
Cette plus grande mobilité inté-
rieure n’est cependant possible
que si elle se conjugue avec une
plus grande mobilité extérieure,
jusqu’ici les demandes de déta-
chement étaient froidement re-
çues. Le c Quai » n'aimait pas que
ses jeunes agents aillent s’enca-
nailler Hans les autres adminis-
trations- La carrière des diploma-
tes volages s’en ressentait. Es ne
semblaient attirés que par feu
rO-R-T-F. et le pétrole. Désormais,
ceux qui voudront « prendre l'air »
y seront encouragés sans que leur
carrière en pâtisse. Mais la rèd-,
proque serait logique et le « tour
extérieur » répondrait à sa voca-
tion s’il permettait, comme c’est
l’usage dans d'autres pays, de re-
cruter des spécialistes de toutes
origines, des ingénieurs, des cher-
cheurs, des industriels, etc, pour
remplir des missions diplomati-
ques déterminées.
La structure du minis-
tère n’est plus adaptée à sa fonc-
tion. et le président de la Répu-
blique a donné le c feu vert » à
M. Sauvagnargues pour que des
réformes soient entreprises.
Au lendemain de la Révolution.
TaQeyr&nd créa deux « divisions a
répondant à la géo-politique du
temps : le Nmd. qui groupait tes
grandes puissances européennes ;
le Midi qui rassemblait le reste.
En 1907, Philippe Berthélot. secré-
taire général, répartit les servi-
ces en « directions » géographi-
ques fondées sur les continents.
Avec quelques remaniements, elles
subsistent aujourd’hui. En 1945.
cependant, le vent étant — déjà I
— aux réformes, trois grandes
directions furent superpesées à
ce découpage : celle des - affaires
politiques (qui englobe les direc-
tions géographiques), la direction
des affaires économiques et la di-
rection des affaires culturelles.
Cette nouvelle structure tenait
compte de l’importance prise par
l’économie et les techniques dans
les relations extérieures et per-
mettait au. gouvernement de
mieux diversifier son action. Mais
elle avait 1 Inconvénient de frac-
tionner les relations bilatérales.
L'Algérie, par exemple, e st tra itée
par des directions différentes se-
lon que sont en cause les rela-
tions politiques, le. pétrole et le
vin oui les enseignants français.
Aussi est-fl envisagé de redon-
ner aux directions géographiques
compétence pour traiter les re-
lations bilaterales sous tous leurs
aspects : politiques. . économiques
et culturels. Simultanément. le dé-
co u page actuel est remis, à l’étude.
Plutôt que des groupes continen-
taux. ne ser&it-fl pas plus ration-
nel de -considérer trois grands
ensembles : le monde industria-
lisé. le monde communiste et le
tiers -monde ? La question est
posée. Enfin, la carte du corps
diplomatique sera actualisée. Les
postes techniques (économiques,
scientifiques, etc.) des ambassa-
des en Europe seront renforcés ;
les ambassades Ha.n«e certains
pays en expansion rapide, tels
que l’Australie et le Brésil, seront
étoffées, aux dépens de pays où
la présence de la France est plus
traditionnelle qu’active.
Pour une structure nouvelle
- Les directions économique et
culturelle ne seraient pas suppri-
mées pour autant, mais leur tra-
vail se concentrerait sur des pro-
blèmes multilatéraux tels que
l’énergie. les matières premières,
les affaires nucléaires, la franco-
phonie, etc.
Cependant, ce qui trouble et
décourage le plus aujourd’hui le
corps diplomatique français, c'est
la confusion des responsabilités.
Un décret de messidor an VU,
souvent cité dans les couloirs du
Quai d'Orsay, dispose que le mi-
nistère des affaires étrangères a
le monopole des contacts directs
avec les représentante diplomati-
ques étrangers. U est évident que
ce monopole ne lui est plus re-
connu aujourd’hui par les plus
hautes autorités de l’Etat.
Depuis la V* République, cha-
cun. sait que la politique étran-
gère française est ' conçue â
l’Elysée. Du racine le général
de Gaulle en réservait- Il la mise
en œuvre au Quai d'Orsay, au
point qu’il n'allait jamais à
l'étranger sans le porte-parole
des affaires étrangères, seul « au-
torisé » à exprimer et expliquer
le point de vue officiel Aujour-
d’hui, non seulement le prési-
dent de la République et le pre-
mier ministre multiplient les
contacts avec l’étranger, conjoin-
tement avec M. Sauvagnargues,
mais M- Poniatowski, ministre
d’Etat, et une foule de mi-
nistres techniques -et ■ de secré-
taires d’Etat en font autant.
Un ministère à part entière est
responsable du ctmimerce exté-
rieur. un autre est responsable de
la coopération, bien que ce dé-
partement ministériel, jusqu'alors
confié & un secrétaire d’Etat, ait
été supprimé — Intentionnelle-
ment, explique-t-on. — lois de la
formation au dernier gpuveme-
menfc Messmer.
Sans doute peut-on admettre
que cette apparente dispersion
correspond à une division des tâ-
ches et que l’unité de conception
et de direction est maintenue
bous l’autorité , du président de là
République. Encore le ministère
des affaires étrangères devrait-
il être — sinon qui le sera? —
]' instrument technique de cette
— r-i
traité , chargée de coordonner, à
Paris, les actions des divers ml- Jbgv
nistères et d’assurer, fi rextérf(nu\
la cohésion de l’exécution. Or 1
ambassadeurs . n’ont pas autari
sur - tous les seraiôes rattacb
aux oT»iimiaagrt»>g. Les techniciens*
détachés aup rès de l ui ~ par j 68 : j K îS
autres administrations conc^ondy^'
dent directement avec leur
nistre — les conseillers commer-
ciaux avec la Rue de Rivoli et l
Quai Rranly, les attachés m
tnfrég , qui ont d’ailleurs i
propre chiffre et souvent le
radio, avec la rue Saint-Doc
nique et aussi le E5JXE.CJ3. A
différence des préfets, qui signe a
tout le courrier de service de 1 en-
préfecture, les ambassadeurs n'oa ■
pas la signature de . tous les se]?
vices français & l'étranger, d'-
beaucoup d’ailleurs ne sont >
Installés à l’ambassade. L’,
d’intégrer purement et sim
nient les conseillers commercé
dans les services des -a/T,
étrangères, tout en leur résec
une formation spéciale, fàitj
chemin. " ;
Ainsi la représentation dj
France & l'étranger pose à la
un problème d'argent et de sc
ture. Le problème d'argent
porte en tout état' de cause
sur des sommes réduites. D
vrait être facile à résoudre
budget des affaires étranger-
résultait d’un' règlemer
comptes annuel entre le;
d’Orsay et la Rue de Rivoli \
éternel combat de rues, sr
peut dire. Les réformes de f
tore sont plus délicates, car*»
touchent aux personnes, a au?
blindes et aux traditions. M. \
Joxe, ambassadeur de Franck
puté. qui fat secrétaire gtf
du « Quai », tout- en s'&fflf
de la « modestie » du budget
exhorta pas moins, devant
semblée nationale, ses ar
collègues à s'engager dans
voie, invoquant Racine, ü
dara : « Tout Part - consû
faire quelque chose avec ri i
La difficulté vient de ce qi
jourd’hui la diplomatie' est
venue Ùne' srtpnra» Mifami
art. Nous n’en sommes pl
temps, quelque pet
OÙ un Vieil «nilàw
en soupirant à un candidat 1
plomàte, qui lui vantait les
rites de la p rofession : « Et
cela vatU tout de même
que de travailler »
IW
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que ‘ait son -mot À dire” dans
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fiOM
□
.OUI
□
.NON
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OUI
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NON
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OUI
□
NON
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entre autre d’une touche
2, Pensez-vous obtenir un meil-
leur résultat en composant vous-
même votre chaîne avec diffé-
rents éléments reliés entre eux
par de longs câbles?
3, Trouvézvous normal de dé- ..
penser environ 5.000 F pour
satisfaire une passion? 01 y a
des passions plus coûteuses).
4bEst-il Intéressant de possé-
der un tuneréqulpé pour rece-
voir égalementles grandes on-
des (et vous permettre ainsi d’é-
couter Europe 1 - RTL -RM.G).
Stéréo Fem (A)
R umpe Ififter RauschfHter (B)
- En vous- servant des lettres désignant
ces touches, indiquez quelle est leur
utilité. :
• Réduit ou éliminé le souffle
gênant lors de la réception des
stations stéréophoniques re-
çues faiblement
• Réduit les bruits parasites
par limitation de la bande pas-
• -santé (ex. : le bruit de l'aiguille
. - des disques anciens).
6. Avec quel genre de musique esti-
mez-vous qu’il soit préférable de f es-
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VKi*dC DeWoy,22,rno JeanJamis.
WU jm ânae au >Cnn5nl rtHmSniwar
342,100» de OotboD.
Vai a e iw aKhftSlld IStoDitutptA nrtdoMdna.
PROVINCE
AUwtflA RaB 6 dtt CBntre.32/34, dmussÉe dnBofa.
AisvB-Prêrawe.-RanD UH, 34, roc Bédadde.
ÀBgPi Vs n " . M a rimnm nr oaax^37, ton daSanvapt.
Anecy, Ba-sï^^ n» Y qg e tg.
Ssbo&a, 8, maso ffèîx.
* i.n inf^ *Tr<l i,n; ni i «tn P un-
AnembMtsh:BenfoDjfi.qnti do laRfpdbfiqne.
AvËuen, Gfflrah, 2Û,i*&iK-ÂSffloL
Bayent, MqnatcJ9,HB FWdànc-EtsSa ctT.rueThïeES.
Bdfar^Laboiadîot/lé,4S,mrauBJeaihIaméx.
Besanp^Diu^iM%ÏS,nwdoIaBïMio*hègue»
BndeBËqGBÂM, dearAyres.
Tâ6Bsqec,6C, couratTAIbrct.
Brest, 3EteninhBdlkni,P0rt de Commerce.
Télfros. 25,1118 de Siam.
Cae«,StiitBnaaer(FhaioCSoO,14,p3aceSBÏntJefliL
He0en,S7. roe de Bemîère.
Leroux. 35. avenue du 6 Juin.
f «*■«, Inuon. KB>, boulevard Jacquard.
CanbrâL Studio madone, 4. rue Caniimpré.
Cateautle), Studio madone, 22. Grande Place.
Caadmo, Lescnra. Wl. avenue d'AiK - -
Chalm^nr-Saône, Auditorium. 14/16, rue Pasteur.
(Turnwacc. Piccolo, 2S, avenue de ta Gare.
Cfensoat -Ferrand. Cadec.y.^dace de UTreiUe.
Conocn. 2, pUce de Jaude.
Setemec Laaoix, 10, place de la Ràâsfflnct.
DSen, Radio télé Ctemenceaui, 4, boulevard Gkmenttm
Studio 16, 16, nie do Chapeau-Rouge.
Diaard, Studio 2, J I, rue Le va va sso ut
Dotal, Gallons, 17, ruo de BeDain.
Dtmktra'K, Rouvroy , 11/13 . bo uleranl Afcxan drc-ln.
Bticbs, Dopnsy, 8, n» Ountraine.
Grenoble, FNAC. 3, Gnnde-Placc.
1 fifi Maorin, 2, me d’Alsace.
Harre (le). Auditorium Detard, 78, nie Lcnrâ-Brmdean.
Sonodâ, 74 bis, rue Victor-Hugo.
Langres. Toulouse U ugo, à Langres.
LaraLHifTtb6ïue.3,rue de Bretutsnc.
Studio Alix, quai Béairix-de-Gravc.
Laos, Cnvefier,24/2â.i-oo de Paris.
LJboanie, Rémond, 39. nie Gambetta. -
UBe, lEnnnerin), Boulanger, L rue Auguste-Potier.
Cénmor, 3; rue du Blco-Moutoa
Coopteox MatefiUe, 53 , roe Eaquenn oôc.
Pigactae, 12, n» dn Ptü^RBxHs.
Sooosa, 2, n» des Genêts.
UwA Auditorium Saint Maflëd.
12. ruu des FiUoï4ColiB-Damc.
Swhod nmahrte,55,rao F^Chenïeux.
Lorient. Crt mfog , Tÿ er zon 1 b mcntcc. Kerbeban \Hiagq
Ly», Bot eurovisioa, 7, eoua de h LHwiÉ.
(Ltanonest), Dmy.roale a» 6, fieu dit TEpoux.
FNAC, 62; me do h RépoMque.
GùBde intematiniiale.dn disque, 27, rue Femncfière.
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Marseille, Adress hîC, 147.ID8 de BreteoiL
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Monaco, Lanoine radio. 5, boulevard des Moulins.
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MeotaijdSi Mabon de ta. radio, 19, tue DoreL
MootéJhnar, lürtez, 11 , rue Samte-Qnoi v.
ManüBffln, Lnwa, 32. avenue Max-Donmy.
M au p e Bk r, M£ga radk». M, rm de rLfnlvcahâ.
Té vdec,3L boulevard dn Jeu-d&Panrae: .
Morlaix; Josder;7,pb» des Otages.
MnBwrea; Pboto radio dub, 1/3, |dace Fraoklia.
. Nmicv, Noovcfcc, Tl, avenue do U Libération.
Nantes, BcUoeO. place Grasbn.
Landais, 66. rue Jean-XVUL - •
Martinez. 1, rue de Verdun.
Métro MTL Centre Beaulieu.
Télé Pars, 19, rue do Stnnbooig.
Nno* Gxnlhler, 38, avenue GénéraMe^faulIe.
MusitiJO, rue du Commerce.
NtaeSfcAmaL 8. ruo Rqpde.
Dseoiélé, 15, ruo Henri IV.
Lavraut, B, me de Prestno.
Nice, AJJ*^ Place Max-BonrL
GflïldF ïn tBiiHlto rei l ^dn rijtqiw.T?, rpw
Hffl Provana.2, rue Provana.
Tflfi Paris, Rue NotitrOame.
Vba, 52. trame JjMÉdefân.
- Zueârelfl, Rno de France.
Mou, Paît, 24, n» Porte-Saint-Jean.
Nogcat-snr-Sdae. Station 2001, 5, rue des FortiGcBÜDaa.
Odêans, Lebrun, 66, ruo des Cannes,
JCimiog mdk>, 9, rue leanne-d'Are.
Pat, Laon, l.avenue Uon-Btam et Pilais des pyrenÉet.
Pnplgnn,Fldélio,15,nic de b Clocbe-d'Or.
Poitie», Télé Mag, 187, Grande Rue.
QaâajMr, Martin S^L,4, route de Brest.
Kefns.MiKicolar.26, rue de Vesle.
Radio téléioa« l 193,rce do Vesle.
Rames; And tt est,7.rce Saint-H cSrr.
Rodhe-onp-VM Oaî, HHi 85,43, boulevanl LotnsBhné,
Rocbetie (ta), SMR Tamîsier,Z2. ma du Pataia.
Roobsic, Discocave, 1 bis, rue Pfcnr-Motle.
Roms, Darfy, U, rue Tfaéophile-Gaulbier.
CLN.CL.78.n» Préskkmt-Kcnncdy.
NoUet&A^T.rue Dumont-dTImOe.
Phoïo Lut, G alerie du Gras Horloge.
Saines, AtuSo élee, 17. avenue Gambetta.
Sakt-Briene, AB6 DrTéS, S, rue de Gouédîe.
A Sainte Cécile, 24, rue du GénÉnd-Ledere.
Saint-Etieme, Hïfi Ravan,S, nie Dorroov.
Sabn-qaenCn, Benhold,47, rue (FUle.
SbashHqb Musique A Tecbtüquc,
3, houlcvani de la ûmsionJ>dErc.
Radto Bnchert, Rua du VIenxMardiéalSfrPôrtsoiB;
Studio Sesam. 1, rue da la Grange.
UA.T.,47, me Flntwincr.
WotC 24, rue dn la Mésange.
Tahnaat-sarGiraiide, Audaoritnu 7 t 7,XUe du FM.
■JTotdoB, Uin êfc«lronie,30 1 ruo ilenrlSeabn.
Photo L3tcrtÉ,3, pian delà Liberté.
Toalonse. 1 1 ifi Languedoc; 15 bis, nie du Languedoc.
Htfltechnfc.il. place de b Trinité.
Toaroofog, Uiseeehib,9,nn de 13 I&-
Tbbts, Vaugeois électronic, 35. rue Glraudcau.
Troyn, Nuulelec. Ü4. me du GcnéraJ-Saussieiv
ValBodeoms, Ménéicc, ni, place d'Ormc*.
Vkfcr. Beauehnn.22, me rbiwnw 1 1L
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Page 8 — LE MONDE — T4 octobre 1975 • • •
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Bourse:
quelles seront les nouvelles valeurs
de croissance en 1976?
Aujourd’hui, dans la\ie française.
La Vie Française présente cette semaine
un dossier sur les nouvelles valeurs de crois-
sauce.
Des analyses et des informations sur les
activités et les entreprises de demain, celles
sur lesquelles il faudra miser pour toucher
les dividendes de la nouvelle croissance éco-
nomique. Un dossier à détacher, à conserver,
A partir de cette semaine, la Vie Fran-
çaise publie une cote des valeurs mobilières
que seul permet l’usage de l’ordinateur : elle
LaMe Erançaise.
L’information économique, mais surtout
les moyens d’en tirer profit.
POLITIQUE /
A LA COMMISSION DES FINANCES DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE . |? t**
4 V't *
Selon H. Fourcade, la modulation conjoncturelle ‘ v
des impôts directs pourrait foire l’objet d’un projet spécu
H ürmi» vendredi après - midi
10 octobre, la commission des
flnBTviM[ (Jg l’Assemblée na ^nnall»
a poursuivi l'examen des articles
du projet de Loi de finances pour
1376 (le Monde daté 12-13 octo-
bre}. Les dépotés ont tout d’abord
étudié trais de ces articles :‘l*on
tmodnTattnu conjoncturelle dea
impôts directs), qui a fait l’objet
d’une audition de M. Jean-Pierre
Fourcade, ministre de l’économie
et des finances ; les deux antres
— le premier concernant la mo-
dification de la taxe Intérieure et
de la redevance perçue an profit
du fonds de soutien aux Hydro-
carbures applicables & l’essence
et an super-carburant; le s ec o nd ,
relatif A i ^iw<n«gwn«nt du régime
fi-w»i des sociétés Dé troll ères
ont fait l’objet d’une audition
de M. Michel d’Ornano,
ministre de l'industrie et de 2a
recherche.
M. Maurice Papou, rapporteur
général du budget, député UJD.R.
du Cher, & rec onn u, en présence
de M. Fourcade, l’intérêt que
présenterait un nouvel Instrument
d’action conjoncturelle permettant
an gouvernement de faire face à
utia «ifcnaMon économique fluc-
tuante. H a relevé que le dispositif
prévu va dans le sens d’une direc-
tive de la Communauté écono-
mique européenne air l’opportu-
nité de rffc frâer d’un moyen d’ac-
tion conjoncturelle semblable à
celui dont le gou v e r n ement ouest-
allemand vient de se doter. Tou-
tefois, M. Papan a fait part de
ses doutes sur la constitution-
nalité d’une telle disposition, et
indiqué que le vote d’une loi
d’habilitation en appli cation de
l’article 38 de la Constitution (qui
permet an go u vernement de
demander au Parlement l’auto-
risation de prendre par ordon-
nances des mesures qui sont nor-
malement du ressort de la loi)
ifetft nécessaire.
M. Fourcade, après avoir confir-
mé que le gouvernement souhaite,
par cet article, pouvoir soit re-
porter le versement du premier
tiers de l’impôt sur le revenu,
soit relever le minimum d’impo-
sition donnant heu au versement
d’acomptes provisionnels, a précisé
que -le Conseil d’Etat avait émis
un avis favorable sur la régula-
rité juridique de cet article. Il a
toutefois annoncé son intention
de demander au gouvernement.
lors du prochain conseil des nü-
3rtr«s, la possibilité^ recourir
à la procédure des ordonnances ,
l’article 16 du projet de loi de
flnan,* s ferait alors 1 objet d’un
projet spécial qui serait examiné
Hune le cadre de la d i s c uss ion
budgétaire. Après que M. Henri
Gtaoux ixéf-, Hauta-de-Spine) eut
suggéré un relèvement immédiat
duseua d’imposition donnant lieu
& versement d’acomptes. M. André
Boulloche CP-S„ Doubs) a noté
oue ses amis politiques resteraient
trts vigilants & propos d’un texte
allant: flans le sens d’un -dessai-
sissement du Parlement, il a
estimé, cependant, que la procé-
dure des ordonnances paraissait
quell que soit « sa lourdeur ». la
seule s admissible ».
Au cours de l’audition de
M. d’Ornano, M. Papon a souli-
gné que la ponction fiscale des
articles modifiant la fiscalité pé-
trolière était de l’ordre de L2 mil-
liard de francs et représentait la
plus g rande partie des ressources
nouvelles dégagées par le bud-
get 1976. En réponse aux questions
Hoc commissaires formulées par
M. Papou, le ministre de l’indus-
trie et de la recherche a rappelé
les orientations prises par le gou-
vernement en matière d’énergie
qui doivent permettre d’avoir, en
1985, un volume dTimportatianss
de pétrole égal à. celui de 1975
(Soit 100 millions de tonnes pour
les besoins énergétiques. 20 mil-
lions destinées à satisfaire les au-
tres besoins) et aux sociétés pé-
trolières dont l’Etat est action-
naire de contrôler de manière
sûre en 1985 des réserves pétro-
lières d’un montant égal aux be-
soins français. En ce qui concerne
la modulation de la provision pour
la constitution de gisements en
fonction des zones géographiques,
le ministre a souligné qu’elle per-
mettra d’orlneter les recherches
Hune les secteurs conformes à
l’Intérêt national. Estimant
souhaitable l’augmentation à e
100 millions des ressources du
fonds de soutien aux hydrocarbu-
res, le ministre a noté que ces
crédits ne représentent que 5 7»
du total des dépenses de recher-
che mais qu’ils permettront des
Incitations plus fartes dans cer-
taines réglons.
A propos de la provision pour
fluctuation des cours. M. d’Or-
nano a affirmé qu’il n’existait
aucune perspective de bob
prix à moyen terme, les
values enregistrées sur les
de pétrole brut par les e
gnles acquérant de ce f
caractère de plus-values i
terme. Selon le ministre, les
t&ts financiers des ctanc
Ç étrolières en 1975 sont c
endettement du secteur
de 14 & 27 milliards envii
1975.
En réponse notaœm
MM. Boulloche et Robert-
Vivien (UJXR. Val-de-Mai
ministre a admis que la s
absolue des apprortstann
était un objectif imposs
atteindre, mais que le fai
les compagnies fftuicaÈ
contrôler une prodoct
pétrole au moins égal
consommation nationale
courait avec les autres £}
de notre politique c» mat
diversification des sources
gte et des approvisionnons
La T.V.À. sur !v publii
pornographiques
D’autre port, la commb
adopté l’article 8 du pre
loi de finances relatif aux
sur les alcools qui a pour <
le financement partiel du
vement sur les recettes d t
prévu au profit du régime
de la Sécurité sociale. M.
et M. Pierre Cornet (apj
Ardèche) - ont souligné •
niveau des droits appliq
France dépasse nettemon
appliqués dans les paja
C.ER.
Les modalités envisagée
l’article 10. qui prévoit 17a
tlon du taux majoré de la
aux films interdits aux s
ont été critiqués par MM
Olnoux. Marette (UJXR,
Josselin (PJSh Côtes-du
Vivien, Pons (UJDiU Lot)
briason (P.O, Essonne). U
mission a adopté un amem
de M. Marette, & runanlm
tend A appliquer le taux
de la ' T.VJL aux pubil
pornographiques et pervers
créations de droits porta
les spectacles pornograp
et pervers, ainsi qu’aux
d’entrée dans les dnén:
théâtres où ces spectacle
donnés.
Les souvenirs de M. Chaban-Deltnas
donne pour chaque valeur -cotée en France,
des renseignements exclusifs (volume de
transaction, rendement-.). C’est la première
cote complète, lisible et sans erreùi: Et cette
semaine, comme toutes les semaines dans
la Vie Française, des spécialistes analysent
concrètement Facta alité économique, «ans
verbiage et sans complaisance, parce que c’est
la meilleure façon de Tons donner les moyens
d’agîn
En kiosque aujourd'hui.
(Suite de la première pagcJ
On aurait aimé que ce « baron »
du gaullisme nous livrât la vraie
substance des Innombrables et Impor-
tants conciliabules qull eut, . des
années durant avec ses pairs, entre
autres Michel Debré, Roger Frey,
Jacques Foccart, Olivier GuIchaFd.
On eût apprécié quelques portraits
vivants de ces personnages, et l’on
regretta qu’ils n’apparaissent que
bien fugitivement à travers les quatre
cent cinquante-deux pages du livre.
Il y aurait aussi lieu de déplorer la
précipitation avec laquelle M_ Cha-
ban-Delmas évoque sa traversée de
la IV* République. On était en droit
d’escompter des développements
Inédits et dee confidences person-
nelles sur le passage du RFF. de
l' opposition Intransigeante de 1947
au « soutien vigilant » da 1953.
Une victime non consentante
Cette espérance n’est pas comblée,
encore que l’on puisse glaner, de-d
de-là. quelque Indications Intéres-
santes sur cette période et les
années qui suivirent Ainsi appre-
nons-nous que « Chaban » était en
total désaccord avec de Gaulle sur
les apparentements électoraux
da 1951 i qu'il préconisait lut tandis,
que le chef -du RFF. J es condam-
nait comme une-bassé combinaison
des • politiciens ». Ainsi nous est-il
révélé que. dés .1958, René Coty.
président de . la République, avait
chargé Jacques Cha ban-Delmas de
transmettre à de GauHe-un «• mes-
sage capital »: » Ditee-Jul . que si
une crise se présente, et qu'elle soft
assez grave pour que je puisse tirer
au maximum sur le crédit que la
Constitution octroie au président do
la République, le ne manquerai pas
de m'engager i fond en faisant
appel à lui pour former 1e gouver-
nement dans le cadre' de nos insti-
tutions afin, précisément, de chan-
ger celles-ci. »
• M. Michel Jobert. a déclaré, :
samedi il octobre, à Béthune : j
« rouf serait plus simple si Von. I
faisait confiance aux Français et \
si Von rejetait cette politique du
chien crevé au fil de Veau, qui a
été celle tTun certain radica-
lisme -. Mais & parait que le grand
espoir est maintenant le radica-
lisme I Sur le. plan extérieur, Vat -
tttude ciaire de la France est
devenue me image brouillée.
Depuis cinq cents Jours, le gou-
vernement test constamment
trompé. Je rVai vraiment aucun
titre à commémorer cet amvoer-
eaire au moment où Von en sup-
prime d'autres, s
Publiant en octobre 1875, l’auteur
de VArdeur ne pouvait méconnaître
que ses lecteurs seraient surtout
'attentifs & la relation da l'expérience
et des épreuves qu’il connut entre
6on Installation h l’hôtel Matignon, le
22 juin 1969, et son échec au pre-
mier tour de l'élection présidentielle,
. le S mal 1974. Les cent pages consa-
crées à cette période se terminent
eur une proclamation de détermi-
nation absolue et de parfaite sérénité
que tout ce qui précéda ne rend
guère convaincante. Jacques Chaban-
D aimas n’apparaît plus, en effet,
comme la victime qui. en Juillet 1972,
avait consenti sans dire un mob et
au nom du respect des grands prin-
cipes da la V* République, à être
écarté de l’hôtel ■ Matignon par
Georges Pompidou sans avoir droit
aux égards dont M. Michel Debré
.puis • Georges Pompidou lui-même
avalent' bénéficié, en pareilles- cir-
constances. de la -part do da Gaulle.
Ce tournant de la V* République —
on n’avalr encore jamais vu- sf public
.et si aigre affrontement entre le chef
de l'Etat et son premier ministre —
inspire aujourd'hui A notre auteur
d'amàrea doléances.
Le temps n'est plus de celer les
. variations d'humeur d'un patron qui,
après -avoir pris ombrage du succès
remporté par le grand dessein
e-po*é le 16 septembre ' 1969
(« Laissez donc tranquille votre nou-
velle société, personne n’y croit,
vous rasez tout te monde -), aurait
dit, en 1973, à son ancien premier
ministre : «Ad tait, la nouvelle
société, ne t’abandonnez pas. Elle
vous appartient, et ce sera très
Important. » Des propos aussi contra-
dictoires durant sonner rudement aux
oreilles d’un homme que de Gaulle
et Pompidou. dlMi, avalent promis
au plus haut destin — l'Elysée —
ri -do-itt le conviction demeure
intacte : « St Georges Pompidou
avait adhéré à la nouvelle société,
apporté i la soutenir la poids de
son influence et de la confiance
que lui taisaient tas Français, toutes
choses eussent été différentes par /a
suite . ■
U temps est venu, semble+ît. de
dénoncer publiquement - une obstruc-
tion dont lé noyau acttl était ù rEly-
dans Tentourage de Georges
Pompidou Hommage étant rendu
•au. parfait loyalisme de deux mem-
bres de cet entourage, MM. Michel
Jobert et. Edouard Balladur, en
conclu ra-t-on que tous les autres
étaient des- adversaires du maire de
Bordeaux ? Seul M. Pierre Juillet
est nommément mis on cause, étant
bfer précisé qu’il avait eu le rare
courage de venir dire ses doutes et
sa [défiance i un premier ministre
dans lequel il voyait, paraît-il.
« r homme qui amène le so
en France ».
SI (Ardeur n’apporte guôr
-monts nouveaux, nous semble
I'- affaire Dega », encore que
carc cfEstaing soit mis an
sans être cité nommément;
celle de la feuille dlmpflfe P
ban-Delmas Inscrit da bonnt
à son passif sa pénible Int*
télévisée du 15 février 1972)*
tend & démontrer qu’il exista*
de continuité entre les
et les « coups bas » de
l'Issue décevante de l'équij
1974. L'ancien candidat- 4
convient, certes, qu'il coma
erreur en changeant de vis. y..
beau milieu de *ton parcoun
se présentant non plus cou
sémillant conquérant mais cor
postulant « marchant è pas coC
pourtant ce n'est pas à luf-ro*
s’en prend avec le plus d»>
En 1972, M. Pompidou avait;
pour remplacer M. Chaban-
i Matignon, M. Messmar/J
M Olivier Gulcha.-d, alors-;
successeur ne .pouvait être, t
damier. « Nous en étions co
depuis plus de deux ans , G
Pompidou et mol ». êcrfML.M
choisissant M. Messmer, G
Pompidou et l'entourage n'avs
pas pour lointain dessein dis
au maire de Bordeaux Phcc
« sommet » que lui aurait
M. Olivier Guichard. D'où des
dations dépourvues da toute a
sur fe rôle de M. Messmer. O'
rudes propos de M. Powpldc
M Giscard d’Estàlng -.que.
fauteur : « Un homme qui 6t*
antipodes du gauHIsmè of ■
cessé de le manifesta' ” 1191^
enfin l'affirmation d'une totale J
patibilité : « La France de G
tfEstalng ne saurait être le’ *
de Gftobe'n. », -. }
SI vraiment un ai long oô'j .
a ôté fomenté contre lui, on s'érf u
en définitive que l'adversaire- Mirk
heureux de M. Valéry Giscard - . t
talng ne se montre pas plus
catif encore. Ne . ncus’auraiw!
tout dit y Taos -compte# fefis, f
Jacques ». comme rappela» ma
quea Soustelle du temps où U# H
pliaient fraternellement dat» •«;
petite équipe de® J
aoclaux, Issue dû H.P.F.. noua ^ *! *
sur. notre faim. L’Ardeur #?, m
parmi les Innombrables ifloViBf»; '■
parmi les innomurmjw A", : «. *
prouvent qu’il n’est pas >0“; * y 3 f r
pouiibh. d'Ôtre jeafrJaequ» Vj ' '4.^
Jacques qui écrivait dans ls , vJtl»
semant des.-Confess/oo* : ‘'.,1.
le seul r portrait tThonima. I f £
exactement d’après sa T -
dans toute sa vérité, qui
ojri probablement exista** Je®®”»
Plî*9f
M-v*
jouis sa wmi*— ««T- V va*. ,
probablement existera Jam«^b
RAYMOND EARIUU0 ' V --/7rp^
r
LE MONDE — 74 octobre 7975 — Page 9
POLITIQUE
POUR MARQUER SON ORIGINALITÉ DANS LA MAJORITÉ
1/U. D. R» veut relancer la « participation »
W lï!
, ~ xttaque oblique mate évidente, menée
\/o<« dé p tes contre H7-DJ2. par M. JH-
‘ Poniatowski ifle Monde du 10 octobre)
' ' -‘ ■"‘'TOiKJafÉ rester longtemps sans riposte.
V? - ’ j-ci est wm samedi 11 et dimanche
'i Octobre, au cours du comité centrât que
formation gaulliste réunissait pour la
~ ,'iière fois depuis avril dernier.
"\W le couvert de proclamations de
ttê, de fidélité et tVuniiê, lès cadres de
"l-R. ont tenu, à marquer d la fois leur
. .. ; ■■irtance, leur originalité et leur uotonté
:.<*«■■ .
- * iffirmation de M. Poniatowski selon la-
las républicains indépendants ccmsü -
\ ■: prient, d’ores et déjà. « le premier parti
. v majorité » a été évidemment contes-
..J::‘.har tous les membres du comité cen-
■ Af. Jacques Chirac hti-méme a posé
•. .“ - ne une évidence que l’UdDÆ. est « le
-.ventent le pins lxrqxtttant de la znajo-
. .•■>, mais aussi « le mieux organisé ».
\tidri Bord a renchéri en présentant le
( dont O est le secrétaire jfènéral comme
K t; grand mouvement politique, de loin le
j> i r • -
S André Bord, secrétaire çôné-
- 4 - de TO-D-R-. a déclare en
lut les travaux : « (~J Nous
■ ï.ries aujounThai un grand
>- yement politique, de loin -le
\ - important de la majorité et à
dUe de devenir le premier de
■ . -.ce. Notre implantation pvpu-
ne cesse de se développer
: Ir-’f ci à la lin de Tannée, nous
_ ns atteint le plus haut niveau
-..‘.lésions depuis 1968. (—) Nous
'jus reprendre Toffenstve eh ce'
'- concerne la participation :
- notre seule chance de rap-
. . ier les partenaires sociaux et
. T l’auto-gestion utopique et
: rigisme bureaucratique. Vunê
'.. ‘"ne Vautre me pouvant con-
-*ï qu'au désordre ou & l'ex-
- on /J.
-1 nous faut penser aux'
. ianc es Rectorales : eues
«client. Bientôt, les élections
■ on aies : la loyauté est. notre
î, BO«s souhaitons qu’eue soit
’-.t-cRle des autres formations
- .-. la - majorité. : L’ UDJL saura
.. •Agitante : elle n’admettra
. aucun' cas que Von présente
. candidats contre ses sortants,
• : s quAquaprétexte que ce soit.
ne suis cependant pas opposé
rééqutUbruge en tant que tel :
- / a tant de sièges à reprendre
'opposition I
Ensuite, les élections mmtfci-
3 . Les partis de la majorité
aient, ensemble, constituer les
• de candidats.
Mi ch el Debré, après avoir
ê mie les {amitiés étaient
■remieres victimes do l’înfla-
puisque a la naissance d’un
i"îi entraîne une baisse du
Dfr dachat », a poursuivi :
_ Jacques Chirac n'était pas
ier ministre, combien de
agnoiur hésiteraient à se
pins Impartant de la majorité et à la veille
de devenir le premier de France ». Envisa-
geant bd aussi le « rééquilibrage » de la ma-
jorité; M. Bord a invité lès alliés de sa for-
mation à prendre des sièges à t opposition
et ü a annoncé que VÜJO&. rf « admettra
■pa$ » contre- ses .sortants des concurrents
venant des autres partis de la majartti.
Alexandre Sangufnettt, qui depuis un an
n’axait pas parlé devant le comité central,
s^n-est pris directement et fort, vivement
à la politique de M. Giscard d'Bstatng. Tl a
certes reconnu la légalité du chef de V Etat;
mais a douté de. sa légitimité; le pouvoir
n’ayant jamais, selon lui , été aussi a soli-
taire ». ü a invité. ses amis à plus de discer-
nement en les enjoignant à refuser de
confondre .le libéralisme, «qui permet tous
les laxismes», et la liberté.
M. Michel Debré, pour sa part, a assuré :
« SI .'Jacques Chirac -nfétait pas premier
ministre, combien de nos compagnons hési-
teraient A se .reconnaître dans toutes les
orientations de la majorité!» Contraire-
ment à ce~quc feignait de croire M. Chirac,
ce n’était pas là simple «boutade» du 'député
de là Réunion. Mais os dernier nfa pas voulu
prévoir où se retrouveraient les gahUistes
si M. Chirac cessait d’être premier ministre.
Pour mieux souligner leur originalité. dans
le majorité , tenter d'y conserver leur place
prééminente et, selon Vexpressiqn de
ï£. Chirac, crdorger leur image de marque »,
les membres du comité central ont décidé
de procéder à un «gauchissement» de leurs
positions.
Us . vont donc relancer Vidée de partici-
pation, présenter des propositions , annoncées
comme progressistes ; pour la réforme de Ven-
treprise , développer une politique' familiale
active et encourager la promotion des jeunes.
Ile vont enfin multiplier les sections Z7JX8.
d’entreprise en vetâant, comme le leur a
recommandé M . Chirac, à ne pas empiéter
sur la compétence des syndicats.
Ces .actions devraient leur permettre de
croire en Vafflmatlon que M. Chirac a
énoncée devant eux: «Nous avons la séré-
nité des torts», alors que leur confiance en
eux-mêmes et datis leur avenir semblait
bien ébranlée.
ANDRÉ PAS5ERON.
tr pas- nous faire
fois pour toutes
majorité ne doit
considérer t aie fois pour
les oppositions comme des adver-
saires irréductibles et nos alliés
comme des amis indéfectibles.
Nous sommes ensemble certes,
mais pas pour n’importe quoi et
réimporte comment. »
L'ancien ministre a ajouté
» (-J Nous ne sommes pas des,
libéraux. Nous croyons à la devise
de la Révolution française. Le
libéralisme n’est Jjos la liberté.
B eut celle des forts, des habiles,
des nantis, des heureux. Il ne
permet pas V exercice de l’égalité
réelle, qui n’a rien à voir avec
régalité formelle. 71 permet toits
les laxismes, par l’exaltation des
seuls . droits de l'individu.
» Nous récusons la société sans
freins et la lutte dés classes, parce
que nous voulons, par la partici-
pation. approcher toujours plus
la société sans classes et restaurer
la communauté. -L’idée de ras-
semblement^ doit nous être pré-
éminente à la notion de majorité,
parce que celle-ci implique la
constitution de clientèles élec-
torales. » .
M. Jacques- Chirac, flan* le dis-
cours de cléture, a notamment
déclaré : « Nous avons la sérénité
des forts. Nous sommes le mouve--
ment le plus nombreux et le
mieux organisé de la majorité.
Nous avons ftdt la preuve que
nous étions capables de soutenir
et de défendre les institutions.
Nous . ne devons avoir aucun
complexe. Nous avons été, nous
sommes et nous serons des par-
tenaires loyaux, intégrés dans une
majorité et dont tinfhumee de-
vrait découler de notre exemt
rité et de nos capacités. Les
tours nous ont fait confiance. Us
ont la certitude de pouvoir nous
faire confiance encore. Nous arri-
verons à reforger notre image de
marque et à redéfinir les positions
gaullistes. »
M. Chirac a assig né les objectifs
suivants ;
.« L’évolution doit se faire dans
un ordre respectueux du prochain
sensible à la sécurité des citoyens
et dans le maintien de la liberté.
Les réformes se gagnent par V ef-
fort. Les plus importantes ont été
faites par de Gaulle et par les
gaullistes. Il ne faut donc pas
hésiter à aller de Vacant. Il faut
réformer V entreprise. Il y a dans
le système actuel une certaine
aliénation des travailleurs. Il faut
■nuAtriser les yrtoüèges qui sont le
soubassement de Vanctenne so-
ciété. Dans la société industriali-
sée, nous ne devons pas être
absents des entreprises. 71 n'est
pas question de créer un quelcon-
que syndicat « jaune », mais de
permettre aux gens qui pensent
de la même façon de se re-
trouver. »
A l'issue du comité central.
VUSUEL. a décidé : d’éditer un petit
livre sur de Gaulle, destiné a la
Jeunesse; de créer un supplément
mensuel à la Lettre de la nation ;
de constituer un groupe de tra-
vail sur la réforme de l'entreprise,
qui devra remettre ses conclusions
-naître dans toutes les orien-
: «s de la majorité !
•i serait préférable de ne pas
Are d certaines prises de
km parce que nous ne som-
pu Sur le même plan. La
que gauBIste se définit par
vt à Ta France et non par
vt aux combinaisons des
i politiques. Ce ne sont pas
ropos dès autres qui modi-
it 7103 attitudes. »
race solitaire du pouvoir
'Alexandre Sangulnetti, an-
secrétaire général de
a déclaré notamment :
certaine Idée de la France
isormais en cause Jamais
ice du pouvoir n’a été aussi
re et jamais la tendance
résidentiaUsme, source de
choses, aussi accentuée,
’ette attitude est . pourtant
•ire à la lettre et a l’esprit
i stitutions et aux intérêts
comportement du peuple
■is. Cont rai r e ment à ce que
n attend, elle ne renforce
' pouvoir central^ on ne le
ue trop tous les jours.
ous soutenons Valéry Gis-
d’Estaing parce qu’il est
le la nation et notre élu.
nous ne devons d’incoruU-
lité à personne. L’élection
légal, elle n’accorde pas
aiiquement la légitimité,
ci est bien autre chose que
xttté. H y faut rhistaire et
don populaire au-delà des
ss politiques.
a commémoration avant
s n’y suffit pas.
a notion nécessaire de
fpùbuettél
Un cercle réservé
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des grands vins
TJne idée sympathique!
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teurs de bons vins : pourquoi
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régulièrement informés de
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simes et, pourquoi pas, en.
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.teilles? Etre immédiate?- .
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nantles vins et les alcools de
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sur les Juifs dli.R*S.S.
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interview de SAHA HASSAN,
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et les chroniques habituelles sur fa» livras «* ">*».
note dans 1« dru Stores, gszes, aéroporfa de la région parlitenne.
US numéro :3 F.
• M. Michel Poniatowski a reçu
vendredi 10 octobre une déléga-
tion du Mouvement wLWnna .1 des
élus locaux et du Comité de liai-
son des élus (ce dernier sa réclame
w ni ih te rnit de la majorité Pré-
sidentielle)- Le ministre de l'Inté-
rieur, précise la déclaration
publiée par les deux mouvements
A l’Issue de l'entretien, « a féli-
cité ses interlocuteurs pour leur
effort de coordination et souligné
combien il apprécie la qualité de
leur contribution à une véritable
réforme des finances locale» ».
• M. Jacques Dominati,. secré-
taire général des républicains
indépendants, a déclaré dimanche
12 octobre A Lyon, au coms d'une
journée organisée par la fêdéra-
ration de son parti et celle du
CJTXP. ; « Nous voulons une
véritable organisation pour
défendre la société libérale. Tous
les libéraux peuvent se retrouver
dans une confédération pour cette
bitte. Nous voulons être les
commandos du président pour la
réforme. »
if
J farte ,
deféducalioq |
Au sommaire
do numéro d’octobre
• CROQUIS : « Meissiai Mode tt
sa araire ».
• ETUDE : tes tejBtiess de fie-
teffigeoceL.
• REPORTAGE ta Cene et sn
éeate.
• OPttitOU î reaéEMér b to-
nifia canfiuue?
• ENSDETE : b tfiftrisïn sobre
a Cfite-fivoire.
• NOUVELLES DE L’ETRANGER :
ratrfa de crise a EareaL
• 0001 DE BEDE POUR LA REN-
TREE BNIVERSiïAKE?
• «FORMATIONS PRATIQUES :
. — L’ergasafiBB de fessé
gsesest seceedaf re.
— Les pregiamnas des éos-
. siens édecafives de b
radb-tftorlshB.
- Les sétrers de PmaM.
Le numéro: » F.
AOcoeement (11 numéro* p*r
sa) : France, 50 F.
Etranger (TOI» normal») : 68 F.
avant la fin de l’année au comité
central ; de réunir un c forum >
avec des enseignants, des écri-
vains, des artistes et des journa-
listes. pour définir une politique
culturelle; de réunir, les 6 et 7
décembre, au Bourget, un congrès
de jeunes UDE. devant rassem-
bler six T"UI« p uftlripant»
SIT
VOTRE
«moi
est un problème
à confier
aux spécialistes de la
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79001 PARIS (téL 23S-01-22).
25, nu du Louvre,
Pour la première fois :
ypiçi la réimpression fidèle de la précieuse
édition en gothique, sur une colonne, du
ÏLmtmant îw la îiose
Cette œ u v re étrange et
grandiose, peu comme
en -profondeur, hormis
dfs gpn* de haute cultu-
re, n’a rien perdu de
son charme, de son ac-*
tuafité émouvante. C'est
l 'œuvre clé pour com-
prendre le "Moyen Age
et la Renaissance dont
cet' ouvrage poétique
contient les idées maî-
tresses.
C’est ce grand texte,
presque introuvable, si-
non eu fragments épars,
que j’ai voulu restituer
intégralement dans sa
chair et dans son habit
d’époque.
Voici donc intact lè pins
grand texte de no tre lit-
térature du XUP 'siècle,
le siècle des signes et
des mystères, où. Ton
parcourt tout le Moyeu
Age.
Jf
t
lié
Roman de k.
Rose
•Imprimée en 1538 par Jehan Longis
avee 50 merveilleuses illustrations
gravées sur bois par un artiste
anonyme dn XV e siècle.
Notre texte est la reproduction exacte «Tune
impression introuvable de Tau 1538. Ses
840 pages in-octavo (14 X 21 cm) sont
serties Hans une magnifique reliure du
XV* siècle, travaillée 'en pleine peau de
mouton de pays. 840 pages dans un seul
livre, et quel livre Le papier est un
merveilleux papier chiffon' incorruptible et
fabriqué comme autrefois à la forme ronde,
très fin et aussi résistant qu’un papier mon-
f naie. H est fait pour dorer des siècles. La
tranche de tête el le dos sont dorés à For
fin véritable titrant 22 carats.
Je pourrais donner mil-
le détails encore, mais
il font regarder le livre
lui-même, le caresser,
pour en éprouver toute
la perfection et cette
sensation étrange de
plénitude qui rayonne
des objets prédeux, soi-
gnés en profondeur, et
qui fait dire qu’ils ont
.une âme.
10 joncs chez vous
sans rien payer !
11 faut qu’à votre tour
vous en éprouviez la
magie, ne seraït-ce que
pax_ curiosité cT amateur,
et je vous en offre la
. possibilité, de la façon
la plus simple— son prix
étant de : 93,00 francs
(4-4,60 francs de port et
d’emballage) et je vous
certifie qu’il les vaut
largement ; mais n’en-
voyez pas d’argent main-
tenant— adressez-mol seulement votrç bon
de réservation et examinez d’abord l’exem-
plaire que je vous, envoie en vision. S’il ne
.vous plaît pas, reavoyez-le-moi dans les
10 jours et nous ne parlerons plus de rien.
Si' vous avez envie de le garder, et seule-
ment dans ce cas, vous m’en réglerez le
montant.
Quelle meOleure garantie puis-je vous
offrir?
Votre très dévoué.
Jean de Bonnot,
Editeur-Relieur
GARANTIE
li no naitiimi ùüb fe Utns mh les
Eta* TOC ttB. i*bMK Ikon BMW
wlniMil vil pi* o dDOBemànas-
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Jnodt BaocHUptidu
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chez le seul :
>«3
JEAN DE BONNOT
Edksar de lirrc» rua et prfdaou
7. Tt Seint-Hooorf - 75»2Farii - CWex 08
le voàatte de « gomon de
Je sale aafeu de «oAr {tans engagement)
la Jtose ».
Nota ' Pré n om
Roe Numéro
Codé Postal Ville
Signature :
Page 10 — LE MONDE — 14 octobre 1975
DIRECTEUR COMMERCIAL
140.000 F
Biens! de consommation durable — Une société française spécialisée dans Ta
fabrication eTIc commercialisation de biens de consommai ion durables de marque,
r ech erche 'pour siège situé à Paris un. Directeur Commercial. Membre du comité de
dir ect ion, II sera responsable devant le Directeur Général de la politique produits et du
développement des ventes auprès des différents canaux de distribution (grossistes, dé-
taillants, grandes surfaces, installateurs). U animera différents services : ventes et après-
vente. promotion et éludes commerciales, export, distribution. Ce poste convient à un
cadre confirmé de formation supérieure commerciale ou de niveau équivalent âgé de
35 ans au moins. Sa carrière antérieure lui aura permis d’acquérir une solide expérience
de la vente et de l’animation d’une équipe commerciale, des problèmes de marketing, de
publicité et de distribution, de préférence, dans le domaine des biens de consommation
durables ou d’équipement. Des qualités d’animateur et de gestionnaire sont nécessaires.
La pratique de l’anglais est indispensable. La rémunération annuelle sera de l’ordre de
140.000 francs. Ecrire à Paris. Réf. A/2254 BM
CHARGÉS D’AFFAIRES
90.000 F
Second-Œuvre Bâtiment — Une importante société française spécialisée dans les
installations de second-ceuvre — chauffage, climatisation, sanitaire, électricité — recherche
sur la région parisienne plusieurs Chargés d'Affalres (un poste de même nature est à créer
dans le Sud-Ouesi). Sous l’aulorité du Directeur Régional qui assurera la coordination
et l'orientation- de leur action, ils auront la mission de promouvoir les services et l’image
de marque de l’entreprise auprès des prescripteurs. Ce sont donc des hommes de contact
qui interviendront auprès des architectes, des bureaux d’études et des administrations d’une
manière constante et suivie. Mais ce sont surtout des techniciens aptes à Identifier et à
sélectionner les projets en fonction des possibilités techniques de la société et des chaaces
d’aboutir, à remettre des propositions avec l’appui du bureau d’études et à les défendre
ouprès des organismes décideurs. Ces postes conviendraient à des. cadres expérimentés,
âgés d’au moins 32 ans, deformation supérieure (TP, ENSA1S.-) ayant ou moins dnq ans
d’expérience dans le bâtiment, acquise dans les bureaux d’études et sur les chantiers.
Des aptitudes commerciales, le sens du contact et de la négociation sont indispensables.
La rémunération annuelle de départ sera liée aux compétences du candidat et pourra être
de l’ordre de 90.000 francs. Ecrire à Paris. Réf. A/2338M
INGÉNIEUR COMMERCIAL EXPORT
Paris
Produits Industriels — Une très Importante société industrielle française, leader
sur son marché, recherche un Ingénieur Commercial pour l’une' de ses divisions. Basé à
Paris, et sous l'autorité du Directeur, il aura pour mission principale de représenter les
intérêts techniques et économiques de l’entité concernée auprès de services commerciaux
internes et externes. D’autre part, il devra participer à la recherche de débouchés nou-
veaux à l’étranger et à la mise en place, le cas échéant, de supports locaux. Enfin, il devra
suivre la gestion des (Efférents chantiers pour pouvoir en rendre compte â tout moment.
Ce poste conviendrait à un candidat, âgé d’au moins 27 ans, de formation supérieure
commerciale ou technique, ayant une expérience d’environ trois ans acquise dans la
Commercialisation de produits Industriels. Celte fonction nécessite une grande disponibilité
et la pratique courante de l’anglais. Une bonne connaissance des pays arabes ou africains
est souhaitable. La rémunération sera importante et tiendra compte de l’expérience
antérieure. Ecrire à Paris. Réf. A/2336M
RESPONSABLE ÉTUDES ET DÉVELOPPEMENT
90.000 F
Rhône-Alpes — .Une société française occupant une place privilégiée dans le domaine
de la fabrication et de la commercialisation d’appareils de chauffage (chiffre d’affaires :
60 millions de francs), recherche dans le cadre de son expansion, le responsable des
Etudes et du Développement. Rattaché au Directeur Technique, il supervisera le bureau,
d’études et râtelier des protolypes (10 personnes). Pfirfïdpanf & l’élaboration du cahier
dés charges, il aura pour mission de concevoir les produits nouveaux jusqu'au stade de
leur industrialisation en tenant compte dés contraintes techniques et esthétiques pour des
produits fabriqués en moyenne série. Ce poste, devant évoluer vers des responsabilités
plus importants, conviendrait à un ingénieur d’études (diplômé ECP, AM, ECAM ou
similaire), âgé d’au moins 32 ans. Il possédera une expérience minimum de quatre pns
lui ayant permis d’acquérir de solides connaissances en matière de tôlerie, ainsi qu'une
grande habitude des problèmes énergétiques, en particulier gaz, électricité. La connais-
sance de la langue allemande ou anglaise est souhaitable. La rémunération annuelle de
départ, de l’ordre de 90.000 francs, sera liée à l'expérience acquise. Ecrire à Lyon.
Réf. A/3348M
DIRECTEUR COMMERCIAL ADJOINT
90.000 F
Une société française fabriquant et distribuant des produits alimentaires, très bien placée
sur le marché, national (chiffre d'affaires.: 100 millions de francs), recherche l’Adjoint
du Directeur Commercial. Sous (a conduite de ce dernier, U partagera son travail à égalité
de temps entre deux missions. Tout d’abord, II aura une mission d’assistance auprès des
différents chefs de région dans tous les problèmes rencontrés sur le terrain.- D’autre part,
il sera chargé de la mise en place, du suivi et du contrôle des - budgets ainsi que de la gestion-
dynamique des ventes (études de marché, statistiques, définition des objectifs...) visant à
déterminer la politique commerciale. Ce poste convient à imcândîdat âgé- d'au moins
30 ans, diplômé d'une école supérieure de commerce, et possédant une bonne expérience
dans la distribution de produits de grande consommation. Il nécessite de réelles qualités
de dynamisme et la volonté de travailler en équipe. Il fa’ut prévoir de nombreux dépla-
cements. Ce poste, à pourvoir dans une vllîe proche du Nord de Paris, doit Intéresser un
candidat sérieux désireux de relier un travail d’étude et de gestion à une action concrète
sur le terrain. Ecrire à Croix. Réf. A/4247M
RESPONSABLE MAINTENANCE PÉRIPHÉRIQUES 85.000 F
Un groupe international fortement implanté dans le domaine des équipements destinés
au commerce de détail, recherche un responsable maintenance. Basé en banlieue Ouest
eî répondant à la direction commerciale, il sera, en liaison avec les. services techniques
pour l’Europe, chargé du démarrage du département assurant l'installation et la mainte-
nance d'équipements de péri -Informatique en clientèle, il devra également être capable
de fournir un sùpporttechniqae au niveau des ventes et de-la fabrication. Ce poste intéresse
un candidat d'au moins 28 ans, disposant d’au moins dnq années d’expérience de la’
maintenance d’équipements Informatiques (périphériques, calculateurs, modems_). Une
familiarisation avec les matériels de tests récents est nécessaire. Le poste exige une pratique
de l'anglais ainsi qu'une grande mobilité sur l'ensemble de la mince. Là rémunération
annuelle sera de l’ordre de 85.000 francs. Ecrire à Paris. - • Réf. A/233IM
JURISTE D’ENTREPRISE
75.000 F
Un important groupe Industriel français renforçant son service juridique, recherche pour
Paris un juriste chargé des problèmes de contentieux général. Ses responsabilités s’exerce-
ront au sein .d’unê équipe jeune et expérimentée et couvriront des Interventions dans .les
domaines les plus variés : droit immobilier, droit des contrats et des affaires. Il conseillera
et assistera, sur le plan juridique, les directions et.les filiales de ce groupe en situation de
litige ou de prélitige. Ce poste conviendrait à un candidat, homme bü femme, âgé d'au
moins 30 ans, diplômé d'enseignement supérieur juridique (option Droit des affaires ou
Droit privé) et possédant une expérience pratique confirmée acquise soif- en entreprise;
soit en Cabinet de conseil juridique.’ Ce poste nécessite une grande disponibilité psycholo-
gique et de réelles qualités humaines ef morales. Une bonne connaissance de l'anglais
serait appréciée. La rémunération annuelle de départ, de l'ordre de 75.000 francs, sera
fonction du niveau d’expérience acquis. Ecrire à Paris, Réf. A/2325M
Aucun renscsgncmcat ne sera transmis sans V accord préalable des candidats.
Adresser C.V. en rappelant la référence à s
PA CONSEILLER DE DIRECTION SA,
8, rue Belljnï, 75782 Paris - Cedex 16 - Téi. 727-35-79
9, rue Jaeques-Moyron, 69006 Lyon - TâJ. 52-90-63
19, Résidence Flandre, 59170 Croix -TéL 72-52-25
Amsterdam - Bcrcalone - Bruxelles • Gopentasuc- Francfort - Lille- Londres ■ Madrid - Milan - Paris - Stockholm - Zurich
POLITIQUE
Témoignage ~~j La latte des classes et la violem
M. Henri De Carmlho, ou-
vrier en chômage à Toulouse*
membre du parti socialiste,
sous écrit . au sujet de la
• Libre opinion » de ML Ber-
trand Motte : * Lu lutte des
classes, source de la viole ne a ».
parue dans « le Monde • du
7 octobre.
Je viens de lire cet article, et une
nausée m’a bloquée tout jugement
pendant quelques Instants dans la
mesure où - des personnes Ignorent,
encore, toutes les difficultés d'une
classe pauvre' qui lutte pour se
défendre et pour changer sa situa-
tion d'exploités en homme libres,
et. d’après l'article en question tout
ceci c’est la faute aux éducateurs.
Puis, petit & petit, le souvenir de
tant d'injustices dont J’ai été victime,
dans mon travail, dans mon environ-
nement social, puis l’Image, toujours
répétée de tant d’ouvriers, d’autant
de pauvres qui ont laissé leur sang
su. le sol des champs, des rues et
des usines, sans parler des souf-
frances pendant des vies entières,
du tait de réclamer du travail, de
la Juste rémunération de son effort,
ou tout simplement de quoi manger.
Combien de licenciements, avec
tous les problèmes de subsistance
que cela comporte, d’emprisonne-
ments. de tortures, tout simplement
parce qu'à un tournant de leur
mfsdre, des hommes et des femmes
ont constaté que les profiteurs de
cette situation créaient et Installaient
un pouvoir à tous les niveaux,
leur détriment le plus humiliant et
que la seule récompense était la
méfiance, l'accablement et le mépris.
Combien de policiers dans l'his-
toire du monde ouvrier sa sont
abattus, bourrés d’armes et de léga-
lité, sur des hommes et des femmes
qui ne demandaient qu'un peu de
décence et de justice ? Et qui a donc
appelé ces policiers? Et quel pou-
voir était donc en place ? Qui déte-
nait donc ce pouvoir ? Etait-ce Marx.
Marchais, Mitterrand ou Fabre? Ou
était-ce plutôt la *> nôtre société
comme le dit M. Notre.
On peut interpréter le mot violence
de plusieurs façons; une fols que
Ton aura dit qu’l] y a la violence
par coupa et blessures et violence
par la manière dont on traite les
plus faibles, c'est-à-dire ceux qui
«ont complètement démunis de tout
moyen de défense, par des menaces,
chantage, conditionnement, misère.
Ignorance, solitude, on peut dire
aussi qu'il y a la violence de ceux
qui demandent un peu plus de
décence basé eur la dignité et la
justice, et puis la violence de ceux
qui ont le pouvoir per l'argent, qui
sont à l’origine de la situation même
de classes et qui ne veulent pas s'en
séparer.
Que M. Motte cite un cas des
avantages acquis par la. ctassa
ouvrière vis-à-vis de (a classe domi-
nante qui ait été réussi par le «Impie
jeu du dialogue en paix et tranquil-
lité. Non, bien au contraire, U a tou-
jours fallu d’immenses luttas do
femmes, hommes et enfants déchirés
par les sacrifices que la répression
et le chantage du travail imposaient
au sain des foyers les plus pauvres.
, Est-ce donc la lutte des classes
qÇl a engendré ta violence, ou. ou
contraire, ta violence du privilège
fanatique et cynique do I’ « intérêt
générai ■ dont M. Motte parie qui
a engendré (a lutte des classes ?
Est-ce donc les éducateurs qui
veulent que la liberté d'un cadre
supérieur soit plus importante dans
l'ordre eoclal que la vie d'un
ouvrier ? Qu’un monsieur soit
exempté de détention provisoire
alors que quatorze mille d'autres
concitoyens en bénéficient ? Et tous
les gens qui ont travaillé dur pen-
dant toute leur vie et qui ont aujour-
d’hui des 'retraites mi érables, qui
vivant avec deux ou trots dtt
de troncs par jour, ot tout ceci
porior du problème cnjctoj
jeunes sans emploi, bloqués de
confinement social, à la morg
tout pouvoir, môme de celui de
des projetais pour leur propn
Est-ce tout cela la faute de la
des classas, des éducateurs
plutôt d'uno seule classe, la
nantis, qui no peut exister qu
lo bâti Ion nom ont, le conditiom
et la misère de l’autre ?
Mois là où M. Motte se b
encore davantage, c’est qua
considère, on car b. que tes pi
«ont manipulés par des » frt
roots et esthètes vautrés ». n<
pauvre ne lutte que parce qu
pas d 'outra moyen pour p
envisager un jour, pour lui
famille, un bonheur, un épanc
ment de sos possibilités,
chances au déport dont tou
humain est en droit d'avoir c
naissance.
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• • • LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 11
* r| üss l M ■
POLITIQUE
L'É-ECTION LÉGISLATIVE DE LA VIENNE
me Iresson (P.S.) affrontera M. Abelin lors du second tour
î candidat présenté par M. Jobert ne recueille que 4,5 °Jo des suffrages
ltiera. — La campagne élec-
• je pour le scrutin, législatif ren-
nécessaire dans la deuxième
1 1 nscription de la Vienne par
- écès de Robert Gouralut,
iéant de M. Pierre Abelin, '
.-Etre de la coopération, a été
Î " née. dans la nuit du ven-
10 au samedi il octobre,
- divers incidents. Les vitres
t permanence du Mouvement
.. démocrates de M. Jobert ont
. brisées et le parti socialiste
ffotesté contre l’action de
De notre correspondant
mur* de graffiti injurieux
vis-à-vis de M. AbiÛri. volant les
affiches socialistes pour les col-
ler if importe où, veulent créer tôt
climat de violence.». H . était tempe
que s'achève une iwwp « gi;ft d'une
-vivacité exceptionnel] 0 pour là
région.
Le scrutin, qui s* est déroulé
dimanche 12 octobre par une
les élections législatives partielles,
il- a- pu' se trouver acce nt ué par
les électeurs ga^nist ^ qui ne
souhaitaient pas se prononcer au
premier tour en faveur de
M. Abelin et- ne twmipwt pas pour
autant & appuyer M. Roussel,
candidat de NL Jobert.
Ce courant d'abstentions a
contribué à eu ballottage
sympathies acquis an cours des
années. M. Proinan teil entendait
ainsi se démarquer des socialistes
et apparaître comme le seul rival
sérieux du ministre de la coopé-
ration. H pouvait compter dan*
cette tactique sur la comp licité
de M. Abelin, qui cherchait, lui
aussi, à présenter le scrutin
comme un -combat entre la majo-
rité et le P.C.F. Ce calcul a été
insuffisant pour ralentir la pro-
gression socialiste.
Le candidat de Lutte ouvrière.
(Dessin de PLAMTVJ
Le « rééquilibrage >
CANDIDATS
ET
PASTIS
(12 OCTOBRE 2975] 11 W»«S 1973
ffi-V»" tt.T&M&’aiÿ- SÎM-ESsÂTr S?»:?-
4 MARS 1973
Inscrits : 64-408
30 JUIN 2968
23 JUIN 1968
12 MARS 1967
5 MARS 1967
Inscrits: 63115 llnscrlta : 63 996 inscrits: 63 006
^^ywSLIN (Centre dém.)
« . -CRESSON (PÂj
Sl> 2 J|(J ntOMONTKII. CPU-]
-n ■ r ^ s USSHX.
^ (Moav. des démj
, l ^USXBR (L. OJ
•‘*.11*111 j>
' f ü mîrn
— 7559(1)
^RILiU
a
^‘^3. U.
12 516 (2)
15 289 {2}
14179 (2)
vL Henri Charrlean ; (2) MM. Michel Montenxy, .UJLP.-UJD.IL en 1973; Victor Rochenblr. UJ3JL en 1968; oh ■»■!«>« Oombault, TT N R - V Rér.
Jfi7 ; (3) M. André Chthim. - ^
-ovocateurs » qui, « arrachant température très fraîche, a été le ministre de la coopération, & qui enfin, est loin de récupérer les
affiches des candidats de la marqué par un fort pourcentage U a manqué deux cent cinquante- quelque 3 % de voix trotskistes
'Jlr, matraquant leurs colleurs, d'abstentions (38,23 %). Si ce ‘cinq voix pour être réélu dès qui, lois de l’élection préslden-
BRt leurs voitures, couvrant phénomène est propre à toutes le premier tour. H n'en reste pas tieiie. s’étalent portées sur
d'abstentions (3&28 %). Bi ce
phénomène est propre à toutes
-, Les premières réactions
:• . . ——————
^ 1 ABEHl : l'action du gou-i M. EÏÏIER
reniement ^appréciée.
,ir pierre Abelin. ministre de la
opération, a déclaré dimanche
octobre ;
t II me manque deux cent cm-
m mte voix. La tradition est res-
tée, car je n’ai jamais été élu
- p r emier tour. J’ai été attaqué
Lme trois adversaires, notam-
wht par le parti socialiste qui a
mtags critiqué qtfü n’a ensd-
II a montré tout ce qui va
en France. Par contre, le
f communiste, qui, lui-aussL\
pas manqué de m’attaquer, à \
tri que lui, Ü avait un pro- j
. me.
-Ce résultat prouve que mon
.m régionale a été comprise et
. - celle du gouvernement est
m&éciéc. Il faut également
ter que le temps froid — la
~ basse température enregis-
— , d ChAteUerault un 12 octo -
depuis 1874 — a incité beau-
1 d’électeurs à rester chez
’ MïïERRAND : pourquoi
réformiste à quinze
fonalisations et révolution-
■^re à seize ?
v" François Mitterrand, pie- I
> secrétaire du P.&, qui par-
ât dimanche 13 octobre à
- y k une réunion de rafll-
de son parti, & invité les
istes à ^poursuivre leurs
's en vue de définir leur
lté» sans avoir «mauoaise
ience » par rapport aux
mnistes. M. Mitterrand s’est
contre ceux qui présente n t
5. comme le partisan «d’un
^/mntsme un peu plus pâle ou
r sodal-démocratie un peu
forte», s Pourquoi, a-t-il
Jidé, serait-on réformiste à
nationalisation et révolu-
aire à seize? Pourquoi, y
t-ü collaboration de classe
i la FEN signe un accord
Sol, et non pas quand Ta
\ conclut les accords de
Ole? Le parti communiste
M. ESTIER : une surprise.
M. Claude Estier, membre du
secrétariat du parti socialiste, a
déclaré dimanche 12 octobre au
micro de Francé-Inter :
« C’est une surprise, mais nous
avons tout fait pour cela. Nous
avons voulu démontrer que le
parti socialiste et la candidate
socialiste étaient les mieux placés
dans cette circonscription pour
battre le ministre Pierre Abelin.
Je ' crois que les électeurs de
gauche, en portant Edith Cres-
son à la seconde place ; cfest-àr-
dtre en lui permettant d’&tre
radversaire au second tour de
M. Abelin, ont montré qv’efjecti-
vement le parti socialiste était le
mieux placé pour tenter de bat-
tre le ministre. »
UNE ÉLECTION CANTONALE...
HAUTES-PYRENEES ; c a n ton de
la Bm±he-de-N«rte (2* tour).
Tngr-r -, 3 651; voL 2 759; SUffir.
expn, 273L MM. Louis Fonrquet,
maj. prés, 1 497 voix, élu ; André
Claverie, rad. de gauche, 1234
[p s'agissait de pourvoir an rem-
placement d'Antoine Cortège, rad. de
gauche, qui avait été réélu an pre-
mier tour des élections ca nt o n a les
de mars 1979 avec 1282 voix contre
682 A M. Jean-Pierre Lebrotu aet.
locale, et 369 à BL Albert Aeale,
P. CL, sur 3 £94 Inscrits, 2 393 -Votants
et 2333 suffrages exprimés.
Les résultats du pre m i er tour, qui
a eu Heu le 5 octobre, ont été les
suivants : lnacr-, 3 652 ; vot-, 2 769 ;
e uffr expr^ 2729. MM. Louis Fo or-
que t, rép. IntL, 1 290 vota ; André
Claverie, rad. de gauehe, 722 ; Albert
Escale, P. C., 466 ; Claude Zajan,
D.D.R, 25L. Le candidat radical de
gauche . avait enregistré an premier
tour une perte très sensible des
suffrages par rapport au score réa-
lisé en mars 1979 par le conseiller
général sortant (plus de 28 points
en pourcentage). A l’issue de ce
. second tour, M Claverie, en revan-
che, totalise plus de voix, pour un'
nombre sensiblement égal de suf-
. conclut les accoras ae exprimés, que les candidats
e&«7 Le parti communiste de gauche an premier tour (45,18 %
ne qu’ü ne s'inspire pas des coa tr« 43,53 %>. Toutefois, a perd le.
lances communistes de ïEu- Bn pro nt du candidat de a
de l'Est et qv’ü n’a pas de majorité présidentielle.]
Je. On nous met en accu-
^ 1 , mais on ne précise pas
•apport à quels critères.»
) altières, selon le premier
affaire du P.&, sont proches
i schéma soviétique», eta
ition c Vvn modèle socialiste
ue nous l’avons fait depuis
a grès d’Eptnay de 1371, dans
programme de gouveme-
. dans le programme com-
à partir de la définition de
, 1 Mon de front de classes et
..i. les thèses adoptées sur
gestion, a-t-il conclu, est in-
ent plus claire que celle que
«e le parti communiste.»
Humanité répond lundi
iobre aux propos de M. Mlt-
(Szû. en n’y a pire sourd que
qui ne veut pas entendre.^
JîTti communiste rejette caté-
^ ventent toute théorie des
les. Nos documents, depuis
mnées, exposent la concep-
i’un socialisme aux couleurs
■ France. On peut discuter
conception, qui n’a évidem-
rien à voir avec celles de
idt ou de Soares. On n’a pas
■oit de l’ignorer. Finirons-
par nous faire entendre ? »
...ET UNE MUNICIPAlf
CORSE: Afa (l^tonr).
Inscr, 696 ; vot, 499 ; suffi,
expr.. 496. MM. François Mu-
fraggi. racL, 277 voix, Su : César
Mufraggi, intérêts locaux, 219.
(Ü s'agissait de compléter le
conseil municipal A la suite de la
démission, pour raisons de santé, dit
maire, M. François Mufraggi, nuL,
dont le fils, AL François Mufraggi,
directeur du centra hospitalier de
Bennes, était candidat. Sur les
499 votants. □ n’y avait que so votes
par correspondance, alors qu’on en
comptait M lors des élections canto-
nales de 1973. Le premier adjoint au
nudre d’Afa, AL Mattéi; sôuUgnait
après la. proclamation des résultats :
u Nous ayons voulu ce scrutin exem-
plaire. Seules ont été admises à voter
par correspondance les personnes
infirmes vivant dans le village. Pour
nous, c’est clair, il s'agit d’une
condamnation sans équivoque du
vote par correspondance- Nous espé-
rons que notre exemple sera suivi
pat beaucoup d'autres en Corse. »]
‘ cinq voix pour étire réélu dès
le premier mur. 11 n'en reste pas
moins que. compte tenu de
- l’abaissement à dix-huit ■ su» de
Tâge de la majorité civique, qui
a entraîné l'inscr i p t i o n de quatre
mille cinq cents électeurs nou-
veaux, la gauche retrouve sensi-
blement ses voix du 4 mars 1973,
alors qu'il en manque dix min»
h la nouvelle majorité présiden-
tielle.
M. Aheiin est nettement
contré & Chilien erault, ville dont
il est maire, et où il n’obtient que
4452 % des suffrages. Déjà lors
de l’élection présidentielle..-
M. François Mitterrand avait |
devancé M. Giscard dEttalng
dans cette ville. Les élections
municipales de 1977 sont hypo-
théquées par ces résultats, d’au-
tant que M. Abelin devra ouvrir
sa liste à TCTJDJEL, alors que son
conseil municipal était jusqu’à
présent composé de centristes et
de divas gauche, y compris cinq
socialistes exclus du P&. en 1974
Bn revanche, à Loudun, le
ministre de la coopération obtient
de peu la majorité absolue, n est
vrai que son suppléant, M. Jean-
Jacques Fonqueteau, c onseiller
municipal de la ville, y est
confortablement élu. C’est d’ail-
leurs pour cette raison que
M. René Monory, sénateur centre
démocrate, maire- de Loudun,
avait conseillé ce • coéquipier à
M. Abelin.
SI la majorité doit s’interroger
sur le tassement de son influence,
M. 'Min.hfti Jobert a pu mesurer
l’audience de son « ailleurs >.
Alors qu’il bénéficiait de la
complicité active d'une fraction
notable de la fédération dépar-
tementale de ITT. D. IL, quH
affrontait un anti-gaulliste connu
qui plus est partisan convaincu
de l’alliance atlantique, le Mou-
vement des démocrates recueille
rwaiwg de 5 % des voix, ce qui
constitue pour ses dirigeants une
sévère désillusion. M. Andr é
Roussel s'est borné à exprimer,
riimandie soir, « le VCBU que le
deuxième tour assure, le 1 9 oc-
tobre, pour la circonscription de
ChûiélÙTault-Loudun, une repré-
sentation neuve ».
A gauche, le parti soci al i s t e a
réussi son pari et refait son
retard sur le parti communiste.
Bn prenant la tête de la gauche
da™ un département oà il est peu
implanté et dans une 'circonscrip-
tion où il a longtemps coopéré
avec M. Abelin. le P3. confirme
la progression déjà révélée par les
élections législatives des 29 sep-
tembre et 6 octobre 1974 11 est
vrai que les dirigeants du parti
socialiste n’oht pas ménagé leurs
efforts pour atteindre cet objectif.
La plupart de ses porte-pa r o l e ont
fait le voyage de la ‘Vlenncr et
M. Mitterr and est venu à deux
reprises appuyer personnellement
Mm*» Edith Cresson, elle-même
membre du secrétariat national
du P.S. La candidate socialiste,
en revanche, devait compter avec
le handicap du c para c hu t age »,
puisqu'elle n’a pas d'attaches per-
sonnelles dans la circonscription.
Ml Pierre Abelin avait tPaifleurs
ahnriHammwnt utilisé Cet axgu-
mat an cours de sa campagne,
apparemment succès.
Le candidat communiste,
M. Paul Promonteil. membre du
comité central du P.CJP n enre-
gistre lui aussi un tassement sen-
sible de ses voix Adversaire
régulièrement malheureux de
M. Pierre Abelin dans chaque
élection législative, ca n tonal e ou
municipale, ü avait préféré aux
grandes réunions publiques
(MM. Georges Marchais et Robert
BaÜenger ont envoyé des mes-
sages, seul M. Paul Laurent s’est
déplacé) vivre sur le capital de
enfin, est loin de récupérer les
quelque 3 % de voix trotskistes
qui, lozs de l’élection présiden-
tielle, s’étalent portées sur
Mlle LagulHer et M. Krivlne. H
a co mmenté dimanche soir le
scrutin en soulignant que c le
parti socialiste est le principal
{Suxte de la première pagej
II est, en effet, une fols de plus
prouvé que lorsqu’un centriste rallie
la majorité une fraction non négli-
geable de son électorat, qui est bien
souvent de l'ordre du tiers, ne
«au/f* pas.
Ce refus de suivre explique sans
doute pour partie la très forte pous-
sée du P.S. qui progresse non seu-
lement en pourcentage (22,50 % au
lieu de 15,02 °/a) mais aussi en nom-
bre de voix (9 775 au lieu de 7559),
résultat remarquable compte tenu
de la très sensible augmentation des
abstentions. C'est là un net avertisse-
ment pour le P.C.F., qui n’a point
encore commenté le scrutin, mais ne
peut fermer les yeux devant une
évidence : si l'opposition considérée
dans son ensemble (P.C. -f- P.S.
+ LO.) ne souffre apparemment pae
des rudes querellas qui l’agitent
depuis un an et renforce, au
contraire, ses positions (de 38,21 Va
à 45,57 Ve des suffrages exprimés),
le candidat communiste enregistre
une perte de près de deux points
(21,48 B /o au lieu de 23.19 %). Le
* rééquilibrage - souhaité de longue
date par M. Mitterrand prend de
plus en plus de consistance d'une
consultation à l’autre, ea formation
devient de plus en plus ■ crédible ",
pour employer le Jargon de l'époque,
et l’on se prend à penser que l'élec-*
torat de gauche, y compris une partie
de celui du P.C.F., est plus * uni-
taire • que « partisan ». A- quatre
dépourvues de toute Justification 7
Dans l'actuel système de bipola-
risation, tes deux blocs attirent de
plus en plus de voix et les consul-
tations renforcent, au sein de chaque
camp, celle des composantes de
ce camp qui apparaît comme domi-
nante. Le phénomène valant pour la
majorité comme pour l'opposition.
M. Jobert n'avait guère d'illusions
à se faire, et on ne s’étonnera pas
qu'en dépit du lancement récent de
son « petit livre bleu -, le mouve-
ment des démocrates qu'il avait créé
en mars 1975 doive se contenter de
moins de 2 000 voix et de 4,58 */■
des suffrages exprimés. La preuve
étant bien faits qu'il est impossible
de sa situer - aülaura ». la seule
consolation de l'ancien ministre des
affaires étrangères, si c’en est uns.
sera d'arbitrer au second tour antre
Mme Cresson, qui bénéficie du
désistement de Lutta ouvrière et peut
logiquement escompter celui du
P.C.F.. et M. Abelin. Il ne manque
que peu de chose & ce damier pour
l'emporter, mais II ne semble pas
pouvoir compter sur la totalité des
électeurs du Mouvement des démo-
crates. puisque M. Roussel appelle
de ses vœux « une représentation
neuve • pour la deuxième circons-
criptio : de la Vienne. R. B.
• M. Georges Sarre, membre
du bureau exécutif du P-S- a es-
timé, dimanche 12 octobre à
Paris, que des Sections législati-
partt socialiste est le principal K ' Paris, que des Sections législati-
benéficiaire de la jpohtlque f ? \ q J A qu **T B ves pourraient avoir lieu plus tôt
(T union de la gauche telle qu’elle ra0,# du vingt-deuxième congrès que prévu. « M. Valéry Giscard
est pratiquée par le parti commu- communiste, convoqué pour le début fCEstaing, a-t-il dit, veut mettre
est pratiquée par le parti commu-
niste et le parti socialiste ».
M. Cerisier a ajouté que, pour le
second tour, ü appelle ses électeurs
à reporter «sons illusion » leurs
voix s sur le candidat de Turdon
de la gauche ».
communiste, convoqué pour le début iCEstaing, a-t-il dit, veut mettre
de février, la stratégie du parti n'est- à profit une éclaircie et tenter
elle pas remise en cause et les Inces- d’enlever les prochaines législatt-
santes attaques de cette formation ves \ diverses formations de la
contt, I. j*,, «dite no tlntettrt- 1
elles pas par lasser, même si cen- laisser surpre Ti-
tanes d'entre elles ne sont pas dre. »
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Page 12 — LE MONDE 14 octobre 1975 • • •
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HiUlSSMAf^-MONTFARNASSEBELLE EPINE
CULTURE
A LA FOIRE DU LIVRE DE FRANCFORT
La remise à Alfred Grosser du Prix de la pt
est l’occasion d’une réflexion sans complaisais
sur les relations franco-allemandes
De notre envoyé spécial
Francfort. — Dans Je cadre de la Foire du
livra de Francfort. l'Association des libraires alle-
mands décerne chaque année, depuis 1951. son
Prix de la paix à. une personnalité dont « l'acti-
vité dans les domaines de la littérature, de la
science et de l'art, a contribué à mettre en prati-
que l'idée de la paix ». Les titulaires de co prix
en ont, depuis vingt-cinq ans. marqué tout le
prestige r Albert Scbweîtxer et Gabriel Marcel,
poux la France, Hermann Hesse et. Karl Jespexs
poux l'Allemagne, la narHiwai Baa ou la président
Léopold Sedaz Sangliez, entre bien d'autres.
Le Prix de la paix 1375 a été attribué à
notre collaborateur Alfred Grosser. directeur des
études et recherches à l'Institut d'études politi-
ques. Zl lui a été remis le 12 octobre dans l'église
Saint-Paul de Francfort, haut lieu traditionnel do
la démocratie en Allemagne. Le président de la
République fédérale. M. Walter Scbell, était
présent. Au-delà du d'usage, l'événe-
ment a au une portée politique.
Deux discours an effet ont été prononcés : l'un
par M. Paul Frank, actuel secrétaire d'Etat
République fédérale, détaché auprès du pré
ScholL l'autre par Alfred Grosser. Secréta
l’ambassade d'Allemagne à Paris de 1950 à
secrétaire d’Etat aux a ffair a» étrangères dt
à 1974. ML Frank a négocié les accords avec F-
soviétique et la RJ) JL Alfred Grosser, né à 1
fort en 1925. réfugié en France à l'Âge de di
ans, devenu citoyen français en 1937, t 'en-
dos 1947, avec Emmanuel Meunier et J
Rovaxt. à l'élaboration do rapports franc
manda d'un nouveau type, au sein du C
d'échanges avec l'Allemagne nouvelle.
MM. Paul Frank et Alfred Grosser, ru
avec les lois du genre, ont procédé à une en-
serrée des relations franco-allemandes, alla -
libérémezrt à contre-courant des confo nuira
maints égards, ils étaient seuls & pouvoi:
certaines vérités amères, sans tomber sous
sation de polémique ou d’amertume gratuite
J.
Nous n'en .sommes qu'au début d'une enter
DÉCLARE LE SECRÉTAIRE D'ÉTAT PAUL FRANK
k La médiation dans la fran-
chise critique présentant à chacun
Za part de vérité ou la vision de
la réalité de Vautre camp », telle
est, selon M. Pial Frank, la pré-
occupation qui a conduit cons-
tamment l’action d’Alfred Gros-
ser. s Le s gouvernements, a-t-il
poursuivi, se sont peu souciés
de la façon dont Grosser
abordait les rapports franco-
allemands. Comme pour
construire la tour de Babel, ils
ont entassé plan sur plan, com-
mun auti sur communauté. Ils ont
eu un mépris souverain pour ce
qui est fondamental dans
les Etats démocratiques : le peu-
ple, ou les peuples.
» _ Je me demande si nous
avons porté une attention, suffi-
samment critique et sceptique à
la fois, aux sentiments du peuple
français, si nous avons pris la
peine d’entendre les voix de la
contestation ou même celles qui
refusaient Vt unification euro-
péenne, si nous avons bien exa-
miné leurs pensées ou suivi leur
raisonnement.
«L’âme blessée
de la France.»»
» U était si facile, si commode,
de partager les Français en Euro-
péens et anti-Europeens. Si facile,
si commode, d’ignorer un bloc
de 20 % à 25 % de communistes ,
dans leur isolement politique ;
ce Vêtait plus que de comprendre
que L'unification européenne était
aussi une tâche liée à un projet
de société. H était si facile de
gloser sur le « nationalisme fran-
çais périmé », quand la France ne
parvenait pas à clarifier ses rap-
ports à son passé.
» Or, en ces années autour de
1950, aucun peuple n’a autant
que la France, publié une littéra-
ture politique où l’autocritique
fût. aussi corrosive, aussi lucide
sur sot. Nous n'avons pas voulu la
recoimaitre, qu’a se soit agi des
« Taxis de la Marne » ou de « la
Question ». L’âme blessée de la
France s'offrait au mande, mais
Vuntvers des hommes politiques
'émit fabriquer des commurU-
brer le vingtième anniversaire du
retour de la Store. Nous le ferons,
j’en suis sûr, dans un esprit euro-
péen. Mais nous ne devrions pas
oublier que l’homme qui a insisté,
' du côté français, pour que le droit
d'autodétermination figure dans
les accords, ce gui rendit possible
la décision du peuple corroie , s’ap-
pelait Pierre Mendès France. Un
homme que beaucoup d'entre nous
qualifient (Fanti-europée n, ou pire
encore, parce que son gouverne-
ment rejeta le traité d'armée
européenne. N'était-ce donc pas de
bonne politique européenne que
d'insister sur le droit à l'autodé-
termination? »
An début d’une entente
Et M, Paul Frank conclut cet
examen dans les termes suivants :
a France et AUemgane, nous n’en
sommes qu’au début d'une entente.
Voilà la vérité-. Une infinité de
choses nous séparent encore. Zl y
a des échecs. A qui puis-je le faire
comprendre, si. comme on le
proclame partout, nous sommes
déjà amis, déjà réconciliés ? Que
demeure-t
été atteint?
faire, si tout a déjà
» Les grands mots vides. Y a-t-ü
un seul communiqué qui ne dise
pas qu’on s’est mis d’accord sur
l'essentiel? Ce qui signifie qu’on
n’a pas pu s'entendre sur Za plu-
part des choses.
- » Pourquoi la politique parle-
t-elle un langage tnauthentique ?
Croit-on que la vérité soit déran-
geante? Bien sûr, elle dérange,
ell e agace, mais eüe libère aussi,
elle unie Eüe unit là précisément
oà subsistent les différences.
«Pour se retrouver réellement.
Français et Allemands doivent
peut-être passer par une a résis-
tance » commune. Résistance A
quai ? fis doivent se défendre en
commun contre la menace de des-
truction que Ta dynamique incon-
trôlée de la société industrielle
fait peser sur nos formes de vie
européenne.»
Après avoir, évoqué comment.
« faisant de nécessité vertu », l’Al-
lemagne a <t renoncé à l'usage de
la force», ce qui sn’dttait pas
nécessairement de soi». Alfred
Grosser a déclaré de son côté :
»Nous nous préparons à céU- « Personne à V étranger ne devrait
(PUBLICITE)
; liftons prises J> our en cornaensar
inflige de omciics et
c L’inflation, nonobstant toutes
Vu effets, entrait te d'intolérables Iniquités. Eüe inflige de
toy«a eoitofce* de popuiatfem, et Tait d’elle*
flflrréoDnca^tej adversaires de l’ordre social. Plus sûrement attela
doctrine marxiste, elle provoque la lutte des classes. » y
Jacques BUEPP, 1958. 1971.
^*J^gcna>ern*ment empêchera ^économie de plisser sur la pente Oe
.. . . Valéry. GISCARD XTBSTÀZNG, 1971.
L’INFLATION EST UN ÉCHEC
Afin de casser de Justifier la lutte des classes. U faut commencer par
SORTIR DE L’INFLATION
La Comptabilité actuellement mondialement Légale, dite «à nartio
double. . est basée sur l’absurde Postulat suivant : . i Poïolà d 'SÏ
des Monnaies sont invariables. - Après les degrés actuels d'Inflaüo?
de nombreuses Entreprises, dans de nombreux pays, sorrten DéficKÏX
^ Comptabilité Légale, elteTpàSt dwlSÆ
des bénéfices taux el qui augmentent d’année en année. Et qWaiXî
que des Entreprises Légalement prospères partent leu? ïi&aK 0 ? n 2
cessent leurs paiements. n «J ai
Catts situation CATASTROPHIQUE ne pourra cesser aue si mn««L
vement, hw Cfiefe d'entreprise de tous Iss pays «dgerït la * ' m8ssl “
RESTITUTION PAR LES FISCS
des . impôts 1 Indûment recouvrés. Mon . ouvrage intitulé « sortir hb
L’INFLATION - ansajgnb rammant «.calculer 1» montant Jel? dteWbïe
moyennant une participation facultative de 20, 50, 100. 200 an(rnn„
sans Copyright, detelte manière que chacun puisse ie faire reproX
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NOTA. — Grèce aux conseils reço», A titre privé, «l'âne uiun..
ce la Général JSleetrfe Company, les «tarages d’octobre l^TSet
bénéficient .do. sérieux perfectionnements de dëtalL ' solvants
sous-estimer la contrtbuttoi
loureuse à la pair que VAlIe
fédérale a fournie Pouru
ne faudrait pas qu'au y sa
fier d'avoir une telle votai
paix. Les sacrifices censé*
et en grande partie tmpo
ont correspondu aussi à dsi
avantages. La curieuse paix
a appelée guerre froide
ouvert à la République fédé
vole de l’égalité et procure à
bre de ses citoyens le sen.
agréable de pouvoir quitter
d’accusés pour celui d’accusi
» A force de penser tntens
à l’injustice en Europe, or.
trouvé empêché de penser à
très injustices*. Même
constatation qu'on n'est plu
grande puissance est jvu
bonne, V abdication, la fuite a
les responsabilités, seraient
blâmables pour l’une des gi
puissances éc anomiques mot
qui dirait simplernent : «
sommes si petits I Laisse:
limiter & l’Europe notre cor
Mon à la paix et pratlqi
commerce fructueux. Que
risque mène le jeu J » Ces
y a là une merveilleuse
pour Vàbstention : pendant
grande partie du monde oc
dieu Marx, la République fê
fait partie des adorateurs d
Marché.»
E xamina nt la politique
rleure, Alfred Grosser
« qu’en République fédéral
pense de plus en plus d la
tection de l’ordre fond em ent
FEtat et de moins en mata
protection des libertés fondt
taies contre l’Etat (car) la *
de sécurité veut prendre la
mière place dans les préoe
fions internes».
Ordre politique
et ordre social
Cette « sécurité » prédomir
Alfred Grosser en relève la
que dans les a jugements, lés
damnations basés sur FO»
sur l’aisance avec laqueDb
République fédérale a pu se
mettre de confier d'impart
fonctions à des hommti
avalent totalement faSH ce
défenseurs de l’Etat de dr
par exemple les commenta
de la législation sociale, 0
justificateurs de la Gestapv^
« Qu'est-ce donc que T
ral et démocratique? Ici .1
une étonnante confusion. On
comme si l’ordre politique
identique d Vendre social-. Fc
en déduire que l'ordre social
la République fédérale doit
considéré comme aussi exemp
et digne dfètre préservé q*
pluralisme politique et les d
fondamentaux?
s En période de crise,
dire : servir la paix Un*— —
C'est précisément en périodi
crise économique qu'il est jx
culièrement dangereux
faibles que les conflits
se trouvent escamotés - Coq*
précisément des faibles
de crise
set
exige en période
tiennent tranquilles,
(frient paisiblement. . — - _
paix intérieure juste, c’es t d a l
ne pas exploiter en période
crise la faiblesse des fatales*
serait-ce qu’en laissant se aa
1er le prétendu jeu des fore
. Et Alfred Grosser conclût air
<H reste indiscutable, ■pwj
tout, que la République fedff
a beaucoup fait pour la pê&J*
la justice et V égalité, tant à *
térieur qu'au dehors, m*®*
surtout si on compare* Ma»
convient de relever avec exige
ce qui n’a pas été attetinou
qui recommence à FéloWner
point atteint. La République /*
raie n'a-t-elle pas m chance t
(figue d’avoir été contrcunte, l
la nécessité de s’opposer à 0
main régime hitlérien, à foi»
sort système politique sur v
éthique?»
SOCÉÊTË
• LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 13
on san s
inca
PROPOS P' < HISTOIRE D'Q >
e sexisme est-il du racisme ?
Ginud paraît effecttroneat com-
mettre err eur.
En effet, la loi da il jumet 1975
consütne une ext entarm . ÛC e*
du 1" Juillet 1972 intitulée « toi
relative à la lutte contre le ra-
cisme». - -
Cette nouvelle loi rentre drtnç
incontestablement dans le cadre
plus général de la première. • •
Or, les statuts du 1CBJLP. assi-
gnent & notre association de lut-
ter contre le racisme sons toutes
ses formes.
H me paraît doue indéniable
que le MJLA.P.- (ainsi d'aîHents
que d’autres ' associations avant
des buts analogues}' serait sece-
vaWe dé® à présent dans sa eons-
utuuon de partie civile si les ar-
ti^es 2 et 8 de la Toi du Jnfflet
avaient été étendus 4 1* nou-
velle loi.
Contrairement à ce que pense
Mme Françoise Gtroud. fl parait
donc bien y avoir du tpwm
peroiL- - •
[vis la publication d'un orfe-
Jean-JacQues Dupeyroux
me et sexisme, en marge
rfjoire d’O » /Te Monde du
. tembrej, nous avons publié
\ réponse de Mme Françoise
ud fie Monde du 10 septem-
M* Manfred ImergUk , avo-
i la où ur de Paria , a relevé
te texte du secrétaire d’Etat
l| ;> condition féminine Ta phrase
laquelle « aucune associa-
'** ne répond déjà aux condi-
• 1 4 • *<; exigées par 1e code de pro-
penale pour engager des
' irrites » en vertu de la loi du
1975 sur la lutte contre
prisme. M* ImergUk nous écrit
à ce propos :
‘Eu tant que responsable du
■" ; i té Juridique du Mouvement
‘ A Ve le racisme, l'antisémitisme
r - -Ame la p aix ( MJ6.A.F.), Je me
têts de. vous faire observes
' > gnr ce point Mme Françoise
début
f
:r ÿ> FRANÇOIS GIROÜD
ses fantasmes.
• - .. Verrogée par PExpress car là
' -"■^•station de dix organisations
nines (le Monde du 3 octobre)
ce la publication d 'Histoire
d ’ qualifiée d’ « agression pu-
ll*. te contre toutes les femmes »,
t Françoise Glxoud, secrétaire
rp lé à la condition féminine)
rtann le nU-
-iK'.ire notamment
' > du 13 octobre
* 7e comprends cette réaction.
■ . : qui ne la comprennent pas
' sans doute qu’ils ont tu B3s-
■ d’O avec des .yeux de 1950-.
■ 1 cette époque, c’est vrai qu'a
ssatt d’un texte extraordtnai-
mt libératoire, eut ce sens que,
■ • ta première fois, une femme
raconter ses fantasmes - (~)
' Avec cette superbe écriture
. le que saluait François Mau-
-, Histoire d’O a donc été une
table bombe. La première
dse de parole » d'une femme
un sujet, encore une fois, dont
hommes avaient le monopole,
tt à cet égard quTi l s’agissait
« Bure libre et prémonitoire.
Devais, téngtrdnq ans ont
ssé f-J. Alors, Histoire d*0, au-
' fourdlud privé de son contexte
historique », lu avec des yeux
197 S, c'est ires sorte d'hymne
TesOttoage, vécu comme le su-
inte accomplissement d’une pas-
n amoureuse. Chacun ses tou-
rnes (—).
~ Dans le climat de lutte où se
vent aufourd’hm tes femmes
- - arracher de leur visage le
' pus de servante sournoise que
-lèctes ont plaqué sur elles, où
veulent aussi essayer d'y voir
- eu plus clair en elles-mêmes,
-rieurs relations avec les ham-
■ et avec leur propre sexua -
i- on doit comprendre que la
J caü on du texte de_ conîi-
s à rappeler Pauline Réage,
frisse beaucoup.
. ? allais dire : « Mettez-vous à
.r place-. » Mais vous a-t-on
* refusé un emploi, une
Bon dans la société, une
lue de confiance, pour la rat-
eties uj
que vous
un homme ? »
s Un enfant va neutre». —
ïe thème, l'Ecole des parents
les éducateurs propose des
s de réflexion et de forma-
s’étendant sur un mois &
.3 de deux weeks-ends et qua-
éances. Un cycle aura lieu
. 1e 15 novembre et le il
: ibre, un autre entre le 7
r 1976 et le 11 mars. Parmi
gestions abordées : rôles
olins et féminins au cours de
ossesse, grossesse et sexua-
l’ enfant dans le désir de
te, etc.
iexutelgnenieata : EJi anlma-
armatfon, 4, rua Brunei. 75017
tél. 754-29-00.
Mme Françoise Giraud, dans
sa réponse à M* ImergUk.
annonce qu’elle . est- favorable
. — afin de réparer e une omis-
sion » — à une modification de
la toi du 11 fumet 197S.EUe éf^a
notamment:
H est & mon sens fflffiMte de
soutenir qu’une association qui a,
statutairement, pour mission de
lutter contre la racisme a, par
là-môme, mission de lutter contre
toute discrimination en raison du
sexe.
U serait intéressant de connaî-
tre la réponse de la jurisprudence
sur ce point, Celle-ci est parti-
culièrement restrictive, lorsqu'il
s’agit . de déclarer recevable
1 action civile d’une association
devant les ttilnmanx et exige que
l’objet de celle-ci deme u ra dans
les limites étroites fixées par ces
statuts.
Pour ma part. Je considère que
seule une modification de Xa loi
dtiU Juillet - 1975 permettant
d’exercer l'action civile devant la
juridiction pénale saisie d’une
infraction aux articles 187-1 et
416 du code pénal aux associa-
tions qui, régulièrement déclarées
depuis au moins cinq ans & la
date des faits, se proposent de lut-
ter contre lea. discriminations en
raison du sexe apporterait une
solution à la fols équitable et
Juridique à la difficulté relevée
par Jean-Jacques Dupeyronx.
Et, comme je l’ai indiqué, il
n’y a pas de temps perdu:
aucune association - de ce
n’étant actuellement
depuis au cinq aiyc .
JEUNESSE
A Lyon
Un centre de foraratfon d'éducateurs spécialisés
est menacé d'asphyxie financière
De notre correspondant régional
Lyon. — e Nous disons non aux
licenciements car ce serait faire
le jeu. du gouvernement.» La po-
sition. cuire, déterminée, de
M. Jeaa-NoH Henri, un des res-
ponsables du centre de formation
d’éducateurs de * Recherches et
Promotion » est partagée à l’évi-
dence par les stagiaires — une
trentaine — réunis autour de lui.
Ces éducateurs spécialisés exer-
çant déjà leur activité profes-
sionnelle dans un établissement
de ■ . la tépoa - miftny.*ip<w - —
foyers, instituts, . maisons d'en-
fants — - OU dn^plwniwt Hbtm la
rue; préparent en quatre ans leur
diplôme d’Etat. Pourrontr-ils -re-
cevoir jusqu'à son tenue la forma-
tion dont ils sont eux-mêmes, par
la. confrontation de leur expé-
rience et l’analyse de leurs pra-
tiques,, les artisans? Bien n’est
moins sur : le centre cannait, en
effet, des difficultés financières
sérieuses ; U manque près de
400000 francs pour c boucler »
Tannée 1975.
iraatxB part, le gouvernement
ayant modifié la période d'exer-
cice budgétaire, faisant passer
celle-ci Se Farinée scalaire à
r année civile, les crédits 1974-
1975 doivent cou v r ir seize mois
d’a ctivi té.
Pour atténuer les protestations
qui se sont élevées an cours de
ces derniers mois, le ministère de
la santé a annoncé iwi» «rallon-
ge» de. 100000 francs, soit un
quart du déficit. Et poux 1976 les
perspectives ne sont guère pins
Les premiers — une trentaine
de permanents et vacataires —
ont décidé de renoncer en partie
à leur salaire. les seconds ont
accepté d’avancer 1e montant des
frais de scolarité (800 F par an)
de leur prochaine année de for-
mation. « Simple avance », disent
les uns et les a utr es» syndiqués
ou non, qui comptent bien récu-
pérer tes sommes que l'Etat leur
doit.
ül détermination des, éduca-
teurs et des formateurs est d’au-
tant plus grande quHs sont,
pour la plupart, convaincus que
T « étranglement budgétaire » dont
Us sont les victimes est
davantage par des conskJéi
politiques que par la conjoncture
economique. Né au lendemain de
1968, Recherches et Promotion
fonctionna quatre années c omme
centre e x périmental, avant de
recevoir, trois mois avant la sortie
de la première promotion, l’agré-
ment officiel dwt ministères de
tutelle. Formateurs et éducateurs
admettent très bien qu’ils ont
quelque peu bousculé les concep-
tions en. vigueur et remis en
question un système social qui
rejette généralement les inadap-
tés et les délinquants. Pour eux,
l’Etat ne se poserait la question
qu’en ces termes: «Les services
. idéologiques — rendus vas ces
éduca teu rs valenî-üs le coût de
leur formation? »
UNE BROCHURE DE L’ÉCOLE DES BARENTS
L'enfant et l'hôpital
— ... - Ce Rüsonne-
_ ment est. estiment-ils. à l’origine
encourageantes' puisque le budget ÎÜJiL ^? d a ?” L d ? n ^ ni<îf ’ ft T P k
devra être celui de 1975 augmenté rne ?ï re e? p lace des forma ti ons
seulement de 10 %. moins onéreuses. « A qui fera-t-on
La situation ée Recherches et cr0 * re 7 a ‘ tat ai{îe
promotion, aux dires des respon-
sables de l'association n’est pas un
cas exceptionnel. Le mam» « la-
minage » financier frappe égale-
ment les cinquante autres écoles
' ventionne la
« Nous sommes embarqués dans la
même galère, mais nous réagissons
différemment », dit M. Jean-
Noël Henri. Ailleurs on ÿest
« résigné » à rétablir l'équilibre
budgétaire par des iîtwm»ferw»ntK
partiels, contrairement d’ameaxs
aux prescriptions édictées en Juil-
let par 1e secrétaire d’Etat M. Le-
noir. A c. Recherches et Promo-
tion e, on a choisi de se battre -
pour maintenir l’institution. Les
structures « autogestioonaires »
— un terme que certains éduca-
teurs considèrent comme inadé-
quat — de l’association ont per-
. mis de former un front uni entre
formateurs et éducateurs.
logique formé en cent calquante
heures est capable d’assurer le rôle
d’un éducateur spécialisé auprès
d’enfants considérés comme diffi-
ciles ? demandent-ils. Le véri-
table Choix ne se situerait^ü pas
réduire les moyens de la préven-
tion, pour développer ceux de la
répression? Six mille postes de
policiers ont été créés en 2975,
et le ministère de ^intérieur envi-
sage une formation sensiblement
plus longue pour les personnels
poüctere. N'est-ce pas déjà une
façon de former les éducateurs
de demain ?»
BERNARD EUE.
L'hospltaUsation d’un enfant
est trop souvent vécue par le
jeune malade et ses parents
Mmwa un drame. Afin, d’éviter,
autant que possible, un tel com-
portement, l’Ecole des parents et
des éducateurs vient de publier
pour l’Assistance publique une
brochure intitulée L’enfant et
Vh&pm ( 1 ).
On y trouve des renseignements
pratiques tels que les adresses
des hôpitaux parisiens compor-
tant des services d'enfants, la
ûescrlDtion des fonctions d es dif-
férents personnels et tes questions
.que l’on peut poser à chacun, la
conduite à avoir en cas d'urgence
ou pour uni» consultation,
les documents nécessaires aux
diverses formalités—
La première précaution. & pren-
dre. avant meme d'avoir besoin
de l’hôpital, est de ne pas le pré-
senter a l’enfant, dans la vie quo-
tidienne. wnm|tw une menace, une
punition Twwjg ou endroit où l’ o n
guérit. * .
Le jour où l'enfant doit être
hospitalisé, les parents doivent
non seulement rester calmes et
ne pas montrer leur anxiété, mais
aussi savoir comment le prévenir,
c Avec dés mots simples et vrais,
dites -lui pourquoi ü va aller a
VhùpitaL (—J Expliquez-lui ■ qdü
reviendra & te maison*. Préparez
avec l’enfant ses petites affaires,
ses petits vêtements. Emportez le
nounours favori, la vieille pou-
pée ou la couverture avec lesquels
votre enfant a l'habitude de s’en-
dormir. »
En cas d'opération — quand
celle-ci est décidée à l’avance. —
s Veuf ont a peur d’avoir mal, mais
aussi ü pense qufon va lui pren-
dre quelque chose qui est à üd,
qui est tuL Le plus souvent, une
opération peut s’extfiquer sim-
plement : on répare, an enlève
quelque chose qui ne va pas».
An moment de quitter, pcmr la
première fols sa chambre ou la
salle d’hôpital, «ne dite» pas que
vous partes seulement pour quel-
ques minutes (—)■ Dües-lui que
vous rentres à la maison mais que
vous viendrez le voir souvent
Ensuite , dites-bA calmement au
revoir, partez aussitôt et sans
hésitation».
Nourriture, cadeaux, visites, em-
ploi du temps de la Journée à
l’hôpital, travail scolaire, sont
quelques-nns des autres thèmes
abordés dans la brochure qui évo-,
que aussi 1e cas particulier de
l'hospitalisation des bfljés. Lorsque
tes parents ne peuvent pas nourrir
et changer eux-mèmes le bébé
hospitalisé, leur présence aux
bernes des visites est très impor-
tante, car c un bébé malade a
besoin de m mère, de ses parents,
encore plus que dfhabttude. (-.)
Allez le voir souvent, parlez-lui,
si vous le pouvez p renez-le dans
vos bras. Il saura que vous êtes
là, que vous jus l’avez pas aban-
donné».
CL) On peut m procurer la bro-
chure k l’Ecole des parents et du
éducateurs, 4, rue BrtmaL 75017 Parla.
3 F .(plus 2 F de frais d’an vol). Eu
caa d'admission A l’hôpital, elle est
distribuée gratuitement.
M. JEAN-MICHEL CATALA
(Jeunesses communistes)
DÉNONCE
LA «CAMPAGNE ANTI-JEUNES»
« La campagne anti-jeunes tu boa
trahi a. écrit M. Jean-Michel Catala,
secrétaire général du Mouvement de
la Jeunesse communiste da France,
dans c l'Humilité » da 11 octobre,
a Ministres et Journaux, radios et
télévisions a*en donnent à «eur
Joie. c~) Dans cette campagne font
est bon pour la bourgeoisie. On
monte en éplngLi les exactions de
quelques individus, que l'on prétend
représentatifs d’une large fraction
de In Jeunesse. »
c Des voyons, U en est, continue
SL Jean-Michel Catala. Mais des
voyous qui, A la fin des manifesta-
tions démocratiques, provoquent des
Incidents violents, cassent et pillent
en toute impunité, obéissent mani-
festement à des motivations aux-
quelles les services de Poniatowski
ne sont pas étrangers. (_) Quant
aux gauchistes, dont les méthodes
de certains groupes ne participent
pins que du banditisme, U est clair
qu’ils apportent de l’eau au moulin
du pouvoir. Les dénégations d'un
Krlvlna ne trompent personne. (~)
a Qui donc est responsable
développement dans ce pays d'une
certaine délinquance ? Qui, sinon
ce régime dont la violence quoti-
dienne a nome chômage, misère,
accidents du travail, mi l ices patro-
nales et CJLS. ï Qui, sinon ce sys-
tème du fric qui légitime la course
aux profits par tons les moyens, y
compris la drogue, la pamogmptila
et le crime ?_ a
CONSERVATOIRE IM1HIAL DES ARTS FT MLTILIÎÎÎ
Institut Technique de Prévision Cconomiqne et Sociale
2*2, rue Saint-Martin, — 75141 PARIS CEDEX 03
L'Institut Technique de Prévision Economique et Sociale reprendra
ses cours le vendredi 25 octobre Î974.
Créé ou rein du Conservatoire 'National des Arts et Métiers, par
arrêté du Ministre de l'Education Nationale, en date du 9 Juillet 1972,
l 'Institut a pour but tant de former ou perfectionner aux techniques
modernes de gestion prévision nefle et .de prév isi o n économique et
sociale que d'organiser des séminaires spécialisés.
Le programme de formation s'étend sur deux ans. Il est sanc-
tionné par un diplôme. La liste des diplômés est publiée au « Journal
officiel >.
Les cours ont lieu les mardi, mercredi, vendredi, dp 18 K 15
à 20 h. 30,
Renseignements : LTJP.E5 V 292, n» Saint-Martin, 75141 Paris Cedex 03,
féL 887-37-38, poste 523 ; .
Inscriptions «a Secrétariat : 2, n»e Conté, 75003 Paris, Bnreaa 253.
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i
Page 14 — LE MONDE — 14 octobre 1975
« science et croissance au service de l'humanité »
INGÉNIEURS, CADRES, TECHNICIENS,
TRAVAILLEURS SCIENTIFIQUES
deux dates à retenir, 24 et 25 octobre, pour 36 heures d'un anniversaire pas comme les autres!
Sons te parramage de :Ahmrgnat Lotus Vice-président de Wnaf; M 9 Ambhrd Gaston. Avocat à la cour d'appel de Paris; Arquiar Pierre, Ingénieur à la Régie Renault; Arzano Robert Directeur de
- Mmæ—IS » - ll — Æu— «■ J'itMiMnM A rCnetln n/iArlnAAnr/*flfl ■ ffnVwirf tuait In/itffUflm'-mnmiF • ITiii ■tu"» IfnAiit «mi iiiiiww/ «P at tnB EJonrw AnfiwCMH 1 ffo mC/VMèOÏÜUÊST Saae/vmf
François-Rabelais; Herzog PbB&pe, Professeur agrégé en sciences économiques: Professant Hugsenard, Chef du service réanimation au Samo; fsabey Pierre, Technicien supérieur; JevUSerJean -
Claude, Professeur de droit du travail à Tunrvarské de Bordeaux-f; JaegM Andréa Ancien élève de l'Ecole polytechnique; Jazafowiez Marcel Président de l'université Paris-XHi; Jouffroy Jean-Piano,
plasticien; Joxe Pierre, Conseilla ■ référendaire à la Cour des comptes; duquel Guy, Technicien; /Cabane Jean-Pierre, Président de Tuniversitéde Paris-Sud; Kfehr Madeleine, Administrateur à la pré-
fecture de Paris; Korsakissok Charles Directeur des études au Centre Fpa d'Angers; Krasucfd Heurt Directeur de «la Vie ouvrière»; Krier Jacques Réalisateur de télévision; lobeyria Vincent Pro-
fesseur à Funiversité François-Rabelais, directeur du Centre d'études supérieures de l'aménagement; langevm Michel Directeur de recherche au Cnrs ; Larme Gérard, Directeur en France du bureau
du Bit; Las Vetgnas, Président de Funiversité Paris-Ol - Sorbonne nouveBe; Laderer Edgar, Directeur de ilnstitùt de chimie des substances naturelles du Cnrs; Legay Jean-Marié, Professeur à Font-
versrté de Lyon; Leroy Bahal Directeur de «FHumanité»; Lattis Roger, Journaliste; producteur de té/évishm; Luchaire, Président de l'université du Pansé; Lyon-Caan Arnaud, Avocat au Conseil
dEtatet à la Cour de cassation; Magniadas Jean, Directeur du Centre confédéral d'études économiques et sociales de !a Cgt; Manefakakis Eugène, Architecte urbaniste; Maftèse Sauveur, Vrp;
MaresteJacqueSne, Secrétaire confédérale de fa Cgt; Marger Pkire-Lom % ingénieur; Manane Jean, Secrétaire de la Fédération des officiers et sous-officiers de réserve républicains; Marrie
Pierre, Directeur des Services administratifs Bâtiment et Travaux publics [retraité}; Martmând Claude, Ingénieur des Ponts et Chaussées; MazBak Parti, Professeur de biologie, université Pfemut •
Marie-Curie Paris-Vi; MetzgerJoë, Ingénieur; ’ Monda François Ancien capitaine de [équipe de France de rugby; Montrât Roland, Ingénieur; b/lonod Martine, Journaliste; Monriauz René, Attaché
de recherche à la Fondation nationale des sciences politiques; Moymrt Jean-Look* Secrétaire confédéré! de fa Cgt; Mtàfmrf Bernard, Médecin des hôpitaux psychiatriques; h/etter François Phy-
sicien; Roman René, Professeur à funiversité Paris/O; OBve Gaston, Economiste ;Page Gabriel' technicien supérieur; Pahnade Guy, Psycho-sociologue; Parodi Maurice, Professeur ; en sciences
économiques; PauFEtub Victor, Directeur des expéditions polaires, président du Groupe Paul-Emile’ Victor pour la défense defhommeetde son environnement; Parrenood Wiïy, Biologiste, Directeur
de laboratoire; Perrin Jean, Professeur titulaire de biophysique; Pfûtippot Michel, Conseiller à Unstitut national de f audio-visuel; Pignon Edouard, Plasticien; Puaux, Directeur du Festival d’Avignon;
Rogakki Jeanine, Chargée dé recherche; Rosier Alfred, Président delà Confédération des’ travailleurs-intellectuels de France; Roux Alain, Maître assistant tfléstabe à' funiversité de Paris-VBi; Roux
Jean, Membre de l'académie de médecine; Rouxé Michel Membre de ia Commission de fAssoçiathn des écrivains scientifiques; SamtPaoÇ Directeur du Centre d'études sur ia recherche et fmnmathm;
Santini Pierre, Comédien; Smntits Docteur en (boit; Sarntinet Henri ingénieur; Seat Guy, Technicien; Séguy Georges Secrétaire généra! de la Cgt; Sè va Loden, Professeur agrégé de philosophie;
Soboof Albert Professeur à la Sorbonne; Sofa Jean, Médecin-chef centre de santé; Stent CbudeJ/Sriar, Directeur de là maison de fa culture de la Sme-Samt-Denis; Stora Benjamin-Jean, Pro-
fesseur i Hec; Suderot Evelyne, Membre du Conseil économique et codai; Professeur Talbot Chef du Service de Formation permanente à funiversité Pierre-et-Marie-Curie; Tarieff Harorm, Directeur
de recherche au Cnrs; Terrât Hoël Chercheur (sciences sociales); Thomas Jean, ingénieur; Tougeron (Ruade, Chef de centre Gdf-Edf; Trigano André, Directeur d'entreprise; Vénérer, Ancien élève
de FEcofe polytechnique président-directeur général de la Macif; Vasarafy, Plasticien; Vittez Antoine, Réalisateur dé téiérisioa, Yanowski Jean, Producteur d'émissions sur Radio-France et Frnce-
Cuhure; Zurfkth Jean, Directeur d'études eu publicité.
RSV P
TNVÎT ATTÔN
« les 36 heures d'OPTIONS »
78 . m sssssxss ? —
OPTIONS, la rem» des
lût, éditée par l'Union gën- des Ingénieurs,
Cadres et Tedmïdens Cgt
AU PROGRAMME:
m Des conférences-débats aveu notamment:
a) La révolution scientifique et technique, ses implications dans l'activité des Ingénieurs, Cadres Techniciens (vendredi 24 de 17 heures à 21 heures)
avec la participation de:
MM. ie Pr Burhopi Président de la Fédération mondiale des travaitféurs scientifiques; Paul-Henri Chombart de Lauwe, Professeur à /Ecole dés hautes
études. Directeur du Centre d'ethnologie sociale ; l'Académicien ishfinskl Président du Conseil des sociétés scientifiques et d'engineering - J-P Kahane,
Président de l'université de Paris-Sud (Orsay): ie Pr Hedayat Scientifique égyptien; Medow, Professeur de mathématiques à l'université de Toronto.
Le débat sera animé par Jean-Baptiste Eggens, membre de ia Commission de /'Association des écrivains scientifiques de France .
b) Le rôle social des Ict (samedi 25 de 1 5 heures à 19 heures) avec ia participation de : '
MM. Ciavel Ingénieur des Mines; NHdta Morseev, Directeur du Centre de calcul de l'académie des sciences de ÎVrss; Ouahes, Professeur à Funiversité
d'Alger; Pentz, Doyen à Funiversité de Londres; TaveL Directeur adjoint -au Centre de Genève à Unstitut Battef/e; Sève, Agrégé de philosophie
Le débat sera animé par Jean Yanowski, Producteur à France-Culture de l'émission: «Les cadres responsables de notre temps»,
pi Les liaisons entra las luttas sociales et h développement de Fautomation dans l'industrie de l'automobile (vendredi 24 de 21 h 30 à 23 heures).
Confrontation et échange de point de vue entre syndicalistes et spécialistes fiançais (Renault) et italiens (Fiat), animés par J.-P. Dumont du ioumàl
«Le Monde». J
• Une exposition illustrant quelques aspects essentiels des recherches, découvertes et
techniques scientifiques.
r
i
Une mté du Eure scientifique et technique avec ia présence d'auteurs scientifiques. |
I
* Un bar-restaurant ouvert en permanence.
A l'issue de la réception de clôture du samedi à 19 fi allocutions de :
* Georges Séguy, secrétaire général de ia Cgt
* Benê Le Guen, secrétaire généra! de lîfg/ct . ..
CARTE D'INVITATION
Nom :
Prénom
Adresse :
_ A retourner à OPTIONS
57,. avenue d'Italie - 7501 3 Paris
sciences économiques; Bonacossa Jacques, Economiste; Bombant AÛm, Biologiste: Bouchet GSbert, Médecin-conseil à la Sécurité sociale; Brasfavski Pierre, Architecte DpJg; Brocard Jacques,
Technicien; BoM René, Secrétaire confédéré! de h Cgt; Cm Guy, Professeur en sciences économiques; Carny-Peynt Etienne, Professeur de l'enseignement secondaire; Castaôg Raymond, Physi-
cien professeur à Paris-Xi; Cbmpmt Raymond, Capitaine au long cours; Chombart de Lauwe Pauf-Remi Professeur à /Ecole des hautes études; directeur du Centre d'ethnologie sociale : Cbvef
Jeta, Ingénieur des Mmes; De MB Edmond, Président dé « Technique et Démocratie»; Demos Jean, Directeur de rechercha à Hnserm; Destsme de Rends Gérard, Professeur à Fudversité des scien-
ces sociales de Grenoble; Dubois CiMidB, Chef de division, responsable de la formation permanents à la Rafe: Dumont Jean-Pierre, Journaliste; JacqmBn Baptiste, Membre de la Commission de
J 'Association des écrivains scientifiques; Estier Claude, Directeur de «ff/nrté»; Fauchât Max-Pof, Ecrivain; Frèmontier Jacques Producteur de télévision; Frioex Claude, Présidant de furw/erske
n « IJT/I _ as -* n n ■ . r i § j.. y» < Jf'j I r - • r. < - r, In .-I _ n r_«f_ M* C_, n- r _ n . / . 1 : «JL. Cmiv P&mSm.
LE MONDE — U octobre 1975 — Page 15
DE L’ÉCONOMIE
'unie | e
Æ. ,
<a
u funambule
ci: 'Q-
-■
■ T E JL°^' V 1 *^îï?^' niîdi ' ** P 18 ™ 1 ® 1 minist». entouré du miarisfa.
1 I _ •* “OMŒitaii* d Tvtnt & ligrieoUnrt. ah» que disiïzimsli ><«« cm aire
' : ‘wfîÜT?®* P*¥***n**. annoncera nr-k pamm de l'hôtel
-r. i «* conclmkn» de la duquieina conférence wnmiwTT, De la longue
.luie des rev endica t io n» profaaünmeBm. le gouvenunnent extraira -mizesa-
uahlemml un paquet de nuwure» dont la traduction financiez» ' ponzxaït
. t 5 - globalement ne pas fera né g ligeab le , Le* crédita inpplêtaestBta**
1 ■ ^ ' V; ^T^ÏÏ*ÎL™ dea A *î“ “**■ J* Projet de faSga* 1876
feront avec le* mam en faveur de l'Installation des jeunes agzicnUenia.
'.j une enveloppe » qui ^ impressionnera suffisamment d'une part l'opinion
PobiÛino ** dantm-parf les cultivateur». Pour las exploitant*, ifs'igü d^ffa-
685 impr*»inn laissée par la parcimonie de l’affoil (255
‘ ^frx':: «" ®° “^wrdsj prevu en faveur de l'agriculture dans le plan de soutien
: ' ^ de * économie et de calmer un certain niBidw des """p-g m»»
>*i"w ; * *\
--v.Za crise fait ses ravages dans
*',> Tfcidtitr# et provoque chez Tes pag-
un mécontentement profond,
. . ^ kfie si celui-ci ne s’exprime pas en
‘ moment dans des actions plus pu
. -, s. ns généralisées », écrivait , le 2 octobre,
^.';s V Humanité, M. Gaston Plfesonnier,
P*V»VlVik iln AnnVlMi& AAta+Wll pjjJJ
■ ;r {<;
. if $nbre du comité central
_ fiÏÊ - himnniste français.
,.. t * ;-'V;or des registres différents, les orga-
"■ ; . ■. ifclans syndicales agricoles ont tenu
- :^‘nis septembre le même . langage.
Tensilleau. président de la causer-
Y. tee Fédération française de l’agd-
•7- . iure (F JP JL), soulignait récemment :
. . " : ornais, de mémoire' cCTumane, le dé-
: ■ ragement de ta paysannerie n’a été
-■"■'St
aussi profond devant les éché an ces
auxquelles beaucoup ne peuvent faire
fronts»
Jeunes Agriculteurs ont ec mis en
garde les autorités françaises et euro-
péennes contre la dégradation ■ persis-
tante. do lu situation de VagriaOture,
due pour une grande part à r attentisme
dont elles font preuve depuis plusieurs
mois, sur un plan économique s.
. Le secrétaire général de la Fédéra-
tion des exploitants, M. François Guil-
laume, parlait de son côté de « fa
rnawoaise-humeur de» agriculteurs déçus
par leur récolte, inquiets de l’insuffi-
sance de fourrage constatée dans de
nombreuses régions 9 .
"■[S-in revenu équivalant à celui de 1974
\ ■ «-
»
: ilano)stes, pessimistes, ces réflexions
noufrfeaenfc des prévisions des écono-
ides Turanx, Au décime pris, ces der-
eis «nnt «raccord : le revenu des explol-
,Tihc stagnera en valeur réelle en 1975
pris ' avoir baissé de quelque 10 %
n 1974. En simpHfl&nt, leur calcul est
: suivant : la valeur des productions
tgétales et animales, stables en ' vo-
me, sera de l’ordre, de 120 milliards de
ancs (+ 9 % par rapport h 1374),
res comprises r les consommations
trmédisJres, également stables, -en
une (aliments du . bétail, ~ engrais,
rfees»), atteindront 60 milliards de
ncs (+ 6 <$) ; la valeur ajoutée de
brandie agriculture sera donc de 70
Lards de francs (+ 11 %), ce qui,
apte tenu des charges d’exploitation
intérêts, salaires, impôts,
nages) et des diverses subventions,
sera un revenu brut d'exploitation
BU) de 53,5 milliards de francs
10 %). En prenant en compte ta,
sse des prix (+ 11 %> afc la dimi-
hrn dn nombre des exploitants
1,8 %), le pouvoir d'achat pour cha-
exploltation reste en moyenne équl-
mt à. celui de 1974.
Situation difficilement acceptable »
mt les organisations paysannes :
l'a été une « année notre ». et de
1 à 1974 le pouvoir d'achat paysan a
xnenté moins vite (+ 3,9 %) que les
ires ■ (+ 4J9 %). - Ce rai s o nn e m e n t
tal doit être nuancé, car ü recouvre
évolutions divergentes. A gros trait,
uo mal » pour les ~produBteurs •' de
ts. de lait, de mata, de volailles et
rfa ; * ça va mieux » pour les tie-
rs de bovins et de porcins. Inst&n-
■s de situations dont les couleurs
“vent varier en quelques semaines :
• • feux de la colère vigneronne encore
dans le Midi fin août, sont main-
int recouverts de cendres ; en effet,
c gros rouge » cote plu» ‘de. 10 F le
‘ ré hectolitre, et la vendange en cours
'.*• -sera pas pléthorique.
es organisations professionnelles -
tt de ce rapide tour d’horizon des
.•Jurions assez sombres. Beaucoup de
sans s'équilibreront leur budget
près avoir rogné sur les dépenses
grais ou d’entretien des bâtiments,
les espoirs placés dans le commerce .
' rieur, après les étonnants résultats
1974, se sont effrités^ quelque peu.
r les sept premiers mois, l'excédent
la balance commerciale agricole est
bé de 5,5 milliards de francs en 1974
’ J3 milliards c» francs en 1975. Les
ortatlons (20,8 milliards de francs)
diminué de 8 % et les Importations
augmenté de 5 L'effondrement
-• ventes de céréales ( — 34 %). de
jsons (— 11 ?«> et de produits lal-
'*(— xi %) est la cause principale
«. cette «évolution inquiétante*.
*■ ourtant. la conjoncture agricole ne
t être uniquement dépeinte en noir.
Indice est assurément significatif :
ventes de matériel agricole, qui
aient effondrées en 1974, augmentent
riblement. Fin août, les c ommandes .
tracteurs étaient supérieures d» 16 %
elles enregistrées douze mois plus tôt.
reprise semble également se dessiner
r les charmes et le matériel de
site. En revanche, la situation des
îmandes reste franchement mauvaise
r les silos, les séchoirs à grains et
cuves & fermentation (— 40 % par
port à 19T4).
luoi quH en soit, les représentants de
jiculture invités â Matignon, jeudi,
'Jseront au mieux ce dossier écono-
jne pour obtenir du gouverne men t le
rimiim de mesures canjoncturelies.
même s'il leur faut- pour. cela user d*cm
autre argument. En période de tension
sociale,- les campagnes, conservatrices
par réflexe, constituent en effet une
force d’inertie non négligeable que le
gouvernement a intérêt & faire jouer en
sa faveur. C’est sans doute pour pren-
dra l'exacte mesura du « geste » à accom-
plir que M. Chirac a . longuement
discuté «les chances du MOEDEF (Mou-
vement des exploitants f*niiniai*ï aux
prochaines éTartiftp» « Vwt chambres d'agri-
culture, au cours d’un dîner réunissant,
voilà quelques semaines, les présidents
des quatre grandes organisations. Exclu
défi, tables de conférence officielles, 'pins
en raison de l'appartenance politique 'de
certains de ses dirigeants (membres du
parti communiste) que' pour. son man-
que de représentativité, le MODKF tient
en effet, depuis quelques mois, le' devant
de la scène paysanne par la multiplicité
de ses Initiatives et de ses communiqués.
MAIN GIRAUDO.
( Lire la suite page lé, l^ coL)
La Sécurité sociale
victime
m
de la crise
fE e maison > en déficit où les propriétaires ne
songent qurà accroître encore les dépenses. Fiction ?
Tel est le cas pourtant de la Sécurité sociale : le
monde politique, syndical et. patronal se déclare favo-
rable à la retraite à soixante ans au moment même où
les gestionnaires tirent, depuis des mois, la sonnette
étalonne. Lors des récentes rencontres à Matignon, le
gouvernement a cependant prévenu les organisations
ouvrières et le CJfJPÆ.: nous vous demanderons, a-t-il
été dit, de tenir compte des besoins de financement de
la Sécurité sociale avant «T examiner Ut coût (Ftcn aména-
gement de la retraite.
.La Sécurité sociale se porte mal et
cela, avant même d'appliquer des mesures
nouvelles. Dès la .fin de cette année le
régime général risque d'étm en cessation '
de paiement- Mata personne ns pouvant
accepter uns telle {psue et ta gouvernement
comme les dirigeants des caisses ayant
toujours exclu cette hypothèse, l'Etat (>a-
Trésor 'ou la Caisse des dépôts et consi-
gnations) pourrait être amené à faire des
avancés comme aux pires' moments das
années 1966 et 1967 fie Monde des 24 Juin,
15 Juillet, 25 et 30 septembre).
a pourtant, .il y ■ un: an A peine ne
parlait-on pas (T un trésor de 10 milliards
de francs 7 Les chiffres doivent tout d’abord
être replacés dans leur contexte : chaque
Jour oorvnible, la Sécurité soriale verse en
moyenne un daml-mJTliard de francs; S lui
est donc nécessaire dé disposer «Tun fonda
de roulement dé quatre A huit Jours d'avance,
soit 2 A 4 mlIUârds de francs. Or selon les
demi Area informations ou prévisions le seuil
critique ‘sera atteint fin 1975 et . largement
dépassé en 197& En clair 11 faudra trouver
2 A 4 milliards de francs dans les pro-
chains mois afin «rassurer Je tends de
roulement de la Sécurité sociale et dégager
pour 1976 7 A 9 milliards de francs en
ressources supplémentaires, comme le
montre (e graphique ci-contre.
Comment s’explique un déséquilibre aussi
brutal 7 De 1968 au début de r armée
1974 la Sé«nnitâ sociale a accumulé les
excédants, es qui lui a permis de «instituer
ce qu'on a appelé à tort un « trésor'».
En -.fait, l’Inflation et le malntl en A un niveau
élevé dé la croissance économique ont
masqué le problème du financement Alors
que le VT* Plan 'annonçait pour 1974 et 1975
un déficit important la course entre tes ■
prix et lés salaires a bousculé .'ces prévi-
sions. du moins' Jusqu'à la veine de' ta
crise économique. L'inflation a an effet le
curieux avantage de gonfler les recettes de
la Sécurité sociale.et.de lui « donner du
ventre », au -mauvais sens du terme : tes
cotisations évoluent &. peu près au môme
rythme .que les salaires — et ceux-ri an
pouvoir «l'achat ont . progressé en moyenne
de 5,20 ®/o par .an au Beu des 4.40 Va pré-
vus — alors que certaines prestations ont
une ine/ffg qui amortit leurs réactions A
la hausse dis prix et -des salaires » (1).
Autrement dit l'argent rentre, mata le
f
Le cauchemar de New-York
D
ICI au T7 octobre, ta ville de New-
York devra encore ae procurer
quelque 440 minions de. dollars
pour honorer les échéances de son
énorme dette. SI les banques consentent
d’avancer les fonds nécessaires, co sera
sous ta pression plus ou moins discrète
des ■ autorités fédérales/ d'autant plus
préoccupées par ta situation financière
désastreuse dans laquelle ee trouve la
grande cité, que désormais n est de noto-
riété- publique qu'une -tulUNe pourrait
secouer jusque dans ces fondements tout
le système bancaire américain et même
mondial fau cours de . éa récente visite
aux Etats-Unis, le chancelier Helmut
Schmidt a Insisté sur les conséquences
internationales que pourrait avoir un tel
événement}.
La thèse aelon laquelle la crise
que traverse New-York pourrait, par ses
Implications, compromettre tes chances
'défit faibles d'une véritable reprise éco-
nomique (le Monde - de l'économie du
23 septembre) est désormais de plus an
plus couramment admise de l'autre côté do
r Atlantique. Les dirigeants des cent plus
grandes entreprises . emérlcelnea, réunis
U y a quelques Jours A Hot-Springs en
Virginie, ont, A la suite de leurs travaux,
publié un communiqué dans lequel Ils
déclarent notamment qu’une pareille ban-
queroute remettrait en question les
chances du redressement tant attendu.
C’est seulement au cours des deux
dernières semaines que la gouvernement
fédéral a commencé A -admettre Je dan-
ger dans toute son ampleur. 0 était
ptsque^A de bon ton, dans radmlnlstra-
Uon républicaine, de laisser entendre
qffk la limite une liquidation Judiciaire
pourrait servir de leçon A loua ceux qui
continuent de chercher dans une expan-
sion indéfinie des dépensas pw6//qwea de
fEtat fédéral, des State -et des collec-
tivités, la solution de loua les problèmes.
Que la Villa de New-York se soit lancée
par démagogie dans des programmes
d'aide sociale de plus eh plus dlsprâ-
portlonnés avec ses ressources, que
cette politique, loin ■ de diminuer le nom-
bre des pauvres les ait au contraire mul-
• tipllés en décourageant le travail pro-
ductif, cela n'est guère douteux. Mais
vouloir créer, un choc psychologique
salutaire par, le ‘refus d'empêcher le
défaut de. paiement, ce serait aujourd’hui,
de la part des autorités fédérales, une
attitude irresponsable. C'est non seule-
ment une centaine de banques moyen-
nes, comme fa révélé un rapport officiel,
'mais -en réalité les plus grands établisse-
ments (inondera du pays qui ont une
'part non négligeable 'de leurs actifs
Investis en bons émis par la municipalité.
. SI la valeur de cos derniers devait
être sérieusement remise an' cause, c'est
A une nouvelle et sans doute dramatique
contraction du crédit bancaire qoe l'on
assisterait A un moment où nombre d’en-
treprises ■ et de particulière, eux-mêmes
. porteurs de cm bons, auraient un besoin
particulièrement pressant de liquidités.
~ Aussi, le secrétaire au Trésor, M. Wll -
fiam Simon, qui naguère encore al fichait
une. grande insouciance, lalsseidl main-
tenant' entendre que le gouvernement
pourrait demander, au Congrès d’autoriser
une opération dé sauvetage A Ja tin de
farinée quand celle, de caractère pro-
visoire, qWa organisée PEtai de New-
York — lui-même endetté Jusqu'au cou —
arrivera à expiration. Dans une interven-
tion remarquée, le président du système
de Réserve fédéra/, M. Arthur Bunu. a
exposé la semaine dernière les condi-
tions sévères dont devrait être, selon
lui, assorti, cm éventuel plan do secours.
De route façon, la question rfen revient
pas seulement A une affaire de bonne
volonté. A supposer qoe /es autorités
fédérâtes décident finalement de venir
à lé rescousse, leur entrée en tice
aurait-elle aussi des oonaêquenoes dom-
mageables : comment combler un tel
déficit alnon par rinflathn f
gouvernement, qui fixe les majorations de
certaines prestations, réajuste celles-ci
avec retard. Cest notamment le cas des
prestations familiales, qui restent à la traîne
et 'permettent de ce fait A la caisse de ae
retrouver est fin d'année avec des excé-
dents non négligeables. Dans le méma
pensât! an dite démographique. Certaines
des mesures les plus récentes coûteront
au régime général, en 1975, 1,5 milliard
supplémentaire. Et, salon la tai^n de définir
les « charges Indues » celles-ci varient de 6
A 17 milliards de francs.
Or, au môme moment, la machine ôco-
LE DEFICIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE r
7 MILLIARDS DE FRANCS EN 1976 ? ’
(chiffres .ën milliards de francs)
Solde CUMULÉ
de la trésorerie
du régime général
CrthHi
1976
ÉVOLUTION DE L'ÉQUILIBRE FINANCER
DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
-• PAR RÉGIMES (solde annuel)
HIH Familial VieiDesae IMfl ] Maladie
' • pour le Régime général, les trois caisses
RÉUNIES (solde Annuel) - : . LJ
• ÉVOLUTION DU SOLDE CUMULÉ DU RÉGIME GÉNÉRAL (là •trésorerie*, un souH
de 4 milliards de francs étant nécessaire comme tends de roulement]
Aux déficits annuels de chaque caisse s’ajoutent les charges dues à la
compensation démographique, après remboursement par VEtat Œriaie partie de
celles-ci, soit — 2 800 mSUions de francs en 1974. — 1200 en 1975, et — 1400 en 1976.
temps les dépenses d’assurance maladie
poursuivent four course vertigineuse et le
déficit de ce régime s’accroît Mais quim-
porte l’autonomie des caisses I Le « fami-
lial » fait A la «. maladie - des avancée
qui se chiffrent aujourd'hui A 13 milliards
de francs. La mécanique est ainsi bien
huilée : en période d'inflation là « maison
Sécurité sociale » tient la coup, et peu
d'observateurs attachent d’ImportancB aux
premières lézardes.
Mieux ou pire, ie gouvernement en cette,
période de vaches grasses, chaqge le
bateau an faisant supporter à la .Sécurité
sociale des dépenses nouvelles sam pré-
voir toujours des recettes .correspondantes :
loi Boulin en 1972 aur les retraites et sérta
de- textes législatifs sur les prisonniers de
guerre, sur (es veuves, les mères de
famille, les handicapés, raids aux autres
régimes en difficulté au titre de la eom-
(1) Droit social, mars 1875.
nomfque craque et entraîne pour ta' Sécu-
rité sociale las effets Inverses à ceux que
provoquait Tudlatioa. Les prestations, tou-
jours en raison de (sur Inertie, s'accroissant
à un rythme semblable A celui dé 1974
alors que les rentrées progressant moins
rapidement Deux exemples parmi d'autres :
les effectifs «relisante ne «e seront accrus
que de 0,4 '/s en 1975 au Deu de 2 Va les
années précédentes; en 1978. selon Iss
prévisions actuelles, les pensions augmen-
teront de 18,1 */• mata le plafond servant
au calcul des cotisations ne progressera
que de 13,1. Vo et la massa salariale de
11.7 °/«.
Cet écart entre recettes et dépenses,
perceptible depuis plus d'un an déjà,
n'élaîl pas trop grave tant que la « tréso-
rerie accumulée - était suffisante et que
r ôco nom le allait bon train.
. JEAN-PIERRE DUMONT.
(Lire la suite page 17, 3* coJJ
v
J
T ECOLE NOUVELLE D'ORGANISATION
I ECONOMIQUE et SOCIALE
(ETABLISSEMENT PRIVE RENSEIGNEMENT
1 TECHNIQUE ET SUPERIEUR
mi n m m ü»
FONCTIONS DE
PERSONNEL
— Choix des cycles
— 120 à 150 bancs
(Temps partiel)
ADMINISTRATION
ET RESTIONDES
ENTREPRISES
— 2 fois 6 mois
(Temps partiel)
-PROBATOIRE
- D.E.C.S.
- EXPERTISE COMPTABUE
— JStudjqnts et Salariat
- Surplace — à-distance
ECOLE SUPERIEURE
DES TRANSPORTS
— Formation de Cadres
responsables des transports
C
ENIOES
62, me de ïfiromcmB 75008 PARIS- KL j)22
Page 16 LE MONDE — - 14 octobre 1975
le mm
FAITS ET TENDANCES
COMMERCE EXTÉRIEUR :
toujours excédentaire
Milliards de francs
<LA FORCE DES FAIBLES*, de Paul -Marc Henry
Une chasse aux illusions
JFUAHJJASOHUJFMAIIJJASO H D
£ v août, pour la septième fats
amsécuttoe, le commerce exté-
rieur de la France a été excé-
dentaire : + 278 millions de francs en
données brutes. + 12 milliard de francs
après correction des Donations saison-
nières. Ce nouvel excédent accroît le
solde iJOStUf cumulé de la balance com-
merciale qui atteint maintenant S fi mO-
Uards de francs depuis le début de
Vannée.
Si Von tient compte de la baisse des
échanges, normale durant la période
des vacances, deux éléments méritent
d'être soulignés:
1) Les firmes françaises re commen-
cent à accroître leurs ventes en Alle-
magne : 32 milliards de francs en août
contre 3 mSUards en juillet et 2fi mil-
liards en juin.
2) Les ventes de biens d'équipement
se maintiennent à un niveau élevé:
5 milliards en fumet et en août contre
4 mSUan&s du début de Vannée et
3 fi milliards û y a un an à la même
époque:
P LUS que coït rapports sur las chances
<T émergence du tiers-monde, ta déci-
sion des pays producteurs de pétrole
d'octobre 1S73 aura fait prendre conscience
à. la société Industrielle qu’il faut compter
pour son propre développement avec ceux
qui balbutient sur les chemins de la crois-
sance. La conjoncture aura beau sa ren-
verser pour les matières premières et la
solidarité des pays de l'OPEP sa lézarder,
le coup est . donné. On n’oubliera plus cette
«force des faibles-.
Tel est le titre que M. Paul-Marc Henry a
donné au livre qu'il rient de publier.
D est orfèvre puisqu’il préside depuis 1972
le Centre de développement de ro.C.OÆ.
et qui) fut chargé en 1971. comme eous-
eecrétaire des Nations unies, des opérations
de secoure au Pakistan -Orientai. La
réflexion guU nous propose aujourd’hui est
au ogbut même de ce dialogue Nord-Sud
qui. après tant de tergiversations, finit par
s’ouvrir. •
Mais qoe de pas à' franchir pour se
retrouver I M. Paul-Marc Henry aide effica-
cement à débarrasser le terrain des plus
gros blocs d'incompréhension parce qo’Q
a — c’est sa nature — le parler franc et
qu'a ne s’est jamais laissé enliser dans la
phraséologie aseptisée des organisations
Internationales. -
L’Occident est traumatisé. Il y a de quoi.
Le postulat sur lequel II se fonde, celui
des besoins inimités — Inconnu de l’homme
des zones tropicales, — s’effrite parce que
les moyens de les satisfaire se dérobent
D’autre paît, la eurpulsssnce dont U était
M fier commence de lui échapper : les
civilisations matériellement faibles devant
l’incompréhension des riches è leur égard
se sont lancées dans une industrialisation
accélérée, souvent liée è une militarisation
Intégrale. Course idiote, dangereuse pense
Paul-Marc Henry, qui demande une sorte
de « trêve de Dieu », le moratoire permet-
tant aux pays en développement de définir
un nouvel équilibre, leur dignité, leur sans
des responsabilités g ré ce à des transferts
de ressources.
Attention, « pour les deux camps, la crois-
sance continua du produit nation a/ brut est
fa condition nécessaire sinon suffisante
d’une distribution de plus en plus éqttf-
tabfe». Mais las objectifs de la consom-
- (nation indéfinie peuvent-ils et dol vent-us
être eaux de l'humanité tout entière ?
Ceux qui prêcheraient cette «fuite en
avant» diraient pas très loin. Se dissipe
en effet l’illusion entretenue pendant
que cinq générations qu’une petite j
de l’humanité située dans les zones
pérôes pourrait A jamais tirer profit
ressourças d’un monde encore inexc
C'est vers un certain rationnement — ai
si b la rationnel — que noos noua dirig
Selon M- Paul-Marc Henry, c’est le p
mène majeur qui caractérisera la «
quart du vingtième siècle : lea gouv
monta - devront par la vola autorlteh
livrer i des exercices délicats et pou
ment impopulaires d'allocation des
sources limitées à des secteurs prtorlüb
Sans doute ne s’aglralHI pas. sauf t
trophe. de rationnement global, l*au
dpilne de la consommation étant
préférable, d'autant plus qu'allé e
surtout s'appliquer dans la domain
mentalre et dans celui des produits
th étiques.
Le socialisme de guerre
' Autre Illusion è dissiper, estime M. Paul-
Marc Henry, celle d’une intégration des
mécanismes de décision à l’échelle mon-
diale, d*autoritéa supranationales en- mesure
de répondre an défit de la crise L’Etal-
nation reste très vivace, et l'affirmation de
sa souveraineté s'affirma partout de manière
de plus en plus-agressive. Son expression
«militaire » dans les. paya en vola de déve-
loppement est très préoccupante puisqu'elle
a des effets négatifs sur le développement
économique Interne . - Les populations
Unissent par être réduites à ta simple sub-
sistance dans le cadra d’un socialisme de
guerre
La politique agricole du funambule
( Sotte de la page 15.)
En clair, l’exercice auquel va se livrer
M. Chirac consiste & accorder le mini-
mum, tout en contentant le pins de
personnes possibles, y compris ceux qui
ne sont pas Invitée & la conférence
annuelle et A son numéro de funam-
bule. Le premier ministre en a déjà
fait de semblable lorsqu’il occupait
l’hôtel de Vüieroy : le plan de réno-
vation de la viticulture méridionale,
l’office de la viande (ONIHEV), l'in ter-
profession laitière, les prîmes è la vache
et è la truie, sont entre autres les
résultats de ce type d’exercice, tantôt
applaudis, tantôt siffléa.
Trois types de problèmes
Les décisions du dernier tour de la
conférence annuelle 1975 — qu'elles
permettent on non une amélioration
conjoncturelle du sort de la paysanne-
rie — risquent de peser sur les orien-
tations qui. 4 moyen terme, devraient
être données à la politique agricole. On
conseil de planification devrait en effet
reprendre le 24 octobre le rapport
Dénia», qui avait été complètement mis
ds côte en juillet dernier, pour des rai-
sons circonstancielles . Ile Monde du
13 Juin). Or l'analyse de la situation
conjoncturelle de l'agriculture en' ce
début d’automne montre que les crises
chroniques ont des raisons « structu-
relles ». En s i mp l ifiant , trois types dé
problèmes se font jour :
• LA SECURITE DE LA PRODUC-
TION : s Les techniques nouvelles, si
eues ont réduit les marges éMnsécertté
dues aux intempéries, ne les ont pas
pour autan t supprimées ». remarquait
récemment le secrétaire générai' de la
Fédération des exploitants. En d’autres
termes, le cultivateur *peut avoir ses
récoltes détruites par le gaL la séche-
resse. les tnonrifttinnft. l’éleveur son
troupeau décimé par une épizootie, en
dépit de toutes les précautions pos-
sibles. C’est la fièvre aphteuse en Bre-
tagne. le gel des pêchers en ce prin-
temps- B s’agit donc de c préserver
VoutO. de production ». La législation
actuelle sur les calamités n’atteint
qu' Imparfaitement cet objectif. La
création d’un faute de solidarité inter-
professionnelle et l'augmentation - des
& l'agriculteur de toucher des secours.
le protection «contre le ciel» n’est
pas sente en cause. Les négociations
commerciales fri tarri»tinnn.r»« montrent
que des pays tiers à la OKE. peuvent
fournir des denrées A un meilleur prix
que eaux proposés par les paysans euro-
péens : les fruits, les légumes et les
vins des pays méditerranéens, les
agneaux d’Australie et de Nouvelle-
Zélande. Les producteurs redoutent que
la concurrence de cas produits étrangers
ne Les contraigne & cesser leur acti-
vité Cette hypothèse, n’est pas absurde :
la Communauté européenne pourrait
décider de s’approvisionner au meilleur
prix pour pes denrées et elle pourrait,
par cette opération, favoriser le déve-
loppement des pays exportateurs. Tou-
tefois, si un tel choix est arrêté, U
convient que les go u ve rn e m en t s des
Neuf prennent toutes les dispositions
pour assura- la reconver si on des pro-
ducteurs concernés.
m L’ORGANISATION DES MAR-
CHES. — Les difficultés les plus graves
sont intervenues an cours des trois
dernières armées dans les secteurs de
production où les agriculteurs sont le
mnin« organisés an pian national bu
régional : les fruits et l’élevage. Les
outils Juridiques d’o rganisatio n des
exploitants et des marchés existent ;
coopérations, gro u pem ent s , SIGA inter-
profession-. Us peuvent être efficaces
même si on office ne couvre pas lé
secteur. Toutefois, toutes ces initiatives
n’assurent pas, quoi qu'au fasse, des
revenus satisfaisants A une importante
fraction de la paysannerie pour des .
raisons qui tiennent tout à la fols à
l’âge, â la formation et aux structures
d’exploitation. La création d’une garan-
tie de revenu, minimum peut dès lors
sembler une solution pour éviter la dé-
sertification des campagnes. (Ce point
étant un élément d’une politique «f amé-
nagement rural plus large.) .
• L’AMENAGEMENT DE LA POLI-
TIQUE AGRICOLE COMMUNE. — Les
deux réflexions précédentes doivent se
teadolre on actes de la Communauté
pour avoir leur plein effet. Le boule-
versement serait plus important qu’il n’y
paraît. Dans le domaine de la gestion
des rnannhéK, par exemple : plutôt que,
d’accumuler des stocks de produits
qu'un Jour où l’autre U faut brader sur
le marché mondial (le beurre, le vln-J.
la GRE. devrait s’efforcer d’avoir une
politique -exportatrice plus offensive qui
lui permettrait d’être .< présente » en
toute circonstance. • ’
‘ ’ Reste à savoir si ce schéma a une
chance de voir le Jour. Les' attaques
contre le coût de la politique agricole
commu n e viennent dStre relancées par
l’Allemagne fédérale. SI Bonn arrive à,
ses fins, c’est-à-dire obtient que les dé-
penses de soutien des marchés soient
plafonnées. l’Europe verte ne sera plus
qu’une zone de libre-échange agricole,
avec.quelques secteurs protégés dans des
caissons étanches. Mais on en revien-
drait au premier, stade de l’analyse :
co mmen t éviter que le del ne tombe sur
la tête des paysans?
ALAIN G1RAUDO.
Il faudra bien sortir de cette « mé
fondamentale * d’une partie de l’hur
vis-à-via de r autre, qui est bien
préoccupante que la coneoJtdatkx
i’Etat-nation Comment ? En tournant I
A la théorie, plus vivace aujourd'hui
du temps de Machiavel ou de Frédi
selon laquelle 1) n'y a pae de prtn
Q n’y a que des Interets.
La garantie du minimum vital pou:
les êtres humains est une répons*
l’Occident devrait donner au ttarei
plutôt que de l’entratenli dans Ht
— encore une — qu’un /Our le modt
consommation des sociétés Industriel!
plus riches s’étendra au inonde entle
C’est A un « contra; de génération
génération qui clôturera le siècle, qt
vrait aboutir le « dialogua Nord -
panse M. Paul-Mare Henry. « La fore
faibles ». leur Instrument de pression
puissant encore que la garda montée t
du pétrole et de certaines matières
mlères, est la démographie
Pourquoi les Etats, soit par relations
tes. soit dans un cadre multilatéral, ne
gageraient-) la pas. grées A une aéri
pactes A faciliter Iss transferts rée
technologie, de capacités de product
de transformation agricole et lndustr
En', contrepartie, fea paya bénéficiai
oas transferts s'engageraient A vis
accroissement de population qui
compatible avec leurs ressources e
lisation de leur potentiel humain.
Est-ce trop de sagesse demandée
monde qui ne jure que par le n
et la puissance? Sachons gré A M
Marc Henry d’éloigner les sirènes de
ficlsme facile et de rappeler danr-—
excellant Essai sur la confrontation
partage que «s I la pauvreté BXfg
richesse oblige ».
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PROBLEMES
FONCIERS
pour une solution libérale, voyez
pages 221 /222 et 243/246 do livre
RELEVER LES DÉFIS
Problèmes d'oafoaidlrat
par Jacques V1LUMINOT
Un more dont la presse
ne parle pat- -
Edité par «la Psnsée . UnmrseRe »
7 r rué des Germa* 75005
Le temps, la production... et les cours
L
■v
A situation de s productions est très
diverse et fluctue au cours des
mois Quatre exemples donnent un
bon aperçu de cet état de tait :
• CERTAINS FRUITS ont souffert tour
A tour des gelées au printemps et do
le cantoule en été. La récolte de péchas
{108000 tonnes) n’a représenté que le
quart de celle de 197 4 ; celles de prunes,
d» fraises et de poires ont diminué
respectivement de 60 Va, 70 */o et S Vo.
Celles d’abricots et de cerises sont sta-
bles, mate- inférieures- A la moyenne des
cinq dernières années Les hausses des
.prix n’ont pas compensé les pertes enre-
gtatréoe par les arboriculteurs du tait
de la diminution des . volumes commer-
cialisés. En revanche, le ciel a été par-
ticulièrement favorable pour les pom-
miers : te cueffiefte sera supérieure de
200000 à 300000 tonnes A la précédente,
bien que tes. fruits soient de petit calibre
et de qualité médiocre. Pourtant le résultat
sera pratiquement Identique pour le
revenu de fexp/offanr : la surproduction
provoqué uns chute des cours r qui retrou-
vent leur niveau de 1973, et il faut mettre
A la décharge publique tous les jours
près do 1000 tonnes do fruits pour
• alléger » le marché.
• LES LIVRAISONS DE LAIT au cours
des sept premiers mois de Tannée ont
été d’un même volume , que Tan dernier.
Toutefois, en raison de la sécheresse
de fulllet et d’août, qui a brûlé les prai-
ries. les départements do TOueat ont
produit 4 Va de moins que pendent les
mêmes môle do 1974. Certes, les produc-
teur» ont perçu des augmentations de
ortx qui au total dépassent 75 Va, mais
beaucoup de leurs produite se vendent
mal. En huit mois, tes exportations de
fromages ont diminué de 11600 tonnes
133500 forma® contre 45 000 tonnes) alors
que les Importations sont passées de
27700 i 28800 tonne s. Lea ventes t
V;
T étranger et la consommation Intérieure
de beurre stagne, i tel point que lea
professionnels ont décidé de lancer une
compagne de propagande. .
Le marché de la poudra de lait est
en plein marasme : fs ..Communauté
européenne stocké plus d’un million de
tonnes, dlttlc/lemam exportables dans tes
pays tiers sans un soutien r/nanofer Impor-
tant Les cours mondiaux sont en effet
très faibles (650 dollars la tonne) en raison
d’un excédent global d- r offre .sur la
demande équivalant è dlx-hutt mots de
consommation courante . (1JB. million de
tonnes JL ’
• LES PRODUCTIONS ANIMALES sont
relativement favorisées après lea dm-
cuttés rencontrées .en' 1974. Durant le.
mols.de septembre les cours des veaux de
boucherie et des gros bovin» ont pro-
gressé respectivement de 20 et n Va
alors que les animaux maigres » pre-
naient m 2 francs par kilogramme. Les
exportations sont restées très fortes, no-
tamment pour les veaux è engraisser à
destination de Thalle qui sont passées
de 600 francs an fulllet è plus de 800 franc»
en - septembre. Les cours des porcs et
de» bovins sa maintiennent à des niveaux
supérieur» è ceux de T^n.paàeé.
• LA VITICULTURE, après une période
catastrophique — surproduction et mé-
vente. — e bénéficié d’un retournement
total de la conjoncture La distillation de
quelque 12 million» d'hectolitres de « gros -
rouge - a donné aux vignerons une tré-
sorerie d’un montant total ■ équivalant è •
1 milliard de francs En outre , là taxation
des vins Italiens & leur entrée en France
a quasiment stoppé le torrent des Impor-
tations, et la vendange qui se termine ne
devrait pas être supérieure A -une récolte
normale (66 militons <f hectolitres). Bref, le
• petit vin» Invendable er. août cote
maintenant plus de 10 francs .1» degré
hectolitre.
1
ANALYSE
FINANCIERE
Etude théorique et statistique du
cas des entreprises multinationales
Michel GLÀIS
L'auteur présente une analyse théorique des problèmes
financiers des entreprises multinationales illustrée par de
ncun b reuses données statistiques. L'ouvrage fait le point
des principales théories anglo-saxonnes élaborées depuis
20 ans en matière .financière et présente un certain
nombre de pnna'pes destinés à améliorer la structure
financière des entreprises de taille importante.
216 pages, 58 F* '■
•PAcau 1.10.75 ... ..
1 ■— "Nl|
i? OBW ÿ r documentation ou commander l'ouvrage de
«Anÿyae financière». 58 F/nrtournH^e b
«scwnpagnô, STI ya beu, de votre réglementé votre Sbraire.
. JW correspondance : joindre 3 F de participation i
Nom, prénom
Adresse.....
120, bd Saint-Germain
1 75280 Paris Cedex 06
L’ECONOMIE
• LE MONDE — 14 octobre 1075 Page 17
M
tllu
s
FAITS ET TENDANCES
croissante de la demande
de plus en plus les services
;* : A la nrifo do l'uüclfl d'Alain
Ha pua dam « la Monda da
conamie » du 23 septembre saïu
dira « La . croissance de la . de-,
Xinda ne reprendra pas an rylhmo
^. naguère -,.M, Christian Michon.
: ' : «fanon* de marketing à l'Ecole
pirûnrre de commam de Paris,
* m b fait part des réflexions «ni-
1 iïieS.
r
dp
.ANS un article récent; Alain
I Ootta Évoque la xtouveUe crois-*
r sauce des économies occiden-
:& H prévoit que la croissance de
.. demande ne reprendra pas au
:nne de naguère- La base de son
. anentatkm. repose sur l'évolution
' ' rfsüde de certaines catégories de
Jts les biens durables, qui néces-
ot une accmnalatkai de capital de
'■ : >axt des ménages, accumulation- qui
'■* .Int ses propres limites.
-..a fait, s’il est vrai qnü y a une
scutable modification des modes de
sommation, le phénomène 'qui appa-
par CHRISTIAN MICHON
'Tait important- ces conséquences
âu cours de la présente décennie est
l'apparition du . poids des « services *
dans la consommation des Français.
Du fait de “la bâtisse des prix, les
-ménages, sont obligés de consacrer une
part de plus en plus importante' de leur
budget à. ces derniers (28 % en 1959,
34 % en 1972) ; les futurologues s'accor-
dent pour dire que cette part Ira
croissante, et notamment la santé 'et
renseignement.
Au-delà des chiffres, 11 -font s'atten-
dre que la demande se modifie qualita-
tivement. Egalement que la d*»m« nd e
de services devienne une «tenumn» diffé-
renciée, comme cela S’est produit pour les
biens de grande consommation, c'est-à-
dire qu'au service uniforme, le même
pour tous, se substituera des services
«d hoc, adaptés, faits pour des groupes
de. consommateurs présentant des carac-
tères comrrems dans la satisfaction de
leurs besoins.
ne segmentation du marché
" ne s’esfc-ü passé pour. les biens de
ode consommation ?
l’origine,, l'augmentation du pou-
: Lr d'achat a eu. des conséquences que
.■âéçoorimtates n'enviSBgeaient pas: la
.. Ihqpc latiOP .tes biens offerts en rai-
- ,i dé la pression .d’une demande diffé-
- J idée. A ^économie de rareté succède
' is une éconopile de divertitô qu’une
- ooqmle d’abondance.
Le T»Ma»i!WiSg résulte de cette évo-
'jüàtù I* producteur a été conduit à
IverstQer son offre sot» la pression du
';msonunateaE,~ : ^>crcdrir à satisfaire
i besoins 'du odnjommateur, principe-
v da marketing, c’est s'adapter aux
féreotaS - demandes, c’est pratiquer
segmentation' de marché.- Le mar-
— '-ng a fftit son apparition non tant
‘ " raison d’un déséquilibre rendant
. Jrt supérieure à la demande que'
parce que le producteur recherchait un
nouvel équilibre en essayant d’ajuster
une ' offre différenciée à une demande
différenciée. Le produit, bien .que fabri-
qué eç milliers d’exemplaires, n’est plus
uniformément standardisé, mute s’ajuste
à des groupes homogènes dans leurs
besoins' de consommateurs.
Ces dernières années ont été marquées
par l’éclatement de. nombreux m y chfe ?
avec l’apparition de nouveaux créneaux
(les eaux de toilette, déodorants corpo-
rels, lotions après-rasage, etc-, marquant
l’éclatement des ' marchés de l'eau de
Cologne et des parfums — les unîtes,
crackers, -apéri- cubes, etc, marquent
l'éclatement du marché des produits
apéritifs), l'élargissement des pmmw et
des ligne s traduit également ce phéno-
mène (très spectaculaire, dans . l'automo-
bile avec les modèles, les options. . les
variétés de couleur).
-.J*
’Éiat et le marketing
Ttfôgrâfhul, la croissance économique
.tffle.pÏTU la nature de la demande
‘ le rythme de celle-ci A son tour,
temande de services (transports coi-
_• loisirs, santé. enseignement,
ment, télécommunications, services
patres et financiers, assurances, dls-
t :|rtlon d’énergie, récupération d’éner-
. . . -:mûu seulement prend une part de
t an plus grande dans le budget du
To m mateur, connaît aussi un
banène de différenciation. Or la
onde de services a la particularité
J ecter principalement, non. l’Btat-
on, mais l’Etat gestionnaire de ser-
i publics, administrateurs du sec-
natJonallsé. contrôleur des services
fions para- pu taies.
relais de la croissance de. la
de passe par celui des services
par l’Etat (transports collectifs,
enseignement, etc.}. Que vart-U
•ésultor 7 -
peut prévoir qu'il y aura «rim-
antes modifications dans la relation
-citoyens. L’usager devient client
Etat est conduit de plus en plus
tiquer une politique d'adaptation
différenciation de ses sentiers
c omme le producteur a été
toit à diversifier ses produits. L’Etat
oit de plus en plus à pratiquer
politique de marketing public; ce
; pas un hasard si la SJLCP. est
e d’un service marketing. L’Etat ne
’ ; résister & cette évolution, car aller
.Æntre-courant, c’est s’exposer au
'Contentement de l’électorat qui
«e volontiers gouvernement, admi-
ration, services publics ou bien
«e, c’est s’exposer & une fuite du
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citoyen-consommateur public vers la
concurrence directe ou Indirecte, et, par
suite, à un. déficit chronique insuppor-
table Ainsi par exemple, la SJI.C.F.
est conduite - & segmenter son marche
et à satisfaire une clientèle d’hommes
d’affaires en modifiant ses services
(stratégie service-marché Impliquant
une modification des horaires, des
trains plus rapides. Un service interne :
restauration, hôtesses, bar et un prix
plus élevé j. L’Etat est ainsi «dominé»
par le consommateur public ; comme le
gestionnaire du secteur privé, ü est
orienté vers la satisfaction individuelle
du consom m ntenr.-dtoyeiv même si la
règle du «prix égal pour tous» doit eu
souffrir.
XL est vrai toutefois que le marketing
public n’obéira - pas tout à fait aux
mêmes régies. Ainsi ■ les critères de
profit, de chiffre d’affaires, de niveau
de vente, de part de marché, n’auront
pas la même si gn i fi cation et ne seront
pas nécessairement' des critères de
bonne gestion. Toutefois on peut Ima-
giner d'autres critères' d’évaluation des
stratégies service-marché (ainsi l'au-
dience.: de chaque chaîne de télévision
est identique. & la notion de part de
marché), ou peut espérer que la rapidité
de délivrance (Ton permis de construire
ou le délai de remboursement de la
Sécurité sociale sera quantifié et Intégré
dans un plan de marketing public
parce que ses services visent & la
satisfaction du citoyen -consommateur
public. La notion de cycle de vie dn
service ne peut-elle pas, eue aussi faire
son apparition ? La publication des
bans de mariage dans 'les mairies est-
elle toujours efficace? N'est-ce pas là.
un service en rjfcaae.- de déclin? Par
.contre, l’Agence nationale pour l’emploi
des jeunes travailleurs n’est-elle pas un ,
service en phase dé croissance ? L'éco-
nomie de rareté était, liée à des cycles
de vie longs, alors que l’économie de
diversité ■% entraîné des cycles courts.
Qu’en sera-t-il pour les services?
Cette nouvelle orientation vers le
marketing publie conduit au dévelop-
pement prévisible de deux phénomènes :
• La notion traditionnelle de service
public s’estompera, car lEtat, en adop-
tant une politique de marketing (de
plus en pins fréquente dans certains
secteurs concurrentiels tels que là
SJÏ.C.F.), entre dans le même système
que celui qui règne entre producteurs
et consommateurs; le. producteur ne vise,
qu’à procurer une satisfaction Indivi-
duelle du consommateur ' en adaptant
ses produira aux besoins de ces demies,
vôtre en suscitant . certains besoins. H
peut ainsi maximiser ses profits sans
tenir compte de la « désatlsfaction » col-
loctiv» qu’il entraîne, pollution, barrières
sociales entre individus, déséquilibre
des besoins chez le consommateur, coûts
collectifs, etc. L'Etat» -en imitant le ges-
tionnaire dn secteur privé, abandonnera
petit à petit la notion da service public
en s'orientant vers, la recherche de la
satisfaction de ses clients-consomma-
teurs publics. H risque d’agir à son tour
au détriment de la satisfaction collec-
tive: .
• Le- .ritoyeu-consâmmateur public
s’organisera en association de défense
du consommateur public, exigera de
'plus en plus des services d’un certain
rapport qualité-coût, exigera que l’on
«Intéresse à lui en tant que elienfc-rol
réagira face au monopole de l’Etat qui
•Renferme dans ses choix (ainsi un
client mécontent des postes et télécom-
munications ne peut pratiquement pu
s’adresser à ; -une. société concurrente) ;
un mouvement « consommateurtame pu-
blic» est, ifalllêiErs. plus probable en
France qu’aux Etats-Unis, compte tenu
de l'Importance de l’Etat it«e« les ser-
vices offerts aux citoyens.
Cette modification de la nature de la
demande entraînera d’autres boulever-
sements comme une plus grande « étati-
sation » de la réponse à cette demande.
On peut penser qu'une nouvelle techno-
structure d’hommes de marketing public
s’instaurera et que, compté tenu de
l’impératif «social» de l’Etat, le secteur
privé, .comme le. secteur publie, recher-
chera un juste équilibre j a
satisfaction Individuelle et mfnimteawt-.
la «désatisfaction» collective. C’est cet
optimum qu’un a Etat social avancé»
devra atteindre' et que les ''"Citoyens
devront- fixer.
EMPLOI: la situation
continue de s'aggraver
"après corradlon des variai nu» snsonnitires
L A forte augmentation des. demandes
d’emploi non satisfaites observée à la
On dn mois de septembre (+" 148-Sli
par rapport à aoftt) est due non. seulement
à 1 Inscription d'un nombre de jeu-
ne* sortis dn système scolaire et qui n’ont
pas trouvé de travail, mais aussi à l'aug-
mentation des licenciements collectifs et
des fennetores d'usines au retour des congés
payés. Au cours du mois do septembre,
3Z3.G80 demandes d'emploi nouvelles ont
été enregistrées pas les services du minis-
tère du travail soit deux fols plus qu’en
avril, mal ou juin. En revanche, malgré
une activité plus grande des services de
P Agence de remploi l’ensemble des deman-
des placées ou annulées -au cours dn mois
de septembre (174AOO) est resté dn meme
ordre de grandeur, qu'au premier semestre.
Bu données brutes, les demandes non
sa ti s f ait es à la fin du mois de septembre
(MJM) sont' supérieures de 1*,7 % *
celles d’août et de 77 % A celles de sep-
tembre 1974. En données corrigées des
variations saisonnières, l'augmentation des
demandes (8&L4B0 au lion de M4.090) n’est
«ne d e ZJL% en un mois : un tel écart
se comprend d’autant plus mal qu’il n'a
jamais été constaté dans le passé. Entre
■o fit et septembre 1974, l’augmentation des
demandes observées avait été de 104.609,
ce qui b ' était traduit, après correction
des variations saisonnières, par un accrois-
sement de 34JIM ; pour les deux mêmes
mois de 1375, on pas» (Tune augmentation
de M&80D en données observées à ISAM
en données corrigées.
Les offres d'emploi non satisfaites (114.7M
à la fin septembre) sont en augmentation
de 9,8 % par rapport ê août, mais en baisse
de 42L3 % par rapport à septembre 1974.
En données corrigées (1KUH offres au Ueu
de IftE.710 fin aoftt), l'augmentation est
plus faible sur un mois (+ 2,5 %) mais la
balsas est aussi forte sur un an (413%).
La Sécurité sociale , victime de la crise
f Suite de là page 15.)
Et comme la cigale qui chante tout l’été,
personne n'a voulu profiler rie la période
faste pour régler les problèmes. A le
veille de l’hiver, le réveil est d'autant plus
brutal que les pouvoirs publics doivent à
la fois répondre -aux revendications des
syndicats sur tes retraites, à celles des
médecins sur fragmentation des hono-
raires, à celles des entreprises -de main-
d’œuvre qui eupportsnt des charges très
élevées ei enfin, à celle des partenaires
sociaux — patronal e! syndicats — qui
affirment : tenons compte d'abord des
charges Indues (voir F encadré ci-dessous).
Et pourtant II faudra trancher, et è chaud.
Des choix s'imposent Peut-on compter
sur l'augmentation des taxes sur l'alcool
et le tabac, que M. Fourcade a annoncée ?
Le déficit envisagé pour 1376 — 7 A 9 mll-
accélérée. Restent Iss économies ou /'effort-
contributif soit par l'Impôt soit par les coti-
sations (un point supplémentaire représente
près de A milliards de frappa de 'recettes
et un point déplafonné près de 600. millions
de francs). Avant d’améliorer les retraites,
les Français devront au préalable consolider
le système existant En fait c'est à une
réforme complète de la Sécurité - sociale
qu’il faut s'attaquer. La commission Granger
a fait des propositions dont la Monde a
rendu compte (2) ; une autre commission.
. dite des charges Indues, doit faire des sug-
gestions. Le gouvernement, puis le Parle-
ment, devront décider' mais le projet de loi
.qui est en préparation ne sera pas prêt
avant la fin de l’année et ne sera peut-être
pas voté avant 1976. DHd IA des mesures
provisoires devront être prises.
JËAN-PIÉRRE DUMONT.
(3) La Monde du 20 Juin et da 30 sep-
tembre.
GE QUE REPRESENTENT
LES GHARGES INDUES
- Sur demande dn P ar l e ment, le gouver-
nement a nommé une cammloston, pré-
sidée per M. Roger Grégoire, conseiller
d’Etat, qui doit déposer avant U fin de
l'année un rapport sur ee qu'on appelle
les charges Indues de la Sécurité sociale.
Par charges Indues, on entend parier
de deux séries de prestations que doit
venter le régime général : celles ayant
trait à des activités qui ont un objertll
étranger A la Sécurité sociale (notion
qui selon les cas va des frais «rensei-
gnement hospitalier aux allocations
logement dans la mesure où □ ne s'agit
pas d'une assurance) ; renés portant
sur des prestations qui sont servies A
des. personne s . étrangères an régime
général (mineurs, sal arié s agricoles, tra-
vailleur* Indépendants).
.Les- syndicats, qui donnent A cette
notion nnsens large, évalenent les char-
ges Indues & 16 840 millions de francs:
pour la maladie. 2 67G an titre de l’aide
a d’antres régimes; fine- pour les frais
d'enseignement hospitalier ; 550 pour las
investissements hospitaliers; 987 au titre
de la compensation accidents dn travail
des mines : pour là vfeUTèssa, 4 H 0 mil-
liards, dont Ï 07J pour les allocations
m inimales çrn . sj ; pour la famille.
6 044
De leur, eftté. Les services dn Plan se
sont livrés * une estimation qui scion
certains recoupements, serait de 5 8M
million* de tua: «no pans les Irais
d'enseignement hospitalier;.» 860 an titre
des salariés agricoles; «70, soit 80% Cf),
da l'Allocation logement, «t 2 073 pour
les allocations minimales.
S
[lards da francs — en tient déjà compte
dans la projet de- budget; de l’Etat : sans
la subvention de 6.431 millions rie francs
qui est Inscrite au projet de loi de finances,
le régime général aurait en 1976 un -trou -
de 15400 .militons de lianes, en raison
-notamment-. de la. compensation démographi-
que (COOt'7 835 millions de francs}.
L'Inflation et la reprise économique conju-
guées pourraient, comme par le passé, ren-
flouer la trésorerie; mais rien ne permet
de compter sur le retour d'une croissance
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Page 18 — LE MONDE — U octobre 1975
LE MONDE
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Le Japon, lui aussi, s’interroge
sur les causes longtemps ignorées
de la crise
De notre correspondant
Tokyo. — n existe au Japon une
procédure de renflouement des entre-
prises en faillite qui est mise en œuvre
avec l'aide de L'Etat quand les autorités
financières estiment que les circons-
tances économiques ou politiques l'exige.
La compagnie textile Kohjin, qui a
récemment déposé son bilan (1) avec
un passif équivalant à plus de 210 mil-
liards de francs» en a demandé le béné-
fice. On doute pourtant que ce sau-
vetage ait lieu.
Cette faillite retentissante d'un grand
nom aura eu au moins un effet salu-
taire pour l'industrie Japonaise. Elle
a d éc i dé le cabinet MUd a
— e nfin ! — un plan de relance que cha-
cun attendait v-Ht» aura cgnnnit
les grandes managers de l'économie A
analyser plus A fond les cause réelles
et profondes de cette culbute, et A en
tirer des leçons pour la période diffiHi»
qui se prolonge-
Qui trop embrasse ...
La première analyse avancée au début
de septembre avait été que la Kohjin
était seulement victime de sa mauvaise
gestion, de son « mismanagement a,
comme disent les Japonais. Fondée en
1937, l'entreprise réussit d’abord dans
la production de rayonne pendant la
guerre, puis de textiles après la guerre.
Les textiles devenant moins rentables,
la Kohjin s'était lancée dans les pro-
duits chimiques et pharmaceutiques, la
pâte A papier, et enfin, depuis 1972,
dans l’immobilier. Ru» avait lourdement
investi dans l'achat de terrains et
abondamment spéculé sur la propriété
foncière.
La crise étant venue, la Kohjin a
eu le plus grand mal A faire argent
de ses avoirs Immobiliers, se trouvant
encore entravée, disait-on, par une
nouvelle loi, votée en 1974, qui impose
de sévères restrictions aux ventes spé-
culatives de terrains.
Une autre cause de faillite aurait été
un Investissement malheureux dans une
fibre ininflammable Inventée et
au point par la société Le Corde] an,
produit remarquable, mais, de prix élevé.
L’Inexpérience de la Kohjin dans le
c marketing » aux Etats-Unis, princi-
pal client, et la chute brutale de ses
exportations vers ce pays, auraient joué
un rôle déterminant dans ses difficul-
tés. si l'on en croit son président.
Les autorités financières japonaises,
dont celles de la banque do Japon, se
sont satisfaites, du moins en appa-
rence. de ces explications. On entendait
dire en effet que la Kohjin était vic-
time de ses propres bévues, et non pas
de prétendues fautes du gouvernement
dont la principale aurait été te tarisse-
ment exc essif et trop longtemps pro-
longé du crédit.
Les milieux d’affaires, eux aussi, ont
d'abord fait porter la responsabilité sur
la Kohjin et sur ses erreurs de gestion.
De surcroît, ses créanciers étaient de
taille A encaisser le choc d'une telle
disparition puisqu'il s’agissait de
banques et de grosses sociétés de com-
merce. dont la Mitsubishi Corporation.
Au fond, la Kohjin servait de bouc
émi ss air e : le marché avait besoin d’être
assaini et te gouvernement, pensaient
les Industriels, relâcherait plus vite Je
crédit.
Des échafaudages
bancaires
Mais voici que le pessimisme fait
trembler r industriel Le bout du tunnel
n’est pas en vue Et on découvre que
les analyses du début dé l’année étaient
trop optimistes — ou trop indulgentes
— pour les milieux officiels. Dire que
c’est seulement la mauvaise gestion et
pas la crise qui -a fait périr la Kohjin
ne parait plus sérieux. Ce sont évi-
demment les deux A la fols L’insuffi-
sance des mesures de relance prises sont
des causes qu'on découvre : a Le cabinet
Mûri s’entêtait à ne vouloir combattre
que l’inflation a. dit-on maintenant ■
XI faut aller plus loin, ajoutent les
critiques, et mettre en cause toute la
politique de facilité qui a caractérisé
le boom japonais des années 70. peut-
être même la croissance des années 60.
Une des recettes de cette croissance —
du « miracle japonais » — a été le finan-
cement et le « wanagmwn t i par l'em-
prunt C’est donc la structure même de
l’économie nlppone qui est en cause :
elle a trop construit sur les échafau-
dages bancaires.
La Kohjin en est une Illustration. Il
y a plusieurs années que cette grande
firme s’est mise A emprunter massive-
ment. C’est ainsi qu'elle a investi rf »ne
l’immobilier. La crise arrivée, elle s'est
trouvée devant on déficit aggravé par
l’énormité des Intérêts a payer.
Dans aucun autre pays, les banques
n'ont autant prêté ; elles aussi spécu-
laient sur l’Inflation puisque la règle
du Jeu voulait qu’« à tous les coups Ton
gagne >. L’Immobilier a été le domaine
des bénéfices les plus mirifiques. La
leçon de Kohjin aura peut-être été
salutaire.
ROBERT GUILLAÏN.
Lointain ancêtre c lu rapport Schvarfx
La thèse d'Edgar Faure
-JÏT'jCê
VSs si
M MAURICE LATJBÊ. présidant de la. Société
générale, qui dirige les travaux d'une commis-
» don d'experts chargée par le gouvernement
d'étudier le fondHanuement' du marché pétrolier ' en
France, avait prévu- de ! remettre les conclusions de ces
tr a v aux & la mi-octobre, avant cou départ pour t» long
voyage an China. En fait cas conclusions ne arr A nt pré-
sentées an go uv er n ement qu'au mains an mois pins tard.
L'une des explications possibles , è ce retard est que las
experts ne sont pas d'accord sur la façon dont il cas vien-
drait de réf or m er la loi de 1928.
problème posé A la commission La nré est certes
Mttirn» s ~rrr.Tr, «TT* égmineg de la loi tout ce qpi'a pernua
les abus «pao l'on sait sans atteindre le « nerf • d e lu
politique pétrolière française qù est en principe la recher-
che d'une certaine indépendance.
U n'est pas sftr que les conclusions de la commission
soient rendues pnbtiqnes. Leux maintien au secret n uira i t
à la clarté du débat lancé an novembre 1974 par la publi-
cation du rapport Schvaxlx. Parce que ce débat est
« yumrtni. nous versons aujourd'hui an « dossier > un
■ nouveau • document A vrai dire très a ncien . — Fh.S.
L E pétrole « tient dans la politique
et dans la législation française une
place tout à fait particulière. On
a institué en sa faneur un corps de
mesures, d'ailleurs en vote de perpétuelle
èvotution, et qui n’a d’équivalent pour
aucune autre industrie-dé , pour aucune
autre matière première s.
Ces lignes sont -elles extraites d'un
nouveau «rapport Schvartes? Le pas-
sage suivant pourrait le faire croire
encore davantage : « Le marché îui-
méme présentait un aspect économique
tout d fait remarquable, a était, en
effet, tenu par dix maisons, bénéficiaires
d’un véritable monopole de fait, et qui.
par des accords de contingentement
seml- officiels (1), ouat e nt totalement
su pprim é entre elles les aléas de la
conc u rrence . Elles se partageaient, selon
une proportion déterminée et chacune
pour une région particulière, le soin de
satisfaire tes besoins exacts de la popu-
lation. et de la sorte chacune était sûre
de vendre sa quantité et de ne vendre
que sa quantité. Les prix étaient stables
(chaque semaine tes membres du cartel
les arrêtaient d'un commun accord), et
les bénéfices réguliers : un commerce
exe rc é dans ces conditions présente un»
sécurité administrative. > On ne saurait
dire les choses plus élégamment
Tout est déjà en place : les ententes
soi les prix et ce que l’on appelle de
nos Jours les « tables », rendez- vous
clandestin'' où les sociétés se répartis-
sent les marchés. La situation décrite
par l’auteur de ces lignes est pourtant
antérieure A la guerre de 1914 - ISIS.
L’auteur ? Un certain Edgar . Faure (2),
brûlant avocat parisien qui a A peine
trente ans. Le titre de l'ouvrage, écrit
en 1938 et publié l'année suivante : le
Pétrole dans la paix et dans la guerre.
« Cette étrange organisation serai -
officielle, llt-on encore avec l’Impression
étrange ce replonger dans l’actualité du
dernier « scandale pétrolier», devait en
partis sa situation et le patronage dont
elle bénéficiait de la part de rstat aux
émeutes de la Commune. Le gouverne-
ment. impressionné par r usage que l’an
pouvait foiré du pétrole à des fins anar-
chiques, avait favorisé: la concentration
entre les mains de quelques industriels
du commerce et de l'industrie de ce
produit. » :. • .....
D’autre part; grâce A un droit de
douane protecteur, c le gouvernement
avait décidé d’encourager l'industrie du
raffinage ». argument employé cent fols
par la suite et encore aujourd’hui.
Résultat médiocre r Le raffinage encou-
fl) Le Stand* du 27 «oOt 1275.
S
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S)
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Tauxde rendement
actuariel brut
à partir du 8 septembre 1975
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à 5 ans
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©•
S UN PLACEMENT SUR, PRATIQUE, RENTABLE. ©
S
« LES MAITRES DO PÉTROLE
AURONT UNE POLITIQUE
DANS L’ÉTAT »
Le passage suivant du livre de .
M Faure mériteraii de figurer dans une.
anthologie de textes consacrés aux
relations entre l’Etat et tes grandes
Armes. (Souvenons-nous que treitte-éfx
ans plus tard , le rapport Schwartz poaati
luwnôme ta question : « .On peut se
demander où est l'Etat •) Et avec quel
style ce Jeune avocat de trente ans dé-
crit ce que d’autres, plus tard, appel-
leront le « capitalisme monopoliste
d'Etat ■.
. • tt est difficile ù un organisme aussi
développé qu'un trust, bien que formé
<T Intérêts privés. de se cantonner dans
une activité purement commerciale : u
aéra naturellement -soJliotté de déborder
son-, rôle, de s'immiscer -dans (t* ques-
tions politiques, fût-ce ooùr s'assurer
dans la réglementation émanant des
autorités publiques les aménagements
susceptibles ce favoriser ses affairas .
SI . [Etat , a une politique du pétratB^les
maîtres du pétrole auront _une doIIUqub
dans fEtat •
ragé était en fait fictif ou, pour repren-
dre l’expression de l’auteur, « purement
nommai ». ce qui « faisait a p p araî tre
rinduatrte du pétrole comme le symbole
du capitalisme profitable, votre scanda-
leux *. ..• •
Et de citer en note on passage des
Sommes de bonne volonté relatif aux
« confidences d’un député de gauche à
sa maîtresse ». « Je fat parlé de cette
histoire de pétrole — ' Les rafflnears f
— Oui, les prétendus rafttnevn. ■ Ces
gatilards-là vident au fisc quelques dâun
z atn e s de nvültons par an. ».
On voudrait rapporter encore d’autres
extraits du livre de M. Faure, tellement
on a le sentiment d’un téléscopage, dans
le temps. Ainsi de cet aveu du ministre
des finances de i'èpoqu& M. René.R*-
notilt» quL e à la Chambre des députés
Elors] (Tvn débat . particuliérement
curieux— se trouva dans le cas de dire
Cl) CT est nom qui soulignons.
(3) Le Un» est signé avec un trait d'union
entre le prénom et le .nom de factuel
président de rassemblée nationale, n est
tiré de sa thèse de doctorat en droit. .
que son administration ignorai t « tes
. » véritables conditions du commerce du
» pétrole riaivt te monde u. On croirait
.entendre son- r lointain successeur,
M. Fourcade, se plaignant de ne pas
en savoir assez sur le coût d'accès au
« brut ».
La loi de 1928 devait remédiez, aux
tares du système — loi qui précisément
est 'en question aujourd'hui- La légis-
lation a confié le monopole du com-
merce du pétrole A l’Etat - monopole
qui a ensuite été délégué. A des sociétés
■p✠A des « autorisations ». Ic i. U f aut
citer longuement, c'est exactement,
un d»a éléments du dossier actuel, et
de p»n« c'est magnifiquement « plaidé » z
« lè total des autorisations accordées
laissait évidemment, par rapport à la
consommation effective,-' taie certaine
marge, ce que Toà a appelé an * volant *.
Cela correspondait tCaüleurs au - désir
du législateur qui avait voûta, d'une
part,, adapter lé système aux accroisse-
ments prévus , de la consommation,
d’autre part maintenir «n .mtntmum de
concurrence. Mats tes importateurs ne
s’accommodèrent pas de cette concur-
rence malgré sa limitation— üs b f for-
cèrent _ de réaliser , v dans leur intérêt
commun, un nouveau contingentement
, entre eux, une sorte de « surcontingen-
tement ». qui. en maintenant chacun
en deçà de son plafond otticteL. aboti-
satt en fait la marge que le législateur
avait volontairement réservée pour
r exercice .dé la concurrence- Parallèle-
ment. des ententes périodiques f en prin-
cipes hebdomadaires I fixaient les prix.
D’ïm potnt dé vtie théorique, an est porté
à qualifier de Celtes mesures iTlüég
et de paradoxales : si un oimtingeni
ment privé, en l’absence
étatique, peut défà sembler
au principe de la liberté dù
que dire , d’un contingentement privé
se s urtm prt me en quelque sorte sur
contingentement officiel, les
manifestant ainsi ; la prétention
refaire, et par conséquent de
naître, dans. teur,. tBCérêt privée tes
sitioas établies .par P Etat dans té
de ttstèrèt publie dont £ est s
juge?»
En fin de compte, malgré la. tel,
retrouve nombre' des caractères
daleuxjSela situation antérieur
' 192ÜT Mais pourTâutêur. qul n «
car maintenant « 'd’un point de.
pratique»; selon ses propres termes. «
situation est un peu différente. L'<
syndical du surcantingealement,
U, peut se présenter en fait comme
■meilleure manière, votre la seule, d'i
rer la régulation et la stabilité des
et d’éviter ainsi que soient
les manoeuvres de bouse artificielle
Van. a également voulu éviter, ainsi
le précise en premier lieu te texte
Ces promoteurs des accords ont
des raisons bien plausibles d
valoir, en- se référant notamment à
baisse des prix mondiaux et d V
convulsif du . marché américam.
justifier . une action destinée ù
ntr un prix d'abord à un ntveast staù
et ensuite à un niveau équttablemen
rémunérateur, ce qm est exigé par Vin
térêt général, aussi bien que par
térit.pnvé.
» Ces motifs sont
invoqués par les raft trieurs, et &
escient: masqué, srüs bénéficient de ce l;
tain» avantages, üs peuvent arguer dJ.
investissements considérables qu'ils ol
exposé» sur la' foi cTune sorte de proj i
messe générale dé stabilité. » - ‘ i
Oes « excuses t ne sé trouvent — ^
dans le rapport Sch varia, esfc-ü
de le dire?
vir- * .*
iî V v
Ml
Êiv'*£\
Quand on est propriétaire de -
son parc auto, d’est quand même
bien utile de connaître le prix de
revient kilométrique de ses ~
véhicules. Et cfest très simple :
amortissement Entretien.
Réparation. Dépannages. Assu-
rances . On met tout ensemble.
On remue. Résultat : on se trompe.
Avec la formule de location
(•est intéressant de connaître
un^ prix de^ ^revieiyt kilométrique.
Surtout quand il est exact.
mensuelle, toujours la même,
couvre la mise à disposition aune
langue durée Locasim aucun risque. Simca, dune Chrysler ou cPune
Aucune erreur. Une seule facture Matra (neuves) son entretien dans
tout le réseau Qiiyde^Prance
(2200 points service) et son
assurance, prise (f ordre et pour
vote compta
Cette facture mensuelle, il ne
vous reste plus qif àla multiplier
par 12 et à monter Tessence et
les lavages. Comme quoi, prévision
et précision peuvent très bien se
rejoindre.*.
■Location longue»durée
Locasim
Les services de Fautomobîle
sans les servitadès*
Locasim 30, we d’Odéans 92200 Neuilly TéL74L5S.OO. i
L’ÉCONOMIE
LE MONDE— 14 octobre 1975 — Page 19
LIVRES
LES NOTES DE LECTURE
L
d’Alfred Sauvy
. k missariat général' dû PlanL r - Lucien Barnier
‘V
'i
VUES NOUVELLES
SUR LA CROISSANCE
“ r î* l.
i-.
des résultats des délibérations du comité
ÿ' l P. pw Pierre Ptsanlol 01 chargé d» répondre
d t0TtB 01 8* trouble, posée depuis, trois
• rj * ■■jrte ; trwrte ans de progrès parcourus sans ôbjeo-
vïéô en septembre 1979 'et en' activité Jusqu’il la
juin 1S74. ce c omité a siégé, pour ime large
jndant l’Interrègne politique. Il ne doit pas être
. tdu avec la Commission pour la croissante ■ et
’ réunie plus tard spécialement pour la
..;ilan. Ces «.réflexions fi long terme » sont la pan-
>te celles qui ont concerné «La fezullifr»,. précé-
dant analystes IcL :
.User un consensus entre des. personnalités aussi
-et diverses que J. Bolssonriat, R. Bonéty. p. De-
- V. St. S.C. Kolm, A. Rlboud. J. Saris& Simone Ve»
- ' iutres. n'élaît pas chose facile, te qui accroît
. . 9 te mérite du rapport rédigé par EL Caïeu. avec
, :éa F. B. Denlzot et de A. Le GafL K difficile était
■ qi> la pénétration dans la chair que rensemMe .
-- ■•tppe pas aux tendances actuelles prévoyant des
I.' (tes. dans - les deux sens du mot, plus que- leur
; jparôe. -
: ; rté. dés Kabortf. le freinage volontaire .-de la pny-
préconisé par certains pour des raisons éco-
; dès lors, quatre options ou- domaines se
Entent : place des biens matériels et de la tech-
' r'.~ dans notre vie et notamment notre croissance,
àgement de l'espace, résorption. des' inégalités..
•- In f or ma tion, participation.- /.
, ' 'a la longue série de' propositions, citons tente -
'■ précises, sur ce qu’on appelle la revalorisation
.' ■avall manuel, sur r attaque directe de l'Inégalité,
'..'' compter sur les vertus spontanées de ta croîs-
'■/•j CM Méraud confirmera ce choix), la diffusion
esponsaüllitâs, les propositions concernant l’Infor*
‘ ■'n, dans l'entreprise ou aillaura. .
■ trouvant en désaccord, au mob» partie], quelques
". ;3res ont exprimé .séparément leur opinion . :
- - E Bauer (codtro les « cadres nobles fi 20 ans •],
. jriot (notamment contre les surgénérateurs et la
-.: tance de Paris), R Bonéty (en faveur d’une pte-
jtiori), PH. Roqueplo (contre le programme élec-
-udéaire) et Le Gall (ralentissement de fa produo-.,
char tes paya riches).
te ecr sotegtnnt ta grande variété des vues, ces
‘ 'jgshcaa exprimées soulignent la nécessité de creu-
davantage (le rapport est d'allleura éloquent sur
' pôlrt)l Lactaire «wlchtaaante qui, elle ainsi, crée
- j besoftis édition plus accessible serait la
'•menue 'et lOWTffîte de magnifiques sujets A la télé-
■ . ..'Ü ■ .
■ yt Bubette 'V.-Esini nouvelles mut la croissance,
■ Commlstvba ftoénl du Plan - Prix : 19 F.
LES ANNÉES TERRIBLES .
DE L’ESPÉRANCE
A l'opposé de la danse sur le volcan, le titra
exprime bien ridée -de « mauvais - moment à
..passer «. Assis -sur -ta science et ta technique;
plus encore sur réparais, nous., sommas bercés par
l'Images! d&cotaWô tes esclaves- mécaniques, tout en
s'écartant largement d’un Roblda, d’un Huxley, ou d’un
Ttubouriech. M. Lucien Barnier s’opposa franchement
aux Meadows, à HDch. à Marchais (« ni Club de Rome
ni Morçou »). et annonça, dans la fièvre, la grand
épanouîssâment de 1B9Q. Lès données sont suffisam-
ment, conorétas pour que soit évité le doux nom d’uto-
pie, bien que Fin évitable musique soit fidèle au
rendez-vous. ...
Et nous sautons de biologie en électrons, de chirale
en socuet,' de pédagogie en urbanisme, inquiets, par
moments, de l'emballement, quL cependant, ne dure
Jamais. Est-ce peur de céder à la tentation du calen-
drier, des découvertes, style américain 1957, ou de
démentir- André Breton ? Toujours' este que,' sans'
.règle fixa, l'auteur préfère monter, successivement
' -les coursiers cfuna vaste écurie.
-Un ooln sombre cependant la. génétique : . les
femmes - schizophrènes / Bt>nt très fécondes et : tas
disciples de Mande!, coupables de sous-estimer la
.transmission des tares récessives. La documentation
. est en. dehors de la démographie, relativement sûre,'
r espoir venant en. plus. Dans ce vigoureux désordre,
une Idée directrice, fi teinte rose, s'impose peu fi peu :
maîtrise des climats ou du moins des pluies, atimenta
1 artificiels, etc. -
Aux aguets dès fes premières pages, r économiste
perplexe, aimerait .voir quelques modèles ou chiffras,
mats il n’est guère plus question de rapports sociaux
ou politiques que dans le rapport du MIT.
La papulation vient en fin d’ouvrage, mais les
exubérances d'Asie ou d’Afrique ne pèsent pas plus
que le stédllame européen. Le grand étonnement plus
encore que J'annonce du retour de la famille fi la tribu,
est l'Ignorante ou . l'Insouciance vte-à-vte dû vMIIlas»-
. ruent, c'est-à-dire de ta seule, évolution fi. peu prés
écrite.
Il reste fi savoir ce . qu'en penseront J. Fourastlé,
G. Lévy-Strauss. Raymond Aron ou René Dumont
* Paris, 1975. EdltlonB Bobert LATtont; 21 cm.
255 p, 38 F.
Jean-Antoine Roqueplo
L’INTÉRÊT
V IEILLE question, plus vieille sans doute que la
monnaie, mais non que les Illusions fi ce sujet
Nous sommes étonnés da voir que, trotte ans
après l’avènement de la comptabilité nationale, la
notion même de légitimité du taux d’intérêt ne soit
pas étudiée fi la lumière du taux tf expansion, ce qui
permettrai! de dissiper quelque peu le paradoxe du
sou placé depuis Jésus-Christ- H est question Ici
surtout de certaines formes de prêt notamment te
prêt' dtiffirè, te plan épaigpe-togement dont r analyse
n’est pas exempte dé reproches et surtout le prêt è
durée réductible, suggéré dans le VI* Plan.
Qu» (a durée dea prêts mérite, aujourd'hui plus
encore qu’avanL d’étre réduite, est plus que défen-
■ dable. mais le. lecteur sera surpris par ta faible place
que tient, dans l’ouvrage, la déprédation monétaire,
dite couramment Inflation. U y a. certes, le précèdent .
dé la comptabilité nationale.' Cependant l'argumen-
tation touffue ne débouche sur aucune conclusion
pratique et évite, en particulier, le Jugement sûr
l'Intérêt négatif actuel ou sur l'opportunité d'une
Indexation. L’écureuil de l'Image connue est. en
effet là vigilant Harpagon et don Juan y trouvent-ils
vraiment leur compte?
* Paria. 1975. Los Editions de rgpwsnei 18 cm,
IBS p» 27 P.
■ Groupe de recherches de géographie in-
dustrielle . .
LES INVESTISSEMENTS
ÉTRANGERS EN FRANGE
G E méritant et méritoire travail collectif (dix
auteurs), dû .fi' la collaboration du centra de
-recherches de runiverelté de Vlncennes et du
laboratoire de géographie humaine- de Parts-!, plonge,
comme Jamais encore tait, dons la. question épineuse
des Investissements étrangère La période étudiée est
1985-1969, mata on remonte plus haut
Dés l'abord, difficulté étonnante fi rassembler tes
données de tait, voire fi définir ce que l’on entend
mesurer. À la généalogie' complexe des filiales, ou tait
que projet financier ne signifie pas plue usiné qui
fume qu'outorisallon de bétir ne signifia construction
effective, 's’ajoutent d'autres obstacles. Une fols de
plus, én dépit de ta multiplicité des contrôles et des
renseignements fi fournir, le chercheur venu du dehors
ne trouve pas ce quH désire.
•Les deux sources principales de .renseignements,
balance des paiements (mouvements de capitaux) et
dossiers de demandes d'autorisation, divergent' ou se
complètent Des surprises aussi en coure de travail.
Certains Investissements, les plus Importants, n'ont pas
Je dossier réglementaire, parce què— étudiés au
sommet '
Las chiffres marquent uns progression Importants,
qu'on aurait eçuhalté voir convertir en francs constants.
Intéressante aussi ta répartition géographique.
La forte concentration qui ne- dégage (les multina-
tionales 'sont naturellement dans le champ) pose fata-
lement la question de l’utilité ou du danger. SI bien
venue qu’elle sait, ta création d’emplois Initiale n’a-
t-elle pas pour corollaire une domination ? La soupe
n’est-ella pas le prélude du collier ?
!t- semble sa dégager «a tout cas. constatation
souvent faite, que tas Américains sont de ce point de
vue. plus bénéficiaires du Marché commun que tas
Six. sinon les Neuf Mais révolution ta plus récente
conduisant sans doute fi un jugement plus nuancé.
La travail collectif présente de grands avantages,
mais sa traduit ici par un retard excessif de publica-
tion, en un temps de changements rapides, et par une
certaine crainte dans l'expression.
* Grenoble, 1975 Presses onlvexslMlrts de Oreno-
blo ; 24 cm. 128 p* 45 P.
Georges Lasserre
RÉFORMER
L'ENTREPRISE EN 1975 ?
DES POUVOIRS
POUR LES TRAVAILLEURS
L E défenseur, de longue durée, des travai (leurs
et des consommateurs, le pionnier du sys-
tème coopératif, plus suivi en Suède qu'en
France, n’a Jamais perdu cto vue te toujours oublié
Intérêt généraL La question si brûlante de l'entre-
prise est présentée dans ce petit ouvrage plus
clairement et positivement que dans tant de débor-
dements dilués Cartes, comme II arrive souvent, ta
vigueur du ton. voire l'indignation, dessert parfois ta
fond, mais la rédaction s’affermit peu A peu. même
lorsqu'elle pénètre dans te bienheureux domaine de
l’Idéal.
Que l'entreprise, encore an monarchie, retarda
d’un siècle ou deux sur ta notion démocratique, n'est
plus mis en doute par personne, ta seule détonas
étant te « N'y touchez pas, elle serait brisée I -
' Encore taut-ti. précisément pour surmontai cette
objection, dépasser te verbe et te stade de l'anathème
ou du soupir. 'C’est ce que fait cet économiste de
mérite.
- La véritable base de départ est te rapport Sudreau.
que M Georges Lasserre connaît sans doute bien
mieux que te premier ministre. Tout en approuvant
.son orientation d'ensemble et de nombreuses nova-
tions (remarquer cependant une curieuse répartition
statistique des propositions formulées, peu favorable
aux consommateurs), Il montre la chemin fi parcourir
après cette première étape. ' terminent par da belles
vues (nous ne voudrions pas dire envolées, car les
pieds restent sur terra), sur l’entreprise de demain.
- Ces Jugements, ces propositions, moins convaincants
peut-être lorsqu'il s'agit des capitaux-actions al des
capitaux nouveaux, sont précédés d’un bref panorama
des Idées, allant de H. Dubreuff fi F Dalle, en pas-
sant par F Bloch-Lalné et de certaines réalisations —
notamment la cogestion allemande et l’autogestion
yougoslave.
Une remarquable réussite, qui dépasse largement
la simple mise au point
* Patte 1975. HdtMona Cujas : 18 cm, 1» p, 1550 P.
NE DRAMATISONS PAS
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. v'-^’ * * ' -, ,
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... :&i;î .p'S'ü:
^ ^ ^ ' ; *. ''V. ’ ^
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/..••ÎKf • ' . - > -V • fi W,*
r* ••
V-i.'L' ■ t . - . _• — — .
■■ T -7 -
C^~ - ‘J * .*■ \-:
\ jzr-' ■ ■ _
\une époque où tout le mondé
îassionne, nous voulons.
t . der la tête froide;
[fil -es journalistes, du Nouvel
* >nomîste condamnent eux
‘ . si les injustices et la violence,
‘ isüs y répondent x leur .
y.,.. - ••
J'.
chiffrés. ILy à dés faite qui valent
des philippiques et des chiffres
quïl est dffldle de regarder en
face-
Sous cet angle, Le Nouvel
Economiste sera un journal dur.
parce qull laissera parier le poids
des chosës. Bien sûr, cela nous
attirera parfois des ennuis. Mais
c’est lé prix de notre ambition :
MIEUX CONNAITRE
POUR MIEUX PREVOIR.
être chaque vendredi la base de
réflexion et d’action des
responsables des^ài^ü^-mr^-.
1 îj- . «ure) seront retransmises- v
de 1 économie télévision par le satellite V
.an co - allemand! Symphonie - L
.'ir i en a décMé la commission
w traBW-sortétique pour rutiUsatton
I E paeffique de- J'espace extra- atmo-
B W* IIWK. / W B Vypf Radio- sphérique, qui a tenu sa réunion
■pa ■W^^^^lures. . 1 annuellfi à La Grande-Motte:
/ »
i
Page 20 — LE MONDE — 14 octobre 1975 . • -
SPORTS
FOOTBALL
CYCLISME
Battue 2al par là République démocratique d'Allemagne
L'ÉTOILE DES ESPOIRS
La France est éliminée en championnat d’Europe des nations
On attendait Gorelov, ce fut Van den
De notre envoyé spéciol
TjHp 71g — Stephan Eoraa se laissera
pas, le I" janvier, à son eccsnanr Michel
Hidalgo, im« équipe de France qualifiée
pour les quarte de finale du championnat
d'Europe des nations. Pratiquement
condamnée par ses mourais débute dans la
compétition (défaite 2 & 1 à Bruxelles
contee la Belgique, matches nuis 2 à 2 &
De notre envoyé spécial
Paris contre la B . D . A . et 0 & D à Reykjavik
contra l’Islande), l'équipe de France n'a pas
su obtenir* le 12 octobre à Leipzig, co nt re la
B.D.A, le match nul qui aurait préserré
sec dernières chances de qualification. Battus napn ^ départ de l'Etoile
2 & 1, las Français Joueront donc un simple des egpoirs. ia présence des cou-
rôle d'arbitre pour leur dernier match xuuxs soviétiques constituait la
contre la Belgique.- la 15 novembre au Parc principale attraction dé cette
des Princes. Une défaite de la Belgique par épreuve organisée, du 8 au 12 octo-
au mains deux buts d'écart permettrai* en Kf , , a f t lo “ J* JL2K5A
rffet ,u * All.mtmd. d. 1-Ea d. p^dr. . In
extremis * la première place du groupe. i*ss 1 l oui donnèrent le ton avant
Au départ de l'Etoile vail de harcèlement qi
, la présence des cou- porter ses fruits. Du
•tiques constituait la conjoncture particulière,
attraction de cette risée par l'antagonisme
anisée, du 8 au 12 octo- catégories. Robert Oubl-
ie règlement « open >. passable de la sélection .
L'échec d'un commando
Ancnaiin comme l'entraîneur- a tout le monde attaque et tout neck et mot » Cinq des Joueurs
miracle susceptible de forcer le le mande défend », Stephan Ko- présélectionnés (Béret*. Huck,
destin d’une équipe de France qui vacs a même failli A ses prin- Jodar. Jouve et Larque). qui ne
n’a plus réussi à franchir le cap cipes, en transformant l’équipe de s’estimaient pas en pleine posses-
des éliminatoires d’une compétl- France en commando chargé sVon de leurs moyens par suite
üon officielle depuis son accession d’obtenir & Leipzig le match nul de blessures plus ou mntm graves,
aux quarte de finale du charn- Indispensable pour conserver p r éférè r ent renoncer su dépla-
pionnat d'Europe des nations, en l’espoir.
1868, Stephan Ko vacs a donc Au soir de la victoire des Allé- uwinraumnes pour ourmer leur ^n^ricptciT^rfwi'oi+nrniants vifs
échoué dans son _ entreprise. SI .on manda de. l’Est contre les Belges, Jeu de « fillettes ». les footballeurs conçolt d * bord
ment.
Conditionnés pour oublier leur
et un penalty, malgré un avertis-
sement à Adams et A Bathenay.
M'Ignorant pas que l’équipe est-
allemande, dirigée par Gearg
Buschner, excelle & pratiquer le
« contre », Stephan Kovacs avait
misé sur une défense renforcée
épreuve organisée, au s au ia ocld- categories, ouoen uom
bre, selon le règlement « open a pensable de la sélection
De fait, toute la course s’articula teuis français, n’a pas
autour des routiers amateurs de parler de coalition contre
l'Est, qui donnèrent le ton avant teuxs soviétiques, nus
d’installer Nlcolal Gorelov à la Jacques AnquetO, qui faL
tête du classement général et de tion de directeur de t
s’incliner finalement avec les bon- estimé que Gorelov et
rieurs, placés sous la direction de plers, au nombre desqu
l’ancien champion olympique selnov. Chaplygln et Pi’
Kapitonov, ces athlètes robustes payé leurs efforts parfe
que rien ne décourage pratique- donnés face & des a»,
renfc l’attaque avec obstination, plus expérimentés,
prenant des Initiatives téméraires Les Soviétiques ont p
et imprimant au peloton un train course qu’ils méritaient
rapide ; s’ils ne parvinrent pas ment de gagner. L"avr
toujours à coordonner leurs mou- dira ce qu’il faut pem
TnpT»t f t; üc rappelèrent *jw Jeunes victoire du Néerlandais 1
pour contenir les assauts aile- j pro fessi onnel s occidentaux que le den Brade, un solide g
ecnoue aans son entreprise, or on mono» ae iis» contre mes raeises, jeu ae « uuoraes », les lootoaneurs *. —-ijw rnmim Gal-
considère les seuls résultats obte- le 27 septembre, & Bruxelles, le français fixait preuve d'une
nus en compétition, le bilan est directeur des équipes de France agressivité inhabituelle dans toutes 1X7111 tenter ae 1C=
n&nflf nw tttio trlnbiirp winl r* nmtt. mmm*rvw es nrAnnmtlnn Iottts l ntn i m iHiw» w, 4 iw n* VotW— SUXprerKnc.
h>wb l’offensive. la circonstance le résuit
La riposte était prévisible. Gore- flatteur fie sa carrière,
lov ne fut pas menacé par la vie- pler de Roy Schulten. dé
tolre de Roy Schulten au cours qué dans Touxs-Vers&L
de l’exercice, contre la montre, car pas a proprement parier
négatif avec une victoire contre avait commencé
l’Islande, à Nantes, pour deux psychologique en
deux matches et deux défaites, n'y a que deux ht
n’y a que deux hommes qui n’au-
Apfitre du « football total » où ront pas peur à Leipzig : Dôme-
nation leurs Interventions, puisque l’aibl-
t :e2Z tare dut «iffi*»* rimpaniM et un
f n'au- coups francs (trente-six contre
Dôme- les Français et quinze pour eux)
Fresque contraints & dominer,
les footballeurs est-all em a n ds
firent étalage de leurs qualités - I* Néerlandais avait; été distancé
pas a proprement parler
que l’on imaginait. H
l’Etoile des espoirs a J
ÉQUITATION
esprit d'abnégation, sens du Jeu auparavant, mais il rida le do- WBtoüe « des espoirs (a J
collectif et condition physique nier Joui à la suite d£ne action ^tionenrevéiant ou
parfaite. — aussi de leurs conjuguée de Van den Btoeck. Val- mant plusieurs Jeun»
graves défauts i manque dïma- let, Perret, Mich e l Laurent et parcn! lc^uels fig urer
gîwaHnn et rf tniwiSw e, surtout Jean-Claude Meunier, un lncl- Inurent, Patrick Perre
au niveau des arrières, trop oiéoc- dent mécanique au moment de la Dard ainsi que deux n
de Van den Btoeck. Val- mant plusieurs Jeun»
t, Michel Laurent et parmi lesquels figurer
Laurent, Patrick Perre
Les faux-semblants du championnat dé France
au niveau des arrières, trop préoc-
cupés par l'aspect défensif de leur cassure décisive ayant ajouté à
fonction- ses problèmes.
H est évident que les cinq pra-
fessionnels réunis dans cette
un penalty contestable échappée s’étalent découvert des
s 4M*, intérêts communs, les uns. tels
Van den .Btoeck et VaUet convol-
Après une semaine de galops Ininterrompus,
rexcellente condition des chevaux n'ayant point &
en p6tlr, au contraire, le championnat de France
de saut d'obstacles s’ssf achevé, dimanche
12 octobre, au Grand Parquet de Fontainebleau,
où, sous le ciel le plus rechigné d’octobre, a eu
lieu la traditionnelle épreuve tournante avec
échange de chevaux entre cavaliers finalistes.
Un penalty contestable
Avant d'en évoquer les péripéties,
opérons un retour en arrière. Le
championnat de France, ce n'est pas
seulement l'épreuve tournante spec-
taculaire à souhait et même tspo-ô-
l'œil, sa signification sportive — bra-
vons les boutefeux — restant â
démontrer. Généralement, les quatre
amateure en présence, amateure sur
le • papier », professionnels en réa-
lité, connaissent à fond les chevaux
tordu, distordu, houspillé, se com-
porte en tire-laine détalant eous le
feu de cent pistolets. L’adresse,
certes, a son mot à dire, mais ta
hasard, la chance sont trop étroi-
tement liés aux résultats pour
combler les délicats.
D'une tout autre portée est le
prix (TAiiteull, deuxième épreuve du
championnat de France, parcoure
de coupe avec chronomètre auquel
teïït wS^ftoale; 1« autres.
vaux entra cavaliers finalistes. «mme Michel Laurent, Techer-
• phan K ovac s pouv ait ré ussir puis- nT-mn t TVhm modestem
règlement général des concours de que les Français ouvrirent même eèsd'étane Ta vnlont
sauts d’obstacles en France (art. 109) le score à la cinquantième minute cnhlr ^ loi' des amate
frappe d’une amende sévère ou d'un verser une situation
avertissement nullement platonique a ’ conforme & l’ordre
tout contrevenant è la simple et ^ tagWune rts.
humaine équité. Le cavalier qui, face «use. prSnuée par u
au Jury pour comble, S’est attaqué à Janvton.
slonnels authentiques
depuis quelques jours se
l'équipe Mercier : Berni
et Yvon Bertln. Sans
course «open». qui t
cyclisme vers la ïicenc
c’est-à-dire dans sa vért
est-elle à la recherche i
mule.
C'est pourquoi 1*1
espoirs accueillera pent-
oonfonne à l'ordre établi leur
avait inspiré une réaction vigou-
reuse. nrèoarée par un long txa-
née prochaine, un _pl
nombre d’amateurs afin
un meilleur équilibre c
JACQUES AUG
au Jury pour comble, s’est attaqué à
la tête de son cheval au risque de
réborgner l'aura appris à ses
dépens.
Mais le manque d’expérience
des footballeurs français se mani-
festa une première fois quand, &
Voile
Nous avons, à propos de fa « tour- P®^ ctoq minutes plus tard,
..... ... I VaSIIjmi AmJ* ■ ai-* g a
autres que le leur et qvTite sont succède dans la foulée un parcours nante perlé de péripéties» En faltl allemand Strdch.
appelés à monter. Non seulement Us de puissance sans chronomètre. Id nous avons assisté A un débat sans de placement
i— a ... * i, çouective de toute la défense, pour
les ont vus è f œuvre et étudiés au
fil des saisons, mais certains les
ont autrefois exploitée, affûtés de
leur propre' main. Ainsi, dimanche &
Fontainebleau, avons-nous assisté
la parole est â la belle équitation,
la médiocrité n’ayant pas la moindre
surprise, sans rebondissements Im-
prévus entre gens ayant l'amour de
chance de se frayer un chemin sans leur métier et le servant A merveille, i
casser du bols.
Bien sûr Isa forces mauvaises, tou-
couectxve de toute la défense, pour
ég a liser, et une seconde fols au
moment de ce penalty sifflé à
douze minutes de la fia du
CHAMPIONNAT DU MONDE
DES 505
GARY PLAYER EN
LE TROPHÊ DES CH
Maie Houssin. I, laurâat. a pour lui 8 - u tacontofohu que
une main qui s'adapte à toutes les l'axhltre suédois, M. Freârikssao,
aux retrouvailles de Marcel Rozler et Jourr aux aguets en équitation, s’etta- bouches. Ou vrai velours. Une mou- peut-être influencé par leslrré- 1
de Ocra Vadls, ce Veux lutteur quërent â des talents aussi Irrépro- che prise dans sa paume ne serait gulmltés répétées de certains ^ x. emportant; f;
Le championnat du monde des
505. qui s’est disputé aux Ber-
mudes, a donné lieu & un duel ]
franco - britannique, les Anglais
héroïque passé du piquet de son chables que ceux de Hubert Paroi, pas écrasée. Quitter la piste avec un 1 Joueurs, se soit laissé abuser par
ancien maître & celui du Normand
Marc Houssin, héros du Jour pour
avoir empoché sans bavures le titre.
Philippe Henry, Xavier Deialande,
Bertrand Mirabeau, François, Fabius,
Jean -Marc Nicolas, etc. mata.
demi-point de pénalisation pour une ,chnte_spectaçulalre. de Haçf-
urn» d« quo».
Classement général :
1. John bovwtay- Lewis Dana
CG.-B J, 3 ptn ; i J.-liulB Danlèlou- 1
Bref, l'effet de surprise ne Joue .hormis les malchanceux trahis par
qu 'imparfaitement et quand nous
voyons les finalistes téter -devant
les .tribunra ta cheval d’un rivai
comme élis découvraient un animal
dont on ne peut être sûr que de la
leur monture, combien d’échecs à
Inscrire au débit des Jeunes amgi-
parcoura, la score est plus que
flatteur.
Marcel Ftozler, avec quatre points,
prend la deuxième place. En se
ner à qrri Bracd disputait réguliè-
te ItaJlon, JL est non moins x Marcel Buffet - Tïu°Mon»u-Def«rgé
évid £ rt f que les 'Français avaient ^^7^7 CmSZZcZZ-
multiplié ce risque en se massant «an Uppi (g.-bj, 54,7 Pts ; a Peter
tiens occasionnant la foudre à tort et calant ft la troisième, le Jeune et
devant leur but - et en ne son-
geant plus qu’à préserver le
match xmL
â travers sur des chevaux aux res-
sources miraculeusement Intactes.
sympathique Dental Constant volt, I La leçon prise voici un an
couleur de ea robe, nous rions dou- Trente cavaliers K.O. après chuta,
cernent
Non, le vrai visage du champion-
nat de France ee modèle et s’épura
au cours des deux premières
épreuves disputé» avant le weed-
éllml nation ou abandon, c’est tout d'éloge. L’ancien champion
avant sa proche tournée aux Etats- pour Jour devant la Belgique,
Unis, récompenser des efforts dignes quand l’avant-centre Français,
Galclougb.- Peter Brown (O. -B.),
59 pts; 6. Peter whlta-Jdhn Davis
CG.-BJ. 58J Pt» ; 7. Tves Pajot-Erle
Fountatne (Fr.), 88,7 pts
COURSE AUTOUR DU MONDE
Le Sud -Africain Ga
trente-huit ans, a gagt
che 13 octobre, le Tr-
champions sur le terraii
Nom - la - Bretèche, èp
invitations, qui réunisse
melUeuis spécialistes ' "
et qui a classé dans l’or
Uns, Ballesteros, Jackü.
Casper, Shearer et Gai
dernier parcours c B
talonné par le Jeune t *
Lanny Wadklns, a été!
■sus p e n se. Ne menant-,
1 point au départ da
de môme un chiffre qui devrait Ind- France Bernard G en este, qui ferme
ter les sélectionneurs è plus de' la marche, paraît souffrir de son
rigueur.
Cela dit, l'emploi de la cravache
end, épreuves auxquelles pour ce sur nos terrains de concours tourne
motif le gros du public ne peut décidément à la contagion et Fontal-
élolgnemenl prolongé de la compé-
tition.
ROLAND MERLIN.
Bernard Lacombe, replié devant
son propre gordien a un quart
d'heure de la fin du avait
offert le but de la victoire à ses
adversaires, n’avalt pas été rete-
nue.
GÉRARD ALBOUY.
trou. Il réussit à preaûrl
et à terminer avec*
Great Britaia devance son prin- ï
cfpal rival, Kriter LE, d’au moins ^ clant
100 mûtes, dans la course autour 001113 27S -
du monde. Le voilier britannique Avec 288 métrés, le- Jet
avait franchi le premier la ligne espagnol Severlano B
da Cap, trente-neuf jours après dix-huit ans. a gagnê^a
son départ de Londres. de drive.
Avec 288 métrés, le-Jer
de drive.
hélas I assister.
Passons rapidement sur le prix de
Vin cannes couru Jeudi 9 octobre sur
le mémo Grand Parquet transformé,
soit dit en passant, en petite Sibérie.
nebleau nous en a fourni une nou-
velle preuve. Sur le triple d'obstacles
du prix d'Autsull, la hargne homicide
des maladroits e'ast littéralement ‘
déchaînée. La pultion en public d'un
LES RÉSULTATS
Il s’agit d'une épreuve de mania- bon et loyal serviteur trompé dans
blllté. spécialité peu prisée des cra-
vaches ennemies de la bousculade.
De bout en bout, le noble animai,
son travail par de faux effets de rênes
et de Jambes est une I acheté qui
appelle la sanction. Heureusement le
57 uc. : 7. Laurent (Ffc), 18 fi.
Automobilisme SS min. 25 me.; & Chaplygln
- ,pA8A). 16 fi. 23 min. 15 ne.;
Jacques LaffUe. est o/fiotsUemeut 9- Jesn.-Cla.Tjd* Meanlac (jtaj, 16 h.
nouvel an
champion 0i Europe de formule 2
après ta dernière course du c haï-
lange md a été disputée -le 12 octo-
bre à vtdlelunga, près de Borne. Les
cinq premières places du champion-
nat tHEnropg reviennent à des pQo-
33 min. 17 ne. ; 10. Axbès (Fr.),
18 ta. 23 min. 18 m.
Le Tour de Lombardie, quant dis -
pati, samedi 11 octobre. - par une
CLASSEMENT .. ■
aux . ■>” «- *£gsT\
U ami me L Brimbilli (Msrcb. BMW),' Uoser, d ta
JB 70 totus en 1 h. 28 min. 8 me. 7 devant un i
fil (moyenne 158O00 km-fi); 2. LeOOte sapés.
V J V AA (Martini BMW), i«K&; 3. Flun-
PT ■ mini (Mtoch BMW), A 41 seo.; L
PeaenU (Mardi BMW), è 1 H"
(départ 1 & et 20 décembre/refaur 3 et 4 janvierî (Mirch BMW3 ’ 4 cg"»®»
pluie diluvienne et sur 200 Mamè-
tres. cent Jurtt coureurs, parmi les-
"Boulogne bat Cm& 4-2
"Ch&teanrouz et Dunkerque ., 0-0
Amiens bat «Chcdet 2-1
•HamttoïiDk. but Tours 8-0
« Mnlakn tf et Parla F.C 0-0
•Lorient bat Brest 3-0
Classement. — L Bennes, 17 pta ;
a Laval. 14 pts; 3. Bauibroock et
Amlraa, U pte ; S. Angonléme et
^atoauronr. 10 pte ; 7. Boulogne.
Caaxu Parta P. c. et TtnTtan, 9 pts ;
Star. 12 pts ; S. Toulon- •
10 pte; la Auxerre et--
9 pts : 1Z Chaumont, 7 ptf
B pta ; 14L Bplnal, 3 pts ! -
et Mont luçon, 4 pts; lT.v
3 pts ; 18. Malhoiue. 3 p %
Halte # i
Pierre Courrier est deeeiu
U* S* A
IL Lorient, MUskoCf et Sedan, 8 pts ; le plus fort de France watru
14. Tours, 8 pts ; 15. Pontalneblsbo, tobre d Xolnt-Afaur e» . •
*"* " 200,5 kOos à Vépaulé-teU.
devant un
capés.
te de 30 km-h;
de dix-huit res-
Brext et Choûrt, 5 pta ; 18. Donker-
qus, 3 pts.
Football
1550 f
CLASSEMENT FINAL
DU CHAMPIONNAT D>EUBOPB
L ' L ni 1 1 1 e. duuxrplc
M pta (aix Tlntoirêâ) ;
l d'Europe,
2 . Leçtac,
CHAM PIONNAT DS FRANCS
DS DHIX1EMB DIVISION
(hultUma Journée)
’ OEECOUPXI A-
Sedan bot 'Fontainebleau ....
GROUPE B n,-.
Carmes bat •Martigoes 2-0 t
Angers bat ^“Mratliïçfm' alî J* Vrix Saùmtre, disputé
“ToSloo» bat Nbv5s\7i.:;;;; 3-0 aftam A U 12 octobre, et st
•Besançon, bat Ajaccio .. . a-o ast ya ri tierc é, a ■
Gueugnon bat rSaint-Dlé"..' " M «
*Auxerre bat Mtdbonae 3-1 eomt>iBa
•Chaumont bat Spinal . 3_n ayante est 4-14-5.
•Sète et Red Star-. 3-2
9 a F a * me * lt ' — L Cannes. 14 pta ; f ssit à
Paris/New York/Raris
en Boeing Jet # Pan Am
affrété par Camino
ffbrmuje VARA. •)
clôture des inscriptions :
imminente
départs nombreux de Pâques à Octobre
de 2 semaines à 3 mois
36 pta (trais victoires) ; 3. Tnmboy.
38 pta (mu victoire) ; 4. Ltimma,
28 pts ; 5. J aboullle, 24 .pts; fi. Flaa-
mlxil. 22 pts, etc.
x AïJ «w» «t WSSeT’lS SS;
Lavnl bat rBonen 2-1 4. Bériors, BesanconTouerugnon. Bea
Jeu à
Basket-ball
. Pour son premier mM
Phase retour des cham pion
monde. Féqidpe de Franc
battue 48 â 2 . te 11 ce
Bordeaux.
CHAMPIONNAT DE FRANCE
DE NATIONALE 1
(cinquième Journée)
vmm&banxiB b. *Bagnolet.. 99-77 1
Tenus h. *Denam ‘115-98
Bexok b. «Orthez @2-80
•Lo Mans- b. Caen ;. .It3-æ
•Chanana b. Jour 88-78
•Lyon b. Antibes.........;.. '83-70
a Nloe b. Clermont 101-84
•Somme te- OratTenatadm.. 70-68
Classement. — L VUletubsnne,
LEGOLFN’ESTPIUS
UN SPORT DE PRIVILEGIES !
Le Tchèque lan Kodès a
te tournoi de Madrid en
successivement Itastasc. Bu
avait battu Orantès) et Pana
avait éliminé Vttas puis B-
dernier en finale, jw 6-3,
M.
renseignements et réservations
toutes Agences de Voyages ou
Tours, Bercfc ot Le Mans. 15 pts;
3. ChsPsns, 12 pta; fl. Nice et Caen.
U pta; 8. Anobes, Orthea, Koanno
et BagnOIat, 9 pu ; 13. Joraf et
Lyon, 7 pta ; 14. Clermont, ârafCen- i
Btaden et Deostn, 5 pts.
longue durée liexandre Charpentier
Cyclisme
Aucune erreun Ll? 5 - 7 ?- 90 - 38055^8 =
- Ô8 par le WnlsSèns des Transports.
9 choisissez Camino
ETOILE DBS ESPOIRS
(Classement général.) ' ■
1. Van Den Hoeck (P.-B.), 16 h.
20 min. 2 sec. ; 2. Vallet fFrj- te h.
20 min. 7 se a. ; 3. Perret, (Fr.), 16 h.
21 min. 6 sec. ; 4. Gorelov (UJLSB.).
rtet- 16 h. 21 min. 44 sec.; 5. Pronk
fP.-B.), 10 h. 21 min. » seo.; 6 .
GoumIhov (U JLS JS.). 16 te 21 min. ;
umtG. TOURING PPn
395 F
T
TUNMER Paris -5 place St-Augnstin - 75008 PARIS
TUNMER Bordeaux- 61 cours de Flntendance
33000 BORDEAUX
ATHLETISME. — La Fid
internationale t
trisme amateur (B-f-éA
rest réunie samedi et dtr
sous la présidence afi
Ezeter .à Grand-Q
(Seine-Maritime), a f
aux fédérations qu'elles
contrôler les a sorties » £
athlètes, celles-ci étant D
à quarante- deux jours a
dans Fatntie. A. geef®»*
des Jeux olympiques PO
trial, ta position delà*
concernant te dossier ae •
teurfsme semble être neaz
l'assouplissement
temporaire du rigorisme.
r
0TS CT Cl Si
*99
AUJOURD’HUI
tüielov
’^Ok
'K\
CO
MÉTÉOROLOGIE
^ tflUATION LEJ3.pÇt?sJV o h G. HT. '
iii I ~ mt mi
» :
** '.*:•■■
rs
~\
U 9 nes ^Égate hauteur de baromètre cotées en mORbare (te mb vaut environ % de mm)'
de pluie ou neige V averses {forage* M»' ► Sens de ta marche dea fronts
-Mb. Front chaud - '-A-A. Front froid
' piobtMc du temps en
' : , ’ v -mse entre le lundi 13 octobre 1
"~.;«ne et le mardi 14 octobre S
: .heure* :
'perturbation, qui affectait
lundi Trmtin l’est «t le nord
France s'éloignera vers rABe-
'•-Ve et les. Pays-Bas. Elle aéra
~>'i d'une améUonc&lan relative.
pusagém. Une nouvelle perturbation
venant de l'Atlantique abordera, en
effet, nos réglons de I - Ouest mmt i»
matinée do mardi et gagnera, dans
la Journée, une grande partie du
P*3*- ,
Mardi -14 octobre, en début de
journée, 11 pleuvra encore <*»«« le
JJbrd ; , les réglons méditerranéennes
bénéficieront d'assez belles éclair-
iqes
■ -Formation au cornet l fami-
— La Pédérstiûn Couple et
jje organise une session de
-atian au conseil familial
la région parisienne. Après
première rencontre, an mois
: .bvembre 1975. cinq week-ends
'nt lieu en 1978 (29-29 février,
.l'rS gvril. 12-19 Juin, 30-31 octo-
"* 18-19 décembre) sur les thè-
^ -suivants : vie ai couple, en-
e affective et sexuelle, le cou-
et l'enfant, révolution peycho-
cüva, idéologie et sexualité,
est Saa. ■ •
Bensstgnoxcnfis ; M- et
4'e rua do Sèvres
saoo ‘ Boulogne - Billancourt.
, .,'tr «05-i*-(u. •
de trois heures par semaine sont
organisés par « la Récréation s,
atelier d'éducation créatrice,
16, rue de Tborlgny, 75003 Paris.
CeG stages s’adressent à toute
personne intéressée par les pxo-
blèmes de créativité et d’expres-
sion et, plus spécialement, aux
éducateurs sociaux appelés à ani-
mer des ateliers de peinture d’ex-
pression libre et d'expression cor-
porelle pour les enfants et les
adolescents. Enseignement théo-
rique et pratiqua (étude des pro-
blèmes de créativité, de psycho-
motricité et d’initiation à l’art
moderne).
Vk 11 ,1 0t Inw H f rt im»
•vaut le 31 octobre 1975, 18, rue de
Xborignr, 75003 Paris, t£L 278-0-82.
Début du prochain stage : vendredi
7 novembre 1873.
MOTS CROISÉS
TFEOBLEME H* 1278
MliXlTl
HORIZONTALEMENT
ïecuells de bons mots. —
vite collectivement à prier ;
biblique. — HL Vient de
..Est destiné à tourner. —
lodestes reliefs. — V. Dm
' es qui n'ont plus cours. —
. ettres de crédit ; implique
étente ; Vient de nuire. —
■itères qu’on ne saurait fcra-
■ sans s'exposer A de graves
is. — vm, Un chanteur de
ie. — IX. Peu douées .pour
urses. — X. sur de vieilles
■nés. — XL Pour ce faire, il
it pas hésiter à se mouill er .
VERTICALEMENT
X. Certains la trouvent bonne
main — . fl mut bien le dire —
c’est une vraie poire I ; Source de
lumière. — 2. Symbole chimique;
Grande nappe. — 3. Boisson esti-
mée; La guerre est parfois aa
raison d’être. — A Prendrais l’air.
— 5. ' S’agitent parfois très long-
temps avant que d'être épuisées.
— 6. Manquaient aux Barbares ;
Un point dans Veau. — 1. Re-
muent une fourchette ; Aperçut.
— 8. Nous révéla certains mys-
tères ; Ne peut que gagner & l’ali-
gnement; D'un auxiliaire. — 9.
Moins appétissantes.
Solution du problème n* 1 275
Horizontalement
L Coupables. — IL Rature ;
Va. — HL 06 ; EtaL — IVBhud ;
Usé. — V. Se ; Isoler. — VL En ;
Seul — VIL S oir (chute du jour);
Ego. — VUL Peau; An. — IX.
Ame ; Nains. — X- Mère. —
XL Prêcheuse.
Verticalement
1. Cross ; Camp. — 2. Oasiens ;
Mer. — S. Ut ; Opère. — t Pu-
naisle ; Ec.. — 5. A.R. ; ISeran. —
A Bée ; Ou ; Ua. — 7. Tulle. —
A Evase ; Gants. — 9. Salerions.
GUY BROUTY.
mal officiel
t publiés au Journal officiel
octobre :
DECRETS
Portant création d’écoles
taies de perfectionnement
enfants déficients Intelleo-
moyens ou légers ;
■jinHf à la suppression de la
a d’échanges de logements ;
Relatif au certificat cadre
üer.
ARRETES
Relatif & la réglementation
dentification des animaux
ipèce canine ;
fixant *TWi» méthode de
e des niveaux sonores en
de travail en vue de la
Uon de l’audition (ce texte
édité ultérieurement en
île séparé).
I par 2& S ARA. U Uondel
uts •
carat, directeur tfa |s pnhBctftoa.
StemwL
bnpdMffa
«td «Monts»
[ 5,r.8e*ttBUens
PARIS-K»
■uefion interdite de
.«/ accord asm radmtruetntiou.
A L’HOTEL DROUOT
Mardi
EXPOSITIONS
dt 11 heures A 18 heures
S. Z. — Bibelots, beau meubl».
M* Cbampetler de BUmo.
8. 3. — Bons meubles. M« Ubert
S. L — B» meubles. M« P é seh a wa .
8. 7. — Livra anc. et modernes.
Mms Vldal-Mégret, M* Ogsr.
S. A — Bhx. ozfèvr. M* Delorme.
S. 14. — TsUesnx, mob U- M“ Bas»
St Claude Bo i agl r exd.
VENTES
S. A — Expo. U A 15 b- 30. vente
16 b. Tapis d'orient. M. Berthécd.
M* Ader, Picard. Tsjsn.
Front occlus
des. Partons amena, la temps sers
très brumeux et très nuageux. De
nouvelles pluies aborderont les ré-
glons de l'Ouest d«i« la matinée :
elles s’étendront, le soir; de la
Bretagne aux Pyrénées.
las venta, d'abord variables,
s'orienteront prograalvemint au sud-
ouest en devenant modérés dans
l'Intérieur, y— es forts par moments
prés de l’Atlantique.
Xas températures <Mnnt dotât en
hausse.
Lundi U octobre, à 7 heures, la
pression atmosphérique réduite en
niveau de la mer était, A Parla -Le
BoUrget, de 1 QH.2 milllbari. gott
76A5 millimètres de mercure.
Températures (le premier Chiffre
Indique le maximum enregistré su
cours de la Journée du 12 octobre;
le second, le minirmiw» de la nuit du
U au 13) ; Ajaccio, 20 et U degrés;
Biarritz. 8 et 4; Bordeaux, 9 et 0;
Brest. U et 6; Caen. 10 et 4;
Cherbourg, 10 et 8; Clermont-Ferrand.
5 et 4 ; Dijon. . 7 et i ; Grenoble, 6
et 4; Lille, 9 et 3; Lyon, 7 et 4;
Marseille, 14 et 6; Nancy. 7 et 3;
Nantes, 7 et 4; Nice, 14 et 9;
F&ris-Le Bourget, 8 et 4; Pau. 9
et 3 : Perpignan, 14 et » ; Bennes, 10
st 1 ; Strasbourg. 8 et 5 ; Tours, 6
et 4 ; Toulouse, 11 et 2.
Températures relevées à l’étran-
ger : Amsterdam, lo et 2 degrés;
Athènes, 27 et 18; Bonn, U et 3;
Bruxelles, 9 et 3 ; lies Canaries, 34
et 19 ; Copenhague, lo st 4 ; Genève,
8 et 4 ; Lisbonne. 19 et 9 ; Londres,
13 et 4 ; Madrid. 12 et —2 ; Moscou.
5 et 5 ; New-York. 16 et 13 ; Palma-
d«- Majorque, 18 et 6 : Borne. 24
et 13; Stockholm. 12 et 1.
Logement
• Les droits <T inscription A Ta
Bourse <P échange des logements
(qui a été supprimée le 1“ avril
1975) seront remboursés aux usa-
gers qui. du fait de cette sup-
pression, n’auront pu bénéficier
de l’Insertion de leur proposition
dans six numéros au moins du
périodique échangés et Loge-
ments. Cet(e décision est annon-
cée dans un décret paru au
Journal officiel du 12 octobre.
- - LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 21
RADIOTÉLÉVISION
vu
Courageux, pas téméraire
Dans . la plupart des paya du
Marché commua, m même en
Espagne, vous entrez dans uns
pharmacie avec votre ordon-
nance, on roua donne le ou las
médicaments prescrits après en
mvol- détaché la vignette, et vous
repartez sans avoir ouvert votre
porte-monnaie. Idem, .le: plus
souvent, tors, de ■ fs visto lu
médecin conventionné- Pour le
client, le système m des avan-
tagés évidents, y compris celui
de aà sonder comme dune
guigne de la longueur de Tor-
donnance et du prix des médi-
caments.
Mais en France, en France où
tout doit être payé, où rien
n’est lamsla Immédiatement rem-
boursé, où tout ne Test pas
toujours en entier, en France où
ta consultation, y compris (a
consultation à r hôpital, Implique
une certaine misa de tonds, ce
qül trappe — et le formidable
déficit de ta Sécurité sociale
permet de te chiffrer. — c’est un
aouci de mieux-être et de mletix-
paràJtre. Le docteur Jean-Paul
.Escanda, dermatologue, profes-
seur agrégé, médecin dea hôpi-
taux, auteur if un Uvre Intitulé
les Médecine (IJ — Il répondait,
dimanche soir sur TF 1, au
« Questionnaire • de Jean-Louis
Servan-Scftrefber, — le docteur
Escanda noua disait donc qu’une
bonne partie de la clientèle
venait consulter le spécialiste .
(en dermatologie) pour bronzer,
venir A bout d’une irréductible
cellulite ou changer de crème
de beauté . A T autre bout de
récheile, le médecin de cam-
pagne, qu’on e souvent hésité è
appeler, hésite parfois A revenir
au chevet de son malade (rap-
pelez-vous le * Je repasserai »
<f afifenj pour ne pas grever dans
un premier temps son budget.
Le rôle du médecin, le méde-
cin gourou, ta médecin sorcier,
recours suprême contre les
grands maux et les petites mi-
sères — dire Qu’on osait se
moquer de lut au temps de
Mollira, — la place du méde-
cin dans nos sociétés de
consommation, dont U est aujour-
d’hui Ton des premiers béné-
ficiaires. on en parta beaucoup,
et ce n’est pas noua qui nous
en plaindrons, 6 la télévision.
Interviewa, débats, « tables
rondes », on ne craint pas
de ee lancer dans des dia-
tribes — Tuatlflées — contra /sa
patrons, les madarlns, ni d’ex-
primer tas Inquiétudes — éga-
lement Justifiées — que suscite,
depuis la réforme Debré, an
7968, le niveau de la nouvelle
génération de { aunes médecins
prêts è débarquer, mal armés,
mal préparés, - sur le marché
de la maladie».
La docteur Escanda — on Ta
déjà vu i récran — est revenu
là-dessus avec Intelligence, avec
lucidité, avec compétence aussi.
Malgré las incitations A la fran-
chisa. à te colère, de son bifer-
loctmur (Cest un peu une mai-
lla , non, le médecine ? Pour-
quoi y a-t-il quinze mille pro-
duits pharmaceutiques en France
alors que le Danemark se
contente de dix fols moins?
Pourquoi, è> qualité égaie, leurs
prix varient-ils du simple au
quadruple ?), malgré ces coups
d'aiguillon, le docteur Escénde
est resté bien optimiste, bien
courtois, et bien prudent. Bien
trop. Bien plus encore que dans
son livre.
Très disart et très sévère sur
ta qualité de renseignement dis-
pensé dans les facultés. Il a
été très évasif sur la question
fondamentale des rapports entre
r Industrie privée et la santé
publique et dea avantagée qtftt
y aurait è nationaliser les grands
laboratoires. Il y avait du pour
et du contre. Ce n’étalt pas è
lut de trancher. Il s'agissait
d'un choix politique. Vrai. Ce
choix, pourtant, on a’y résou-
drait peut-être plus vhe et plus
volontiers si des praticiens qui,
comme lui. n’ont rien è y perdre
assuraient hautement que noua,
les clients, nous aurions tout è
y gagner.
CLAUDE SARRAUTE.
U) Le Monda du. 16 Juillet.
■ Le Monde » pabHe ton* les
samedis» amnézo a«i» du < * ■■ ■■»"« l i f
lundi, un supplément xidïo - télé-
vision avec Isa p— complets
de la semaine.
LES PROGRAMMES
LUNDI 13 OCTOBRE
. Service des Abonnements
A rae des italiens
75427 PARIS - CKDKX S»
C.CF 4 207 - 23
ABONNEMENTS
S mois 6 mois 9 mois 12 mois
FRANCK - D.OJL - T.OJA
ex- COMMUNAUTE (sauf Algérie)
90 T . 160 F 232 F 300 P
TOUS PAYS ETRANGERS
PAR FOIE NORMALE
144 F 273 F 402 P 538 F
ETRANGER
par ména g e r ie»
1 - BELGIQUE-LUXEMBOURG
PAYS-BAS - SUISSE
115 F 219 F 307 F 4M T
TL — TUNISIE
225 7 231 F . 337 F 4MP
Far vote «**<«""»
tufftf ggr
Les abonnés qui paient par
Chèque postal (trois volets) vou-
dront hleo Joindre ee chèque 1
leur demande
Changements d'adresse défi-
Ointe ou provisoire* (deux
semwlna» ou plus), nas abonnés
sont invités . -à formuler leur
demande un» *»"»<"» KO moins
avant leur départ
Joindre la dernière bande
d’envoi A tonte c or ra p t a d anee
. ventQex avoir robUgssaee de
rédiger tons Ira noms
en caractères dT
CHAINE I : TFT
20- h. 30, f-* tin lundi (Regards sur
lldaloire) : . Désirés», de H. Koster (1954), avec
M. Bran do J. Simmons. M_ Oberon, M. Renrüe,
C Mitcheli
L’htstotre de Oéatrée Clorjr. ftUa d'un négo-
ciant marssiUait, que Napoléon Bonaparte
aima, pvU détstna pour épouser Joséphine
de Beauhamats. Mariée au général Berna-
dette. elle devint ratas de Suide.
22 h.- 15, Débat : « Un Corse Bona-
parte ». avec A. 'Castelot, P. Bessasd-Massenet,
R. Sédfflot; 23 h. 15. XT1 dernière.
CHAINE II (couleur) : A2
20 h. 30, Jeu ; La ttta et les jambes, de
P. Bellemare : 21 h. 45, Magazine : F comme
femme, de S. Genevofx et M. Hoaorin. (Etre msraj
Avec la ps rtlotpatton du Dr Pierre Simon,
auteur du rapport sur le compor t eme nt
sexuel des F ran çais.
22 h. 45, Journal de TA2. '
CHAINE III (couleur) : FR 3
20 h. 30, . Prestiffs du cinéma s « la Proie des
vautours ». de J. Sturges (1959) ; avec F Sinatra.
G. Lollobrigida. P. Lawford. SL McQueen.
Av cours de ta deuxième guerre mondiale,
u n officier américain, qui æ bat en Birmanie
contre tes Japonais, est amené a franchir la
frontière chinoise pour us rdd de représaUles.
22 h. 35. FR3 actualités.
FRANCE-CULTURE
28 h. Poèsl* ; » L 1 Moralités légendaires. «*» J.
Laforgue : ■ Hamlet », «vue F. Histar. réalisation J--W.
Garrot! ; M h. 5 (SJ, Concert par r Orchestre d* chambre
de Radio-France, cSrection J--C. runnwn, les Gulieh au
piano . • Noces de Figaro », ouverture (Mozart) ; • Concerto
pour deux pianos en ml bémol majeur » (Mozart); ■ Sym-
phonie n* a » (Mozart) ; • Concerto pour piano et orchestre
n» ri, te. 595 » [Mozart) ; 22 II 35 (•>. Entretiens avec
Mlciier Serres, par S^J. Saivy ; ri II, De la nuit ; a II SA
Poésie.
FRANCE-MUSIQUE
a h. Présentation au concert ; 20 h. 30 CS. J. En direct
du Victoria H*D de Genève, concert par l'Orchestre de la
Suisse romande, d!r. W. SavalUsch, avec H- Dooath, soprano,
C. Perret mezzo-soprano. M. Eckara. récitant ■ Songe
dhete nuit d'été », .extraits (Mendebsohnl ; ■ Egmont »,
musique de scène (Beethoven) t Vers 22 h. 20. Coroes pincées,
par D. Mégevand (invitée : Mortelle NordmamDj 24 h. (*),
Faisceaux, nr A. Abnura
MARDI 14 OCTOBRE
CHAINE I : TF 1
12 h. 15, (CJ, Répons* A tout: 12 h. 30 (CL),
Midi pramiéra i 14 h. 5, Km lato uns scolaires
(reprise à 15 b. 15 et â 17 fa. 15); 18 h. 15, A
la bonne heure ; 18 h. 45. Pour les petits ; 18 h. 55,
Pour les jeunes; 19 h. 40, Une minute pour lea
iesxmaa; 19 h. 45. Feuilleton : les Comp a g n o n s
d'Eleusis j
20 fa. 30, Jeu ; Qu o i , de qui ? i 21 h. 10, Lea
grandes énigmes, de R. Clarke et N. Skrotsky
(Les langages secrets).
Retrouver des cioüisattons disparues par
le déabUtrevumt de leur écriture : avec
Mme FmfNa Masson, chargée de recherches
as CJfJlB, et M. Jean Cedant, égyptologue.
22 h. 10, Emission littéraire ; De vive voix,
de J. Femiot et. Ch. CoUange (Pourquoi Iss flics
se mettent-ils à tabla?).
4 doc MM. Paul-Claude mnooenet (pour «la
Brigade anti-gang •! ; Roger Bornions (pour
« le Qang »J ; Gérard Itonete (pour « Ques-
tions 4 le police *1 et notre collaborateur
James Sarrasin (pour « la Police en miette a •).
23 h. 15, IT1 dernière.
CHAINE U (couleur) : A 2
13. h. 45, Magasin# régional; 14 h. 30, Aujour-
d*hui Mazteme; 15 h. 30, Série : Janosâe.fLa loi
des brigands) ; 16 h. 20, Ira après-midi d' An-
tenne 2; 17 h. 30, Fenêtre aux t L’historique de
la question du Vietnam ; 18 h. 45, Pour les Jeunes ;
Le palmarès des enfants : IB h. 55, Jeu : Des
chiffres et des lettres i 19 h. 45, Jeu : Y*a un truc.
20 h. 30. Les dossiers de l'écran. d'A. Jammot :
«La vfBe étranglée», reportages de Raoul Cou-
tard et commentaires de Jean Lartéguy.
De l'origine de la guerre du Vietnam fus-
qu'i la Chute de Saigon : un montage de
documents tournés en partie i Saigon entre
le 2S avril et le lé mai 19 78.
Débat : « Le- Vietnam sans rOcôdent ».
Avec ta partiarpotion du général Nguyen
Ceo Ky, ancien premier ministre du Sud-
Vietnam : de Jean Lartéguy. journaliste et
auteur de « l’Adieu A Saigon • ; de Varans,
représentant du Mouvement de ta paix ;
M. Chartes Foumtau, agrégé dTUstotre , et
d’OUmer Todd. Journaliste au « Nouvel
Observateur » et auteur des e Canards de
Ca-Meo ».
23 h. 15, Journal de TA2.
CHAINE lit (couleur) : FR 3
19 Jx* Pour les jeunes : Le club «TTJlysse;
19 h. 40, Tribune libre : Le droit humain; 20 II,
Les* animaux chez eux : Kangourous et koalas.
20 b. 30, Westerns, films policiers, aventures :
• Trqp petit mon ami ». de EdL Ma talon (1969),
avec J. Btrlrln. M. Dimn. B. Presson.
On nam qui a une revanche à prendre svr
la société, prépare, sans regarder au prix de
la vie humaine, une sensationnelle escroque-
rie. Un détail imprévu 'ait échouer son plan.
22 heures, FR 3 actualités.
FRANCE-CULTURE
» IL, Poésie ; 20 h. 5, Dialogues, de R. Pillouifln . le droit
A la mort avec G. GanguHhem et H. Péqulgnot ; 21 h. 20,
Musiques de noire temps, per G. Uon, avec R. Gagneux;
22 h. 35, Entretiens avec Miche) Serres; 23 h. De la nuit;
23 h. 50. Poésla.
FRANCE-MUSIQUE
20 h„ Présentation eu concert ; 20 II 30 CS.), En direct
de r auditorium ICM, Orchestre phlviannonkroe de Radlo-
F rance. Direction P^M. Laconie. Avec C. Maillots : « The mer »
(Balakirev) i « Troisième concerto pour piano » (Prokoftev) t
■ Antmus Anima ». création (Duhamel) -, .« Amazones »
(Ville- Lobas) ; 22 h. 30, Les dossiers musicaux : L'âge d'or do
rock and mil ; 24 h. Musiques non écrites : Le Japon ;
1 II, Plans sur plans, car J. Couturier.
LUNDI 13 OCTOBRE
— M. Bigis Debray est Interrogé
par- Jacques Chance! pour s Ra-
dioscopie » sur France-mter, k
17 heures.
Comment réserver
sa couchette
quand on ra pas encore son billet.
Réservation électronique SJUCJF. : vous obtenez billet et réservation
‘i en même temps. Mais tout cela est expliqué dans le guide
pratique 1975 du voyageur SJ4.C.F. Demandez-le dans les gares
et agences de voyages. Usez-le bien. Soyez malin.
Apprenez le trahui2ZZ27
TRIBUNES ET DÉBATS
— M. Jacques Chirac premier
ministre, est l’invité de « dix
questions, dix réponses », sur
Prance-3
-Inter à 19 h. 20.
— Le Mouvement lies jeunes
femmes exprime son opinion à la
« Tribune libre » de FR 3, à
19 h. 40.
— Le docteur Pierre Simon par-
ticipe an mogartna g F comme
femmes» sur A 2. à 21 h. 45.
MARDI 14 OCTOBRE
— M. André Fanion, député
UJXRm répond aux questions (te
Philippe Bouvard sur R.TJL, à
13 heures.
— MM. Edmond Maire
(CJD.T.) et Yum Chotard
iCILPJP.) sont les Invités de
Jéan-PietrB Defraln sur Radio-
Monte-Carlo, & 12 heures.
— Le droit humain expose son
point de vue à la a Tribune
libre » de FR 3, à 19 h. 40.
— < Pourquoi les flics se met-
tent-üe à table? » est la question
posée an cours du magazine litté-
raire c De vive voix» sur TPI, &
22 h. la
— e Le Vietnam sans FOcct-
dent » est le sujet du débat dea
■ Dossiezs de l'écran » sur A2
vers 23 heures.
Les ttnagea du voyage du
Giscard - cTEstaing &
(qui aura lieu du 14 au
18 octobre) seront retransmises
à la télévision par 2e satellite
franco - allemand Symphonie - L
Ainsi en a décidé la commission
franco-soviétique pour l’utfflsatlan
pactfique de l'espace extra-atmo-
sphérique, qui a tenu sa réunion
annuelle à La Grande-Motte;
Paga 22 — LE MONDE — 14 octobre 1975
ORCHESTRE
DE PARIS
SOC15TÉ DES CONCERTS DU CONSERVATOIRE
CRÉATION
D'UN CHŒUR
Recrutement et formation
• d'un grand chœur mixte
composé d'amateurs.
Environ : 200 personnes.
Les auditions auront lieu
à partir du 20 octobre 1975
pendant un mois, sous le
contrôle d'Arthur QLDHAM,
Directeur des chœurs du festival
d'Edimbourg et de l'Orchestre
Symphonique de Londres.
Premier concert :
« TE DEUM»
de Berlioz
avec l'Orchestre de Paris
dirigé par
DANIEL BARENBOIM
Renseignements et rendez-vous :
758-27-37 - 758-27-31
de 9 heures à 18 heures
tous les jours (sou/ dimanche)
ou écrire :
ORCHESTRE DE PARIS
PALAIS DES CONGRES
2, ■ plaça de la Porte-Maillot.
75017 PARIS.
SPECTACLES
atelier
■' 4 > ÇA B
• organise arec le Centre Culturel I
de Nanterre et la Nouvelle Critique [
du 14 an 23 octobre
FESTIVAL
CINÉMA
SOVIÉTIQUE
Séances : Tous les jours à
IB h. 30 et 21 h. en semaine |
lâ h. et 18 h. le dimanche
•
Films de 7946 à 7974
alT )LY MPIA
..Vî^TBR'JNp -CCC-U.ATROC
la Ii mbe
de
Eicadway
T v^~
« ... Une force
inoubliable . »
Colette GODARD, « le Monde >
PROC SPECIAUX ETUDIANTS
606-49-24 et agences 1
'HBÀTRE-
LE R41A.CE
-, D I REOTE V R -/PL ER R £ ..LAVILLc''
Une des soirées les plus char-
meuses que l'on puisse passer
à Paris, pleine de grâce et d'in-
vention, toujours surprenante,
généreuse. FRANCE SOIR
Tout cela est juste, débordant,
de verve. Maréchal se révèle
bon écrivain, plein de gouaille,
d'astuces, de naturel— Les
Parisiens avisés devraient aller
au Palace-. LE FIGARO
De la force & revendre—
L’HUMANITÉ
Bernard Ballet, prodigieux
clown truculent, tendu, qui
tient la scène, le spectacle,
le public- LE MONDE
UNE ANEMONE
POUR GUIGNOL
MARCEL MARÉCHAL
tous les soirs à 21 lisant lundi
matinée diraand » 1 5 fa
8, me du Fg-Montmartre 9*
téL 770.44*37
: TOUT UN PROGRAMME
DE JEUNE MUSIC-HALL
GILLES OLIVIER
PIERRE PECHIN
WILLIAM SAILLY
THEATRE DILSOLEIL
; : A* - *•* ‘
:t^usqifau|§|
-frEtfcM-Mfr*’
et étaasd» MSniO
Oàtom 6* Vtwmvn vî :
, * «et
MS?SiBir»_
MICHODIERE
JEAN-PIERRE CASSEL
dam
GOGetMÆGOG
Comédie an3 actes de GABRIEL AROUT
Mise en scène de FRANÇOIS PERI ER
avec
JACQUELINE JEHANNEUF
JEAN OBÉ
MAR1E-NOELLE ROSBEC
FULBERT JANIN
JACQUES MONOD
théâtres
Les salles subventionnées
Opéra. 10 tu 30 : Spectacle de ballets.
Comtale- Française, 20 b. 30 : la Pou-
dra aux yeux ; la Pins Heureux des
Trois (abonnement habillé série E>.
Odéon, 20 11 30 : H CampleDo.
Les salles municipales
Nouveau Carré, 21 U. : le Tableau.
Les autres salles
Songes- Parisiens. 20 h. 45 : la
Grosse.
Carton cherie de Vlnoecnes, Théâtre
du Soleil. 20 h. 30 : l’Age d’or.
Centre nmfrlrain, 2i h. : Bajszet,
Comédie Canmartln, ZI b- 10 :
Boeing-Boeing.
Cour des Miracles, 20 h. 30 î Flque-
Soleil; 23 lu : Attendons la fanfare.
Dannon, 21 h. : Monsieur Masure.
Fontaine, 20 h. 45 : la Balance.
Hachette, 21 h. : la Cantatrice
chantre ; la Leçon.
Madeleine, 20 h. 30 : Peau de vache.
Mic h e l, 21 h. 10 : Duos sur canapé.
Nouveautés, 21 h. : la Libellule.
Paris-Nord. 15 h. et 20 h. 45 : le
Garde-Chasse; Sonate & Kreutzer.
Plaisance, 20 lu 30 : la Grande Pô Ce.
Rauelagh, 20 h. 30 : la ‘Pieuvre-
Théâtre Campagne-Première. 19 b. :
La pipelette n’a plus pipé :
20 h.. 30 ; Vie et mort d’une
concierge ; 22 h. : F. Abrlnl ;
23 h. ; Angels of LIght ; 24 h. :
Tndfn dama.
T h é i t r e des Champs - Elysée s,
20 h. 30 : Marcel Marceau.
Théâtre de- la Cité universitaire.
Grand Théâtre. 21 h. : Un couple
pour l’hiver. — La Galerie. 21 h. :
la Virage.
Théâtre de Dix- Heures, 20 h. 30 :
Bt les petits cailloux sont contents.
Théâtre Oblique, 18 h. 30 : la Forêt
sacrilège: le Pélican (film).
Théfttre de la Péniche. 20 h. 30 :
Un Fazré peut en cacher un autre.
Troglodyte, 32 h. : l'inconfortable.
Les théâtres de banlieue
RneS-Malmaison, Blam, 21 h. : les
Amants terribles.
VTncennes, Théâtre Danlel-Sorano.
21 h. : Woyzech.
Festival d’automne
Lundi 13 octobre
i
Pour tous renseignements concernant
^ensemble des programmes ou des salles
‘ LE MONDE INFORMATIONS SPECTACLES =
704.7020 (ligues groupées] et 727.4Z.34
(de 11 heures à 21 heures,
sauf les dimanches et Jours fériés)
Voir Odéon (salles subventionnées).
Cartoucherie de Vlncennes Théâtre
de l*Epée-de-Bols. 20 h. 30 : Toro.
Vidéo
Vldëostone. permanent A partir de
14 h. : Ehpagne.
Les concerts
Théâtre Essaiera, 20 h. 30 : P. Martin,
guitare (Brouwer. Bach. Dawland);
N. Pnente. guitare flamenca.
Maison de la radio. 20 h. 30 : Octuor
de Paris, arec G. Joy et Ch. Ivaldl.
pianos (Ohana. MUialovtcL Sau-
guet, Schubert).
Le Lncemalre, 20 h. 30 : la Scarpla
Comort (musique contemi
improvisée).
anemos
Les fUms marques O sont
interdits ans moins de treize ans,
(**) aux mains de dix-huit ans.
La cinémathèque
Ch alUot, 20 h. 30 : 1 Inconnu de
Las Vegas, de L. MU est one.;
22 h. 50 : la Fièvre dans le sang,
d'E. Kazan.
Les exclusivités
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(AU, vers ang j : Studio de la
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beuf, a» (225-47-19).
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(”*) : Studio des Dreullnes. S*
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60-74). Magic -Convention. 15* (828-
20-64 ). P aramount- Montparnasse.
14* (326-22-17). Paramount- Maillot.
17* (758-24-24)
FLIC STORY (Pr.) : Ermltave, 8*
(359-15-71). R*X. 2* (236-83-93).
Mistral. 14* (734-20-70) . BlenvenQe-
Moc c Parnasse. is* (544-25-02). Ma-
rat. 16* (288-99-75). Baul'Mlcb’. 5*
(033-48-29). Pabllcls Champs-Ely-
sées. 8* (720-76-23). Paramount-
Opéra, 9* (073-54-37), Paramount-
GobeUna, 13* (707-12-28), Moulln-
Ronga. 18* (606-34-25).
FOLLE A TUER (Fr.) (•) : Français,
9* (770-33-88). Marignan. 8* (339-
92-82), Athéna. 12* (343-07-48).
LA FUGUE (A-, *.o ) : BU hoquet. 6*
(222-87-23). Publlels- Matignon. 8*
(359-31-95) : »i. : Grand -Pavois,
15* (531-44-58). Paranaou nt-Opéra.
S* (073-34-37)
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(Pr > t-) : La Clef. 5* (337-90-90),
Miramar. 14* <326-41-021, Biarritz.
8* (359-42-33). T.G C.-Odeon. 6*
(325-71-08). Royal- Paaey. 16* (527-
41-16), Caprl. 2* (508-11-69)
GORGE PROFONDE (A. v.o.) (*•) ï
Quintette. 5* (033-35-401: vX :
Saint - Lazare - Pasquler, 8* (387-
56-16). Balzac, B* (359-52-70). Om-
ni*. 2- (231-39-36). Montparnasse
83. 0* (544-14-27). Cllehy-Pathê. 18*
(522-37-41). Gaumont-Sud. 14* (331-
51-16), Gaumont-Opéra. 9* (073-
95-48)
GUERRE BT AMOUR (A. vs.) (***):
PubUris-Champs-Elyaées. 8* (720-
78-23). Paramount-OdéOB. 6* (325-
59-83) : vx : P&ramonnt-Opêra, fl*
(073-34-37), . Pammount-Mont par-
nasse. 14* (326-22-17), Paremount-
Malllot, 17* (758-24-24), Paramonnt-
Orlémns, 14* (580-03-75)
HISTOIRE ZFO (Fr.) (*•) : Am .
bareaae. 8* (359-19-08). Berlitz. 2"
(742-60-33). Cluny-Palace. 5* (033-
07-76). Gaumont-SucL 14» (331-
51-16), Montparnasse - Patbé. 14*
(326-66-13), Nations. 12* (343-04-67).
Cllehy-Pathé. 18* (522-37-41)
HU-MAN (Pr-, vers, ang.): Quintette. 5"
(033-35-40): Vf ; Colisée 8* (359-
29-461. Montparnasse- Pathé. 14*
(326-65-13). Gaumont-Madeleine. 8*
(073-56-03).
IL FAUT VIVRE DANGERlilW^lSNT
(Pr.) : Concorde, 8- (3M-*2-84>.
Gaumont-Lumière, fl* (770*84-64),
SînÊoc. S* 1326-OT-18L Montpar-
nasse- Pa thé. 14* (326-65-13).
Les films nouveaux
T A COURSE A L ECHALOTE
r— ) nun frappais de Claude
sadl. avec J ans Birzin et
Pierre Richard- — Marignan,
B* (359-92-82). Riche Hou-Gau-
mont, 2» (233-36-70). Hauie-
feuille. 6* (633-79-38). Mont-
parnasse 83. 6* (544-14-27),
TVepter. 18* (387-36-07). Pau-
vette. 13* (331-56-80). Gau-
mont- Madeleine. 8» (073-04-22).
Gaumoni-Conventioo. 15* (828-
42-27), Victor-Hugo. IB* (727-
49-75). Panthéon. 5* (033-
15-04). Oanmooc-Gambaita. 20*
(797-02-74). Gaumont- Bosquet.
7» (551-44-11).
HISTOIRE D'ADELE H. film
français de François Truffant,
avec Isabelle AdjanL — Biar-
ritz I et IL 8* (359-43-33). Cl-
némonde-Opéra, 9* (770-01-90),
Rex. 2* 1236-83-63). BlcnvcnQe-
Montps masse. 15* (544-25-02).
Bretagne. 6- (222-57-97). UOC-
Odéon. 6* (325-71-08). MlStraL
14* (734-20-70), Cllcby-Patbe,
18* (522-37-41).
LE JOUR DE L’AMOUR. Hlm
Mexicain d'Alberto Ismao. -
v.o. : Studio de l’Etoile. 17*
(380-19-93).
SANJURO (réédition), film Ja-
ponais d'Akira Kurosawa. —
V.O. : Dragon. 6* (348-64-74).
INDIA S ONG (Fr.) ! Le Seine, 5*
(325-92-48). à 14 U 45 et 20 heures.
LE JARDIN DES DELICES (Eap_
v.o.) . Quintette. 5* (033-33-40).
JETAIS, JB SUIS, JB SERAI (AH
v.o-1 . la Cler. 5» (337-90-90).
LA KERMESSE DES AIGLES (A_
v.q.) (•**) : Mangn&n. 9* (359-
92-42) VX : Ratisamann. 9* (770-
47-35). Carabroone. 13* (734-42-98).
LEÇON D’HISTOIRE et MACUORK-
MUFT (Frj : Olympia. 14* (783
67-42).
LENNY (A, v.o.) ! HautefeulUe. 6*
(633-79-38).
MADE FOR BACH OTHER (A^ IA) î
Action Christine, 6* (323-83-78).
MANDINGO (A* VJO.} (*•) : Cluxiy-
- Palace. - S* 4033-07-76). Mercury. 8*
(225-73-90). V.f ; ABC. 2* (336-
55-54).. GUchy - Patb«.- 18* (523-
37-41). Murat, 18* (286-99-731. Gau-
mont-Sud. 14* (331-51-18).
MOISB ET AARON (Fr.) : Marais.
3* (278-47-88). Pagode. 7- (551-
12-13).
LE MYSTERE DBS DOUZE CHAI-
SES <A^ v.o J : Studio Alpha. S*
(023-39-4 T). Paramount- El y Bées. 8*
(358-49-34). V. f. : Paramount-
Montmartre. 18* (006-34-23), Pasay.
16* (288-62-34), Paramnuot-Omtte.
14* (326-99-34), Paramount- Maillot.
17* (758-24-34), Caprl. 2* (308-
11-69), Paramount- Opéra. 9* (073-
34-37)
NUMERO Deux (Fr.) 1 HautefeulUe.
6* (633-79-38;, 14-JUlUet, 11* (700-
51-li). Publlels- Matignon. 8* (3S0-
31-87)
PARFUM DB FEMME (IL. «.oj .
Blystes - Lincoln. 8* (359-36-14).
Quartier Utln. 5* .(326-84-63).
Quintette. 5* (033-33-40)
16* (523-27-06), Mari
(359-92-921); V.f, ; Nrf
1343-04-67). Montparaf
6* (544-14-27). Fr in
1770-33-88), Ciicby-Paihé
37-41), Faurette. 13* (
OaumiuiL - Coovsnucn,--.
43-37).
LE PARRAIN N* 2 (A.’
m andin, 6* (339-41-1%
CheL S* (328-79-m VJ,
( 336-83-93) . Bretagne, R* (
PAS DE PROBLEME (Br
Le Paria. 8* (339-63-99),
9- (TT0-T2-B6), Oaumont-
20* (797-03-74), Jeanne
(331-40-58), Uonlparn.
14* (326-68-13)
PHASE IV {U, VJO.) (*"*)
Point-Show. B- (235-O-E
bOdrg. 6» (833-97-77). 81
Village. B* (833-87-69);. V .
Lazare - Pasquler. 6* . |
Nations, 12* (343-04-8#
PatfaA 18- (522-37-41) ^
15* (734-10-68). Haussais*
47-33), Studio -RasjmiL
.38-98).
WH 08 MA NT (Geont. (o
Oit -le- Cœur. 8* (32 5-80
BOLLKRBALL (A~ IS.) I*
feuille, s* 1633-79-38).
Riva-Osucne. 6* (348-26
mont - Champ* - Blyrtu.
04-67). VX : Importai
73-52). Caravelle. 18*'
Gaumont * Convention.
42-27). Gaumont - Garr
(797-02-74) Mmx-Und«
49- 04)
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V.O.) f***) î BlyséM-PDI!
(236-67-39). Studio de
carpe. 8* (323-78-37)
SOUVENIRS D’EN FRAN
Eiyeées - Lincoln. 8*
Saint-Gennatn- Ruche tt>
87-99), Salnt-Lacare-P.
(387-56-16). 14-Julllet, *
51-13). MontperaasN -
(328-85-13). P.LAL-St-J
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8* (073-74-35), Paramoi
17* (738-24-24). Mari val
83-90). Paramount - Bc
(343-79-17). Panmeum '
nasse. 14« (326-22-17).
Orléans. 14* (580-03-73).
YTYA PORTUGAL (AIL v
Sé vérin, 3* (033-50-91),
11* (709-51-13).
tous les jours
soirée 20h30saitfkHi
dimanche
matinée 16 h- sotte 20 b 30
Les Troyen
d'après Euripid
Grand Prix d
Festival de Belgrad
musique ELIZABETH 5
réalisation ANDREI S
par
iamamarepertoryco
BOUFFES DUf
piBC8s25 Fnt15 F (moBP
et groupes de jrius rie llfp
location sa théâtre, téL 1
etFNAC MONTPASN.
136, nie de Rennes de 11
sanfdiiiiaiiGfaBettar
MERCRED1 15 OCTOBRE
Location : théâtre et agences.
/
M
nemo
"'i -
•jr.
; 'ÿîî nouveaux
^territoires
ïijfe Belfort
' •; . v
^ ftuamiite-sfcE filma ont été
>ntê* à Belfort, an- cours
4. i septième Manifestation
'■nale du cinéma des jeunes
" M ' tES, organisée pu le Centre
? '.Bvdoppement et d’anima-
'.concertée -de la -ville, cous
* u Jranag® da Centre national
■. { <> cinématographie. Courte -
- " mes métrages, en super- 8 »
S mm on en 35 mm ; eu
on en conleor ; de repor-
; d’animation on de fiction ;
M . _ j l emen t comparables.
• " r .'Un Jury, composé de. sept
- «mes, a 'cependant procédé
i choix, établi « mm un i chaque
'■ e un palmarès. «La Cel-
.j. : , film de promotion. réaUsé
: Bahloul Bahloul, élève
' 'ien de 1TDBDBC, a remporté
r - ând prix. Quatre Algériens
-'.prouvent durant une nuit
i h cellule d*nn mmiwif n-
de poBee et racontent
rqnnL comment, ils ont été
Ce réquisitoire contre
Madame serait plus
rj-r,, -ndnesnt iH était moins
'“'isdencleiisanart Illustré. Les
} ^'Liages, très sofepées. f ont appel
; .•«* , .f&Doflon du spectatenr, à sa
! itfanentalit£__£t» . malgré
■ j a . * beauté du dernier plan,
i ;^nd, an petit matin, les
| Jrà homme* sortent dn
j "nfasarfat. observés pu un
5 V.-j AJfbtm qui,, lui, balaie
„ . Ittohr. rax s'est demandé, à'
pourquoi un autre ftim,
_ 0 é aussi pu un Algérien,
‘j^ar.été choisi pour le grand
effet, «le Betonr», dTEl
i JPsughali, une sorte- de
ds'.tofl d*un travailleur
. ."iîîjiw .®L France, est beau-
t ..îj. ptas' réellement «poll-
S . plu» véridique — moins
I ir « m uot «Mais, ont
■ membres du Jury,
r mûmes tel pour juger des
i f**>dïr proprement cinémato-
1 :rr-*V*Mt de la technique du
avant tout. Nous
déceler des «tempéra-
is de cinéastes. On sent,
t premier film, même s’il
bon, même s'il n’est
chevé, al l’auteur sera ou
capable d'en réaliser un
i, de progresser.»
«Festival de la première
e», ainsi que l’appellent
rganlsateurs, la manlfes-
de Belfort accueille, sans
Section, tous les films qui
proposés La seule
imposée est que les
n’aient pas leur carte
teur. que leurs films
t pas produits. On s'est
dant interrogé, an cours
lombrettx débats anim é s
tobert Lapoujade et Bai
elra, sur le bien-fondé dn
.ris. Tous les jeunes
rs ne disposent pas des
•s moyens, et il y a une
e inégalité entre un film
i Jk 1TDHEC et un court
gu fait pur un amateur,
•es ressources personnelles.
/an prochain, le règlement
modifié. H n’y aura plus
ty. On ne parlera pins de
U. Mais simplement de
itxus ». « C'est le côté
J* intéressant de ces jour-
dit le responsable du
i. Des jeunes ont la chance
•avoir présenter leur film
professionnels, de parler
eux, de se faire recon-
-»
accordera, à Belfort, une
de label aux films les
tmarquës. Et Ton tentera'
' Jir un lien entre Belfort
ulon. (Des fibw» primés à
' n. cette année, ont été
• xtés an cours de ces Jtrar-
L’Instîtut national de
o-visuel s'intéresse aussi
Manifes tations de Belfort
impose une aide & la
- rche menée par les jeunes
-i rs. Roger Louis — dtrec-
T au. CREP AC — était aussi
_ it « fi faut détecter,
ranger- mais aussi décan-
te, disent les professionnels.
KTHILDE la bardonnie.
LE MONDE ■ — - 14 octobre 1975 — — Page 23
ARTS ET SPECTACLES
Théâtre Oonre
£“*rîîl I *“tal ‘ b ta KM * Mmi à MM
__£a ^ABoauHo S de TAtriler de
i'Kpée-de-Bois ne propose pas une
fable, un di scou rs , ni un frag-
ment de discours, ni une état»
dans la recherche formelle d’un
poupe théâtral, . ni un rituel
invente ou retrouvé. Ce Que pro-
l'Atelier de lEpée-de-Bois.
-le han gar nu où il travaille.
se définirait plutôt wwim, le
reve ylsjormaire d’une humanité
en détresse, réduite au suprême
dénuement, et qui conserve avec
an soin sauvage quelques vesti-
ges : ttn livre, des lettres >i«ni
des enveloppes par avion, un Coq
aafMjine cage, de frCes lumières,
Quatre hom mes sont les «ihttw.
gardiens du feu, de la nourriture,
de 1 amour, de la conscience.
Quatre h o mme s dans un « univers
concentrationnaire». La formule
a été trop ut ili sée . Id, eHe Impose
rudement son évidence.
Asd a su r un banc étroit, les
spectateurs dominent- et -entou-
rent un enclos rectangulaire, fait
de sacs de sable, d’où le soleil a
disparu — depuis combien de
siècles? — plongé une
obscurité & peine trouée de
lueurs. Au centre, une winw f
une poutre brisée, verticale, porte
une bougie. Les hommes se dépla-
cent- sans brait dans la terre
lourde. Trois d’entre eux, comme
des esclaves, ont, accroché au dos
par des cordes, un pilori de bois
épais. Us sont grands et robustes.
Le -quatrième semble le chef.
Infirme, 3 se déplace avec des
béquilles. Us parlent une langue
Inconnue. Us mangent, Jouent,
volent, attaquen
c omman dent/ obéissent, s'entrai-
dent, se révoltent, torturent-
Us ne sont pas les survivants
.(Tune, race primitive, les derniers
d*tme civilisa t ion perdue. Us sont
les derniers de notre civilisation.
Us sont nous, nous montrent les
racines dépouillées de nos- com-
portements : ils jouent avec un
dé, se menacent avec un revol-
ver. un couteau. Raric pudeur. »«n«
le souci d’un masque a
sauvegarder, Us -«p riment la
peur, le désespoir, la dignité.- la
noblese, f ont app el â la solida-
rité, aux souvenirs «m-f us d'un
temps où les virrnirr^ et les fem-
mes vivaient ensemble, où exis-
taient l'amour, la tendresse. Ils
déno nc e nt avec des cris de révolte
raurrrar dtco monde d'hommes
emprisonnés, dont toute l’énergie
se concentre sur ces objets qui
repré sen tent l'espoir : un livre, le
feu, le coq, les lettres. Ces objets
qui les sauvent de l’abandon de
leur statut d'hommes, qui retient
Ivtté forcenée du déses-
Toto ne montre pas une agonie,
mais les sursauts pathétiques, les
déchirante efforts de la survie.
C’est â peine un spectacle malgré
sa terrible beauté; malgré le
contrôle des comédiens sur leurs
actes. C’est 1& vision d*tm danger
mortel venu du passé et toujours
présent.
COLETTE GODARD.
^ ★ CrcrtoucUcMe . Atelier de nSpte - 1
do- Bols, 20 h. 30.
lïiéôtre mu/icol
«RENART DÉMASQUE»
pour les escholiers de Grenoble
Quatorze fois en dix jours, la
gronde salle de la Maison de la
culture de Grenoble s’est remplie
déniants et de jeunes gens, avec
souvent leurs professeurs et leurs
parents, pour Renaît démasqué,
un spectacle tout neuf de théâtre
musical écrit d'après le tris vieux
Roman de Renaît, dans tout son
foisonnement et sa crudité, dont
les éditions scolaires ne donnent
en général qu’un pâle reflet
Oui-Us toujours saisi le sms
des causions et transpositions
constantes du texte, oit les au-
teurs (Yves Champelovier et Ber-
nard Vachon) et le décorateur
(Amie Tamfster). ont c démas-
qué » au maximum, peut-être à
l'excès, le .travesti animal de ces
seigneurs du Moyen Age sans scru-
pules qui se livraient une gué-
rilla acharnée et dont se gaus-
saient les trouvères sous ce voüe
prudent ? Sans doute pas. Os ont
ri surtout de ces aventures pica-
resques, de cette farce menée
grand train ( avec des voix d’ail-
leurs forcées et une précipitation
dans la diction qui rendait aléa-
toire la compréhension de ces his-
toires passablement compliquées) ,
applaudi les chevauchées de wes-
tern à travers la scène, les gros
mots, les parodies liturgiques, le
latin de cuisine et le talent
clownesque de Renart ( Charles
PETIT QDEO N 18 h 30
dernier spectacle du cycle
CORNEILLE
SURENA
mise en scène J.P. MIQUEL
a partir du 14 octobre
Schmttt), ce mauvais seigneur
vtBarü et paSOard qui traSne tous
les cœurs après ad. y compris
ceux des spectateurs, comme TOI
BulenspiegéL ou GuigmiL
Mais ûs ont sans doute pris
un salutaire e h«-ir> de Moyen
Age > qui pourra être exploité et
développé par des professeurs
d’histoire ou de. littérature intelli-
gents, et un bon bain de théâtre,
d’autant qu’il s’agit là d’un des
tris rares chefx-d’antvre populai-
res français, avec lequel les
enfants . se trouvent de pZafn~
pièd quel que soit leur milieu.
La musique de Jean-Marie
More Z (animateur musical de la
Maison de la culture), contribue |
à Yentrain de cette soirée, avec
surtout ces airs, ces rythmes
lancinants, un peu canailles, & la
manière de Kurt Weü, ces pasti-
ches ff opéra ou de choeurs du
Moyen Age, et son orchestre mali-
cieux réparti dans les tours des
châteaux de carton, où un
saxophone goguenard souligne ou
annonce les vilenies de Renart
Ce spectacle bon enfant monté
par louis Beyler, un peu à la
diable parfois, avec des moyens
réduits, permet de retrouver le\
charmant Christos Grigoriou (en
Ysengrin vindicatif et piteux),
Karen M estivage, à la voix savou- .
reuse toujours assez flottante, et
Jacques Berna, au milieu d’une
troupe au jeu fruste et rebondis-
sant
JACQUES LONCHÀMFT.
- (Publioité)
AUBiïOUOM MAURICE RAVEL, LYON
« CONCERTS PROMOTION »
MARDI 14 OCTOBRE à 20 fa.
François BAYLE
Bernard PARMEGIANI
Groupe da Techerch.es musicales
Institut national Ce l'audiovisuel.
sur une péniche
Jean-Paul Parré, clown musi-
cal, joue principalement du piano,
peut. chanter avec une voix «.{g u? r ,
ét ressemble à un de
Reiser. Fendant longtemps, il &
promené ses shetches de maestro
hystérique dans les cabarets de
la rive gauche. Depuis un an, 11
développe et va Jusqu’au « one
m&n show ». En ce moment. 3
occupe, fl emplit. 11 fait trembler
Une- péniche-théâtre ancrée quai
de Valmy, sur le «mni Salnt-
Marün. Son spectacle S’appelle
— pourquoi pas ? — Un Fané
peut en cacher m autre.
Star du clavier, Mozart enfant.
accroupi sur un petit tabouret
Jaune devant un gros piano noir,
U invente du Beethoven, grimace,
ralfreux : «..Oui, papa, je tra-
vame- » et ricane : « Je m’en
fous, le suis un génie et je suis
mort jeune s. 11 met ses yeux sur
roulement A billes, distord sa
bouc he, fait la gargouille ani mée ,
saute A un autre jeu, bricole tout
i- ce. qui lui tombe sous la
r ir fabriquer des I nst r um ents
se compliquer la vie. Affolé,
mais obstiné. 11 fonce jes
obstacles qu’il s’est construits, va
tasqu’au bout, passe la frontière,
débouche sur la divagation totale,
et le public avec lui. que la dyna-
mique du rire incontrôlable a fait
basculer dans l’espace de la tète
a l’envers.
Le voüA, frêle petit garçon sans
Age, pataugeant dans un Waterloo
d'objets qui lui ont servi A tout,
qu'il a transformés en n’imparte
quoi, et se dressant Indigné :
« Moi 7 Un éontiqus à acces-
soires — » Et puis, il se «n e t &
édifie r avec nn soin fébrile wm»
invraisemblable machin» avec
des tuyaux pour faire des notes
. de musique, et qui se casse, qui
tombe sur tout le reste : au point
ou on en est, rien de plus normal.
Dire qu'on nage Harm l'absurde
serait un euphémisme. Jean-Paul
Farré, ce n'est même plus la
corde raide, c’est comme wtamhar i
dans les airs en S' imaginant qu’il I
y a une corde. 81 Ton S’arrête de
rire, c'est la fin du monde, mai*
on ne peut pas s’arrêter. La méca- j
nique hallucinatoire est lancée,
qui éclaire des coins de folle
enfouis, la mécanique détraquée
du mouvement perpétuel. Jean-
Paul Farré étire les nerfs. Devenu
chef d’orchestre, U dirige avec
un. sifflet de police, avec des
baguettes de plus en pins grosses,
avec- im pieu, n ne peut plus
arrêter ses musiciens, s’exaspère.
Jette des pétards, déclare la
guerre, se barricade derrière un [
fil barbelé, hurle dans un talkie-
walkie. dBHBhiw sans ménagement
la caricature des combats inutiles,
agite cent drapeaux blancs, et
lorsqu^ enfin, la musique s'est
tue, 3 applique des poignées dorées
sur un funèbre podium à tiroirs,
dont il sort un haut- de -forma
blanc pour chanter un
CKoaner: a Je suis la star du
clavier », 'avant de disparaître.
Le long du canal Saint-Mart
le calme villageois de la nuit t
trompeur. Jean-Paul Farré han •
les mystères de Paris. — C. G.
★ La Péniche, 20 b. 30.
UGC BIARRITZ I - UGC BIARRITZ 111
CINEMONDE -.REX
UGC QDEON - PATHE CUCHY
MISTRAL -BRETAGNE
. j part . d L ;s UGC GQBEUNS
ARTEL PORT Nogent - ELYSEES II
La Celle-St-Cloud - MELIES Montreuil
MARLY Enghien - CYRANO Versailles
PARAMOUfJT La Varenne
On connaissait de la danse so-
viétique deux formes distinctes :
le ballet folklorique, reposant sur
la tradition populaire (MoTsseiev,
Beriozka), et le ballet de tradtion
classique (Bolchoî, Kirov). Le Jeune
Ballet de Moscou est un mélange
de ces genres relevé d'une pointe
d'acrobatie et de quelques em-
prunts au music-hall à l'usage
d'un large public populaire.
Fondée en 7 971 par une an-
cienne danseuse de chez MoTs-
seiev, Tamara Go lova no va, la pre-
mière compagnie soviétique de
ballet contemporain comprend
quarante danseurs de dix-huit à
vingt-deux ans formés à l'école du
Bolchoî. Rodée par deux années
de tournées à travers l'U.R.S.5.,
elle a été Jugée par le ministère de
la culture opte à circuler à l'étran-
ger. Elle commence son périple -in-
ternational en France.
La Jeune Ballet de Moscou fait
largement appel au folklore russe
avec lé coup d'oeil attendri et In-
dulgent d'une jeune génération
vîs-à-vfs des anciens : < Kalinka »,
« les Filles- de neige »j la troïka,
les troupeaux de rennes, les idylles
paysannes et les chansons tziga-
nes y ont toujours cours, mais Ils
sont, présentés comme « la mode
du temps jadis » en opposition avec
le temps d'aujourd'hui.
Aujourd'hui, l'accent est mis sur
la jeunesse, la joie de vivra et
l'amitié. Sur une fond de guitares
et d'orgue électrique, filles et gar-
çons ont pris le rythme du rock
and rail : ils flirtent sur un air
de blues; se fâchent et se réconci-
lient aux accents d'un tube italien,
« Vblare ». Les danseuses ont
troqué leurs chaussons à pointe
contra des socquettes blanches. En
tunique ultra-courte, cheveux en
couettes, elles minaudent et se dé-
hanchent en cadence. 1 Leur évolu-
tion vers la danse moderne passe
par la gymnastique. Les garçons,
par contre, n'ont pas eu à se for-
cer beaucoup pour mettre leur
fougue et leur virtuosité au service
de thèmes plus actuels. Quoique
encore tributaires de. la. danse dé
caractère, leurs ébats dans « Nous
les copains » rappellent assez ceux
des marins de Jerome Rabbins
dans « Frnney Free » (1944), avec
cette manière de glisser un genou,
de se désarticuler et de ’ rebondir
sur des jambes en caoutchouc
Le Jeune Ballet de Moscou va
susciter partout où il passera un
réflexe de curiosité. Sans doute
décevra-t-il les habitués de la danse
occidentale, ils seront déconcertés
par le manque d'originalité de cho-
régraphies qui font référence à un
outre mode de vie et s'adressent
à une autre société : la tradition
populaire et l'académisme les pré-
servent de toute recherche formelle
aventureuse. Mais le public sera
sensible à la valeur et à la qualité
des danseurs, à leur registre étendu.
Ils ont le sens de la scène, de la
gai ré, beaucoup d'ensemble, une
jeunesse communicative, et consti-
tuent un potentiel artistique qu'en-
vieraient bien des théâtres. A ta
Maison des arts de Créteil, leur
spectacle très familial a fait salle
comble et a été bien reçu ; les per-
sonnes âgées et les enfants surtout
paraissaient y prendre un grand
plaisir.
MARCELLE MICHEL.
DRAGON LIT. 54.74
SEUL à PARIS
Les Arts Martiaux
Vus par
KUROSAWA
dans
SANJURO
CINEMASCOPE
En bref
Gnéma
Les deux Festivals
de Toulon à Paris
Aujourd’hui b 20 h. 30, dans
sa salle de la me Dallery, te
-collectif Jeune Cinéma présenta
Robert F. Lylng de Hodwolf,
premier d’une série de films
« différents - qui furent montrés
dans la section du cinéma dif-
férent du Festival de Toulon le
mois dernier. Chaque soir. Jus-
qu'au jeudi 30 octobre Inclus,
un ou plusieurs films « diffé-
rents - seront projetés, qui ont
peu de chance de bénéficier
d'une diffusion commerciale par
les canaux traditionnels.
De eon cfité, le cinéma Action
Christine projettera A partir du
mercredi 15, en avant-première,
un choix de filins de la compé-
tition officielle, notamment las
deux films anglais Uy Qhlldhood
et Uy Ain Folk de Bill Douglas,
tous deux produits par le Bri-
tlsh Film Institut© ; Noue d’Abde-
lazlz ToIM (Algérie) ; le Dernier
Eté de Krfato Krfslov (Bulgarie) ;
Monsieur Belboss de Jean Mar-
boeuf (France). La plupart de ces
filme sortiront ensuite en distri-
bution normale.
fc Collectif Jaune Cinéma.
8 . passage Charles-Si&neiy, téL
805-00-53.
^ fc Action-Christine, rue CArls-
ttae, version ori g i n a le sous-titrée
pour les films étrangers.
■ Le II* Concours International
de chant de la ville de Toulouse a
été cette année d'un niveau mé-
diocre. Pour la première tels, le Jury
a décidé A l'unanimité de n’attrfbner
aucune récompense dans la caté-
gorie e voix masculine ». H n’y a
pas non phu de premier grand prix
pour les voix féminines. Le palmarès
est donc réduit & : 3» Grands Prix
ex aequo, Mme Bosazlo Andzade,
soprano lyrique (Mexique), et
Mme Wlera Banl ewlcz, mezzo (Po-
logne). — (Correap.)
PREMIÈRE MARDI 14
)U MARD1 14 OCTOBRE AU SAMEDI 1er NOVEMBRE '1975
théâtre Loc*32BJU«90
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31 nie de la Galt£ - 75014 PARIS
18 h. 30
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des journées entières
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L’HUMOUR YIDDISH
, A NOUVEAU DANS 1ECINEHA AMERICAIN
[APRES HUNKENSTEIN JUNIOR, WOODY ALLEN.
HESTER
STREET
UN FILM DE JQANMICKLIN SILVER
Page 24 — LE MONDE — 14 octobre 1975
RELIGION
DES THÉOLOGIENS PRENNENT POSITION
Le Saint-Siège devrait valoriser la collégialité
pour favoriser la communion entre les Églises
Rome. — Peut-on raisonna-
blement imaginer une autre
forme de papauté, pour cette
fin de vingtième siècle, sans
tomber dans la religion-tictum
ni se contenter de recopier
quelques schémas anciens.
C’est la question que se sont
posée douze spécialistes du ca-
tholicisme, en prenant soin de
consulter d'autres théologiens
parmi les plus éminents du
monde entier. Leur réponse est
contenue dans un numéro
spécial de Co ne Ilium, dont
l’édition française devrait pa-
raître incessamment fl). Nous
avons rencontré à Rome le
maitre-d’eeuvre de cette étude,
M. Giuseppe AJberigo, secré-
taire de l’institut pour les
sciences religieuses de Bolo-
gne, en compagnie de M. Ra-
niero la Voile, qui g a égale-
ment collaboré.
« La papauté traverse une crise
dramatiques, remarque M. la
VaHe d'une voix douce qui
contraste avec aa réputation de
catholique d'avant-garde, toujours
prêt & guerroyer contre la réac-
tion. Ce journaliste devenu célè-
bre lors du concile n'en veut pour
preuve que les appels (non enten-
dus) du pape contre le divorce
en Italie, contre l’avortement en
France ou, tout récemment, contre
l'exécution de cinq condamnés à
mort espagnols—
Qui dit crise dramatique sug-
gère mesures radicales. Or l’étude
de Concüium frappe par sa modé-
ration. Aucun des douze auteurs
ne propose un déménagement du
Saint-Siège à Jérusalem ou une
élection du pontife romain au
suffrage universel. Us désirent
seulement — si l’on peut dire —
que le pape redevienne l’évêque
de Rome. C’est l’Idée centrale de
M. Giuseppe Alberlgo. On peut
faire confiance à cet universi-
taire de quarante-neuf ans quand
il affirme que la papauté n'a
(1) Renouveau ecclésial et service
papal à la fin du vingtième siècle :
Giuseppe Alberlgo. Walter Kasper,
Hervé-Marie Legrand, Yves Congar,
Brian Ttecney, Hantera la Valle,
Emmanuel Larme, Jean-Jacques van
Aiirawn , John conlflon, J an SerUioIs,
Giovanni Ceretl et Luigi sartorL
De notre correspondant
L'ABBÉ MAURICE DELORME
EST NOMMÉ
Evêque auxiliaire de lyon
Paul VI a nommé M. l’abbé
Maurice Delorme, actuellement
vicaire général de Lyon, évêque
auxiliaire du cardinal Alexandre
Renard, archevêque de Lyon.
ENti le 20 novembre 1018 a Lyon
d’une famille ouvrière, l’abbé De-
lorme a fait sa études au petit
séminaire Notre-Dame-d'OulUns, puis
au grand séminaire de Franchevllle.
Il est ordonné prêtre en 1942. Entré
au PtacLo en 1950. U est aumônier
de la paroisse universitaire de 1959
à I960, puis aumônier d’action
catholique ouvrière, d’action catho-
lique générale féminine oit de la
mission ouvrière de 1960 A 1989. Il est
vicaire épiscopal pour l’est de Lyon
en 1969 et, depuis 1970, archidiacre
et vicaire général de Lyon et son
agglomération.]
cessé de se modifier au cours des
siècles, que chaque pape ressem-
ble davantage & son époque qu’à
ses prédécesseurs : 11 est pro-
fesseur d’histoire de l’Eglise à
l’université.
M. Alberigo n’est pas de ceux
qui se font du pape une Image
mythique; immuable, quasi
divine ; il ne s'apparente pas non
plus aux « anti-romains » farou-
ches pour qui le pape ne repré-
sente plus rien sinon le vestige
d’une Eglise ancienne qui s’écroule
toute seule. Le successeur de
Pierre, remarque - 1 - il, contrôle
tant de choses dans la vie de
l’Eglise qu’il serait vraiment naïf
de croire & sa suppression cm &
son effacement du Jour an len-
demain.
Instaurer
un « programme de ponfificaf »
Officiellement, le pape est évê-
que de Rome. Mais M. Bardera
la Valle, qui appartient & ce dio-
cèse, est bien placé pour affirmer
qu’il n’en est rien. L’évêque habite
à l’écart, au Vatican. « où nul ne se
marie et aucun enfant ne naît » ;
U ne circule que sur une sedia
ou en hélicoptère, ou précédé de
motards ; II n’a pas de contacts
directs avec ses diocésains- Mau-
vais procès? Non, si Ton consi-
dère, comme ML la Valle, que
essai un rapport plus correct de
V évêque de Rome avec son Eglise
peut conduire à un rapport plus
correct du pape avec toutes les
autres Eglises s. Car le paradoxe
est flagrant : cette Eglise prima-
tiale, qui a contribue & la nais-
sance de tant d’autres Eglises, a
perdu sa propre identité chré-
tienne. « Le moment est venu de
lui rendre un service analogue,
mais en sens inversez, remarque
M. Giuseppe Alberlgo. Cela ne
peut se faire que progressivement
et implique que le diocèse de
Rome désigne lui-même son
évêque.
En principe H en a toujours été
ainsi. Par un artifice juridique,
les cardinaux chargés de désigner
le pape représentent l’Eglise de
Rome. C’est d’ailleurs, -en tant
S ue cardinaux, leur seule fUno-
on. Ne serait-il pas plus logique
et plus franc, comme l’a suggéré
en 1969 le cardinal Suenens, de
faire élire le pape par l'ensemble
de l'épiscopat? Non, répond
ML Alberigo, car on ferait alors .
du successeur de Pierre un super-
évêque; il serait encore plus
étranger à son diocèse, encore
moins en mesure d'exe r cer la col-
légialité épiscopale et fl n’aurait
guère de chances de se voir
accepté par les Eglises non catho-
liques. Paul VI lui-même n’a-t-ü
pas dit un jour que c le pape est
V obstacle principal sur la voie de
Vœcuménismez?
Cette perspective exclut logi-
quement un pape non Italien et
va & l’encontre du code de droit
canonique qui autorise le moindre
laie & accéder au pontificat Ne
ferait-elle pas perdre d'autre part
au Saint-Siège son audience
Internationale ? « La papauté,
affirme M. Alberlgo, doit refuser
de se poser comme centre spiri-
tuel en concurrence et. filiale-
ment, sur le même plan que les
grands centres de pouvoirs
actuels. » Certes, on peut répli-
quer que toute l’action temporelle
du Saint-Siège est orientée en
faveur des pauvres et des sans-
voix. «Mais les pouvoirs politiques
ou économiques ont tendance à
utiliser leurs rapports avec le
pape pour consolider leur propre
légitimité; les relations avec le
pape servent bien plus les déten-
teurs du pouvoir que leurs
sujets— s
Parmi les diverses propositions
S Le fait l’historien de Bologne en
traduisant le travail de réqulpe
de Concüium, an retiendra l'idée
d'un « programme de pontificat ».
lequel, sans restreindre la liberté
de l'élu, rendrait plus étroits ses
liens avec son Eglise de Rome et
les autres Eglises. Autre propo-
sition : valoriser la s collégialité »
en donnant au synode mondial
des évêques une périodicité fixe
et une capacité de délibération.
« Les décisions synodales seraient
le fruit terme dialectique entre
le pape et le synode plutôt qu’en-
tre le pape et la Curie. » Un autre
pas pourrait être franchi en
constituant un < organe exécu-
tif collégial » présidé par le pape
de composition restreinte, et qui
favoriserait « la com muni on entre
les Eglises ».
Elargissant ses perspectives aux
non-catholiques, M. Alberlgo pro-
pose de .« reconnaître divers
degrés d'intensité dans la relation
des Eglises avec la papauté », de
manère & surmonter l’obstacle
actuel en matière'œcmnénique.
H ne craint pas. on le voit,
d’aborder des questions tabous.
Le choix des évêques en est une
autre. Selon M. Alberlgo, Us ne
devraient plus être désignés par
le Saint-Siège, mais par leur
propre communauté ecclésiale.
Quant & la Curie romaine, vestige
de 1' « idéologie monarchique »
par sa centralisation, elle donne
«l’exemple d'un ministère uni-
versel confié à une Eglise locales.
Pourquoi, demande M. Alberlgo.
ne développerai t-an pas cette
formule, confiant — ne serait-ce
que pour un temps limité — des
services de l’Eglise universelle &
diverses Eglises locales?
. Tout le monde au Vatican n’est
pas prêt A écouter de telles pro-
positions. Quoi qu’il en soit, les
prochains pontificats seront, si
l’on en croit IA Alberlgo. . des
pontificats de transition. « Tran-
sition non pas d’un pape à un
autre, mais d'une époque histo-
rique de VBglise et de la papauté,
qui a duré des. siècles, à une
autre, s
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enfants.
Mme A- lie Moal -Perrot et sea
enfants,
Mme Davlas,
Mme Bol et sas enfanta Patrick et
Bruno,
ont la douleur de faire part du
déois, survenu le B octobre, de
ML André KVEN,
an
de la France d’outre-mer,
' C ,K „, SLR,
A l'Age de soixante et onze ans.
Les obsèques ont su lieu en la
cathédrale de Trégnier (Côtes-du-
Nord), dans la plus stricte Intimité,
le 8 octobre 1913.
123, avenue Aristide- Briand.
35000 Bennes.
— Le cardinal Marty, archevêque
de Paris,
Mgr patria, évêque de Pértguetuc,
Les évêques auxiliaires de Paris,
Le conseil épiscopal et les membres
du clergé,
font part dn retour vers Dieu de
Mgr Jean HOTTOT.
«wrtaw vicaire de Paris,
décédé le il octobre 1975.
Les obsèques auront lieu la mardi
14 octobre, A 15 h. 30, A Notre-Dame
de Senllhac. diocèse de Périgueux.
Une messe sera célébrée ultérieu-
rement en la paroisse Saint-Lambert
de Vacglrard. où U fut curé.
I Né le 22 avril 1900 à Parts, Mur Jean
HottoL ordonne prêtre en 1924. avait lait
toute sa carrière sacerdotale dans le
diocèse de Parts, successivement vicaire
A Montrouge (1925), Salnt-Jean-de-Belle-
vBle (1929), Saint-Lambert de Vaudra rd
(1931) et Montreuil (1937). U est ensuite
curé de Notre- Dame-de-la-Médallle-MIra-
oHeusa è Malakoff 11942), pub A Saint-
Lambert (19461. Nommé vicaire général
archidiacre da Saint-Germain de Paris
an 1957, 0 est nommé pretonotalre apos-
tolique en 1959. Il est nommé, vicaire
génère! honoraire du diocèse de Paris en
1966, année od II se retire pour devenir
curé de Cheiagnac (Dordogne) J
— Chambéry - Lyon - Saint-
Joli en -en -Genevois.
M. et Mme Maurice Ligerot.
Lé capitaine et Mme Gérard Lige-
rot. née Martine Panchaud.
Mme veuve Marcel Ligerot,
M. et Mme Camille Grapat,
M. et Mme René Ligerot et leurs
«ri f un tu
Ainsi que tous leurs parente et
alliés.
ont la douleur de faire part du décès
accidentel de
M, Robert ZJGEKOT,
survenu le 9 octobre 1975, A l'Age
da vingt-neuf ans.
Ses funérailles auront lieu dans
la plue stricto intimité.
NI fleuri ni couronnes.
Cet avis tient lieu da falra-pext.
— On nous prie d'annoncer les
obsèques de • •
Charles FOURCHES.
Ingénieur civil
du Génie maritime,
officier de la Légion d'honneur,
commandeur
du Mérite maritime,
chevalier du Mérite eoclaL
médaille d'or du travail,
directeur général honoraire
de l’Union Industrielle maritime,
qui auront lieu la mercredi 15 octo-
bre. A 10 h. 43. en l’église Sainte-
Marguerite du Véslnec, suivies de
l’inh um a tio n au cimetière da
VéelneL
53. avenue du Grand-Veneur,
Le Véslnet.
81. rue de Paris.
Salnt-Rémy-lès-Chevreuse.
£Né en 190L M. Pourcher commença
sa arriére comme Ingénieur è l’arsenal
de Brest De .1961 é 1969, Il fui membre
du directoire du conseil de surveillance
de rumen industrielle et maritime. II fui
administrateur de nombreuses sociétés.
parmi lesquelles Mec Gregor, Maritime
auxiliaire Berengfer. Depuis 197Q, Il était
vice-président -d'honneur de la 5oclél6
amicale du génie maritime.]
et
du
M. et Mme Henry Tasaort
leurs enfanta,
M. et Mmo Jacques Rochette
leurs enfants.
Et toute la famille,
ont m douleur de faire part
décès, après uns courte et doulou-
reuse maladie, do
AL Etienne ROCHETTE,
moire de Plthiriers-ls-vicii.
président d'honneur
de la Société sucrière
de Plthivierv-le-VleU.
vice- président
do la Société de Banque
de l’Orléanais,
administrateur
de la société SIAMNA.
administrateur
de la société SIAMNA-Induatrle
A Vlllenoy.
administrateur
de la Sucrerie de Toury,
administrateur
de la société L3. A Puis,
administra tour -
de la « *- d'imprimerie moderne
da Pltbivlers.
président du C.LL.
de la région de Plthlvlera.
président d'honneur
de la Société anonyme d'H.L- M .
de Plthlvlera,
ancien déporté résistant,
croix ds guerre 1939-1945.
commandeur
de la Légion d'honneur,
survenu le 11 octobre, A l'hôpital
américain de Parts. A Neuilly-sur-
Seine.
Lee obsèques auront lieu le mer-
credi 15 octobre. A 13 h. 30. en
l'église Saint-Salomon - Salnt-Gré-
goïre de Plthlvlera.
Cet avis tient lieu de faire-part.
[Né le 8 février 1906 A Germont-les-
Fermes (Aisne). M. EUenm Rochette «
consacré toute sa carrière é l'Industrie
sucrière. II était président -directeur
général de ta sucrerie de Ptlhlufors depuis
1963 ; la même aimée. U avait accédé é
la vice-présidence de la Société de
banque de l 'Orléanais. Il était en autre
administrateur de plusieurs sociétés
sucr i ères .
Elu au conseil municipal de PlUrivIers-
le-vien (Loiret) en 193SL M. Rochette
était maire de cette commune (sans
étiquette) depuis 1945.]
— Ginette Seldmonn
a la grande douleur da faire port
de la mort de son mari, te
docteur Pan! -Emile SEXDMANN,
le fl octobre A Parla.
Les obsèques ont été célébrées
dans la plus stricte Intimité.
— On nous prie d'annoncer le
décès, survenu A l'Age de soixante
et un ans, de
AL Gilbert SPIRE,
ancien élève de l'Ecole normale
supérieure,
agrégé de l'Université,
chargé de mission
d’inspection générale.
De la part da
Mme Gilbert spire. Mm épousa,
M. et Mme Arnaud Spire et lents
enfants.
M. et Mme Antoine Spire et leurs
enfanta,
M- et Mme Dénia Spire et leur
fille,
. Docteur et . Mme Jacques Sejgal et
leurs enfants.
- Ses enfanta et petits-enfants,
M. François -Spire.
M. et Mme Michel Spire*
. Docteur, et Mme Henry Bloch-
Mlcbel.
Docteur et Mme Pierre Halphen,
Ses frères, beaux-frères et belles-
sœurs.
Les obsèques ont eu U eu o«n« la
pins stricte intimité.
Le famille s'excuse de no pas
recevoir.
10. avenue Charles-FIoquet,
Paris <7«).
(Né w il mal 1914 a Nancy, Gilbert
Spire a fait ses études secondaires aux
lycées parts tara Janson ■ ds - Sallly et
HenrMV, puis ses études supérieures é
la faculté dm lettres de Paris et è
l'Ecole normale supérieure. Agrégé de
philosophie, Il cnsolspie é Annecy, avant
d'être prisonnier de guerre de 1940 è
1945 é l'oflag IV D. où U loua un rôle
Intellectuel Important.
A son retour, il enseigne a Ver-
sâmes, Neuiiiy et Parts, où II est no-
tsmerrt. da 1958 é 1971. professeur de
première supérieure au lycée Jansan-
de-5aniy. inspecteur de l'académie de
Parte. Gilbert Spire était secrétaire de
la c Revue de métaphysique et de mo-
rale i depuis 1945J
— Une pieuse pensée en
A ceux qui ont gardé lo
do
Mme Ludovic SA
néo Marie-Colette
rappotéa A Dieu la 23
— Le souvenir de
Claude DERCOMPu
sera évoqué par ceux qui l't
A l'occasion du tmirilèmr
sa Ire de sa mort.
— En ce 14 octobre 1975,
anniversaire de la mort dr
Al. André JOUCLA-tt’
professeur
A In faculté des let
d'Alx-cn-Provcnce
Mme André Joucla-Buau c
tous ceux qui l’ont connu i
émue.
Avis J e
— Une messe sera cèle
te repos de
Jean COCTEAU.
A l'occasion du douzième
salro da sa mort, le somec
bre. A 11 heun-s. en l'épi
Koch. KD. rue Saint
Paris (!•*■). A l'orgue, Henr
— Une messe aéra c
samedi 18 octobre, A 10
l'église Balni-PrnncMs-de-
BrémcmtlcD. A la mémalr
AI. Jean D-UERBÊCO
décédé le 16 juillet 1975
Qnay- Portrteux.
Une messe sera c
vendredi 17 octobre. A 8
l’égllae Salnt-Françots-Xa
pelle de saint Joseph), A
de
AL DE LA BLANCHAR
(Pierre DU COLOMB
décédé le !•* août.
Communication»
— En présence de I
Jobert. conférence-débat
combat francophone ». I*
15 octobre. A 20 h. 30,
conférence» du C-N.lt..
peaux. La Défense,
l'association Contacts - 8*
Vernct. 75008 Paris. TéL
— M, Jean Marin, anc
dent-directeur général de
qui fut l’un des « Frr
parlent aux Français » <
pendant l'occupation, ri
nommé chevalier de l'Ei
tarin 1 que (KBJB. : Knif
British Empire).
Annhn
Vîntes et con< S
MARDI 14 OCTOÿ^y*
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NADE8. — caisse oat
monuments historiques. -
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c Hôtel des monnaies ».
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et son histoire). — 15
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Saint-Denis : c Les douze
phâtes d’Israël : prophète
Un * (L’homme et la eont ’-*- , ,
— 21 h_ 50. rue de Varennc • : ;
Ripa di Meana : « Bvt
révolution A la Biennale d
(Institut Italien de cultun ■
■ 'X
Bitter Leznou de SCH? • _
Un autre SCHWKPf
un autre goût.
i:Ci
LE MONDE — M octobre 1975 — Page 25
République Algérienne Démocratique et Populaire
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Page 30 ■ — LE MONDE — 14 octobre 1975 • * *
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(De notre correspondant)
Strasbourg. — c Les Français]
et.lA loi * était le thème général |
de la convention nationale
l’Association nationale des doc- ]
teurs en droit (A-NJDJDJ, qui s'est
réunie à Strasbourg à la faculté
de droit, les 10 et 11 octobre;
Dépouillée de sa majesté d’an-
tan, s'adapant difficilement au
rythme du changement du
actuel, ignorée et souvent igno-
rante du citoyen, manipulée ft sa
guise par l'administration, telle
est apparue la loi au travers de
quatre rapports de synthèse pré-
sentés par le 'doyen Georges
Vedel, M* Robert Badinter, par le
président Roland Maspetlol,
ancien président de la section ]
de l'Intérieur du Conseil d'Etat,
et le doyen Charles Debbasch,
ait de l'université d'Alx-
iAix-Marseüle.
Hypocrisie et contre-vérité de ,
proclamer que a rad n'est censé
mnorer la loi », comme l'a souli-
gné m* Badinter, devant l'a va- ]
lanche accélérée de textes lé
tlxs, et de réclamer une
reus b action & travers les mnac
m e d ia , la télévision en particulier,
pour familiariser, par Te truche-
ment de praticiens du droit. le
citoyen avec les principaux textes
le concernant dans sa vie de tous
les jours.
Souveraineté de la loi? Une
Idée reçue, comme l'a démontré le
président Debbasch rbm$ nrt re- i
marqnable rapport sur l'adminis-
tration et la loi, mettant en I
lumière les différentes manières!
dont l’administration, grâce an
dédta du contrôle parlementaire quitte le foyer en novembre 1971,
de J? «MÜto- et Jean-Pierre reste seul avec son
turanelle, peut neutraliser, modi- frère Henri, désormais son tuteur.
Jean- Pierre, dix- neuf ans,
xelsxâ i« bûaiÎM du doute, la
15 jtxülqt damier, par le tri-
bunal pour entant» de Paris
finw l'affaire de Bruay-un-
Axtois, a été inculpé, ainsi que
ses trois jeunes complices, de
tentative de voL samedi 11 oc-
tobre, par M. Aimé Fexwyxuu.
juge d'instruction à Paris- Lee
quatre adolescents ont été
écroués i la prison de Fleury-
Mérogis. Us avaient tenté de
céxahrmlex. dans La nuit de
vendredi à samedi, un magasin
d'habillement situé rue de
Rivoli à Paris.
C’est l'itinéraire d’un adoles-
cent perdu, le pauvre chemin
parcouru par Jean-Pierre, depuis
ciixii ans. Avant 1970, le jeune
garçon mène une existence tout
ft fait normale & Bruay-en-Artois.
Le début de sa vie est heureux,
comme le soulignent diverses en-
J iu&tes sociales. « au s eût d'une
amitié de mineurs digne et
unie ». M-iiü la mort de sa mère,
alors qu’il a sept ans, constitue
pour lui un premier bouleverse-
ment.
Il s’entend « à meroedle » avec
son père, précisent ces mêmes
enquêtes. H a quatorze ans quand
ce père meurt, victime d’une ma-
ladie de la mine. Jean-Pierre est
présent lors du décès, et le trau-
matisme qu'ü subit explique en
grande partie la suite de son
existence. Une sœur aînée — n
est le benjamin de la famille —
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mais qui, travaillant lui aussi ft
la m(n», ne peut exercer une
surveillance de tous les Instants.
A cette époque, il commence
alors à ne plus fréquenter le col-
lège d’enseignement technique de
Bruap-en-Arfeois, où U était pour-
tant considéré comme un ben
élève, et, dit un rapport, « ft
vivre dans Voistoeté en dépit des
recommandations de son frère et
de personnes du voisinage ». Dans
son jugement du 15 juillet 1975,
qui relaxait Jean-Pierre au béné-
fice du doute dans l’affaire de
Bruay-en- Artois, le tribunal pour
enfants de Parts, présidé par
M. Gaston Pedoo. notait ft ce
moment de la vie de l’adolescent :
« JZ a été ainsi amené à compa-
raître à plusieurs reprises devant
M. le juge des enfanta de, Bé-
thune, sans Que pour autant
aucune mesure àiuca
n’ait été prise, b
Ccst bien là où b
Livré ft lui-même ou
des centres d'éducatic
Jean-Pierre s'enfonc
sorte de brouillard
physique et moral, c
l'affaire de Bruay-en
jouera le rôle — c’est
— que Ton sait. Ur
tionnê par deux an
préventive, au cours
éducateurs de Fresn
ront. au fil des semai
rloratlon psychiqi
lescenL
Le Jugement du l£
nier note encore : «
est décrit par les m
chîatres désignés cm
et par les spêcti
C.S.O.P-E.S. de Fre
un sujet d'un nioeat
■normal, sensible, inl
tible. anxieux et enti
sonnalité très mal i
mal insérée dans le
mais ne présentant
particulière d’agress
perversité nf dfamart
Ses facultés d'à
mémoire, de discer,
superficielles, son ai
et butée. Jean-Pierre
pas à s'insérer dans
fuit le contact sous
prétextes avec une o
poussées tantfte imptt
dépressives. Enfin, Il
trer ardent au feu. c
tif. travailleur. »
Du travail, c'est ;
S ue, depuis trois me
e&n - Pierre, figé ac
dix-neuf ans, depuis
catlf d'Eplnay - sur ■
logeait. 31 avait faQl
reprises, êtreembanc
reprises, être embanc
ses futurs et divers
ne s’intéressent de
son curriculum vite
cependant, lui avait
pour bientôt dans u
rie; Jean-Pierre a-t-1
fois de plus ce ne i
ommesse f Avec trol
rencontrés au foyer c
Orge, 11 s'est rendu et
la nuit de samedi
d’une minable tentât
brlalage un m
bille ment, rue de Ri
n a été arrêté, ainsi
complices, et écraaê
de Fleury- Mérogis,
perdu, qui ne voulal
lier, se retrouve une
avec des menottes. -
fier ou tourner la loi édictée par
les Assemblées. Pour remédier ft
cette situation 11 s’agit, selon le
rapporteur, d’améliorer les tech-
niques d’élaboration du droit :
par une meilleure spécialisation
des parlementaires, un travail
plus approfondi en rawmwîgiriqng
un contrôle institutionnalisé de
l’exécution des lois, notamment
pour ce qui concerne leur délai de
mise en application, et enfin par
le rétablissement de la primauté
du pouvoir politique sur l’admi-
nistration.
Tirant les leçons de la rencon-
tre, le président de 1’A-N.D.D,.
M. Maurice Aydalot. premier pré-
sident- honoraire de la Cour de
cassation, a établi que toute ré-
flexion sur Iaplace de là loi «tenu
la notion aboutissait ft se ques-
tionner sur l’attitude du juge
devant la loi. De sa position tran-
quille de t juge de la stabilités
SjgSgjSB AU CONGRÈS DE CRIMINOLOGIE DE CLERM 0 N 1
changé, le magistrat a évolué
depuis la fin de la guerre vers a ■ n . ■ • . ,,
SfrtSKW Pandraud : la légitimé defense sera a
peau neuve, des pans entiers du
code civil s’étant écroulés, la
jurisprudence s’établissant lente-
ment, le rôle du juge doit être
celui d’un « clignotant d’alerte
quand il y a un vide juridique
ou une loi devenue injuste b.
Le rôle du juge peut -il être
politique 7 Thèse dangereuse, sou-
ligne avec force M. Aydalot, pour
qui l'application entière et sereine
de la loi doit être l’objectif pri-
mordial. aR serait déplorable que
le plaideur qui vient devant nous
se penser que notre conviction
est déjà, faite, s Evoquant g les
ratés de la machine judiciaire
Qu'on appelle très opparttmém
des scandales b, M. Aydalot a sou-
haité en conclusion que le fossé
ne se creuse pas entre les justi-
ciables et les jugea. .
J.-C.HAHN.
aux malfaiteurs qui risquent la vie
De notre envoyé spécial
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ETUDE LO DEL, 7W4JM9.
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ti rage mercredi 15 octobr e
I loterie nationale I
CHASSE
M. TJMBÀL
est nommé président
WI CONSEIL D'ADMINISTRATION i
DE L'OFFIŒ NATIONAL
M. François Tfznbal est nommé,
par décret publié au Journal offi-
ciel. président du conseil d'admi-
nistration de l’office rmWrmfll de
la chasse. IL euccète à M. Georges
Bejot, atteint par la limite d’âf
pis en 'ltes, M. François Tlznt
t pràddent depuis 185T de la
Fédération des ohaasenra de Saizte-
aaronne. En 1987, n est nommé pré-
sidant de la rédon cynégéBqne du
Sud-Ouest et» à ce titre, JBjunbn
titulaire du Conseil . supérieur de'
la chaese (devenu depuis l'OfOce na- 1
tional) dont u devient, en 1970. le!
i réaident de la commission légls-
Eitlve. VL Tlmbal, qui est chef de j
dlvlslou & la préfecture- de Haute- i
Garonne, est membre fondateur de |
l'Association de vol giriaat lon agri-
cole ds ce département. M. Tlmbal
«t cbevailer ds la Légion d'bon- ,
o*œ.]
PRESSE
prix du billet WF
du 1/10: 5 F
Clermant-Perrand. — « L’Etat
a bien pris conscience que la sécu-
rité est nécessaire à la qualité de
ta vie. à tel point qu ’aujourd "hui,
et pour la première fais, les objec-
te de cette sécurité ont été ins-
crits au VI. T* Plan, b Présidant
le U octobre, & Clermont-Ferrand,
la séance de clôture du quinzième
congrès de criminologie, M. Ro-
bert Pandraud, directeur général
de la police nationale, représen-
tant le ministre de l’intérieur, a
fait part de la volonté des pou-
voirs publics de s’attaquer résolu-
ment ft a l’un des plus redoutables
défis auquel notre société libérale
est confrontée b. Les moyens, en
personnel et en matériel, de la
police seront donc accrus et la
cohésion des services renforcée.
Après avoir rappelé que la vio-
lence est un phénomène conta- ■
gieux — eCeùxdns Etats, des orga-
nisations, des groupes, des indi-
vidus. entendent faire prévaloir
leurs propres intérêts ou leurs
vues sur Vintérêt générai ou la
volonté commune, par la con-
trainte physique et morale exer-
cée. sur. leurs victimes et. pire
encore, sur des tiers, b — ML Pan-
draud devait se féliciter de r effi-
cacité de la prévention qui a p
mis, en- 1974, et pour la premii__
fols, de faire baiser la courbe des
hold-up de 545 %, alors que leur
progression -avait été de 22,82 % au
coûte des dix années précédentes
Gtide 65,17 % pour la seule année
1973. i« nombre des autres vola
| 0 “aJn armée a augmenté de
5 » % . contre 29,72 %
l’aimée précédente.
Mais la prévention doit s'ac-
compagner d’une action dissua-
sive combinée de la police et de
î 8, j Pjfek *? ^ banditisme « comme
le terrorisme » doit être combattu
* k? moyens dignes de
notre civilisation, sons gr efa mais
sans aucune faiblesse ». « Tout le
monde est conscient que le risque
çjwrujwr te* grand» malfaiteurs.
*? suffisant, participe à la
^éauué déshonnêtes gensautant
qufà za punition des bandits
L’intérêt général nécessite. que 2a
conscience généreuse et parfaite-
ment compréhensible qui conduit
PUBLICATIOK JUDICIAIRE
à vouloir faire retron
la-loi les chemins dn
en société ne détour .
de la protection qui •
et davantage au.
pens. » Deux Sèment
don entreront dont
dans la lutte conta
tisme :
— Une nouvelle léi
les. armes. « Une moc
la réglementation «
pour renforcer le cont
mdsitkms, des Stocks r
ports dTarmea ; les «
ront très sérieuse m
v ées. b
■ — La rigueur vis-i-
tèurs de prises dfotag
pas. contre ces malfa -
solutions miracles ni -
solutions uniques », a
draud, mais « Us dei
que , risquant la vie
sans hésitation, Ü s de
risquer la leur : la lh
fense. strictement eut
au plan du droit que A
sera appliquée chaque‘\
otages ne courront pc "■
Vers . . v
JAMES
. ^FJH** 4 .** 1 d* 4 ® dn a» février uns.
tes* Chambre de la Cour «'Appel de
' 1975 se soldera, bout le tr *r
de la presse quotidienne, cS^ta rvëi? 21 ^, gtendlas
dêiS fern SïïEidrÆ î ^safaB us* ^
Mi La Fédération italienne des
éditeurs de journaux esthne que
l’aimée 1975 se soldera, pour le
secteur
UnaeucM UB iuu H imum » ut: * aermont-F iWT«nrt (pnnïTnte.T
5 (630 minions de francs), r géant tfhfttiiL «^um4
Selon la Fédération, les difCL- 93, mr- McCl g mou d’empri^nnij
cnltés des journaux italiens sont ment me saisis et iojmm P d'axnende
dues essentiellement ft la hausse de dftia-
dea coûts de nroduction (xènumê- SÎ5 11 ** rente de vUoci
coûte de distribution). ... a’&ritnn*.- B * :taon
informauqu
SCeCESJURIfi
Bulletin bîblfogn^
réalisé à l'aide c
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de données doaime
en Sciences Huma
• 7973 ; 247 m 30,00
• 1974 : 320 32J0
• 797S ; priva débet 79
Profils, recherches rétros?
18 autres domaines tra
SPLEEN dont :
Sc. Administrative, Sc. di
cation. Sociologie, Econo
l^iergle..
CKBS 4 USH, 54 . totemi
75271 PUIS - TéL s 54
• LE MONDE — Î4 octobre 7975 — Page 31
JUSTICE
n
APRÈS ÜN ACCIDENT MORTEL DE LA CIRCULATION
‘ directeur d’une société de transports est condamné
plus sévèrement que son employé
- .■ ;prè* nncaicéreiwn de
* î- Tean. Chaproou do
-■■.Vsn* Huiles, Goudrons 'et
-‘‘Hvéf. et l'infirmation par la
. , nbre d'accusation de Douai
... Tordannance de Ml Patrice
'Chaxetfe, juge dlmCrndicm
' -■ Jélhun*. les accidents du
■'î* -.adl contin u eut . dé retenir
. ’ ■ . forii oa. De nombreuses
^ jiimmiticma sont pro uon-
r choqua semaine par les
-,; onanx en matière d'isfrac-
- an code du t ravai l.
- ,ce propos, on notera que.
xx un sondage réalisé per
".<WP pour Htebdo medaix i
\\i Point ». les
* •' s/all sont placés en dernière
. Ihon, dans l'ordre de gra-
f. condamné, le 9 octobre, A
8e 250 francs d’amendes pour
cent quatorze infractions an code
dn travail le directeur de l'usine
SIC A, spécialisée la, fabri-
cation de pète & papier. On a
notai ent relevé qu'au cours de la
fermeture annuelle an mois-
d'août . 1974 plusieurs, ouv r i ers
avalent largement dépassé le p
Tond des horaires TègiementaL_
de travail et que d’autres rt n re Ti * 1 -
plusieurs semaines avalait tra-
vaillé sept jours sur sept.
Dans un communiqué A pronos
de l’affaire Cbapnon. la section
ré gi o nal e Nord-Pas-de-Calais des
journalistes CJPJD.T. déclare tm©
cette affaire <c révèle de façon
ü V \
î.* ffiji
T* ’• h-
•;;L parmi sne « cas do
' ^ -...' ■icsonea ». C'est-A-dire. après
-meurtre d'un vieillard, la
3-up avec prisa .d’otage,
’■ : lèvemant d'txna fiUalla, l'ac-
Mt de circulation an étal
'xixèa» et la viol.
■■ •_ \renu d’homicide lnvdlan-
" rarx même tit r e que l’un
">reare de son entreprise,
lande Chirat, le fflrecteur
/*>. société de transport de
'• - - it-le-Botrtm (Eure-et-Loir)
- ubry, a été condamné, té
.' obre, par lé tribunal de
lnsta.nce de Chartres; à
mois d'e mp riso nnem e n t
. .' sursis et 4 000 F d'amende,
‘ ' un accident de la ciraüa-
oeaaè, en juillet 1973, par le
- - ; m que conduisait B1 Chirat.
la traversée de Chartres, le
Je, après ‘ freinage, s’était
. " -té sur la rihau«séft et avait
- .té contre une voiture dont
- Aes occupants avait été tué
. • l aufcre grièvement blessé. En
•'< *ndanmant à une peine nias
. .quëiKin employé. Le tribunal
m compte de ce que le chef
' ’æprise- ne pouvait Ignorer
. la' ssEfene de freinage du
ion était SaMBant. M. Chl-
- v le chauffeur, * été condamné
jm mois tfemprisannement
•. c sursis et 509 F d’amende,
nor homicide involontaire et
-action xin coÆTdn travail, le
‘ ctenr d’in» entreprise de me-
"■ aria de MUÊtt (Cantal),
■ *. ïnigJroQx a été condamné, le
.*■ ^ofare. à quinze Jouis d’exnpri-
•rjj ffnt avec sursis et 2000 F
nde par le tribunal corxec-
' 1 "l ‘"Tu# tfAnrillac. Un an aupara-
-ilfptin da- ses ouvriers s’était
en; tombant d’un toit.
> jme n’était pas attaché et
• ! '< t«rvd!l^^3t:iüui de casque. L’en-
cdRvatt d’autre pût révéler
L , , r .;..!es ouvrière de l’entrepxlBe
■- V'-^iendaient pas à la visite
ale annuelle.
xftnæal de grande instance
.jupasph a: condamné, le
..ximv^^om' blessures in von-
resL. %£. . JWQchel LhérMer,
Kir Vérone des plus impar-
#enfcreprfses de construction
' Wyair* ipublics de l’est de
Le 1" octobre 1974,
de rentrqprise Lhéri-
été grièvement blessé
en tombant d*une
du procureur de la
avait déclaré que des
lémentaires de sécurité
tat pas été observées et
une peine d’un mna d’em-
lement avec sursis,
ribunal de Louviers (Eure)
A Marseille
UME BANQUE DE LOTORES SE
DIT VICTIME D’UNE ESCRO-
QUERIE PORTANT SUR 50 MIL-
LIONS DE FRANCS.
(Da notre correspondant)
. Marseille. — M*“ Paul Lombard et
Marie-France PesteT-Debord. qui sont
les conseillers à Marseille de la
banque European Brazülan Bank Limi-
ted de Londres, viennent de déposer
une pTalntacontre X™ entré les mains
du juge d’instruction M. G I rousse.
.Côtta- banque prétend être victime
d'une escroquerie d’un montant de
50- minions dé nouveaux francs. Sas I
débiteurs seraient vingt-quatre socié-
tés civiles Immobilières chez les-
quelles ont retrouve la - nom de
M. Jean Lemoine, Agé de quarante-
sept ans. M. Lemoine est un homme
d 'affaires, et II désirait depuis plu-
sieurs années créer dans la région
d’Ahc-en-Provence, près du village de
Ventabren un circuit automobile sur
lequel seraient accumulée tous les
obstacles qu’auraient pu rencontrer
les conducteurs.
Co circuit devait avoir pour nom
• premier circuit européen Loisirs et
Conduite », et 1 lavait obtenu le patro-
nage de la Prévention routière. Pour
lu lancer, M, Lemoine avait fait impri-
mer une luxueuse plaquette rédigée
en français et en anglais, qui Invi-
tait A venir « cueillir m bouquet de
sécurité eu premier centre européen
Loisirs et Conduite <*.
Pour monter son affaire, M. Le-
moine devait trouver le terrain et les
crédits. Il contracta das emprunts
auprès de l'Biropean. Brazülan Bank
et de plusieurs antres banques fran-
çaises, qui, pour l'instant, ne se sont
pas constituées partie civile. On
pense qu’il a réussi à emprunter
près de 70 millions de francs. II
cherchait des terrains, notamment
dans la région de Ventabren et
La OotaL Par l'Intermédiaire de
vingt-quatre sociétés civiles immobi-
lières qu'il avait créées, . lorsqu'il
avait oManu des crédits pour le
premier terrain, I] les faisait exper-
tiser ; ensuite II obtenait un autre
prêt pour un autre terrain, etc.
Le projet da ^ Circuit européen
n'a jamais quitté les cartons de son
promoteur, et n semblerait que c'est
pour -, cette raison que I* European
Brazll Bank ait porté plaints.
RAPATRIÉS
ÜA : les commerçants des Champs-Élys
seront-ils indemnisés plus rapidement
que les- spoliés d'Algérie ?
il
0
S f
jociatlon des fils de rapa-
t leurs amis s’étonne que
ivernement envisage une
ilsatlon rapide des com-
j tts des Champs-Elysées
iVœ des récentes manlfesta-
11 tiers que les rapatriés vic-
de déprédations plus tîn-
tes résultant des troubles
ordre public en Algérie
*nt depuis treize ans la
don des promesses gouver-
tales constamment renou-
A chaque élection.
EA a également adr e ss é A
j a parlementaires une pro -
sur la réforme foncière :
s affinons V attention de
lègues et du gouvernement
dstence de la loi de confrt-
nationale à rüidemiiisatxon
p atriés du 15 juillet 1970.
PiâsQue le gouvernement recher-
che le bonheur et Vègalité de tous
les citoyens, pourquoi ne pas aller,
jusqu’à la munici pa li satio n des
sois situés dans les périmètres des
communes urbaines et indemniser
les propriétaires e x propriés selon
les barèmes retenus par la loi
concernant les rapatriés, qui
cisèment a fixé les bases
irisation (Tune très importante
catégorie de Français spoliés :
15 F le mètre carré mm assortis
d’un permis de construire ou
150 F le mitre carré pour un
terrain bénéficiant . d’un permis
de construire 7 »
évi dente que la justice est victime
des pressions tradttionneües delà
Classe dominante, celle du pou-
voir ■. Les Journalistes CJD.T.
affirment qu'ils « ne partagent pas
les .commentaires oe nombreux
organes ^information sur cette
affaire. Information de classe qui
a soutenu le parti de ceux qui dé-
tiennent le pouvoir dans Ventre-
prise et bijjsiencent la décision de
la cour d’appel de Douai ».
VOS VACANCES, VOTRE RETRAITE
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J ;
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Page 32 — LE MONDE — 14 octobre 1975 • ■ •
ÉQUIPEMENT ET RÉGIONS
13
fi
Corse
Deux drapeaux au fronton des mairies
Le conseil régional de la Corse
se réunit, ce lundi 13 octobre,
pour élire son nouveau prési-
dent Après la mise en place
de deux départements, cette as-
semblée se compose de treize
memh res seulement L’union de
la -gauche détient 8 sièges et la
majorité présidentielle S. M- Gia-
cobbi, sénateur radical de gau-
che, président du conseil général
de la Haute-Corse, sera vraisem-
blablement réélu président du
conseil régional.
La jouroê « bandera corsa »
(drapeau corse), organisée, le di-
manche 12 octobre, par le comité
antirépression, pour manifester
la solidarité des insulaires cosec
Edmond Sïmeoni et les patriotes
emprisonnés », s’est déroulée dans
te «dTTn*_ Le drapeau blanc &
tâte de Maure a été hissé sur
le fronton d’on bon nombre de
L'affaire des boues rouges
devanf ies tribunaux
D’autre part l’affaire des boues
rouget Qui avait agité les Corses,
U y a deux ans, va revenir de-
vant tes tribmumv Les pécheurs
de -Bastia et 1e département de
la Haute-Corse relancent en effet
leur action en justice contre la
société Italienne Montedlson, ac-
cusée de polluer le golfe de
Gènes par ses déversements. Une
procédure sera ouverte te 31 oc-
tobre prochain devant le tribunal
de grande instance de Bastia.
Les pêcheurs réclament à la
firme Italienne des dommages et
intérêts pour compenser la baisse
de leurs prises. Ils veulent
faire toute la lumière sur les
suites du procès de Livourne,
qui fut plaidé en avril 1974. Cinq
dirigeants de la Montedison
avaient été condamnés à des
S eines de prison avec s ursi s et
i société mise en demeure d’ins-
taller un épurateur à terre avant
la fin de 1975. Les pécheurs
corses veulent savoir si les boues
que continue & rejeter l’usine de
bioxyde de titane sont neutra-
lisées ou pas.
(Dessin de CHBIfEZJ
A PROPOS DE...
LA FISCALITÉ DES GRANDES VILLES
Les communautés urbaines en faillite ?
Les commuaeutêa urbaines de France ventent être asso-
cdée*_à l'élaboration du VU* Plan. Tête est l'nne des reven-
dications prioritaires présentées per tes présidents des com-
munautés urbaines françaises (1) an cours de leur réunion
an nuell e d'auto m ne à Strasbourg, sous la présidence de
M. Pierre Pflimli n. président de la communauté urbaine de
Strasbourg.
Alors que l es r égions sont étroitement associées à la
préparation du VH* Plan, les communautés urbaines qui
regroupent, avec leurs cinq millions d'habitants, prés de 10 %■
de la population française trouvent anormal d'être exclues
jusqu'à présent des travaux préparatoires. Elles ressentent
d'a utant plus celle anomalie que certaines d'entre elles,
comme Lyon ou Lille , totalisent à elles seules presque la
moitié de la population régionale et quH leur est demandé
d'assurer l' amé na gem e nt de zones essentielles les
régions respectives.
A runanlmité. les participants
ont réclamé, an plu » des aidés
concernant toutes les communes
de F/ance, une série de mesures
financières spécifiques pour
répondre aux' besoins des
communautés urbaines : en pre-
mier Heu, là reconduction pour
cinq ans de la majoration de
33 °/o du taux de subvention et
l’extension aux communautés du
taux de 50 °/o accordé aux
communes fusionnées. Pour les
années à venir, il faudrait affec-
ter aux communautés urbaines
- des ressources fiscales évolu-
tives*. en roccurrence un pour-
centage de 10 °!a de f accrois-
sement annuel du versement
représentatif de la taxe sur laa
salaires (VJI.TJî.} à répartir entre
ces établissements publics au
prorata de leur population. Afin
de remédier à Tune des fai-
blesses congénitales des commu-
nautés urbaines, les participants
ont demandé, en outre, roctrol
de prêts à très long terme (trente
à quarante ans) avec faibles taux
d’intérêt pour le constitution de
réserves lonclères.
Pour donner plus de poids i
leurs revendications, les commis
nautéa urbaines se sont consti-
tuées en, un groupement qui agira
comme interlocuteur de rEtat
dans les grandes questions
concernant des établissements
publics. U. Pierre Pflimlin en a
été élu premier président.
J.-C. HAHN.
(1) H «**>c*«t huit w< w w m nnui .
tés urbaines françaises : Dun-
kerque, Strasbourg; Lyon, Le
Creusât - MO n tceau -les -Mines,
Cherbourg, Bordeaux, UHe-Bou-
balx-Tonrcoing. Brest.
Faits et projets
Environnement
m «NON» AU TRANSFERT DE
D’*X» SUR LE PLATEAU
DE SACLAY. — Le président
de te Société amicale des
anciens élèves de l'Ecole poly-
technique vient d'écrire à
M. Giscard d’Estalng pour lui
rappeler qu'une majorité
« incontestable » d’élèves et
d'anciens élèves s’est pronon-
cée contre le transfert de rx
& Palaiseau, sur le plateau de
Saclay (Essonne) : * L'envi-
ronnement que trouverait YX
n’a cessé de ^amoindrir, au
point quretle serait seule trans-
férée dans une sons rurale.
constate le président, Nous
avons pris soin, de vous pré-
senter des solations précises
et chiffrées pour la rénovation
de Fécale sur son site actuel
et pour la réutilisation à des
besoins prlorttaires de rEtat
des bâtiments construits à
Palaiseau.» Le chef de- l'Etat,
ancien polytechnicien . lui-
même, a confirmé, il y a un
an, l’installation de l’Ecole
polytechnique dans ses nou-
veaux locaux, prévue poux le
1** octobre 1978 (le Monde du
7 octobre).
PARLEMENTAIRES MENA-
CES. — Plusieurs parlemen-
taires du Finistère et <rilte-
et-vuaine appartenant & la
majorité, ont reçu, vendredi
10 octobre, des lettres de
menaces du Front de libéra-
tion de là Bretagne (FU3.-
AJ3J3J. Ces lettres mettent en
garde leur destinataire c contre
les positions quTÜs pourraient
prendre en faveur de implan-
tation de centrales nucléaires
en Bretagne ».
Paris
20
mairies. Dans les grandes villes,
notamment à Ajaccio et à Bastia,
il avait été placé A côté du
drapeau tricolore.
M. Jean Riolacci. préfet de
la Corse, avait écrit & tous les
mair es de l'He, à propos de cette
manifestation : s Vous âmes été
invité à hisser cet emblème qui
compose les armoiries officielles
de rite. Mass F ambiguïté des
motivations qui sont A la base
de cette démarche, en revanche,
ne peut vous échapper. Aussi,
afin de couper court à des in-
terprétations équivoques, je vous
demande, en accord avec les cinq
parlementaires de la Corse, les
présidents des conseils généraux
de la Corse du Sud et de la
Haute-Corse, de hisser ; dès le
début de la matinée, les couleurs
nationales. »
Campagne pnblicitaire et contre-manifestation pour ie secteur Itali
Fin de semaine agitée dans
le treizième arrondissement de
Paris, où les élxxs et tes repré-
sentants d'associations d'habi-
tants ig) ont manifesté
contre l'opération publicitaire
lancée par les p rinc i p aux pro-
' moteurs de du
secteur Italie. B.TJL. avait pris
en charge cette opération et
planté m chapiteau avenue
d'Italie.
Le petit train, qui continuait
ses allers et retours, servait fina-
lement de rame de propagande
aux partis de gauche; qui y avalent
accroché leurs pancartes critiques
sur la s rénovation Italie » et dis-
En contrepartie les promoteurs
exigèrent un coefficient d'utili-
sation du sol supérieur à la
moyenne générale de Paris. Le
sur la s rénovation Italie » et dis-
tribuaient des tracts résumant
les griefs des habitants des tours
et leurs pro p re s contre-proposi-
tions.
parti architectural exprimait la
volonté de construire des lmmeu-
Les ennuis des promoteurs
Samedi Tnat.^ je chapiteau
était envahi par tes militants
socialistes et ‘ raunmi mfcteK. qui
entreprenaient de réfuter, à l’in-
tention du public — et des rares
clients éventuels — tes arguments
avancés par tes publicitaires :
promesses non tenues dans le
passé, maquette de l’opération
inexacte et dépassée, équipements
publics ou sociaux non construits-.
Le petit train locomobile destiné
à faire visiter le c nouveau 13* »
aux Parisiens c appelés à se pro-
noncer ». était pris d’assaut par
les sympa thisant* de la gauche
qui, m égaphones en déve-
loppaient, Chemin faisant, ces
arguments pour les c uri e ux ou les
habitants.
Dimanche, l’émission de r. t
réalisée c ai direct » de 1a tente
des promoteurs, était chahutée de
façon ininterrompue de 10 heures
à midi, la voix ses speakers étant
couverte par les cris de plusieurs
centaines de ndUtants socialistes
et communistes scandant « pro-
moteurs - menteurs, promoteurs -
voleurs I »_ Les animateurs de
rémission, avaient auparavant
refusé de donner te parole aux
élus de la gauche (députés et
conseillers de Paris présents sur
place.
Paradoxe, au moment même
où était lancée cette campagne
publicitaire, l’administration et
les gins fixaient le nouveau plan
d’occupation des sols du quar-
tier qui annulait, pur ement et
simplement, la plupart des pro-
jets des promoteurs : sur cin-
quante-neuf tours ‘ prévues à
l’origine, trente et une ne seront
pas construites (te Monde du
il octobre). Le problème reste
évidemment de vendre les vingt-
huit qui sont réalisées ou en vole
de l’être. Ce qui est loin d'être
facil e, compte t enu des difficul-
tés grandissantes rencontrées par
l'opération.
Confiée par 1a voie au secteur
privé, te rénovation, du secteur
Italie commence officiellement le
14 janvier 1966 quand te Conseil
de Paris se prononce favorable-
ment sur le plan d’urbanisme de
détail de l’operation. Ce document
est so umis à l'enquête publique
en novembre 1968. H est approuvé,
par arrêté préfectoral du
30 juin 1971.
Deux obligations furent alors
volonté de construire des immeu-
bles de grande hauteur.
Au début de 1975, {dus de neuf
mille logements neufs étant
construits ou autorisés en appli-
cation des permis de construire
délivrés, la Ville de Paris aura
notamment reçu : 48000 mètres
carrés de sol destinés à des équi-
pements publics et perça 22.5 mil-
lions de francs, représentant la
participation financière des
constructeurs à ces équipements
publics.
Pourquoi cette opération a-t-elle
été remise en cause?
d'urbanisme de detail e
caduc à la fin de l’armé
plan d'occupation des se
d'hul achevé, le rcmplac
part, les promoteurs,
l’opération moins rent
ses débuts, s'en sont pi
ment désintéressés. Les
des propriétaires de ter
cipitèrent le mouvomer
aggravant la spéculatio.
La réalisation des éf
publies icrechcs. école
verts, foyers) n’a pai
rythme de la cons truc t
les nouvelles orientât:
nées récemment à P
condamnent les iimn
grande hauteur et la
tlon.
imposées aux promoteurs : livrer
gratuitement a te VUle tes terrains
gratuitement à te VQle tes terrains
destinés aux équipements publics
et participer au financement de
ces équipements par 1e versement
d'une taxe par mètre carré de
plancher construit.
• Mme Gisèle Moreau , député
communiste du arrondisse-
ment : « Avec la décision du pré-
sident de te République de stop-
per la construction des tours dans
le secteur Italie, noos avons une
nouvelle démonstration de l'utili-
sation du thème de l'écologie
pour Justifier l'austérité qu’il
veut imposer aux Parisiens. Der-
rière cette décision se cache en
réalité te suppression pore et
simple des équipements sociaux
prévus et la réduction considé-
rable des HJLM. Far contre, les
promoteurs font valoir leurs droits
acquis auprès du gouvernement
et réclament 150 millions de
francs au nom de prétendus droits
acquis, et 1a Ville devra leur ra-
cheter les terrains qu'ils lui de-
vaient C’est un nouveau scan-
dale auquel les élus communistes
s'opposeront en poursuivant avec
1a population du 13* arrondisse-
ment l’action pour 1a défense de
leur quartier. »
• Les sections du
arrondissement du pc
liste : « Nous nous êlev
la scandaleuse confus
par la promesse d'un «
la naiticipatten du
arrondissement, alors
s’agissait, en fait, que
ration destinée & v>
appartements d’une c
tours. Les sections d
treizième nrrondlsseme
lent que. dès l'origine,
gauche de l'arrondis;
sont élevés contre les
dans lesquelles 1a
d'un quartier de quelqi
tares était livrée aux p
L'échec de l’opêratlox
maintenant off
confirmé amplement i
lyse. La reprise de l'qpf
la collectivité publique
l’issue d’un large débat
tique s’imposa >
Trafic fluide
ratio nt de fi
.■ la carte on
entre Paris et Londrc
Depuis lundi 8h 45 jusqu’au dimanche 20h,
British Airways décolle 68 fois pour Londres.
Quand on va à Londres
"vaut choisir le moyen le plus pratique
confortable. Alors, la prochaine fois;
British Airways.
V pourrez choisir l'apport
convient {Orly ou.Roissy), choisir lis
vous conviennent (depuis le 1 er vol
ïuatinà8h45) ét même choisir le confort
convient avec TriStaç.ila Rolls. Royce.
PARIS : RONDE A VELO. —
Plusieurs centaines de cyclistes
ont participé, le samedi il oc-
tobre, A 2a deuxième ronde à _
vélo organisée & Paris par te c
Mouvement de défense de la E
bicyclette. « Doublez tes cy- =
cllstes à plus d’un mètre », “
demandaient leurs dossards g
aux automobilistes. — »
Partout dans le inonde vous serez en de bonnes m«
V
(
. « .LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 33
UN ENTRETIEN
AVEC M. DE LA MALÈNE
1208 millions pour la nouvelle opération des Halles
g Après le vote du Conseil de
Paris du 30 avrü, peut-on e lire
que la rénovation est bien
repartie ? ’
— La décision du président de
la République et du gouvernement
avait rendu caduque le plan
d’aménagement des Halles et
donc pratiquement annulé la
convention liant la SEMAH à- la
Ville de Paris. Cet te s ituation
avait conduit la SEMAH â
demander à la Ville, dans l'at-
tente de nouvelles directives, de
travailler, en quelque sorte, sous
garantie de celle-cL L’accepta-
tion par la Ville d*pn nouveau
plan d'aménagement, le 30 avril,
permet à la SEMAH de retrouver
un cadre juridique pour reprendre
sa mission.
b N’oublions pas que, pendant
ces hiatus, les chantiers notam-
ment celui du RJ3LR. — n'ont
jamais été arrêtés et que les
calendriers, & quelques semaines
près, sont respectés. Mais il
demeure que pour la partie en
sous-sol. située A l'Ouest, comme
pour l'ensemble des jardins et des
éléments dits de super-structure,
les choix faits par la Ville, en
accord avec l'Etat, sont très dif-
férents, pour ne pas dire à l'op-
posé, des choix initiaux. ZI faut
donc trouver maintenant un plan-
masse puis une architecture avec
des façades, et, enfin, des promo-
teurs publics ou privés pour réali-
ser l'ensemble. Ce changement
de cap dans une direction plus
volontariste et plus ambitieuse
rend certainement la tâche plus
ardue. Mais les choix sont faits.
les décisions sont prises ; U faut
les confronter avec la situation
réelle, puis les traduire sur le
terrain.
— Quand la rénovation au
Carreau sera-t-elle terminée
complètement?
— L'originalité de l'opération
d’aménagement des Halles
consiste en une intégration très
poussée, qui rend très di fficil e la
m|«w» en service secteur par sec-
teur.
» L'opération des Halles com-
prend cependant une partie Est
avec le Centre national d’art
contemporain, qui sera mis en
service en 1976. et un secteur situé
au nord de la rue Rambuteau. qui
se réalise, lui. par tranches, la
première étant déjà terminée.
9 Pour la partie Ouest, des
wagons-ateliers de la, RA.TJP.
vont pouvoir circuler d'ici â la
fin de l'année sur la portion cen-
trale de la ligne' du TLEJL de
l'Opéra & la Nation : et l'on peut
espérer qu'avant la fin de 1977 la
gare pourra fonctionner avec,
sans doute, des aménagements
provisoires de sortie.
b La remise en cause des règles
du plan d’aménagement des Hal-
les pour le jardin et les super-
structures entraînera certaine-
ment un retard pour l’ouverture
du forum souterrain avec des
commerces et des installations de
loisirs. H devrait pouvoir être
limité à une année, moins peut-
être. viendra ensuite la fin des
superstructures et de la partie
souterraine à l'ouest. Au total,
avec des mises en service écfae-
s- Du Hou dans le calendrier
f 'EST dans quelques jours que 31 Emile Aülaud. assisté *
I de MM. Ricardo BofÜl et Bernard de la Tour d'Auvergne,
va p r o p o se r un nouveau parti architectural poux l'aména-
gement de l'ancien carreau des H a Hes . Cette opération fut, an la
sait, remise en cause es août 1974 par la décision du président da
la République da supprimer le centre de commerce internatio-
nal qui devait être construit en cet emplacement, et da le
remplacer par un espace vert.
En tait, sur l'emplacement des a ncien n e» Halls» les travaux
s'ont jamais été Interrompus. Dès le début de l’armée prochaine,
l’aménagement des voies souterraines prévues au pied de Saint-
Enatachv pourra donc commencez. Quant an métra express
régional, il devrait atteindre, comme prévu, la cour de Paris .
à la fin de 1977. Mais pour les édifices de surface qui entou-
reront le forum, le calendrier reste encore flou. La construction
des abords de la station de métro ne sera pas terminée, eu
1977. Dans un premier temps. Tancés se fera à l'aide d'esca-
lators circula»! entre les chantiers en cours, comme ce fut
longtemps le cas à la station Opéra.
Au-dessus de la gare centrale du métro express, qui est
en construction &, vingt-trois métrés de p ro f ondeur, doit au
être aménagé sa vaste ensemble commercial et de loisirs de
50 000 métrés carrés. « le forum- ». Il sera ouvert à l’air libre
et comprendra quatre niveaux et un aménagement de surface.
Celle v aste surface commerciale devrait être inaugurée, lues,
que la SEMAH (la Société d'économie mixte pour l'aménage-
ment des Halles), responsable de l’opération, envisage d'avancer
l'échéance en mai 1979, c'est-à-dire avec un an de retard sur
la date initialement prévue.
M. Christian da La Malène, président de la SEMAH et
rapporteur général du budget de la Ville, -dresse, dans la décla-
ration qu'il nous a faite, le bQan financier de cette opération,
qui devrait coûter au total dans les 1208 mniloas de francs.
tannées à partir de 1977, l'ensem-
ble pourrait être achevé en 1981.
— Que pensez-vous de l'évo-
lution du projet tTamènaoe-
ment du Carreau depuis la
r
Rectifications de frontières
sur la carte orange
■m A caria orange ? Ur succès.
§ Créé le V iutllet, ce litre
de transport mensuel permet
d'utiliser, Indifféremment et pour
un nombre de voyages Illimité,
les bus, les métros, les trains et
les cars privés agréés. Il e été
.acheté, au mois de septembre,
par plus de quatre cent mille
habitants de la région parisienne.
Il devrait rétro prochainement,
estime le Syndicet des transports
parisiens, par six cent mille per-
sonnes. Première conséquence de
cette réussite : le RA TR. vient
d'être obligée de mettre en ser-
vice quarante et un bus supplé-
mentaires.
La carte orange lait gagner du
temps à rusager, qui achète un
seul titre de transport une lois par
mois. Elle réduit en général son
budget • transporte », puisqu’elle
autorise des déplacements en
nombre Illimité : ses cinq zones
concentriques de tarification dirent
la possibilité de se rendre dans
deux (40 francs per mois en
seconde classe), troiB (60 francs),
quatre (80 francs ) ou cinq d'entre
elles P0O francs).
Cetth simplitication, aillée A ces
gains de lemps et d'argent. Inci-
tera, dira-t-on, /es Parisiens à
habiter plus loin en banlieue et A
utiliser davantage les transports
en commun. Dans une certaine
mesure — mais II ne faut pas
oublier que le choix du domi-
cile est avant lotit déterminé par le
montant du loyer. On s'est aperçu
aussi que les critères retenus par
les voyageurs pour choisir leur
mode de transport sont, dans un
ordre décroissant, le temps de
parcours , la régularité, le confort
et le prix.
La carte orange finalement ne
favorisera pas, comme on pouvait
redouter, ce que l'on appelle un
- développement urbain en tache
d’huile ». car celui-ci est provoqué
par rexistence de voies de com-
munication. et non per les coûts
de transport. Elle ne dissuadera
pas beaucoup de Parisiens d'uti-
liser leur voiture personnelle ;
r économie qu'elle procura A
rebonné le plus favorisé ne
dépasse pas 80 francs par mois
pour des tralebs entre le domicile
et le Heu du travail.
Le principe) Intérêt de la for-
mule est qufelle permet de remé-
dier, dans une certaine mesure,
eux Inconvénients du développe-
ment accéléré de ? agglomération
parisienne. ■ Nous avons cherché,
déclare M. Peul Josso, vice-prési-
dent délégué du Syndicat des .
transports parisiens (S.TJ 3 .), à faci-
liter la vie et les finances da ceux
qui sont les plus défavorisés du
point de vue des transports.»
Quelles limites ?
Effectivement, les habitants de
la grande ban//eue obligés d’em-
prunter un car privé, le train puis
le métro pour se rendra 6 leur
travail sont avantagés par le carte
orange, ainsi que les usagers des
bus et tous les prisonniers des
transports en commun que le
manque de ressources ou l’ëge
empêchent de circuler en voiture.
Ce » choix social » entraîne.
pour les transporteurs (RA.TJ 3 .,
RJV.CA, A. P. T J)) un manque à
gagner évalué A 250 millions de
frênes emrfron Celul-cl est cou-
vert par l'extension an grande
banlieue du versement » trans-
port » des entreprises et par
l'augmentation du taux de ce ver-
semant à Paris et dans la proche
couronna. Ce sont, en tait, les
employeurs qui paient le s avan-
tages de la carte orange.
La carte orange n'intéresse pas
toute la banlieue . Les usagers de
la ligne SJV.CA desservant Chan-
tilly et Crell (Oise), par exemple,
ne peuvent, è la diflérenco des
habitants de Fontainebleau, pour-
tant plus éloignés de Paris, en
bénéficier. Pour les habitants de
roise, la mise en service de la
carte a même coïncidé avec une
augmentation des tarifs. Ainsi, le
prix du billet aller-retour Orry-la-
Ville-Paris est passé, le 1" fulHet.
de 6.6 0 francs i 7JS0 francs.
Quand élendra-t-an à tous les
banlieusards le bénéfice du nou-
veau régime ?» Le Syndicat des
transports parisiens n'a pas com-
pétence sur (es transports du dé-
partement de l'Oise, qui ne fait
pas partie de la région parisienne,
répond U. Jos3B. De toute façon,
un vote du Parlement serait néces-
saire pour étendre le versement-
transport aux entreprises de ce
département Toute limite est arbi-
traire, maie 0 en faut une. Nous
avons retenu celle de la b an H sue
définie par la S.N.CJF. Certes, Il
reste des anomalies. Nous étu-
dions de petites corrections de
frontière, par exempta du côté de
Provins, de Nemours (Seine-et-
Marne) al de Bonnières (Yvelines).
Toutefois, nous estimons que les .
limites actuelles sont bonnes, car
elles englobent 97% des trajets
entre le domicile et le travail. -
Crell lait pourtant plus partie de
la banlieue que Provins.
Le gouvernement n'a pas retenu ■
r hypothèse d'une sono tarifaire
unique : . la nécessité d’équilibrer
les comptes r aurait obligé â aug-
menter de 25% environ le prix de
la carte orange peur les habitants
de Parie Infra mures. Il a préféré
créer cinq zones et quatre tarifs.
ALAIN FAUJAS.
décision du président de la
République le S août?
— Le président de la SEMAH
n'a pas été nommé & ce poste pour
faire valoir son point de vue per-
sonnel ni ses appréciations sub-
jectives, mais pour que se réalise
au mieux l'opération d'aménage-
ment telle qne la Ville, en accord
avec l’Etat, Ta décidée.
» L'intervention du président
de là République du mois d'août
1974 a abouti, en ce qui conce rn e
la composition et l’architecture
des éléments de superstructures
et la forme et l'esprit de l’espacé
vert, & - un changement de cap
fondamental. De la création d’un
espace vert, c dé' liaison », ouvert
sur le quartier, organisé autour dé
Salnt-Eustache, espace lui-même
entouré de bâtiments A architec-
ture libre, â l’Intérieur, bien sûr,
des contraintes du plan d'aména-
gement (plafond de hauteurs,
etc.), on est passé à un espace
vert « organisé ». « aroMtectnré b,
symétrique autour d'un axe; lui-
même encadré par des bâtiments
à architecture ordonnancée, l’en-
semble réalisant une composition
de caractère « monumental » an
sens propre du terme. .
» ZZ est parfaitement possible
d’être en faveur de l'une ou de
l’autre thèse. Ce que Fan peut
seulement affirmer, c’est que la
deuxième est un pari beaucoup
plus risqué que la première. Réus-
sir une « architecture » arec les
contraintes de r opération .et le
poids de l’environnement est une
entreprise difficile.
— A combien finalement se
chiffrera cette opération de
rénovation au coeur de Paris ?
— Le bilan de l’opération est
actuellement, en francs 1974, de
1 208 TnlUInrm . .. .
» Pour dnnww im ordre de
grandeur, disons que oe chiffre est
comparable -en francs constants
au coût de la seule tour de l'opé-
ration Maine-Montp arna s se. En
contre-partie, que doit apporter
l’opération ? Un espace vert de
plus de 5 hectares ; une surface
de 11 hectares, au «entre de la
ville, entièrement réservée aOx
piétons, la voirie étant enterrée ;
une gare souterraine de trans-
ports en commun, de loin la plus
Importante et la plus mode r n e de
la viué-; un -cnsefrihle dfarchltec-
ture monumentale, groupant à
côté des logements et de Phâtel,
des équipements collectifs natio-
naux. tel le CJSLA.CL, un central
de tfiépfa onfl, et<^.~ et, pour la
Ville, - dre é quipem e n ts comme la.
patinoire, les équipements sportifs
divers, -la crèche, etc.
» Aux sommes qui figurent au
bilan s'ajoutent un certain nom-
bre de dépenses qui seront payées
directement par l'Etat et la Ville,
tels des indemnités,^ des éléments
d’architecture, des coûts d'équi-
pements, etc. .
— Comment sera payée cetie
facture ?
— Le coût d’une opération de
rénovation est une 'notion assez
difficile à cerner. Ainsi faut-il y
faire figurer le coût dre équipe-
ments ou seulement la partidpa-
tion à un déficit éventuel t Dans
le premier cas, G faudrait tenir
compte du coût pour l’Etat du
Centre national d'art contempo-
rain, d’un élément d’architecture
potentiel en surface, du central
de téléphone, eto,efc pour Za
Ville du coût des équipements de
sports, , de la patinoire, dès équi-
pements sanitaires et sociaux, etc.
Si l’an s’en tient au deuxième
cas, H est possible de rappeler que
le tiéfieft Initial était de 110 mil-
lions de francs, partagés de la
façon suivante : 60 mhlinm: de
francs pour la Ville et 50 millions
de francs pour l’Etat, en valeur
septembre 1973. H est devenu, en
valeur décembre 1974. de 314 mil-
lions de francs, partagés entre
rEtat .pour I5f minions de francs
et ht Ville pour 163 rnîTlIrirm de
francs. »
. Propos recueillis par
JEAN PERRIN. -
Essonne
D'UN DÉPARTEMENT A L'AUTRE
Paris
UN CHANTIER
OUVERT ET FERMÉ
D EUX Immeubles de qu a rante-
huit appartements en cours
d’achèvement à Crosne
(Essonne) font l’objet d’an litige
assez exemplaire.
Le code de l’art) antame précise :
« Le permis de construire est
périmé ( -J si les travaux sont
interrompus pendant un délai su-
périeur £ une armée.» Or le. per-
mis obtenu par la société civile
Immobilière le Clos de la sei-
gneurie a été délivré en 1866
et modifié en 1967. Les travaux
ont commencé en -1969, ont été-
arrêtés en 1971 et ont repris en
1974, selon les voisins du chantier.
Le promoteur déclare que la cons-
truction n'a Jamais cessé.
Pour le ministère de l'équi-
pement, ad part les déclarations
de témoins qui ne constituent pas
une preuve suffisante, a n’existe
aucune preuve matérielle de Vtn-
termpticm des travaux pendant
plus d'une année. Aucune mesure
ne peut donc être valablement
prise pour s’opposer à racliè-
vement et. a fortiori, pour obtenir
la démolition des immeubles».
L’expert commis auprès du tri-
bunal de grande Instance de
Corbeil-Essonnes remarquait ce-
pendant dans un rapport : « St
une activité a en lieu sur le
chantier, efie n’a été entretenue
que pour se prémunir c antre les
dispositions du code de Purba-
nisme. SI c’est l'esprit des termes
qui prévaut, le chantier a été
interrompu sans discussion pos-
sible. Si c’est la lettre qui doit
être retenue, alors, vraisembla-
blement, ü nfy a pas eu inter-
ruption.»
Le tribunal a débouté les plai-
gnants.
LES TILLEULS
DE U PUCE
DES V0SRES
L es omet de Paris son t
malades ; phutfeor* cen-
taine» seront abattus cet
hiver nu le quai d'Orsay, l'es-
p l an a de des Invalides, snx le
Champ-de-Mars on dans le bols
de VIneenue*. Place de» Vosges,
cent so i x ant e douze ormes
seront remplacé» par dSftt Mût
douze tilleuls argentés, planté»
sur trois rangée*, largement
espacés sur le pourtour du
Jardin central entièrement remis
â neuf.â cette occasion.
M- Bernard Xofay, Je président
du Conseil de Paris, vient de
l’annoncer lui-même. Bravo I
Comment ne pas se féliciter de
son Initiative t Comment aussi
ne pas regretter qu’il s’en soit
tenu là ? Le jardin de la plaça
des Vosges sera reconstitué dans
son dessin d'origine. . mais' la
place elle-même restera encom-
brée et défigurée par les auto-
mobiles qui y stationnent es
permanence et— empêchent de
profiter. du Jardin. Pas question
apparemment de U réserver aux
piétons ; pas question non plus,
a Mm précisé AL Lafar, de
construire un parc d stationne-
ment soute rr ain.
H confirmait ainsi rhostutté
de la Ville anx projets qui lui
ont été présentés à plusieurs
reprise (« le Monde » du 10 mai).
Les silos â voitures ne sont pu
la grande invention du siècle.
Ne saut-ns pu duu ce cas la
solution la plu raisonna Ne 7-
J. P.
Montparnasse est au cœur de Paris,
et l'hôtel Sheraton au cœur de Montparnasse
Hôtel Sheraton à Montparnasse. Pour réserver: tel. 260.35.11.
I
Paiis-Sh^atanHoÉd
Yveline*
~~UNE PEAU
DE PANTHÈRE
L ES Yvelines, une «peau de
panthère » de. béton, telle
est ta concussion de l'en-
quête réalisée par 2’Xnsfcltufî
nationale de ht recherche agro-
nomique (INRA) sur l'évolu-
tion dre modes d’occupation du
sol dans le. département entre
1961 et 1971.
L'nrbanisatton des Weünes s'est
faite, â l’Image da celle ide la
région, parisienne, en « tache
dlmne' ». La .composition sociale
du département est, elle aussi,
semblable à celle die la périphérie
-de- la capitale : les -professions
libérales, las cadres supérieurs se
sont peu â peu réserve les com-
munes de la proche banliene,
équipées et bien desservies par les
moyens de transports ; repoussant
plus loin les ouvriers, tandis que
les ruraux tendaient à disparaître.
La surface urbanisée du dépar-
tement a augmenté de 40 % de
1961 â 1971, an détriment de
1 500 hectares de forêts et 3 500
hectares de terres agricoles. Enfin,
dernière constatation, le schéma
directeur d’aménagement et d’ur-
banisme a rarement été res-
pecté : 1» «zones vertes Intersti-
tielles» ont la plupart du temps '
servi de support â des opérations
Immobilières privées.
RAMBOUILLET AUX CIVILS
C OMME la guerre, ht forêt
est une chose trop précieuse
pour qu'on la laisse aux
militaires. A motos de 50 kilo-
mètres de la capitale, dans la
forêt de Rambouillet — authen-
tique poumon vert. pour les
Parisiens, — il est. Impossible de
se promener sans trouver des
restes de grenades à plâtre et des
doomes laissées sur place par nos
Udasses.en manœuvres. ,
Une telle situation est d’autant
moins admissible que les
de la forêt de Rambouillet doivent
déjà concéder aux militaires un
terrain de manœuvres avec battes
de tir dans, un coin charmant.
Alors, Rambouillet un nouveau
Larzac? Pas encore, mate la lutte
contré la pollution étant l’affaire
de tous, que chacun reste chez
sol!
; JEAJV-ÏACQUKS MAUX.
_ (Parti J
Haatv-deSeîne
PLUS DE PLACE
POUR LES MORTS
P tVS : da place pont las
ZQprts, C'est ainsi que Ton
peut Interpréter la sug-
gestion du conseil général des
Haats-de-Setu, qui a proposé
que soient créés «des cimetières
In tM COp a a n n anz â restédeur
du département a. Les champ»
des morts, qui sont aussi pour
les vivants des : es pa c e» verts,
oc c up ent un terrain devenu,
dans nos banlieues, trop raie et
Hoge 34 — LL MUNUt — 2-4 octoore iv/-»
vi
LA VIE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE
EUROPE
RÉUNIS A LUXEMBOURG
Les Neuf tentent de définir
une nouvelle réglementation
du Marché commun du vin
Les Tig n-f pays dn Marché commun tiennent Trnn double
réunion* en ce débat de semaine à Luxembourg. Lundi et
"■»wW f les ministres de l'agriculture tentent de définir une
nouvelle rég lementation pour le marché commun dn vin*
Lundi également, les ministres des Neuf chargés de la poli-
ligue de développement se réunissent po ur tracer les grandes
lignes de l'action de la C. E .E. vis-à-vis du fiers-monde.
De notre correspondant
COLLOQUES ET CONGRES
LES RÉFORMATEURS ET L'EMPLOI
Fainéants et
Luxembourg. — Le régime de la
distilla tion du vin sera au centre
des dîwfflsirirtnR des neuf ministres
de l'agriculture. Les pays membres
qui produisent peu cm pas de vin
de table hésitent à donner aux
viticulteurs, en contrepartie des
nouvelles disciplines que ceux-ci
se verront, imposer, la « garantie
de bonne fin » (le prix minimum
garanti pour ceux qui stockent
leur vin) que r éclamen t la France
et l'Italie. La Commission euro-
péenne, qui tient, ce lundi matin,
une session spéciale consacrée
au vin. Indiquera au conseil quel
pourrait être le coût de cette
« garantie de bonne fin ».
Une telle évaluation — d'une
signification limitée — permet-
tra cependant de relancer le dé-
bat. Uh compromis pourrait être
trouvé en fixant un plafond fi-
nancier calculé & partir de réva-
luatlon de la Commission au-delà
duquel la « garantis de bonne
fin » cesserait de jouer automati-
quement.
La taxe de 13 % sur les impor-
tations de vin de table Italien en
France s'applique depuis mainte-
nant plus d’un mois. Le gouver-
nement français a répondu ré-
cemment à la Commission que la
mise en œuvre de cette taxe était
juridiquement justifiée, le nou-
veau règlement que le «nnmii
s'était engagé jadis à adopter
avant la fin juillet 1975 n’ayant
toujours pas été approuvé. La
Commission s'apprête donc à
franchir l'étape suivante : mettre
en demeure le gouvernement
français de supprimer la taxe. En
fait, chacun espère — y compris
apparemment les Italiens — que
ce conflit juridique sera résolu
• Les constructeurs de cycles
et motocy&es sont autorisés à
augmenter leurs prix de 3 %.
Indique le Bulletin officiel des
services des prix (BOSP) du
samedi 11 octobre. Les produits
d’entretien. vont aussi augmenter
de 3 %. les tulles de 4 %. les bri-
ques et autres produits en terre
cuite de 3% et les bétons prêts
à l’emploi de 2 %. Les fabricants
de sucre sont auto r isés à majorer
de 13.60 F le prix des 100 kilos.
Enfin, l’ensemble des produits cos-
métiques et de toilette (à l’excep-
tion des savons) vont augmenter
de 3 à 3 % et même de 4% pour
les laques.
(par l’abolition de la taxe) avant
que l’affaire ne soit portée de-
vant la cour de justice de
Luxembourg.
Le redressement sensible et
persistant des prix de marché du
vin dans le midi de la France
contribue à détendre le climat.
Les c ours du vin de table se
situent désormais au-dessus de
10 P par degrè-hecto contre
8,50 F D y a un mois. A ce niveau,
les importations de vin italien
méfflfl assujetties à la ta™ re-
prennent, rnnlg cette fols trop
peser sur l’équilibre du marché
français. Elles ont atteint environ
400 000 hectolitre^ en septembre.
SI les ministres français et Ita-
lien ne sont plus soumis à une
pression aussi vive qu’il y a un
mois, il leur faut quand même
faire approuver par le conseil nnw
réglementation qui évite, autant
que faire se peut, le retour d'une
crise.
Peuf-on renforcer
l'aide au fiers-monde ?
Lundi, toujours, les ministres
des Neuf chargés de la politique
du développement se reverront
afin de tracer les orientations de
l’action de la CEE, dans le tàeis-
rwrtnrift.
Four la Commission, la CEE,
ri elle ne veut pas se discréditer
dans le tiers -monde, ne peut
continuer indéfiniment à limiter
sa générosité à des discours. Il
convient donc que les engage-
ments pris en novembre 1974, lors
de la conférence mondiale de l’ali-
mentation, puis, plus récemment,
lors de la septième session spé-
ciale de rONu, se traduisent dans
les faits. Four ce faire, la Com-
mission reviendra à la charge
avec deux propositions déjà
anciennes : l’octroi d’une aide
financière aux pays peu dévelop-
pés non associes à la CEE. et
le renforcement du programme
communautaire d’aide ali-
mentaire.
H y s quelques semaines, le
conseil, en examinant le projet
de budget communautaire pour
l’année 1978, avait rayé les cré-
dits inscrits par la Commission
pour financer cette double opé-
ration. La Commission va s’ef-
forcer de contraindre les Neuf à
revenir sur cette attitude négative.
PHILIPPE LEMAITRE.
« Une société pauvre appelle
fainéants ceux qui, pour trouver
du travail, n'acceptent pas de
sacrifices normaux. Il n’y a pas
de chômeurs, mais des fainéants. »
Après cette formule-choc, pro-
noncée au colloque sur « les Fran-
çais et l’emploi » organisé le II oc-
tobre à Paris par la Fédération
des réformateurs, M. Jacques Flas-
sard. conseiller écanomiaue du
C.N.P.F, s’employa à nuancer sa
pensée.
Dans les sociétés plus évoluées,
dit-il, les ehftmitiTTB sont œnx qui
ne peuvent trou v er du travail sans
faire de sacrifices que nous esti-
me n s exorbitants. Cependant,
M. Plassard est optimiste : dans
les six mois qui viennent, le pro-
blème fondamental sera l’accen-
tuation de la difficulté de trouver
une force de travail les
catégories immédiatement pro-
ductives. Il est bon de déculpa-
biliser le chômeur, mais non de
M enlever sa responsabilité. cTZ
serait affreux d’avoir le senti-
ment d'être dans un monde qui
n’a pas de croissance. »
L’accord sur les causes du chô-
mage (conjoncturelles et structu-
relles) se fît à peu près entre
tous les participants : M. Michel
Durafour, ministre du travail ;
M. Gabriel Oheix, délégué à l’em-
ploi ; parlementaires réforma-
UN NUMÉRO SPÉCIAL
DE «FRANCE-FORUM»
SUR LE THÈME
«AU-DE1A DE IA QUE»
Excellente idée que d’avoir i
réuni en un numéro s pfeîiti de
Fronce-Forum. (1) les « actes »l
d’un colloque tenu en avril 1975
& Paris sur le thème c Au-delà
de la crise ». Cette rencontre
n 'avait pas eu le retentissement
qu’elle méritait Heureusement (ou
malheureusement cela dépend de
quel côté l’on se place). Les opi-
nions présentées ces Jours-là tien-
nent fort bien le coup, puisque
la crise est toujours là et son
« au-delà » pas encore witamA
Trois rapports structurent cette
publication : l’un de M. Thierry
de Montbrial sur c les conditions
d'un nouvel ordre économique
mnndia.1 », un autre de ML Mifthpi
Albert sur c Un nouveau plein
emploi », le troisième de M. Jean
Boissonnat sur c Le diagnostic
de la crise ». Le public de ce col-
loque de France-Forum ne man-
quait pas de talent ri l’on en
juge par la quantité des inter-
ventions qui ont suivi les exposés
liminaires, lois des séances pré-
sidées par MM. Alfred. Grosser,
Raymond Barre et Roger Louete
(1) 6, rue Paul - Zoul» - Couler,
75007 Parla.
leurs, t e l s que MM. Maurice Blin
et René Monory ; représentants
des dirigeants politiques, tels .que
M. Alfred Coste-FIoret (Centre
démocrate) ; représentants d’or-
ganisations syndicales (la C.G.T.
et la CEUT. avaient cependant
décliné l’invitation) ou profes-
sionnelles, etc. Mais II n’y eut pas
d’entente sur l'Importance du
chômage dans les années à venir
ni même sur sa définition.
c Nous sommes dans une so-
ciété de plus en plus exigeante,
et la montée de ces exigences
nous place en période de ten-
sion constata M. Jean-Claude
Colli, qui animait le débat.
M. Blin avait dit avant lui :
c Notre système libéral est entré
.dans une période de dérèglements
graves et sur la voie d’un ren-
versement de ses assises (—J.
' L’emploi tel que nous le conce-
vons est inexorablement facteur
d’inflation . »
L’e inadéquation» fut souvent
citée pour dénoncer notamment
la formation donnée aux jeunes
et déplorer le décalage entre les
qualifications professionnelles des
demandeurs d’emploi et les postes
vacants.
Avant de s’attaquer aux abus
des officines de c travail intéri-
maire », M. Antoine Faesch (F.O.)
se tourna implicitement vers
M. Plassard : « On a pris cons-
cience, dit-il, qufü ne fallait pas
traiter 2e chômeur de fainéant,
qu’il fallait dépasser la notion
d’assistance, et, dans cet acci-
dent de parcours . lui maintenir
son revenu. »
Concluant les débats, le mi-
nistre du travail rappela les
moyens de sa stratégie à court
et à moyen terme pour assurer
un meilleur emploi : c La crise
n’a pas un caractère inéluctable
et a ne faut pas se laisser en-
fermer dans une situation de
sous-emploi », a déclaré M. Mi-
chel Durafour, qui a insisté sur
le redéploiement de l’appareil de
production et sur la revalorisation
du travail manueL H s’agit là,
a-t-il indiqué, d* t in moyen
privilégié de redonner à la nation
son êquüfbre et de fournir aux
jeunes des emplois valorisants et
enrichissants ». — J. R.
• ML PIERRE MASSE a reçu,
le 10 octobre, le prix Paul-
Louis Merlin pour ^ensemble
de son œuvre industrielle, éco-
nomique et littéraire. Ce prix,
d’un montant de 10 000 F, a été
créé en 1965 par le fondateur
de Merlin -Gerin et des per-
sonnalités de l’université de
' Grenoble. Il est destiné à ré-
compenser un lauréat (per-
sonne physique ou morale)
ayant réalisé pour la France
une œuvre d’un Intérêt excep-
tionnel pour la novation et le
développement dans les. do-
maines scientifique, culturel,
économique et social.
TRAVAILLEURS INDÉPENDANT
AU CONGRÈS DU CID-UNATI
M. Nicoud souhaite rencor
M. Giscard d'Estaing
De notre correspondant
Brest. — M. Gérard Nicoud souhaiio rencontrer )
d'Estaing, président de la République. Le secrétaire n
CID-UNATI a fait cette déclaration dimanche soir à Bre:
de la première journée du congrès de son Mouvement.
« Nous représentons deux cent mouvement : les comlt
mille personnes, ce qui nous auto- m e n t a u x seront rem p la
lise à placer quelques mots dans fédérations régionales.
2e concert des appréciations sur Dons son discours p
2a situation actuelle ». a-t-il dé- te leader du dD-UT
claré après que le congrès l’eut diagnostiqué le mal d
mandaté à cet effet . le mouvement : 1
Avant de rencontrer le chef de d’unité. D semble qu
l'Etat, M. Gérard Nicoud a décidé à huis clos, qui s’est
de faire le ménage dans son orga- ce thème, a été as»
n»»vt. w>n ; une Importante réforme M. Nicoud n parlé d 1
de structure a été votée par les chirurgicale » et de
congressistes. Elle prévoit priori- doivent tomber ». Par
paiement une régionalisation du ne figure sans doute pt
Enfin, au cours i
M. Nicoud a proposé
de réflexion aux con
an éclairage, nouvea
comerçants. du probl
consommation.
CONFLITS SOCIAUX
ET REVENDICATIONS
GRÈVES TOURNANTS
DANS LES SERVICES
DE LA MAIN-D'ŒUVRE
ET A L'INSPECTION DU TRAVAIL
Les syndicats C.G.T. et C.F.D.T. ,
viennent de lancer, du 13 octo- ;
bxe au & novembre, une grève 1
tournante, à raison d’une journée
par semaine et par région, dans :
Les services extérieurs du travail
et de la main-d'œuvre, qui em-
ploient quatre mille cinq cent
soixante fonctionnaires — outre
les inspecteurs du travail — pour
vriller à l’application de la légis-
lation du travail et instruire les
dossiers des chômeurs. Les deux
syndicats exigent la création d'au
mains mille emplois nouveaux et
la titularisation des auxiliaires.
D’autres conflits se poursuivent
dans le seeteiur privé, notamment 1
à l’usine ATO-Chimie. sur -la zone J
Industrielle du Havre les gré-
vistes. qui occupent l’usine de-
puis le 24 septembre, pour obte-
nir, notamment, la retraite à
soixante ans ont également oc-
cupé — symboliquement le paque-
bot France dimanche 12 octobre
durant deux heures.
Dans l’Orne, où une partie des
deux cent vingt salariés de la
Société igèenne de ressorts de
précision sont en grevé depuis une
semaine pour obtenir une aug-
mentation de salaire, la CJF.T.C.
a porté plainte pour violation
d’un accord contre la direction :
celle-ci se- déclare dans T impos-
sibilité d’attribuer, cette année,
une prime de participation.
ASSURAS
MALAD
REVALORISAI
DES INDEMNITES JOI
Attendue depuis pli
et promise le 19 sep!
par M. Michel Di
congrès des Mutilés
à Amiens (le Monde
tembre), l'augmente
Indemnités joum
cause de maladie i
fixée par un arrêté
tembre- et publié
officia du 12 octobre
resse tous les assurés
longue maladie ou
dentés du travail der
huit mois.
Les indemnités soi
de 18,50 % : elles so
sur un salaire antl
I* v Janvier 1974. de 1'
qu'elles portent sur
du premier semestre
8 Sé pour un salaire •
semestre 1974.
LES ANCIENS D
DE LA CF.T. ont
française du tra T
11 octobre, à Pari
fondateurs, dont - B
battu au congrès; P
bre. et remplacé p- '
la nouvelle Union I
double apportent i
cale > et offre « S
titre d’accueil capa- r
nir [aux salariés! |
nécessaire que le &•'
de la CF". T. ne peu
blement leur dora* \
POMOUOI 600 SOOEIES HBMnOMIB*
on-sis nos owuum h uuum
un on» de PMDuenoM pou ibook?
Parce que la politique du gouvernement
de ia République d'Irlande (Membre de la
CEE) repose sur une volonté délibérée de .
développer la fabrication de produits .. ...
destinés à l'exportation en les. rendant
compétitifs.
Parce que. fa République a su maintenir
un équilibre, harmonieux entre le patronat
et la main-d'œuvre. Les produits fabriqués
en Irlande bénéficient sur les marchés
internationaux d'une compétitivité accrue
grâce au coût raisonnable de la main-d'œuvre
et des charges sociales.
Parce que la République apporte aux
sociétés qui créent des industries
exportatrices une aide financière inégalée
en Europe. Leurs bénéfices ne sont pas
imposables.
Une large part du montant des investissements
est couverte par des subventions non
remboursables.
Les taux de leasing sont exceptionnellement bas.
La constitution du capital et du fonds de
roulement peut être réalisée à peu de frais.
Ces avantages peuvent également
s'appliquer à certaines sociétés de services.
LES BONNES MOUVEUES
JiMl
■IDA Ireiand, chargée d'exécuter le
programme d'industrialisation massive
prévue par le gouvernement, peut vous
faire une proposition détaillée (avec plan de
financement) adaptée à chaque projet
1 ^ IDA IRELAND. 45 rue Pierre-Charron, 75008 PARIS
__ Tél. 559.77.67 -Télex: 660416.
■ Veuillez, m'envoyer tous les renseignements concernant
“ . . le programme de financement exceptionnel
| proposé par la République d'Irlande.
I nom î-
fonction : .
société
adresse : _
IDA ireiand À
rn r i ■ i l ■
i
Siège social : Lansdowne House, Dublin '4 • 77, rue Joseph fl
Bruxelles 1040 • 28, Breton Street Londres W1X7DB •
5. Kôln Martenburg 51, Baventtialgûrtel 13, Cologne *
Nyrq0sgadef47, 1602 Capenaghê V.
, * Quelques-unes de ces sociétés : Essilor, Poclain, Digital, syntex, Gillette, Courtaulds,
Asahl, TUbe lnvestments. srua VIscosa, Akzo, Borg Warner, Piessey, Pfizer, Black and Decker etcLLirte complète sur demande.
'R AV.*;;,
g \
* ' •
Nicoud
’ -
Ca. i ^
LA VIE ÉCONOMIQUE
**■ Gi s
.“«l*
BILLET
CQr<j LENDEMAIN Dü 62 e SALON DE PARIS
'automobile, pavillon haut
lIT;':
î>.
fc.. 1
F;
I »* ^
,?\; r :* :
v.
... rogéa à la veilla du
. ’ ' ib -deuxième Salon de fao-
• t . : ‘.- ‘te, les P.-D. G. do Renault,
■ ■'it, Citroën et Sfmca s'ac-
int pour. fixer la, date de
prisa » au prlnlompa 197$.
■ The 12 octobre au 'soir, &
'* letvra du Salon, .toute pro-
fitait balayée. Cétaft fs
- hère des déclarations : .1»
se » était déjà là, Jamais
tait vu autant de visiteurs,
de Versailles, /ornais on
■oh distribué un st grand
» de prospectus et dérobé
eraccesaolres sur les
a exposés, Jamais les
rfy avalent été aussf
'anhard, présidant de la
station, affirmait sans
: que r Intérêt des Fran-
.« ur r automobile était aussi
et - môme plus 'grand »
it la crise et que ce aeo-
flustriel n' allait pas tarder
-■uver tout son effet tfen-
’ieirt sur r économie Iran-
. « ainsi que ce fut tou-
e cas depuis 1890 ». Et
' pour souligner la hau-
‘lu propos, ail même
... 'd dans le a stands du
chacun jouait du klaxon,
'riaient les bouchons de
agnel
: tode . Coué. Lundi matin
•an dirigeant de la Régie
ait les déclaration de la
affirmant qu’il fallait « se
de tout optimisme h&tff »,
i n dé rauio « n’ayant plus
but de présentation ».
i année, les constructeurs
. aient surtout à obtenir le
que faute n'âiaif pas
b, qu’elle gardait son
9 et son attrait, lia repar-
- assurés. Aveo neuf .cent
entrées,, le sobrame-
me Salon a battu le
d'affluence. Les essais et
des d’essais ont été eux,
in forte augmentation. ■ De
.j », essurat-on chez Citroën
un étonnant souci de pré-
Rogaln d’intérêt? Cf est cer-
tain. On n’In pas plus loin ,
Los pourcentages triomphalistes
d'augmentation des ventes au
Salon même, annoncés diman-
che, sont dénués de sérieux.
300 B /e aurait dit une marque
allemande ; . 80 Va aurait affiché
flenfiuft. Saufs les résu ft ale
obtenus., par les concession-
naires durant la première quin-
zaine d’octobre permettront ■ de
Jugea s'il y à eu ou non flambée
des ventes. A cette heure aucun
constructeur ne dispose de cas-
renseignements, même pour son
propre réseaù.
Las dernières statistiques dis-
ponibles sont celles de sep-
tembre : au cours dg ce mois,
les ventes d'automobiles . en
France furent en augmentation
d’environ SV» sur celles de ta
mfime période de- Tannée précé-
dente, donc , touloura en recul ■
de quoique 10 Va sur le niveau
de 1973. On s'attend I un
qvr octobre sera manieur,' mûtes
peut-être en raison, des re-
tombées du Salon que de la
mise en venté simultanée de •
plusieurs nouveaux' modèles
Simce. Renault, Peugeot et
Citroën. ....
Chez ' ./es constructeurs, les
prévlslonnlstes se gardent d’aller
plus loin : Us ■ travaillent • au
mois par mois ». décembre pou-
vant Infirmer les promesses d'oc-
tobre. .
Par. leurs propos assurés de
dîmanofte. Je» porte-parole des -
constructeurs cherchaient sans
doute à convaincre les. 'candidats
à rachat. Ile visaient aussi ù
donner tin moral d'acier à leurs
concessionnaires -à la veille
d'une " grande batailtecommer-
c/a/s. Durant rhtver, tirant argu-
ment de ses nouveaux modèles,
chaque société d’automobiles va .
s'efforcer de mordre par tous
las moyens dans, ta clientèle du .
vols/n. Quand on part è la guerre ,
c'est toujours pavillon haut
P-M. DOUTRELAKT.
(Dessin de' KOIVK:)
A L'ÉT RANGER
ÜSSIONS SUR LES VENTES DE (MALES AMÉRICAINS
A L'UNION SOVIÉTIQUE SONT AJOURNÉES
ussiong portant sur -la
. long terme de céréa-
ilnes à l'Union sovléti-
se poursuivaient &
tptus le 30 septembre,
nimèes samedi 11 octo-
«• . «t*
_ -S
-ACTION INDUSTRIELLE
fêJTANNiQUE
1NUE A FLECHIR
AJ-P- Agefl). — La pro-
lutrleDe bdtunlqm a
1,9 % en Août. Llndlco
t situé & 99A (base IM
ont» IM en Juillet et
août 1974. Eu un an,
'établit à 9 %.
trois mois J ulu-Julll ét-
iré Industrielle a diminué
> % par rapport S celle
■ois précédents. Les ««se-
ns touché* par la réees-
• U métallurgie ( — 8,7 %1
^ -onitruetlon . mécanique,
c Bu revanche, la pxoduo-
lndustrlcs charbonnière.
. pétrolière a augmenté
I L dernier bulletin dln-
flla Confédération patxo-
«Ttlque (CJBX) estime que
p* continuera d’augmenter,
!r entre LZ5 et mD-
sonacs d’ici à la fin de
bre. M. Charles Robinson, sous-
secrétaire d’Etat aux a ffair es
économiques, qui dirigeait la
délégation américaine, a Indiqué,
avant de quitter Moscou, pour se
rendre à Paris, où U assistera & la
conférence préparatoire sur
l'énergie et les matières
mlères, qu’il serait de retour
la capitale soviétique mardi cm
mer credi. M. Robinson s’est refuse
& préciser les rais o ns de cet
ajournement, se contentant de
déclarer que les entretiens étaient
parvenus « d un stade très déli-
cat ».
- En fait, n semble bien qu’une
double négociation se déroule
actuellement entre Améri cains et
Soviétiques. -La -première portant
sur La vente de céréales américai-
nes. la seconde sur l’achat du
pétrole soviétique. A ce propos, le
New York Times affirme dans ses
éditions du dimanche . que les
Etats-Unis avaient ■ proposé a
l’Union soviétique de lui acheter
du pétrole & un prix Inférieur de
14 % à celui du. marché, proposi-
tion qui avait été refusée par
Moscou. Même s'il n’a jamais été
affirmé clairement que 1 les deux
négociations étaient liées, on peut
pensa* que le refus soviétique
explique peur une large part
l’ ajournement. M. Robinson reste
cependant s très optimiste »
quant aux chances de parvenir à
un accord.
.E TAUX D’INTERET DES EURODEVISES
OollA»
S 3/8
5 7/8
fi 7/8
7 5/8
8 3/8
fi 3/S
1 3/8
8 1/8
Detmebamsrx»
Z 1/*
3 1/S
3 3/8
3 7/8
3 l/Z
3 5/8
3 VS
I 3/8
Prune» • tusse»
La conférence Nord -Sud
fSutte de la promitre pageJ
Celle-ci b survécu au boycottage
par la France de. l’Agence Interna-
tionale de l'énergie, à laquelle par-
ticipent pourtant . les huit autres
membres de la C ommuna uté écono-
mique européenne.
M. Caliaghan met-il vraiment en
danger, par son accès de -joûer-
tisnia -, la construction européenne
déjà s) fragile? Qu| pouvait être
assez naïf pour croira que las héri-
tière de l’Empire britannique, qui
contrôlent encore le eacond rentre
financier du monde et vont devenir
Une puissance pétrolière d’impor-
tance mondiale, se satisferaient d'as-
sister à une conférence économique
Internationale .comme un membre
parmi tant d’autres d’une délégation
européenne anonyme?
SI Jb Grande-Bretagne s'entête, un
difficile rébus diplomatique va se
présenter. D'autres membres de la
Communauté, à commencer par la
France, seraient amenés à deman- '
der à étrê représentés, eux aussi,
en tant que tels. Du côté du tiers-
monde, on ne pourrait plus alors
s'en - tenir à dix-neuf participants,
chiffra qui a la commodité de cor-
respondre à une certaine dé de
répartition maintenant presque cou-
tumière entre les' pays du tiers-
monde : six. pour r Amérique latine,
abc pour l'Asie et sept pour l’Afri-
que.
Nul ne peut dira aujourd'hui com-
ment sa terminera cette affaire. Les
• optimistes » pensent que la Grande-
Bretagne cherche eimplement A mar-
chander son alignement. . Des « ma-
chiavéliques » y volent le main de
FOncle Sam. Lee Britanniques peu-
vent en tout cas arguer que, au tout
début du lancement de ridée de la .
conférence Nord-Sud, n c’avait pas
été clairement Indiqué' que la Com-
munauté parierait d'une seule vote.
Ce qui se révélera peut-être sim-
plement comme une foucade idu
Forefgn Office devrait rassurer les
avocats du dialogue Nord-Sud. N’ est-
ce pas le signe que ce dialogue est
prie au sérieux et que l’Idée lancée
par m. Giscard d'Estaing était
bonne?. M. de Gulringaud, le repré-
sentant permanent de la France aux
Nations unies, qui vâ assurer une fols
de plus la ■présidence technique»
de la réunion de Parte, triompha.
Modestement cartes. Mais II triom-
pha. Vendredi, (ore de la . conférence
dé presse qu’il a tenue au Quai
d'Orsay, Il a fait distribuer 'des copies
.de la . déclaration qu'il avait faite en
avril, selon laquelle certaines diver-
gences avaient pu «être réduites
pré ce aux efforts de toutes les
parties », la compréhension mutuelle
des positions de chacun ayant
beaucoup progressé». Après huit
Faits
et chiffres
i LA CONFEDERATION NA-
TIONALE DU LOGEMENT
APPELLE, DANS UN COM-
MUNIQUE « ses militants et
tes organisations , ainsi que tous
les locataires, à agir pour re-
fuser collectivement toute nou-
velle majoration des loyers ».
Là CJSTJj. fait savoir égale-
ment qu’elle demandera au-
dience à M. Jean-Pierre
Fourcade pour obtenir, dans
l’immédiat, c un blocage tem-
poraire des loyers » et une
stricte limitation « des charges
locatives et des frais de
chauffage ».
M. GEORGES MARCHAIS,
secrétaire général du P-C, a
estimé, samedi il octobre, à
l'ouverture des journées natio-
nales d'études paysannes, orga-
nisées à Montreuil par son
parti, que «la situation de la
paysannerie qui reste A la terre
offre des possibilités nouvelles
et des bases concrètes au déve-
loppement de l'alliance de la
paysannerie et de la classe
manière». Tout en soulignant
< les différences de situation
entre les couche s paysannes»,
il a ajouté : « H est possible
de faire participer à la lutte
antimonopoliste non seulement
les petits paysans mais égale-
ment la grande masse des
autres.»
1/2
î**
31/3
ll/Z
5 1/4
3 1/2
Fmc à on» «élection sévère en
P.C.E.M. 1
Pharmacie
du équipes de maître»- assistants
suivent de novembre à Juin les
étudiants de chaque CAD, par:
grange de 15, parallèle à la lac. .
. dans toute* les matières.
fi n s q i a o sat tara de m iam egs,
57, r*e ctartts-UffntB - 92 -KmlSy.
ISM. 84-94 1
Jour» et huit nuits drharaesantes négo-
ciations, le président technique avait
alors gardé espoir, «ffavato-to pas
' eu raison ? »,' 6embIe-Wl dire aujour-
d’hui
.Mais pourquoi a-t-fl eu raison?
On peut se demander si les expli-
cations qu’il donne sorti suffisantes.
- Après avoir refusé an avril le
compromis finalement présenté par
les sept délégations ' du t fors-monde,
les Etats-Unis ont pria conscience du
fait qu'ils étalent isolés : d’autre part
qu’ils n'axaient pas Intérêt à retuser
de dlSGutar tea autres prohibâtes
a notamment dit M. de Gulringaud.
• Les pays Industrialisés sont d’im-
portants producteurs et exportateurs
de . matières premfdrea, notamment
dans le domaine alimentaire ; Ils sont
donc en position de força-. Quant
eux pays du tiers-monde, tb ont
compris, selon l'ambassadeur Iran-
ça le. que ce n' était pas en faisant
'de la doctrine qu’ils feraient avancer
les choses. »
Les pays riches sont dans une
telle position de force, malgré l'atti-
tude de l’OPEP sur te pétrole —
laquelle, on le sait, ne peut pas être
imitée, — qu’on peut sa demander
quai Intérêt lia ont à discuter avec
les pays du ' tiers-monde ? « Les pays
riches ont Intérêt d'abord à la stabi-
lisation des cours des matières pre-
mières, répond M. de Gulringaud, et
ensuite, â es que les pays du tiens-
monde ne meurent pas de faim. »
Les bons sentiments rejoindraient
donc rinlétét bien compris des paya
riches» Il y-a U de quoi satisfaire le
besoin de (ogiqua d'un humaniste
français. Mais est-ce suffisant ?
PHILIPPE 5IMONNOT.
• • -LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 35
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MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE ET DE L'ÉNERGIE
Société Nationale de Constructions Métalliques
S. N. MÉTAL
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Un appel d'offres international est lancé en vue de la fourniture
d'équipements destinés au complexe de REUZANE,
Ces équipements comprennent divers lots :
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Lot
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Lot
Lot
Us
l'adresse
A : Oxycoupage
B: Soudage
A : Cintrage et pliage des télés
B: Coupage et cisaillage tôles et profilés
i Machina* à découper, border et ognrf er la tfiles
minces
6 : Outrances A profilés et A tabes
7 : Machines-outils de mécanique générais
8 : Laboratoire d'essais destru ct i fs et non destructifs
9 ' ; Four de stabîBsation
ÎO : Outillages divers
U : Manutention
dossiers techniques peuvent Être consultés et retirés à
suivante :
S. N. METAL, Direction Déve lo pp e ment
Projets REUZANE
Route de MEFTAH - Oued Smar - ALGER
contre ht somme de 50 DA par lot et 50 DA pour te cahier des
charges. %
La date de dépôt des offres est fixée â soixante 160) Jours de la
dote de parution du présent communiqué dans la presse nationale.
Les soumissionnaires demeureront engagés pendant 90 tours de
la dote limite de remise des offres.
Les soumissions doivent parvenir sous plis cachetés et double
enveloppe, la première ne portant aucun signe distinctif mais seule-
ment l'adresse suivante :
S.NL METAL, Direction ■ Dévête pp
Projets REUZANE
B. P. 25 El Harrocfa
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et lç mention
Appel d'offres international
Fourniture d* équipement .
. Na pas ouvrir.
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Laurin, 15, Faubourg St-Honaré, Farts. 265 14-40
Les crayates spéciales Lanvin
ou les attraits de la singularité
décorer peut signifier se-
lon le context e embellir ou
honores. Les cmvntes spécia-
les Lanvin concilient volon-
tiers les deux termes tant il
est vrai que celui qui les porte
a de quoi se sentir une fixne de
co mman deur.
Il fuit en effet savoir que
ces çravates ont une singula-
rité. Créées par Lanvin, elles
ne sont fabriquées qu’en très
petit nombre : Cinq pu sis
.exemplaires â peine pour cha-
que modèle. Jamais plus; c’est
une règle.
Comme une toile de tmdirc
C'est au-dessus du magasin,
dans un atelier -qui rappelle
celui d’on peintre, que tout
au long de l’année, les modè-
les sont créât. Chacune- des
cravates dans son, originalité
porte un nom, un peu comme
une toile de maître. En voici
une baptisée « Escadre t dont
les dessins évoquent des
vaisseaux. Celle-ci nommée
«Forestière». Ou encore cette
autre si fluide et si légère
appelée « Voilage ». Ironie du
sort : un modèle un jour bap-
tisé cTrafalgar» fût un de
ceux qui connut l’un des plus
retentissants succès.-
Four chacune des trois col-
lections de l'année, une quin-
zaine de cravates seulement
sont retenues. Dessinées à
Paris, elles sont tissées 1 Lyon.
Cria ne relève pas d’une
décentralisation à la mode.
mais plutôt d*on respect des
compétences locales, aujour-
d'hui légendaires.
Là, dans des atelier» où la.
notion de « temps passé » n’a
jamais supplanté crile de qua-
lité, fidèles en cria à l’esprit
de leurs anc êt res, fournis-
seurs des rois de France, des
maîtres tisseurs réalisent les
pièces de soie dans lesquelles
sont taillées les cra v ates. Four
satisfaire les exigences de
Lanvin, fl. leur a fallu cons-
truire des métiers spéciaux: Il
en sort une soie dont le tis-
sage a atteint depuis long-
. temps la perfection. La regar-
der à la loupe est d’ailleurs
intéressant. Selon le dessin,
oui peut y voir mêlés des fila
d’or ou d’argent.
Mais aussi perfectionnés
soient-ils, ces métiers ne tra-
vaillent que lentement. Et qui
songerait que pour confec-
tionner trois cravates, il faut
près d’un mètre carré de soie ?
Sans parier, bien sûr, de celle
de la doublure.
. Le coût d'un privilège
Chaque collection comportant
une quinzaine de modèles, ce-
la fait environ une cinquan-
taine de cravates différentes
par an. Parmi elles a de for-
tes thances.de se trpuver, non
pas celle qui plaît, mais celle
que l’on aime. Et qu’à ce titre
on n'annexait voir au cou de
personne d’autre.
Pour quelques centaines de
francs, c’est chose possible. -
H suffit pour cria de se rendre
rue du Faubourg Saint-Ho-
noré- et d'y acquérir au rez-
de-chaussée les cinq ou six
uniques modèles qui s’y trou-
vent.
Cria peut sembler une opé-
ration onéreuse pour une cra-
vate. Pas pour un privilège;
surtout celui-là.
Dans les ordres de la. che-
valerie, la « cravate » est un
symbole de réussite. Maïs ait
fond, chez Lanvin, est-ce tel-
lement différent ? GJL,
Des ateliers où la notion du temps passé n'a jamais supplanté celle de guoË&L»
J .
Page 36 LE MONDE — 14 octobre 1975 • • ■
AVIS
FINANCIERS DES SOC HE T E
O.P.E. DE TRINDEL SUR FORCLUM
H est rappelé aux actionnaires de Forci um que la période d'échange de
leurs actions, à raison d'une action Fore mm portant Jouissance du l» r jan-
vier 1975 contre une action Trtndel de même jouissance, reste ouverte Jus-
qu’au 31 octobre 1973.
FORCLUM
Malgré une activité légèrement réduite du tait de la conjoncture éco-
nomique, les comptes pour le premier semestre 1975 se soldent par un
bénéfice net de Le million de francs après provisions pour impôt*.
Les commandes enregistrées par Forclum pendant les huit premiers
'mole de l'année, bien quln également réparties suivant les réglons, sont
supérieures globalement de £ % A celles de la même période de 1974.
TRINDEL
La société vient d'arrêter la situation provisoire de ses activités du
premier semestre 197S se soldant par un bénéfice, lequel, après provisions
d’imposition, est de 3,92 millions de francs.
Ce résultat comprend la plus-value & long terme nette de 2.32 millions
do francs réalisée sur la cession d’un de ses Immeubles devenu sans uti-
lité A la suite du regroupement de ses services centraux dans un Immeuble
neuf et fonctionnel : 9-U, avenue Michelet A Saint- Ooen.
La quote-part restant A réaliser sur la montant des commandes en
carnet représente au 31 août 1975 : 350 millions de francs, soit neuf mois
.d'activité.
C> T* BOWRING
PUBLICATION DES BÉNÉFICES POUR LE SEMESTRE
SE TERMINANT LE 30 JUIN 1975
Les résultats provisoires consolidés
du groupe pour la période de S mois
s'achevant au 30 Juin *1973 se sont
élevés b £ 7 .494.000. contre £ 3 .825 .000
pour la période de 6 mois m termi-
nant au 30 Juin 1974.
■
G mois écoulés
12 m. écouL
30-6-74 •
30-6-75
31-12-74
£ minière
£ mimera
£ tnHlIgf
Chiffre d'affaires
234 611
322275 .
486 480
Résultats consolidés du groupe .. ..
2825
7494
9.218
Frais financiers (bruts)
639
639
1278
3188
6853
7 940
Impôt
1689
3 602
4 131
Bénéfices après Impôt
Moins intérêt minoritaire
1497
3253
3 809
186
130
372
1311
3117
3437
Dividende versé aux actions de pré-
férence
5
5
11
Bénéfice distribuable aux actions
ordinaires
1306
3112
3426
Les bénéfices de courtage d’assu-
rances ont enregistré «in» hausse
significative au cours de cotte pé-
riode. Bovmaker, filiale spécialisée
dans te crédit A la consommation
et 1 Ingénierie, a connu une forte
reprise : ses bénéfices avant Impôts
se sont élevés A £ 1.92R900 (contre
une perte de £. 998.000 au cours du
premier semestre 1974).
Lee activités de banque d’affai-
res. d'agent d’assurance et les acti-
vités commerciales ont permis de
dégager de meilleure résultats
qu’au premier semestre 1974, alors
que les sociétés immobilières ont
continué A travailler A perte.
La compagnie maritime a enre-
gistré une légère perte oùds 11 est
prévu que ses résultats de l’année
seront en équilibre.
Les administrateurs estiment qu’à
moins d'événements Imprévisibles
et en dépit de la conjoncture éco-
nomique, les résultats du groupe
pour le dernier semestre de cette
année devraient être en progression
sur ceux du deuxième semestre 1974.
Las administrateurs ont décidé
Ï u'uu dividende intérimaire de
,175 pence par action sera payé
la 8 décembre 1975 aux actionnai-
res inscrits sur les registres de la
société le 7 novembre 1975. SI l’on
ajoute le crédit dlmpét corres-
pondant, ce dividende équivaudra
è 140 pence par action f contre
1 pence par action en 1974) soit
une augmentation de 10 % par rap-
port A 1974.
^EC«i^âkIbdçdseâe^fEDi^|&
La CJFJL publie les éléments rela
tifs A son activité au cours du pre-
mier semestre 1975 et A scs résultats
au 30 Juin 1975.
Au cours du premier semestre 1975,
les quantités de pétrole brut traitées
par la CF9 4 tant, dans ses propres
raffineries que dans celles où elle
disposait de capacités autrement que
par vole d'échange, se sont âevées
A 13 703 000 tonnes, en r é gres s i o n de
204 *3> sur les quantités traitées
pendant le premier semestre 1974.
qnl étalent de 17204 000 tonne*. Les
ventes de produits sont également
en «wnii, s'établissant A
13 739 000 tonnes contre IB minions
443 000 tonnes pour la période cor-
respondante de 1974, soit une rtlml-
nudon de 16,4
La réduction des d&autshés et de
l’activité est largement la coassé-
quence ds la TtccssUoi 4cflui ff u * > p Mi
ressentis députa la fin de Z'été 1974.
De plus, pendant la période de réfé-
rence, la CFA avait fait un effort
particulier pour approvisionner le
marché français *ânm rim
tances difficiles.
Le chiffre dbisures hues *»”? et
hors transactions compensées, est de
6 820 430 000 P pour le . premier
ni entre 1973, contre 7314 763 000
pour Je premier semestre 1974. Sa
baisse, moindre que celle des ton-
nages vendus, est atténuée par l'évo-
lution moyenne des prix de vente
depuis la premier semestre 1974.
Le résultat brut avant amortisse-
ments, pr ov ision s et impôts, s’élève
A 66354 000 F au premier semestre
1975 contre 563 388 000 F pour la de-
mi-année 1974.
Les amortissements s’élevant
203010 000 F et le solde net des do
tâtions et reprises de provirions
étant uns dotation de 22 421 000 F,
le résultat net de la compagnie au
premier semestre 1975 est une perte
de 159077 000 P fl 'effet de stock
étant négatif de 270 000 000 F). Four
la demi-année 1974, le résultat était
nul après une dotation de 406 mil-
lions 631000 F de la provision pour
fluctuation des co ur s .
H convient de signaler qu’une
comme de 81 600 000 F a été Incorpo-
rée dans les résultats de la compa-
gnie au premier semestre 1975, en
supposant que le reversement de
farf parafiscale de la part de
Caisse national» de l'énergie s'été
b lira pour la CFA au moins à ce
niveau, qui représente les verse-
ments de taxe effectués par
compagnie.
Les mauvais résultats du premier
semestre 1975 s'expliquent par une
insuffisance générale des prix des
produits dés le début du s eme s tr e ,
aggravée par la répercussion rapide
dans ces prix, des baisses de coût
d’approvisionnement consécutives
la chute du dollar. Ces résultats
traduisent une situation d'autant
plus préoccupante qu'ils surviennent
après un exercice caractérisé par un
endettement excessif du fait, en
particulier, de la longueur des délais
Imposés pour répercuter dans las
prix dm produite, la hausse dm
coûts d'approvisionnement.
H faut noter qun n’y a tien de
procéder, au premier semestre 1975.
A aucune reprise de p rovi s ion pour
nuctua. non des cours. Celle-ci n'a
pu. en effèt, en raison de l’Insuffi-
sance dm résulta te, être dotée A la
Un de l'année 1974,' que pour un
montant de 813 382 000 F très infé-
rieur au niveau de dotation autorisé
(2 milliards de francs environ), dé-
coulant du calcul légal du plafond
de la provlrian A Un 1973, qm cor-
respondait lul-méme au niveau des
besoins réels de financement dm
stocks.
Pour le deuxième semestre 1973. la
récente évolution en hausse du dol-
lar n'a de nouveau été traduite dans
les prix que très tardivement et trop
faiblement, cette évolution et la
hausse dm prix du pétiole brut ré-
cemment déridée par l'O.PJS.F. font
qu'il est probable que l'effet de
stock sera pratiquement nul pour
l'e nsemb le de l'année, si hi*n que
toutes les Insuffisances de prix m
traduiront par des pertes d'exploi-
tation. Il est donc indispensable que
soit autorisée une baume substan-
tielle des prix dans les délais les
plus bref a
JACQUES BOREL INTERNATIONA
OFFRE PUBLIQUE D'ÉCHANGE
des actions SOFITEL
contre des actions
JACQUES BOREL INTERNATIONAL
et des oblifiations convertibles SOFITEL
contre des obligations 10,90-%
JACQUES BOREL INTERNATIONAL
Clôture le 20 octobre 1975
visa COB n* 75-121
du 10-9-1975
A vio Chambre - Syndicale des Agents t
n“ 75-637 et 75-838 dn 27-8-1
Le présent mois est publié uniquement à titre d’information.
BANQUE AFRICAINE
DE DEVELOPPEMENT
US$25.000.000
CREDIT FINANCIER INTERNATIONAL À 5 ANS
Mis en place par
CRÉDIT COMMERCIAL DE FRANCE
et -consenti par .
CREDIT COMMERCIAL DE FRANCE
MORGAN GUARANTY TRUST COMPANY OF NEW YORK
BANQUE WORMS
"WELLS FARGO BANK INTERNATIONAL
INTERNATIONAL BANK FOR ECONOMIC CO-OPERATION
AI.1.IED BANK INTERNATIONAL
BANQUE COMMERCIALE POUR L’EUROPE DU NORD (EUROBANK)
BANQUE EUROPÉENNE DE FINANCEMENT (THE FEDEUTY BANK)
BANQUE EUROPÉENNE DE TOKYO SA-
BANQUE FRANÇAISE DU COMMERCE EXTÉRIEUR " "
BANQUE MAROCAINE DU COMMERCE EXTÉRIEUR, Paris
BANQUE DE LA SOCIÉTÉ FINANCIÈRE EUROPEENNE
BANQUE DE L’UNION EUROPÉENNE
CREDIT COMMERCIAL DE FRANCE (MOYEN-ORIENT) SA-L
IRVING TRUST COMPANY
PITTSBURGH NATIONAL BANK
SOCIÉTÉ CENTRALE DE BANQUE
UNION DE BANQUES ARABES ET FRANÇAISES -UJULF.
BANK POLSKA KASA OPIEKI, Succursale de Paris
CREDIT SUISSE
UNIONEDI HANCHE ARABE ED EUROFEE- UJLAJL (TTAUA) SLpJL
Agent
CRÉDIT COMMERCIAL DE FRANCE
Septembre Î97S
CfRALIMENT-LÜ BRUN
PROCHAINE FUSION
CBRAUMENT. qui détient 51 *To de
LU BRUN & ASSOCIES, a acqula
les actions détenues (34 %) par la
Société Flnandal, dont la président
est U. André Forgeot. Sous les ré-
serves d’usage, Cé m liment et Lu
Brun pourront ainsi fusionner «Tld
A la fin de l’année.
Le nouvel ensemble réalisera eu
1975 un chiffre d’affaires consolidé
de 750 millions réparti en 3 divisions
i, bls-
Cralcho
d'activités : biscotte rie 51
cul teric 44 G, panification
emballée 5%.
Rappelons que les principales mar-
ques du Groupe sont ; LU. BRUN,
REM. TROIS CHATONS en Biscuite-
rie. BEPPE BERT, PRTOR. MAGDE-
LEINE. REINETTE, PELLETIER en
Blscotterle et SAINT-HONORE en
panification fraîche emballée.
ÉTUDES FISCALES INTERNATIONALES S.C.A.E,
' présente sa nouvelle étudee
IM PL A N TATIONS INTER NATION A LES D’ENTREPR iSES
EN FRANCE ET A L’ÉTRANGER
“RÉGIME FISCAL”
Patrick MIC H A (JD
' Ancien élève de FRcoie
Nation;') le des 'Impôts
Avocat au Barreau de Paris
Michel SAILLANT
Ancien élève de l’Ecole
Nationale des Impôts
Tnx Consultant
Etude 21 x 29 j. 430 p. Franco 350 FF'
E.F.J.. 24. rue de Madrid PARIS 75008
BIS
Le chirrre d'affaires, ho
premier semestre 1975
228 150 333 F contre X
pour le premier rdusl
qui représente une baisse
Pour la mémo période,
avant Impôts et provision
ttclpatkm et investissant
A 10 743 794 P, alan qu
19 532 872 P pour la premt
1974, soit une baissa de
Le résultat net après
provisions pour partie
investissements au .30
s'élève * 6 731 766 F alors
après provision pour- la
limpôt exceptionnel dt
G 330 103 P pour ie prend
1974. soit una augme
8.18 ÎS.
Sur le plan national-'
tlonal. malgré la eonjon
avons maintenu l'aettv:
cent vingt-quatre agsu
tuant notre réseau an
des dix -se ps agences i l'é
Notre période de point
nelle de l'été conduira t
tata du deuxième asm
rieurs & ceux du prem!
1875 et probablement i
second semestre 1974. _
Le résultat net au 3
1979 se présentera donc
ration sur celui du 31 déi 1
De ce fait, le dlvldaztd
au moins égal è celui <
précédent.
casse nationale des avfoiwite
SiKHMf
uBiu use
faux die rendement actuariel brut
«
émission à partir dû 13 octobre • clôture sans préavis
LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 37;
IJSjQï
S". <> e ,
M
I LES MARCHÉS FINANCIERS
fcCOUi -, c "Nwjbugatiwk
* !A&*xxnigftam*2xt .
3?,
(iigefl). — Pour 1 a prc-
en sept «nmlncB. tes
e au fléchi sot le marché
abllghUona, et «tiras de
eu fls ont régulièrement
, b- «rts Jour dttrurt la
iTvcoulee. confinoaflt ainsi
lu chose*. ah&ngé car les
' e valeurs A revenu fixe.
lent de tendance résulta
* jgaiaoa de divers facteurs.
. des un d*ifl**
’’•(« gtats-Dnis, en conâatlan
lignes croissants d*un des-
du crédit.
ît, 11 n'est pas certain que
ÿLBsement constate ' cette
rosette de préjuger de son
■ future, car Isa opinions
anées panai les banquière
y • ps»f asskœaela du marché
'tel gâtions. Le plus grand
ssent que les taux d'intérêt
nno devraient encore fié-
de se stabiliser en raison
atvon probates de la ptfli-
: Fed ». Cependant, d’au-
me»t aussi des doutes sur
. tires de l'économie axnéd-
' t le reprise ne serait pas
' ’alneante gus î vnrm mt
. z officiels et les statla-
Xonsldèxo que la trésorerie
va devoir emprunter en
'.fi m i ll iard k lfi milliard
sur le marché financier
icer le déficit budgétaire
faiblesse de la demande
adustrlels et commerolanx
■it cette boulimie yyffic-ifî iie
dans le sens de la baisse
‘Intérêt. '
"part, la Eredletbank SA.
JOtirg prédit, dons sa der-
a trimastrleUe sur le. mar-
eunj-obUgatlona, que tes
■ iés eu dollars subirent des
k la baisse, notamment k
faibles écarts entre les
. rendemen t dépôts an
"là six mois — environ
: 1/4 % — maintenant et
.feras ou e notes » en dte-
■aq ans, qui donnent un
de B 1/4 %. cette" prime
. 3 hument insuffisante pour
. le risqua d'un inveatkoe-
cinq ans. Les cours de tels
Traient donc être appelés
sur le marché' secondaire,
v rehausserait d'autant le
*•
istbank constate dan» cette
io trimestrielle que, durant
ce trimestre de cette an-
nouvelles émissions euro-
s ont été coosldérablement
'mineuses puisqu'elles ont
1 951 millions de dollars
SI millions de dollars au
trimestre, 1 158 millions de
. premier trimestre et 345
de dollars reniement au
trimestre de l'an demlsr.
LONE
Isa -tudusmsUéi
baisse lundi, fl Toi
tout en raison du
la» pétroles sont
de» mines d'or.
d'Etat. -•
Ot («nrertore) (iteOais)
DRES.
a 1 attentent h la.
ttntnn, mais sur-
nmnqno d’affaires.
[ürtgullfiïl- ffnimw
nrberès du fonda
142 SB centre i« 25
VUS» -
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COURS
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299 1/2
27 1»
162 ...
36 B/S
" Taux ;dn marché mouAtair*
Effttsprtvés ... . .
INDICES QUOTIDIENS
(INSEE Base too : 31 aéc. 197*.)
9 Wt. 10 oefl
Valeurs françaises .. 129 129,2
Vsleors étrangères . . " 222,7 122
O, DES AGENTS DE CHANGE
(Basa' 169": 29 déc. 1900
Indice général ;. 1W 74
COURS DU DOLLAR A. TOKYO
| 10/1»' I 13110
1 dinar (eu yws> ....) 402 87 | 303 ..
ie mes
. DE U Bd
HEBDOMADAIRES
IBS DE PARIS
iKSTrrpT MnoftAL K u grsnsnauE
ET DES ETUDES ECBMWftUES
Ban 100 1 29 CfenMI 1872
3 Cet. U OCL
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Cowtr, iBéssa. et uffin *47
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TertJTftt 70
totems «mgdres ... *£7
totem» * rsa. n» ns ted. 110,1
Jteotes. ftrpétamjcs ..... 743
But» Smart, tends pi. 12W
Se cl Mot p*M. a r. fixe . 95,1
Sec t bd, pett 8 rsa tafl. 160,1
Secteur | Bas 983
INDICES GENERAUX DE BASE HW S
meure 0 m. fixa nu tafl. 1923
toL (nrat à rev. rerMHa B1S3
msnrs Mma géras 8853
i IMS
193,1
8283
8873
NOUVELLES DES SOCIETES
FEBODO. — Bénéfice net du pre-
mier semestre : 1531 minions de
francs. -Ce . résultat est voisin de
celui obtenu le 30 Juin 1374. Le
.chiffre d'affaires bers, taxas . pour
nette période atteint 828 minions de
francs (+ 8.7 %).
' AKZO. — Bn raison, de* pertes
qu’elle" a subies, . la soaléte ne sera
vraisemblablement pas en mesure-do
payer un dividende pour 1875.
COMPAGNIE BANCAIRE. — - Résul-
tat net consolidé pour te premier
na m^ tn i ; 843 XBllUOZlS dB fwniM
contre. 374 rainions.
OHIGNy-DBSVBOISK. — Bénéfice
net de' l 'exercice dos le. 30 luln ^
933 mmiana de francs contre' 833
millions pour 1873-1974. Dividende
|in>ip] inchangé de 15' P mais rému-
nérant un capital augmenté da 10. %
par attribution gratuite. 1 ■
BOUTIKBX COLAS. — Bénéfice net
du premier semestre (rés u l t a t s, des
agences outre-mer et étrangères
exclus) ' : 1437 ~ minions dé-
«mtr* 5ÂD minions: ■
LKBOT-SOMER. — Résultat net
au 30 Juin ; ‘10.43 mUllons da francs
contre 93 raillions. ChtlCre d'affaires
hors taxes des neuf premiers mois
430.18 mimons de francs. Ce chiffre
est fl. peu près identique A celui de
la période correspondante da 1974.
MAISONS PHENIX. — Bénéfice net
au 30 juin : 13,45 millions de francs
contre 530 mimons. Au 30 septem-
bre, le chiffre d'affaires bots taxes
atteint 4053 minions de francs
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Page 38 — - 14 octobre 1975 • • •
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UN JOUR
Ancien juge d'instruction du aime de Bmay-en-Aitoîs | En Égypie
Selon le <s. Washington Post
DANS LC MONDE M. Henri Pascal va être inçulpé le pbésdeht sad AIE CONFIRME
2. ASE
— LAOS : les «tes de Hudé-
. pendants ont consacré^ la
prise da po avoir par les révo-
lutionnaires.
de violation du secret professionnel.
1 PROCHE-ORIENT
— La Ligue arabe sa réunirait
le 15 octobre an Caire pour
examiner la situation aa Liban. |
315. EUROPE
■ — ESPAGNE :-!a procédure
« expéditive » ne sera pas
appliquée aux terr ori st es ac-
tuellement détenus.
— PORTUGAL : les «commis-
sions» populaires rasseatbleat
-- dés o rmai s l'essentiel de l'oppc-
sition d'extrême gaucbe.
M. Henri Pascal, premier juge
d’instruction A Béthune, a reçu,
vendredi 10 octobre, une convo-
cation de M. Georges Le 8aout,
président de la chambre d'accu-
sation de Rennes, qui portait la
mention : « M. Henri Pascal,
magistrat ; inculpation ; viola-
tion du secret professionnel. »
« Sons avoir été entendu —
je le serai pour la première fols
le 22 octobre prochain à 14 h. 30,
— fai été inculpé », a déclaré
M. Pascal.
veau .. J'accuse », fait état de
pièces du dossier.
La violation du secret profes-
sionnel, prévue A l’article 378 du
code pénal, est punie d’un empri-
sonnement de un A six mois et
d’une amende de 500 A 3000 F.
M. Henri Pascal, qui a l’inten-
tion de prendre plusieurs défen-
seurs, a précisé. A propo s de la
plainte du notaire:
c Je m esttmais assez fort pour
me dé j en dre seul, mois un
inculpé, en France, n’a pas le
DEUX CONDAMNATIONS A MORT
POUR COMPLOT
Cette affaire remonte au 24 sep- . droit de connaître son dossier, a
6. DIPLOMATE
— « Le « Quai » dans las bru-
mes » fl Y), par M. Delarue.
8 à 11. POUTKJBE
— L*U. D. R. veut relancer la
« participation ».
— M. Fourcade â la commission
des finances de l'Assemblée
nationale.
tembre 1974. M* pierre Leroy, le
notaire de Bruay -en -Artois, avait
déposé une plainte auprès du
procureur de la République de
Béthune, A l’encontre de M Pas-
cal, pour un article paru dans
Paris-Match, daté du 28 septem-
bre 1974, sous la signature du
juge.
M* Leroy, qui, ainsi que son
épouse, a bénéficié d’un non-lieu
pour le meurtre de la jeune Bri-
gitte Dewevre. reproche au juge
d’instruction d’avoir, dan» l'article
12. CULTURE
— A la Foira du livre da Franc-
fort : la remise da prix de la
paix à Alfred G rosser.
13. SOC ETE
— A propos d ‘Histoire tfO.
13. JEUNESSE
— M. Catdla dénonça la «cam-
pagne anti-jeunes».
incriminé, publié, sous le titre :
c Le juge Henri Pascal ne
désarme pas, fl lance un nou-
ne peut en avoir communication
que par son avocat » s Un inculpé,
a poursuivi le juge, n’est pas tenu
au secret pour son affaire. Que
l’on ne compte pas sur moi pour
faire le secret dans mon affaire 1 »
La compétence de la cour de
Bennes provient d’un arrêt de la
Cour de qui. y>î«t«» en
application de l’article 679 du
code de procédure pénale, avait
dû désigner une juridiction pour
i n str uire la plainte dirigée contre
un magistrat s susceptible d’itre
inculpé d*un défit commis hors
V exercice de ses fonction» {le
Monde daté 15-16 décembre 1974).
Le président Sadate a con-
firmé, dimanche 12 octobre, les
peines de mort prononcées contre
MM. Saleh Abdullah Sarrlja et
Kaxem Bzzat Alanadoly, deux des
nrincluanx responsables de la
tentative de coup d'Etat d’avril
1974, organisée au collège mili-
taire technique du Caire. M. Taiat
Al Ansasy, qui avait également
été condamne A mort par la Cour
suprême de sécurité de l'Etat, a
vu sa peine commuée en Atten-
tion. A perpétuité. — (AT* J
En Èhiopie
DES MILLIERS DE PERSOHNES
SONT MENACEES PAR U FAMINE
AU TERME D'UNE E'PREUVE DE HUIT MOIS
Les syndicalistes s'estiment satisfaits
des conditions dans lesquelles le travail
a pu reprendre chez Grandin
IE MONDE OE L'ECONOMIE
PAGES 15 A 19
— La politique agricole da
fnsambale.
— La Sécurité sociale, victime
de la crise.
— Le cauchemar de New- York.
— Commerce extérieur : tou-
jours excédentaire.
— Les notes de lecture, d' Alfred
Sauvy.
20. SPORTS
» FOOTBALL ; la France est
éliminée de la Coupe d'Eu-
rope des nations.
— ÉQUITATION ; le champion-
nat de France de Foatoiae-
Meaa.
22-21 ARTS ET SPECTACLES
■ — THÉÂTRE : Tara aa Festival
d'automne; Jean-Paul Fané.
— DANSE : le Jeune Ballet de
Moscou.
— CINÉMA i les nouveaux terri-
toires de Belfort.
24. REU610N ’
— Le papa devrait valoriser -la
collégialité pour favoriser la
ammomen entre les Églises.
30-31. JUSTICE
— Mêlé à ('affaire de Braay-at-
Artois, le jeune Jean-Pierre
est arrêté pour tentative de
vol.
31 ÉQUIPEMENT ET REGIONS
— L'affaire des drapeaux en
Corse. •
— La difficultés da commu-
nautés urbaines.
31 LA REGION PARISIENNE
— Un entretien avec M. de La
Malène : 1 206 millions poar
la nouvelle opération des
Halles.
34-31 U VIE ECONOMIQUE
ET SOCIALE
— An lendemain du 62* Salon
de Paris : l'automobile, pavil-
lon bout.
— EUROPE : la Neuf tentent
de définir une noavelle' régle-
mentation do Marché commun
du vin.
« Les Grondin ont gagné 1 »
Une grande banderole bleue ac-
crochés aux grilles des usines de
la rue Marceau A Montreuil
accueillait le personnel de la
Société française de radio-télé-
vision Grandin, venu aux nouvel-
les ce lundi matin. Vers 8 heures
les o u v rièr es se sont rassemblées
dans la cour de l'entreprise —
certaines d’entre elles portaient
la longue robe rouge qu’elles ar-
boraient depuis huit, n yM s rian*
toutes les tnanifad a tlnnu de rue
— et on applaudi M. Georges
Séguy. secrétaire général de la
‘ C.G.T, venu les féliciter pour le
succès de leur action.
Pendant le meeting, les cadres
et les agents de maltaise de la
SJAR.T. se réunissaient autour de
M. Desbois, président du direc-
toire constitué au sein de la
Société Artelec, qui reprend les
usines S-FJR.T. Grandin. Vers
10 heures les délégués C.G.T. de
l’entreprise ont donné une confé-
rence de presse pour répondre
notamment < au xa ttaques anti-
communistes de M. d’Ornano »,
formulées dimanche, c Le s ten-
tative de récupération politique
n’ont pas facilité les choses »,
avait déclaré le ministre qui a
souligné le rôle joué par les pou-
voirs publics depuis la faillite d e
Grandin. SI le gouvernement, '
a-t-il ajouté, < avait comme le'
demandait le parti communiste,
réinjecté de l’argent dans Vaf-
faire Grandin au moment de sa
f ajoute, cela aurait correspondu à \
mettre de l’argent dans un puits
sans fond ».
» Nous trouvons, ont déclaré les
que M. d’Ornano a
la défaite amère. Qufü le rettffie
ou non les Grondin ont gagne
grâce au courage du personnel.
Vouloir dénaturer ce succès par
une diversion anticommuniste
relève d’une basse marueuore.
Tous les succès revendicatifs
du patronat qui c cautionnait Ta
liquidation de la SfFJR.T. par les
pouvoirs publics », qui
classer l’affaire Grandin c et sur- ,
tout par les travailleurs, futurs
chômeurs en puissance ». Ils ont
rappelé les différentes formes de
l'action menée pour sauver
l’usine : l’occupation des bureaux
de Mme Françoise Giraud, l’occu-
pation de la préfecture de Bobi-
gny et des studios de TPI et
d’Europe 1 ; la participation des
ouvrières A la journée d’action du
10 juillet, et A de nombreuses au-
tres manifestations : « C’est une
guerre d’usure que nous avions
entreprise, ont- Ils conclu, et nous
Varxms menée jusqu'au bout. »
' J. B.
Addia-Abeba (4J\P0. — Fins de.
vingt et un mflle personnes sont:
menacées par la fnwin. quatre
districts de U région administrative
de Barres, dans le sud-est da pars,
a-t-on appris, samedi 11 octobre, de
source orflclelle, dans la capitale
éthiopienne.
L'administrateur local, qnl a déjà
lancé plusieurs appels pour l’ache-
minement de secours d’urgence, a
déclaré que da milliers de paysans
ont quitté leurs villages en quête
de nourriture.
Ces quatre districts, déjà éprou-
vés la années précédentes; n’ont pu
i*cu de ploie cet été et la récolte
escomptée à la mi-septembre n’a
pu eu lieu.
Far aille ur^ la opérations mili-
taires qui se sont déroulées la se-
maine dernière dans le nord du pays
(Erythrée, Tigré et Wollo) M sont
soldées, selon da chlfiia officiels;
par une centaine de’ morts du «été
du rebelles.
Enfin, le général Tcferi Ban te. pré-
sident du Conseil militaire provisoire,
a évoqué, le 22 octobre, dans ans
Interview à l'agence yougoslave
Tanyoug, une proposition éthio-
pienne de former une « confédéra-
tion » avec le Soudan, la Somalie
et le Kenya. Cette proposition, a-t-Il
dit, « s’inspire de l’existence de fac-
teurs culturels, ethniques et écono-
miques wm i m nMt g.
En rejoignant
les amis de N. Fabre
Nominations d'ambassadeurs
M. CAIESSOM 2 PROPOSE
DE « PONDÉRER LA GAUCHE :
Les 16 et 17 novembre 1974,
M. Robert Fabre accueillait, dans’
un colloque, des radicaux valol-
sless (MM. Ca tesson et Hovna-
nian). un centriste (M. Pelle-
tier. sénateur de l'Aisne) et des
gaullistes d’opposition (MM Léo
Hamcm et Charbannel, anciens
ministres) d’accord pour consti-
tuer avec le Mouvement des
radicaux de gauche la troisième
famille de l’union de la g» mchP-
31 aura fallu onze mois de
négociations pour que oe projet
aboutisse et, A l’arrivée. Il se
trouve vidé de r essentiel de sa
substance. En effet,
11 octobre, seuls MM. Catessan
et Hovnanian avalent répandu
présents au rendez- vous final et
ont a nn oncé lacs d’une- conven-
tion des radicaux de gaucbe leur
Aux termes d'un décret publié
par le Journal officiel du 14 oc-
tobre, M Rémy Teissier du Cros
est nommé ambassadeur en Corée
du Sud, et M Jean-Marie Mé-
rillon devient ambassadeur en
Grèce. ‘ _
M. TEISSIER DU CROS A SÉOUL
CNé la 5 décembre 1930. M. Trima er
da Cros est licencié en droit, diplômé
de l’Soale nationale da langues
orientales et breveté de l’Ecole natio-
nale de la France d'outre -mer. inté-
gré en 1359 dans la cadre da secré-
taires des affaires étrangères
(Orient), 11 a été premier, secrétaire
à Lamé (1960-1962). a travaillé à
l’administration centrale (1983-1968),'
a été envoyé en poste à Lagos en
1968 et a rejoint le Quel d’Orsay en
1968.] ■ ..- .•
M. MÉRH10N A ATHÈNES
[Né le 12 février 1928. M. MérUJon ,
est diplômé de l'Ecole au sciences
est diplômé de l'Ecole Ou sciences
politiques et ancien élève de l’ENA
obtenus dans les entreprises qui - adhésion à la formation que pré-
aUaient fermer sont dus à la M Robert Fabre.
(promotion 1951). Nommé en 1953 ;à
l’administration centrale . (Europe),
chef adjoint du cabinet du (secré-
taire d’Etat à la présidence du
LIRE EGALEMENT
RADIO- TELEVISION Cl)
Annonça cl a ssée s (25 à 30) ;
Aujourd’hui (21) : Carnet (24) :
« Journal officiel » (21) ; Météo-
rologie (ri.) ; Mots croisé» (ZL) ;
Finança (37).
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en Angleterre, réservez
I chez Europcar au : 645.21 .25 1
lutte des salariés. Si ta nôtre a
duré huit mois, à qui la faute?
C’est à M. d’Ornano précisément
qvfü faut le demander. »
Les dirigaant» cégétistes s’esti-
ment satisfaits des 'c onditions de
relance de l’usine. Ce succès,
Be lo n eux, aura un retentisse-
ment au-delà de l’entreprise, en
particulier rirais le secteur de
râecfcronlqofi. Selon eux, la lutte
chez Grandin a fait reculer l’aus-
térité et le chômage A Mon-
treuil, localité parti culiè rement
touchée par la restructuration du
trust Thomson. « Seule la lutte,
ont-ils ajouté, a permis le main-
tien de cent cinquante - six
emplois et la sblidartté active,
autant morale que politique et
financière, entre les traoaüLeurs,
la population et les organisa-
tions syndicales et politiques. »
Les délégués ont souligné que
le conflit a été suivi avec une
grande attention per l'ensemble
Au cours de son intervention, le
député de l'Aveyron a affirmé
que son mouvement « se porte
bien » et qu’il c n 'existe pas de
dissensions en son sein ».
M Claude Catesson. conseiller
municip al de un* , qui animait
Jusqu’à présent au son du parti
radical valobden la tpnf fn pp^
Combat radical socialiste, a
conseil (Juillet 1954-Janvler 2335), 1
de nouveau rattaché à l 'administra- I
tion centrale jusqu'en 1936, U est,
ensuite chargé da mission auprès du
ministre da affaires étrangère».
Premier secrétaire à Borne (1&57-
1983), sous-directeur des affaires
africaine* et malgache» 0962-1968),
ambassadeur à Amman (1988-1973),
U est nommé ambassadeur au Viet-
nam du Sud an juin 1073. M. Mill-
ion demeurera à son posta pendant
la bataille de Saigon, en mal 1975.)
ajouté : c Nous nous joignons à
vous pour vous aider à pondérer • Le gro
la gauche' en lui dormant à la américains
fois du poids et de la mesure, otages le 11
mais nous nous refusons à jeter commlssarti
l’anathème sur ceux de nos amis pour les ré
restés place de Valois et dont (le Monde
beaucoup nous rejoindrons un est arrivé :
• Le groupe de réfugiés laüno - ,
américains qui avait pris des
jour_»
otages le 10 octobre au siège du ,
co m missariat des Nations unies
pour les réfugiés A Buenos-Aires
(le Monde daté 12-13 octobre) <
est arrivé samedi 21 octobre au I
soir A Alger.
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L’Iran achèterait d'importantes que
d’uranium à F Afrique du Sud
ç ^nr, le Washington Post,
l’Iran négocierait avec l’Afrique
du Sud l’achat étalé dans le
temps de 35000. A 50000 tonnes
d'uranium naturel au prix de
10 dollars la livre d’oxyde.
Téhéran a prévu de cons-
truire, d’ici & l’an 2000. une
vingtaine de centrales nucléaires
qui requéreront environ
100000 tonnes d'uranium naturel.
Huit centrales devraient être
livrées par les Etats-Unis, cinq
par la France, et au moins
En Equateur
LE PROCES IKïENTt
A DES OFFICIERS COMPLOTEURS
ESI ANNULÉ
Quito (A. P. P, B enter J. —
Sur ordre du président Guillermo
Rodriguez Lara, le procès en cour
martiale intenté A vingt-sept offi-
ciers accusés d’avoir fomenté la
tentative du coup d’Etat du 31
août dernier a été annulé. Le
conseil de guerre, qui siégeait
depuis une semaine sans pouvoir
sortir des querelles de procédures,
s’est dessaisi de l'affaire.
cinq tuLihxLtm» parmi lesquels le
général Julio Gonzales Oreilana,
se sont réfugiés dans des ambas-
sades A Quito. Le chef de la rébel-
lion, le général Baal Gonzales i
Alvear, se trouve au C hili.
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1.194 F tte
(
deux par l'Allemagne
L'uranium naturel itf
la fabrication du c-
serait acheté en
l'Afrique du Sud et
A un autre pays
Quant aux services
sement, l'Iran s’est t
Burodef. dont le capit
10 dans ses mair
L’Iran est. selon le I
Post, aussi Intéressé
d’enrichissement qu’t ,
construire l’Afrique d .
Monde du 24-4-1975).
plrant d’études faite
magne de l’Ouest, eu
cléalre de Karlsruhe,
que Sud-Africaine étu
cédé nouveau d’enrl
et va. dans les deux .
venir, essayer et mette
des modules opération
parution isotopique,
dernier, elle a lancé
à la coopération Int
en prévision do la c
d’une usine d'enr
d’une capacité de. di
d’unités de travail, qi
environ 1,4 milliard
1974. Pour r instant, u
nalre étranger, sauf
s'est officiellement- r
U BAISSE DU I
S'ACCENTUE : 438
accoste ont été expulsés le diman-
che 13 octobre vers Panama. Les
autres Officiers MmpmmLit dm»
ce mouvement de rébellion ont
été remis en liberté, mais rayés
des cadres de l’armée.
Parmi les exilés figurent les
généraux Alejandro Salis et Juan
Aiattfo, dirigeants de la rébellion,
les colonels Jorge Cevallos. Ar-
nulfo Efendy Carlos
Guerrexo et Luis Rodrigo Araque.
Les. deux avocats touchés par
cette mesure d’expulsion sont les
généraux en retraite Victor Aules-
tia et Galo Latoite. Cinq civils et
Amorcée depuis lu M
d’octobre, la baisse du
po are ai rie et même aef
matin sur la msxehft
Internationaux, en UaL
fléchissement continu d*
térèt à court terme am
La devise américaine,
nue an voisinage de sa
débat, septembre, a v
4^823 F à Paris (coni
vendredi), s’échangeant
contre t» DM 1 Fia
2,6559 francs suisses eont.
suisses à Zurich.
La livre sterling s’est
fermle 2 , 00 ' dollar;
2JM doDare.
• A Lyon, le consei
d’enseignement et de
(U£Bj de phflœopb
vers! té Je&n-Moulta
» démissionné collectiv
dredl 10 octobre 1975.
solidarité arec son
M François Dagog
UJSJL est en désaect
président de l*unlvezslt
Roland. A propos d*u
de répartition des lac
philosophes s'estiment ‘
M. Dagognet, u s'agit s
ter l’opinion sur ce q
« les empiètements sur
de njJSJt. et l’autoritas
sont de la président
façon générale, les phi
sentent mal A I'aisa :
l’université Jean-Mbuli
suite- de la partition, t
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